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Les derniers dossiers e-HEMATimage : e-H 12.07 : Homme de 59 ans avec pancytopénie et douleur vertébrale e-PARASITimage : e-P 12.04 : Ingénieur polonais avec lésions cutanées après un voyage au Turkménistan e-MYCOimage : e-M 12.03 : Lésions cutanées de la jambe CYTim@ge : DC1203 : Cystite chez un garçon de 5 ans en bon état général. Lettre n°46 Septembre 2012 Lʼédito Sérendipité tu nous veux du bien ! "Sérendipité". Voilà un terme qui, comme "procrastination"*, est encore enveloppé d'un voile de mystère. Les quelques lignes qui suivent visent à lever ce voile et à justifier notre intérêt à son égard. D'abord, que signifie-t-il ? Dans le domaine biomédical, notre domaine, c'est l'aptitude à saisir un fait inattendu pour en faire la base d'une innovation. Le champion h i s t o r i q u e e n c e d o m a i n e r e s t e S i r Alexander Fleming, Prix Nobel, qui à partir d'une "goutte au bout du nez" a découvert la pénicilline qui… Ensuite, d'où vient ce terme ? D'un écrivain britannique du XVIIIème siècle, Horace WALPOLE, qui créa ce mot dans sa correspondance avec un ami, pour relater un conte ("Les trois princes de Sérendip"**), histoire de voyageurs qui découvrent de façon inattendue des choses qu'ils ne cherchaient pas. Enfin, pourquoi en parler ici ? Evidemment, pour en revenir à cette idée qu'un programme de formation continue ne doit pas se contenter de ressasser ce qui est connu, même si c'est pour rappeler des choses rares. Il doit permettre à ses utilisateurs de découvrir l'inattendu, nouvelles connaissances permettant de proposer de nouvelles hypothèses (hypothèses de diagnostic, dans l'exercice de la biologie médicale). On est bien dans le domaine de l'innovation et, dans le cadre de "e-MEDICINimage", on est bien dans une situation de découvertes inattendues. On n'est finalement pas loin de la sérendipité, même si ça ne conduit pas au Prix Nobel ! C e t t e n o t i o n j u s t i fi e d e n e p a s "procrastiner" avec la formation, ce qui ferait courir le risque de ne pas connaître quelque chose susceptible d'être utile au prochain patient. Pr Joël X. CORBERAND Président Association FCBM * C'est l'art de remettre au lendemain ce qu'on peut faire le jour même. ** En Perse ancien, désignait l'île de Ceylan, appelée aujourd'hui Sri Lanka. Lettre éditée par l’Association FCBM - Tél : 05 62 17 39 25 - Email : [email protected] www.medicinimage.com www.e-medicinimage.eu e-MEDICINimage La Lettre du Mois Note technique : Hématologie Voici la réponse qui a été donnée à Mme Géraldine COUVRY de PARIS concernant une question récurrente sur la numération plaquettaire. Résultat du nombre de plaquettes après comptage sur tube citraté. 1- Position du problème Un prélèvement préalable, sur EDTA, a permis d'authentifier la présence d'amas plaquettaires conduisant à un résultat de numération erroné. Il est décidé d'effectuer un contrôle pour disposer d'un nombre exact, à partir d'un prélèvement effectué sur du citrate. Ce dernier étant un anticoagulant liquide, le résultat donné par l'automate donne lui-même un résultat erroné lié à la dilution induite par l'anticoagulant. Le degré de dilution dépend directement de la qualité de l'acte prélèvement, même si l'utilisation d'un dispositif sous vide minimise le risque de variabilité du volume de sang prélevé. 2- Mode opératoire Ce mode opératoire n'est valable que si l'on a la certitude que l'état hématologique du patient n'a pas été modifié entre les prélèvements sur EDTA (celui de la découverte des amas plaquettaires) et sur CITRATE (celui servant à effectuer le contrôle de numération plaquettaire). Cela ne pose pas de problème, a priori, lorsque le second prélèvement est effectué dans la foulée ou si l'on dispose de prélèvements sur citrate pour bilan d'hémostase, avant leur centrifugation (ce qui est exceptionnel !) En dehors de ces cas, un délai long étant observé, il est justifié de demander que soient obtenus, pour le contrôle, non seulement un tube CITRATE mais aussi un tube EDTA. Il suffit dès lors d'effectuer la numération sur les deux tubes et de réaliser un calcul de type "règle de trois" en utilisant la valeur de l'hémoglobine (Hb) obtenue sur chacun des deux tubes: Plaquettes (exact) = plaquettes (citrate) x Hb (EDTA) / Hb (citrate) 3- Exemple Hb (EDTA) : 150 g/l Hb (citrate) : 136 g/l Pq (citrate) : 142 000 /μl Pq (exact) = 142 000 x 150 / 136 soit 156 600 /μl 4- Commentaire On remarquera que le facteur de dilution est bien de l'ordre de 10% et qu'on peut recourir à ce mode de correction lorsque la situation ne permet pas de disposer d'une valeur fiable du taux d'Hb EDTA pour effectuer la "règle de trois".

