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Après le temps des eBooks et autres eReaders, voici venu celui des… liseuses. On connaissait jusqu’à présent le Kindle d’Amazon lancé en novembre 2007 et disponible en version internationale depuis octobre 2009, le Sony Reader, le Cybook de Booken ainsi qu’un certain nombre d’autres produits à « consonance internationale », voici qu’apparaissent aujourd’hui successivement sur le marché français deux nouvelles liseuses selon le terme couramment utilisé dans l’Hexagone pour nom- mer les appareils de lecture de livres électroniques. La Fnac et France Loisirs lancent leurs liseuses Deux nouveaux « entrants » se lancent sur un secteur où on ne compte finalement que peu de références et sur un marché qui, en France notamment, ne connaît pas encore de véritable embellie. Chapitre.com et France Loisirs avec Oyo et la Fnac avec le Fnacbook parient aujourd’hui sur le développement de ce marché face à des habitudes de lecture qui, pour l’heure, n’ont pas encore radicalement évolué. « Face à l’évolution des technologies et au lancement de nouvelles liseuses notamment, il est particulièrement important de suivre la mutation des usages en ce qui concerne les lecteurs, le Web ou bien les techniques d’enrichissement », déclare Yves Lhommée, directeur de la production au sein du groupe Flammarion. Tout en rappe- lant que le livre électronique ne représente que 1 % du chiffre d’affaires de l’édition en France contre 99 % pour les livres imprimés. Avec, à la clef, quelque 70 000 titres numériques commercialisés (contre 630 000 aux États-Unis) s’appuyant sur quatre plateformes de distribution et trois grandes librairies en ligne. Le 10 octobre dernier, Chapitre.com et France Loisirs (groupe Bertelsmann) ont annoncé le lancement immi- Âgé de 44 ans, la nouvelle fonction d’Éric Chatry sera de « favoriser la croissance des Business Units du groupe Altavia sur ses métiers actuels de print management et de marketing services ». Ce diplômé de l’Essec, qui est passé par Danone, L’Oréal et LVMH, aura égale- ment la responsabilité des achats, des outils, des systèmes d’information et du développement durable. Son péri- mètre d’action intègre également le marketing de l’offre, où il aura pour objectif « d’accompagner le dévelop- pement des services du groupe dans une logique d’amélioration perma- nente de la communication opération- nelle multicanal ». Altavia Connect est une plateforme de services transver- sale aux différentes unités du groupe qui a réalisé un chiffre d’affaires de 486,5 millions d’euros en 2009 et compte un peu moins de 1 000 colla- borateurs. LE RDV À VENIR 4-8 novembre Salon de la photo 2010 • Rencontres, conférences, ateliers et débats avec la participation de l’ensemble des acteurs (lire en dernière page « Le boom des albums photos personnalisés »). Paris, Porte de Versailles, Pavillon 4. MERCREDI 3 NOVEMBRE 2010 SUITE > fnacbook sérigraphie r album photos revue d’art Le temps des liseuses par Rodolphe Pailliez Eric Chatry est nommé DG d’Altavia Connect En cet automne 2010, deux nouvelles liseuses font leur apparition en France. mediapost

Le temps des liseuses

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Après le temps des eBooks et autres eReaders, voici venu celui des… liseuses. On connaissait jusqu’à présent le Kindle d’Amazon lancé en novembre 2007 et disponible en version internationale depuis octobre 2009, le Sony Reader, le Cybook de Booken ainsi qu’un certain nombre d’autres produits à « consonance internationale », voici qu’apparaissent aujourd’hui successivement sur le marché français deux nouvelles liseuses selon le terme couramment utilisé dans l’Hexagone pour nommer les appareils de lecture de livres électroniques.

