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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles Letteratura latina by L. Alfonsi Review by: H. Bardon Latomus, T. 17, Fasc. 2 (AVRIL-JUIN 1958), p. 393 Published by: Societe d’Etudes Latines de Bruxelles Stable URL: http://www.jstor.org/stable/41518869 . Accessed: 16/06/2014 18:46 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Societe d’Etudes Latines de Bruxelles is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Latomus. http://www.jstor.org This content downloaded from 91.229.229.49 on Mon, 16 Jun 2014 18:46:28 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles

Letteratura latina by L. AlfonsiReview by: H. BardonLatomus, T. 17, Fasc. 2 (AVRIL-JUIN 1958), p. 393Published by: Societe d’Etudes Latines de BruxellesStable URL: http://www.jstor.org/stable/41518869 .

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NOTICES 393

(Londres Brit . Mus. ms. Royal SB VII et Cambridge Pembr . Coll. ms. 217) revues et corrigSes par Tauteur lui-mSme.

II nous livre ainsi un texte trfcs stir, pourvu (Tun apparat critique aussi clair qu'exhaustif. Une introduction dense replace Touvrage dans son cadre histori- que ; nous ne pourrions y reprendre que l'extr&me concision avec laquelle T6di- teur parle de la langue de Bucer, trfcs proche du latin parte des 6coles, malgrS les reminiscences classiques nombreuses et varices, introduces aprfcs coup, dans un effort de recherche stylistique parfois trop apparent. La bibliographie buc£rienne qui suit T Edition du texte rendra de grands services k ceux qui 6tu- dient Thumanisme sans Stre specialises en th£ologie. Les index (citations bi- bliques et historiques) sont parfaits. Louis Bakelants.

L. Alfonsi, Letteratura latina (Florence, Sansoni, [1957]), 502 pp. in-8°, pll., 1400 lires. Avec une modestie excessive, M. Alfonsi a £crit son livre k l'intention des

Steves des Lyc£es. Ge but explique une innovation qui, autrement, pourrait surprendre : il insere dans son texte des phrases latines, espSrant que quelques- unes se fixeront dans la m£moire de ses jeunes lecteurs : puisse Minerve l'exau- cer !

La presentation est d'une clarte parfaite. M. Alfonsi tient grand compte des mouvements collectifs (6coles, c6nacles), mais il s'efforce d'accorder la principale importance aux individus : il 6voque une suite de personnalitSs, definies sans pedantisme mais avec une nettete sobre qui rend l'ouvrage tr&s utile aux Steves. II cherche moins k juger qu'k exposer, et c'est une attitude qui, k mon avis, donne une port£e singultere k l'intSr^t pSdagogique du volume, fitudiants et professeurs auraient profit, eux aussi, k se ref£rer k cet ouvrage plein de science et de gotit, en sa modestie : car il realise le difficile 6quilibre d'une precision dogmatique et d'une finesse nuancSe.

M. Alfonsi conclut par des paroles d'enthousiasme sur la presence necessaire de la latinit£ dans le monde moderne : un livre comme le sien donnera k beau- coup le sentiment de ce que la literature des anciens Romains apporte de valeurs Sternelles.

La presentation matSrielle de l'ouvrage, les admirables photographies qui l'accompagnent rSpondent k la distinction du texte, et contribuent elles aussi k cette r£ussite. H. Bardon.

Magdeleine Cluzel, Mimes et pontes antiques (Paris, Editions du Scorpion, 1957), 160 pp. in-8°, 52 figg. Aucun des ouvrages consults par Mme Cluzel et auxquels elle se r6fere abon-

damment n'est, si Ton excepte un discours de Vatery, postSrieur k 1894. II est vrai qu'aucun ne remonte au-del& de 1732. Pour se documenter sur Horace et Ovide, l'auteur n'a rien trouvS de plus recent qu'un livre de Jules Janin. Si cette ignorance ou ce ntepris, egalement ahurissant, de toute la literature publtee depuis un siecle sur des sujets si graves ne vous a pas rebute, vous serez amene k vous demander ce qu'ont k voir dans le statut des esclaves romains les fards et emplatres des Romaines, ou la bulle d'or dans l'attitude d'Auguste envers le theatre. C'est neanmoins ainsi que va M me Cluzel, ntelant le coq k l'&ne et Charybde k Scylla. Le reste du livre est k Favenant, dont on cherche

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