Lettre n°46 Septembre 2012 e-MEDICINimage€¦ · "thallique solitaire" (comme chez les dermatophytes). -!le mode blastique où la spore est formée par bourgeonnement. Il y en a

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Les derniers dossierse-HEMATimage : e-H 12.07 : Homme de 59 ans avec pancytopénie et douleur vertébrale

e-PARASITimage : e-P 12.04 : Ingénieur polonais avec lésions cutanées après un voyage au Turkménistane-MYCOimage : e-M 12.03 : Lésions cutanées de la jambeCYTim@ge : DC1203 : Cystite chez un garçon de 5 ans en bon état général.

Lettre n°46 Septembre 2012

LʼéditoSérendipité

tu nous veux du bien !"Sérendipité". Voilà un terme qui,

comme "procrastination"*, est encore enveloppé d'un voile de mystère. Les quelques lignes qui suivent visent à lever ce voile et à justifier notre intérêt à son égard.

D'abord, que signifie-t-il ? Dans le domaine biomédical, notre domaine, c'est l'aptitude à saisir un fait inattendu pour en faire la base d'une innovation. Le champion historique en ce domaine reste Sir Alexander Fleming, Prix Nobel, qui à partir d'une "goutte au bout du nez" a découvert la pénicilline qui…

Ensuite, d'où vient ce terme ? D'un écrivain britannique du XVIIIème siècle, Horace WALPOLE, qui créa ce mot dans sa correspondance avec un ami, pour relater un conte ("Les trois princes de Sérendip"**), histoire de voyageurs qui découvrent de façon inattendue des choses qu'ils ne cherchaient pas.

Enfin, pourquoi en parler ici ? Evidemment, pour en revenir à cette idée qu'un programme de formation continue ne doit pas se contenter de ressasser ce qui est connu, même si c'est pour rappeler des choses rares. Il doit permettre à ses uti l isateurs de découvrir l ' inattendu, nouvelles connaissances permettant de proposer de nouve l les hypothèses (hypothèses de diagnostic, dans l'exercice de la biologie médicale). On est bien dans le domaine de l'innovation et, dans le cadre de "e-MEDICINimage", on est bien dans une situation de découvertes inattendues. On n'est finalement pas loin de la sérendipité, même si ça ne conduit pas au Prix Nobel !

Cette not ion just ifie de ne pas "procrastiner" avec la formation, ce qui ferait courir le risque de ne pas connaître quelque chose susceptible d'être utile au prochain patient.

Pr Joël X. CORBERANDPrésident Association FCBM

* C'est l'art de remettre au lendemain ce qu'on peut faire le jour même.** En Perse ancien, désignait l'île de Ceylan, appelée aujourd'hui Sri Lanka.

Lettre éditée par l’Association FCBM - Tél : 05 62 17 39 25 - Email : [email protected]

www.medicinimage.com www.e-medicinimage.eu

e-MEDICINimageLa Lettre du Mois

Note technique : HématologieVoici la réponse qui a été donnée à Mme Géraldine COUVRY de PARIS concernant une question récurrente sur la numération plaquettaire.