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Après le temps des eBooks et autres eReaders, voici venu celuides… liseuses. On connaissait jusqu’à présent le Kindled’Amazon lancé en novembre 2007 et disponible en versioninternationale depuis octobre 2009, le Sony Reader, le Cybookde Booken ainsi qu’un certain nombre d’autres produits à« consonance internationale », voici qu’apparaissent aujourd’huisuccessivement sur le marché français deux nouvelles liseusesselon le terme couramment utilisé dans l’Hexagone pour nom-mer les appareils de lecture de livres électroniques.

La Fnac et France Loisirs lancent leurs liseusesDeux nouveaux « entrants » se lancent sur un secteur où on necompte finalement que peu de références et sur un marché qui, en France notamment, ne connaît pas encore de véritableembellie. Chapitre.com et France Loisirs avec Oyo et la Fnac

avec le Fnacbook parient aujourd’hui sur le développement de ce marché face à des habitudes de lecture qui, pour l’heure,n’ont pas encore radicalement évolué. « Face à l’évolution destechnologies et au lancement de nouvelles liseuses notamment,il est particulièrement important de suivre la mutation desusages en ce qui concerne les lecteurs, le Web ou bien les techniques d’enrichissement », déclare Yves Lhommée, directeurde la production au sein du groupe Flammarion. Tout en rappe-lant que le livre électronique ne représente que 1 % du chiffred’affaires de l’édition en France contre 99 % pour les livresimprimés. Avec, à la clef, quelque 70 000 titres numériques commercialisés (contre 630 000 aux États-Unis) s’appuyant surquatre plateformes de distribution et trois grandes librairies enligne. Le 10 octobre dernier, Chapitre.com et France Loisirs(groupe Bertelsmann) ont annoncé le lancement immi-

Âgé de 44 ans, la nouvellefonction d’Éric Chatrysera de « favoriserla croissance desBusiness Units dugroupe Altaviasur ses métiersactuels de printmanagement et demarketing services ». Cediplômé de l’Essec, qui est passé parDanone, L’Oréal et LVMH, aura égale-ment la responsabilité des achats, desoutils, des systèmes d’information etdu développement durable. Son péri-mètre d’action intègre également lemarketing de l’offre, où il aura pourobjectif « d’accompagner le dévelop-pement des services du groupe dansune logique d’amélioration perma-nente de la communication opération-nelle multicanal ». Altavia Connect estune plateforme de services transver-sale aux différentes unités du groupequi a réalisé un chiffre d’affaires de486,5 millions d’euros en 2009 etcompte un peu moins de 1 000 colla-borateurs.

LE RDVÀ VENIR4-8 novembre Salon de la photo 2010• Rencontres, conférences, ateliers et débats avec la participation de l’ensemble des acteurs (lire en dernièrepage « Le boom des albumsphotos personnalisés »).Paris, Porte de Versailles, Pavillon 4.

MERCREDI 3 NOVEMBRE 2010

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Le temps des liseuses par Rodolphe Pailliez

Eric Chatry est nommé DGd’Altavia Connect

En cet automne2010, deux nouvellesliseuses font leurapparition en France.

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L’imprimerie Rabet, basée à Thenay (41), a été créée en 1955 par Jean Rabet, artiste de formation.Précurseur dans les techniques de sérigraphie, l’entre-preneur transmettra cet héritage à son fils. De spécia-liste de la sérigraphie, l’entreprise devient « fabricantd’images ». En 1999, elle investit pour la première fois dans le numérique. Son parc machines estaujourd’hui constitué de trois lignes de sérigraphie SIAS Print, de quatre machines numériques Gandi Jeti,de deux Arizona, de deux Océ CS 9160 ainsi que de nombreuses machines de façonnage et de découpe.L’année 2010 a été marquée pour Rabet L’Image par le rachat de Ad’comm, une entreprise de Bondoufle(Essonne) spécialisée dans l’installation de salons et le décor de véhicules. Retrouvez l’imprimerie Rabet

L’Image en vidéo sur notre site ainsi que dans le prochain numéro de France Graphique. B. J.