Résultat du nombre de plaquettesaprès comptage sur tube citraté.

1- Position du problèmeUn prélèvement préalable, sur EDTA, a permis d'authentifier la présence d'amas plaquettaires conduisant à un résultat de numération erroné. Il est décidé d'effectuer un contrôle pour disposer d'un nombre exact, à partir d'un prélèvement effectué sur du citrate. Ce dernier étant un anticoagulant liquide, le résultat donné par l'automate donne lui-même un résultat erroné lié à la dilution induite par l'anticoagulant. Le degré de dilution dépend directement de la qualité de l'acte prélèvement, même si l'utilisation d'un dispositif sous vide minimise le risque de variabilité du volume de sang prélevé.2- Mode opératoireCe mode opératoire n'est valable que si l'on a la certitude que l'état hématologique du patient n'a pas été modifié entre les prélèvements sur EDTA (celui de la découverte des amas plaquettaires) et sur CITRATE (celui servant à effectuer le contrôle de numération plaquettaire). Cela ne pose pas de problème, a priori, lorsque le second prélèvement est effectué dans la foulée ou si l'on dispose de prélèvements sur citrate pour bilan d'hémostase, avant leur centrifugation (ce qui est exceptionnel !) En dehors de ces cas, un délai long étant observé, il est justifié de demander que soient obtenus, pour le contrôle, non seulement un tube CITRATE mais aussi un tube EDTA.Il suffit dès lors d'effectuer la numération sur les deux tubes et de réaliser un calcul de type "règle de trois" en utilisant la valeur de l'hémoglobine (Hb) obtenue sur chacun des deux tubes:Plaquettes (exact) = plaquettes (citrate) x Hb (EDTA) / Hb (citrate)3- ExempleHb (EDTA) : 150 g/lHb (citrate) : 136 g/lPq (citrate) : 142 000 /µlPq (exact) = 142 000 x 150 / 136 soit 156 600 /µl4- CommentaireOn remarquera que le facteur de dilution est bien de l'ordre de 10% et qu'on peut recourir à ce mode de correction lorsque la situation ne permet pas de disposer d'une valeur fiable du taux d'Hb EDTA pour effectuer la "règle de trois".

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Note technique : Mycologie médicaleLA CONIDIOGENESE

Une base essentielle pour la reconnaissance des champignons d'intérêt médicalLa classification habituelle des champignons (Ascomycètes, Basidiomycètes, Zygomycètes) repose sur leur mode de reproduction sexuée. Toutefois un grand nombre de champignons ne sont pas identifiés par leur reproduction sexuée. En mycologie médicale, il est rare d'obtenir le stade sexué à partir des milieux de cultures usités pour le diagnostic. Ces champignons sont alors regroupés dans le groupe des deutéromycètes (du grec "deuteros" qui signifie "secondaire") ou champignons imparfaits. Leur reconnaissance et la diagnose (détermination des caractéristiques d'une espèce végétale ou animale) reposent alors sur la seule reproduction asexuée. Les spores produites sont alors de 2 sortes :-!d'une part les endospores (issues de sacs ou sporocystes) caractéristiques des mucorales, les filaments porteurs sont

appelés siphomycètes, car le thalle a un diamètre irrégulier et non cloisonné, -!d'autre part les conidies où les spores sont produites directement du thalle (ou mycélium). Dans ce cas le mycélium est

fin, cloisonné et régulièrement septé ou cloisonné.Il existe chez les conidies 2 modalités de formation :-! le mode thallique où les spores sont formées directement à partir du thalle ou filament; ces spores sont soit issues de

la désarticulation du thalle "thallique arthrique", soit formées isolément des parties terminales ou latérales du thalle "thallique solitaire" (comme chez les dermatophytes).

-! le mode blastique où la spore est formée par bourgeonnement. Il y en a plusieurs type (blastique solitaire, le mode le plus simple, ou aboutissant à une chaîne de spores (acropète, basipète) ou bien a partir d'une cellule spécialisée: blastique synchrone, blastique phialidique, blastique annellidique, etc.).