LES JEUDISDE L’AUTOMNEL’Imprimerie Point 44, implantéeà Champigny-sur-Marne (94),organise les 18 et 25 novembre prochains deux Jeudis de l’automne sur le thème « Le papier, unsupport résolument innovant ».

Jean-Philippe Zappa (CulturePapier) et Laure Eyssidieux(Universel Couleurs) participerontaux conférences et aux débats.Ces Jeudis de l’automne seront l’occasion de revisiter les origines et les atouts du papier et de découvrir les bienfaits de la certification

ISO 12647-2 en matière d’impression. Les participants à ces deux journées recevront en cadeau un Guide du papier écologique2010 réalisé par Point 44 et imprimé selon la norme PSO. Pour en savoir plus :www.les-jeudis.info.com

En bref

nent d’une nouvelle liseuse baptisée Oyo. Cette tablette,développée en partenariat avec le réseau Thalia regroupant500 librairies en Allemagne, offre un écran tactile de six pouces de diagonale (15,2 cm) et fait appel à la tech-nologie d’encre électronique, qui se rapproche le plus d’une qualité papier. Elle peut se connecter à Internet enWIFI et au réseau mobile 3G à partir du début 2011.Disponible au prix de 149 euros, elle peut stocker jusqu’à1 500 livres. Son arrivée constitue incontestablement unenouvelle étape dans le développement de France Loisirs qui, en quarante ans, est devenu selon ses dires, « le plusgrand Club de livres et de loisirs culturels au monde » avec, chaque année, la diffusion de plus de 25 millions de livres auprès de ses 4 millions d’adhérents. « Grâce à la connexion au réseau mobile 3G, l’utilisateur pourra accéder à un catalogue de plusieurs milliers de titrespayants, dont certains ouvrages de la rentrée littéraire »,précise-t-on chez France Loisirs. En attendant, dix grandsclassiques de la littérature seront offerts et préchargés sur le lecteur.

Le Fnacbook débarque le 10 novembrePrésentée officiellement le 21 octobre dernier et disponibleà compter du 10 novembre prochain, la nouvelle liseuse dela Fnac répond au nom de Fnacbook et, en dehors de son prix plus élevé (199 euros), présente un certain nombre de similitudes avec celle de France Loisirs : écran tactile de 6 pouces de diagonale, recours à une encre électro-

nique… La solution proposée par la Fnac a été dévelop-pée par Sagemcom. Son poids (240 g) et ses dimensions(15,3 x 12,3 cm et 1,1 cm d’épaisseur) ainsi que son autonomie de quinze jours en font résolument un produitnomade. Elle permet de se connecter à « la plus grandelibrairie de France », affirme Christophe Cuvillier, directeurgénéral de la Fnac, soit à près de 80 000 ouvrages (dont750 bandes dessinées) payants ou gratuits, dont la majorité en français. Cinquante ouvrages sont préchargésen mémoire (contre seulement dix pour France Loisirs). Cesderniers sont issus du domaine public et donc publiés il y a déjà un certain nombre d’années. À noter que l’accès à cette librairie se trouve facilité par la connexion WIFI et l’accès 3G gratuit en France métropolitaine grâce à unpartenariat avec l’opérateur SFR.Ces deux nouvelles liseuses « made in France » permet-tront-elles de booster le marché du livre électronique en France où le décalage avec ce que l’on observe outre-Atlantique est grand. « Aux États-Unis où les eReaders existent depuis maintenant trois ans, le livre électroniquereprésente environ 8 % du marché. En 2009, les ventes d’eReaders se sont élevées à 4 millions d’unités et les prévisions pour cette année portent sur 10 à 12 millionsd’unités. Un phénomène qu’accompagnent une accélérationde la baisse des prix de ce type d’appareils de lecture et une expansion de leur distribution », rappelle Gilles Biscos, président de la société d’études et de conseils Interquest. n