Concernant les spores formées, on tiendra compte aussi de leur caractère uni- ou pluricellulaires, de leur taille, de leur forme et de leur pigmentation.La connaissance des modes de conidiogénèse est donc essentielle pour avancer dans l'identification et la classification d'un champignon que l'on connaît mal ou même pas du tout !Pour vous y retrouver dans la classification, vous pouvez recourir aux deux ouvrages suivants :

•! "Moisissures, Dermatophytes, Levures : du prélèvement au diagnostic". Bio Mérieux éducations. (www.biomerieux.com/editions)

•! Le fascicule 25 des cahiers de formation Biologie médicale (2002) "Les Moisissures d'intérêt médical" (Bioforma).

Pr Dominique CHABASSE

ABONNEMENTS 2013La mise en place de l'OGDPC nous a conduits à modifier le calendrier traditionnel de nos programmes. Tout doit être terminé à la fin de l'année civile et tout doit commencer dès le début de l'année suivante. Nous vous engageons à vous préoccuper dès maintenant de vos plans "formation" que ce soit pour vous individuellement ou pour le laboratoire dont vous avez la responsabilité (quels programmes ? quels financement ?).Attendez-vous donc à recevoir courant Novembre / Décembre les documents pour la session 2013.

ATTESTATION DE FORMATIONPourquoi c'est si important !

FCBM ne délivre d'attestation de formation que si l'utilisateur a accompli le travail de la totalité de la session annuelle. Avec la nouvelle organisation de la formation continue (DPC : Développement Professionnel Continu), ces attestations devront être communiquées aux Ordres Professionnels, ce qui vous permettra de disposer des crédits indispensables à la poursuite de votre activité professionnelle.L'attestation présente un double intérêt :- individuel, toujours utile dans un CV (penser à l'avenir)- institutionnel, élément de preuve de la qualité de ceux qui travaillent dans les laboratoires (accréditation).Vous avez tout intérêt à faire tous les dossiers auxquels vous avez accès. N'attendez pas à demain, mettez vous y dès aujourd'hui.

ATTENTIONContrairement à ce qui avait été annoncé,

tous les programmes e-MEDICINimageseront inéluctablement arrêtés

le 31 DECEMBRE 2012.

Vous avez un problème informatique ? (dossier non chargé, connexion au serveur, identifiants non fonctionnels, etc.)

Contactez l'assistance technique (Bertrand VERDIER)- soit par téléphone : 05 62 17 39 25- soit par e-mail : [email protected]

Vous avez un problème administratif ? (inscription, facture, attestation de formation, changement d'adresse, etc.)

Contactez le secrétariat (Séverine VERDEIL) - soit par téléphone : 05 62 17 39 35- soit par e-mail : [email protected]

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Note technique : Utilisation du logiciel

Changement de PC – Récupération des donnéesEn prévision des cadeaux que vous recevrez à Noël et du magnifique PC qui sera dans vos souliers, voici en quelques lignes la façon dont vous pouvez procéder pour changer de PC sans perdre les données qui figuraient sur le précédent, en particulier le travail que vous avez déjà réalisé.

Abréviations : Windows 7 ou Seven = W7 / Program Files = PF

Sauvegarde du dossier : 1. Pour les utilisateurs de XP : le dossier e-medicinimage 2.0 se trouve dans C:\Program Files\e-medicinimage 2.02. Pour les utilisateurs de W7 : le dossier e-medicinimage se trouve dans C:\Program Files (x86)\e-MEDICINimage

2.0

Aller sur le Disque C : 1. Si l'icône "Poste de travail" (XP) ou "Ordinateur" (W7) est présent sur le bureau de l'ordinateur, faire un double

clic dessus double clic sur l'icône du disque avec (C:) double clic sur le dossier jaune "Program Files" (PF (x86) pour W7) - (Si pas d'icône "Poste de travail" (XP) ou "Ordinateur" (W7) Démarrer – Programmes (XP) ou Tous les programmes (W7) – Accessoires – Explorateur Windows Clic)

2. Faire un clic droit sur le dossier jaune "e-medicinimage 2.0" puis choisir "Copier" dans la liste.

Transférer le dossier sur Clef USB :1. De la même manière que pour le § précédent, aller faire un double clic sur le disque correspondant à votre clef

USB (ou tout autre support pour sauvegarder les données)2. Dans la partie droite de la fenêtre, faire un clic droit et choisir l'option "Coller". Le transfert s'effectue.3. Retirer la Clef USB en respectant le protocole habituel de retrait des périphériques USB.