L’imprimerie Rabet en images

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Rosetta, régie Home Media, prise de parolesur la campagne « Zéro papier » de Leclerc,Mediapost est présent sur tous les fronts.Nathalie Andrieux, PDG de l’entreprise, fait lepoint sur les différentes actions menées depuiscet été. « À partir du moment où une personnefait le tri de ses courriers publicitaires et enramène au sein de son foyer, nous considéronsqu’ils font partie des médias choisis »,explique-t-elle. À partir de cet instant, leconcept de Home Media est né et comprend le courrier adressé, l’imprimé publicitaire,mais également les e-mails et les SMS.« L’objectif est d’apporter du contenu et desétudes aux annonceurs sur ce média à partentière qu’est le courrier, afin de le promouvoiret qu’il soit intégré dans leurs futurs plans. »Comptant aujourd’hui une vingtaine de per-

sonnes, la régie Home Media se fixe une crois-sance par quatre dans les quatre prochainesannées, sans pour autant préciser son objectifde départ.La réflexion autour du média papier, qui restele premier média utilisé par le courrier, s’inten-sifie également. Afin de poursuivre son déve-loppement et restaurer son image, Mediapost

C’est une revue d’art et non un magazine. Un trimestriel qui n’obéit à aucune promotion.« Hey » est exclusivement distribué en librairiedepuis le début de l’année. Sa maquette seréfère davantage à celle des livres d’art qu’à lapresse. « Nous avons voulu un objet qui revalo-rise le papier, un objet précieux comme un vieuxgrimoire », précisent Anne et Julien, les deuxconcepteurs et rédacteurs en chef. Voyant lepapier « se déliter avec les journaux gratuits et laculture du jetable », ces collectionneurs d’artveulent prouver que ce support a toujours saplace. Très concernés par l’écologie, ils trouvent« dommage d’imprimer n’importe quoi sur dupapier ». Ils s’emploient donc à l’utiliser dediverses manières dans leur revue, par desplanches à découper, des cahiers en papierbouffant (un 16 pages dans le dernier numéro)

ou bien des stickers. « Nous en voulions absolu-ment, on en colle partout, c’est un véhicule évi-dent », quelque peu coûteux néanmoins, touscomme les cartonnages ou pliages que le duorêve de proposer. La maquette change en fonction des artistes pré-sentés et aucune cible n’a été définie parmi leslecteurs potentiels. « Nous estimons que l’artexiste pour lui-même et n’est pas fait pour seplier à ce type de contingence. C’est une perver-sion de l’art que d’essayer de se plier à un lec-teur que l’on imagine », plaident Anne et Julien.Toujours dans un esprit à contre-courant, le titrede la revue n’est ni facile à prononcer ni univer-sel. C’est une interjection de rue compréhensi-ble dans de nombreux pays. La revue relayed’ailleurs ce que produit la rue en termes d’éner-gie et de culture populaire depuis les années

La rentrée chargée de Mediapostparticipe activement à l’association CulturePapier, et s’engage dans ce qui est devenu l’affaire « Zéro papier ». En adressant une lettreouverte à Michel-Édouard Leclerc (consultablesur Francegraphique.com), elle lève quelquesarguments prouvant les immenses progrès dela filière en termes de protection de l’environne-ment. Mediapost a réalisé le bilan carbone del’ensemble de ses sites, promeut le ferroutageet la formation continue de ses salariés. Dernièrenouveauté : Rosetta. Derrière ce nom à conso-nance de mission spatiale, se cache une solu-tion de gestion de campagne marketing directdédiée aux TPE/PME. « Nous constatons queces clients ont des besoins analogues à ceuxdes grandes entreprises en matière de marke-ting relationnel sans avoir d’offres adaptées faceà elles », conclut Nathalie Andrieux. G. B.

© André Tudela

Objet artistique non identifié

1960. Éditée par Ankama, elle est imprimée par CPI Aubin, l’impression en France étant un choix appuyé par les concepteurs. Tirée à10 000 exemplaires, la revue est bilingue et distri-buée dans toute l’Europe. B. J.

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Le marché de la photo est aujourd’hui enpleine mutation et évolution tant en termesd’outils, de pratiques que de produits. Ilconvient d’ajouter que les produits réalisésdans le domaine de la photo personnelleenregistrent une forte progression. « Lesproduits photographiques plus sophisti-qués séduisent de plus en plus », souligneune étude récente conduite par Ipsos.Selon cette dernière, les albums imprimés(livres photos) ont enregistré un bond de 7 points en deux ans. Dans le même temps,les calendriers ont connu une croissancede 5 points et les posters au format supé-rieur à 50 x 70 cm, une progression de 4 points. « La possibilité de réaliser desalbums imprimés est en effet mieux connueet les commandes sur Internet ont aug-menté », analyse l’institut de sondage danscette étude intitulée « 2000-2010 : le triom-phe de la photo personnelle ». Si Internetreste le premier « lieu » de développement,le recours à des spécialistes ou aux bornesest de plus en plus fort : + 11 points en deux ans pour la solution « en grandes

surfaces à une borne », + 8 points chez unphotographe de quartier au comptoir.Si le marché des services photo se partageaujourd’hui en trois activités principales (tirages photos, albums personnalisésimprimés et objets photographiques), ilconvient de souligner que l’offre s’est trèslargement étoffée avec l’avènement dunumérique. Les albums photos personnali-sés imprimés constituent dans ce domaineles best-sellers. Selon le cabinet d’étudeslondonien Futuresource Consulting, cesont près de 2,1 millions d’albums person-nalisés qui ont été produits en France en2009. « Par le jeu des formats, des supportsd’impression et des finitions, le marché desalbums imprimés s’inscrit dans une dyna-mique de services innovants correspon-dant aux besoins du public », soulignel’Observatoire des professions de l’image.Celui-ci rappelle que les solutions com-pactes d’impression et le déploiement debornes self-service renforceront encoreson essor en magasin.

R. P.

Éditée par ETAI : Antony Parc 2 – 10, place du Général-de- Gaulle –92160 Antony – Tél. : 01 77 92 92 92 – Fax. : 01 77 92 98 20 –www.groupe-etai.com • Directeur de la publication : ChristopheCzajka • Directeur général adjoint pôle presse spécialisée etsalons professionnels : Gilles de Guillebon • Pour joindre vos correspondants, composez le 01 77 92 suivi des deux chiffres entreparenthèses après chaque nom • Rédacteur en chef : GuillaumeBregeras (96 06) ; [email protected] • Rédacteur en chef adjoint :Rodolphe Pailliez (96 05) ; [email protected] • Rédactrice : BakhtaJomni (93 60) ; [email protected] • Secrétaire de rédaction :Philippe Abgrall (96 13) ; [email protected] • Directeur de la publi-cité : Véronique Durègne de Launaguet (96 59) ; [email protected] •Assistante : Martine Fourment (96 56) ; [email protected] • Responsable du studio : Thierry Michel (96 30) ; [email protected]• Rédacteur graphiste : Maxime Perlemoine • Directeur de lapromotion et de la diffusion : Bénédicte Hartog ; [email protected] • Directeur de la promotion : Marie-Sophie Leprince ; [email protected] • Directeur des abonnements : PatriciaRosso ; [email protected] • Responsable des abonnements : Marie-Christine Soyeux (97 99) ; [email protected]

Le boom des albums photospersonnalisés

EN CHIFFRES2,1. C’est, en millions, le nombre d’albums personnalisés produits en France en 2009 dont 1,7 résultantd’une commande en ligne avec retourpostal (1,5 million en 2008).50. C’est, en pourcentage, la progression du nombre d’albumspersonnalisés en France en 2009.54. C’est, en millions d’euros TTC, le poids du marché français d’albums photo personnalisés en2009 (38 millions d’euros en 2008).81. C’est, en pourcentage, les volumes d’albums photo personnalisés traités par les sites de services photo en ligne.(Source Futuresource Consulting, 2010)