Installation propre du programme :1. Se rendre sur le site http://www.e-medicinimage.eu puis aller cliquer sur "Téléchargements" dans la colonne de

gauche.2. Cliquer sur "Programme d'installation" dans la partie droite de la fenêtre.3. Choisir l'option "Exécuter" – laisser le programme se télécharger et effectuer l'installation en suivant les étapes

affichées. Une fois l'installation terminée - fermer toutes les fenêtres

Récupération des données :1. Brancher la Clef USB (ou autre support sur lequel se trouve la sauvegarde)2. Si l'icône "Poste de travail" (XP) ou "Ordinateur" (W7) est présent sur le bureau de l'ordinateur, faire un double

clic dessus double clic sur l'icône du disque correspondant à votre Clef USB Faire un clic droit sur le dossier jaune "e-medicinimage 2.0" puis choisir "Copier" dans la liste (Si pas d'icône "Poste de travail" (XP) ou Ordinateur (W7) Démarrer – Programmes (XP) ou Tous les programmes (W7) – Accessoires – Explorateur Windows Clic)

3. De la même manière que pour le § 1. précédent, aller faire un double clic sur le disque correspondant à (C:) double clic sur le dossier jaune "Program Files" (PF (x86) pour W7)

4. Dans la partie droite de la fenêtre, positionner votre pointeur dans une partie blanche Clic droit et choisir l'option "Coller"

5. L'ordinateur vous signale qu'un dossier portant le même nom est déjà présent et vous propose plusieurs choix Prendre l'option "Remplacer le dossier" (si ce message se répète plusieurs fois, effectuer le même choix pour tout).

6. Fermer toutes les fenêtres puis lancer le programme e-MEDICINimage Formation à l'aide de l'icône présente sur le bureau. Vous devez avoir récupéré toutes vos données.

La récupération des données des anciennes formations : HEMATim@ge, PARASITim@ge et MYCOim@ge sera abordée lors de la prochaine lettre du mois. Nous vous engageons à les conserver.

Si, malgré ces directives, vous n'y arrivez pas, appelez sans tarder l'assistance informatique au 05 62 17 39 25 si vous êtes en France, ou le 00 33 5 62 17 39 25 à partir de l'étranger.

Assistance Informatique FCBM

Vous avez un problème pédagogique ? (dans les domaines technique ou médical correspondant à tous les programmes)

Contactez directement le Rédacteur en Chef(Pr. Joël X. CORBERAND)- uniquement par e-mail :[email protected]

Enquête sur la Lettre du Mois (la LDM)

Pour ceux qui nʼont pasencore retourné lʼenquête,

nous attendons vos réponses !

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Enquête sur la Lettre du Mois (la LDM)

Voilà maintenant trois ans pleins qu'est publiée une "Lettre du Mois de e-MEDICINimage". Nous pensons que c'est un outil utile, mais nous ne sommes pas certains de faire pour le mieux. Nous vous sollicitons maintenant pour recueillir votre avis. Nous en avons besoin. Faites un effort pour nous répondre. Il nous faut des centaines de réponses, donc…. la vôtre !

1- Lisez-vous la LDM dès sa réception ? oui ! non !

2- Lisez-vous systématiquement l'Editorial ? oui ! non !

3- La lisez-vous complètement ? oui ! non !

4- Trouvez-vous la mise en page agréable ? oui ! non ! 5- Quelle en serait, selon vous, la longueur idéale ? 1 page ! 2 pages ! 3 pages ! 4 pages ! 5 pages ! 6- Quelles sont les rubriques qui vous paraissent les plus importantes ? [indiquez votre ordre de préférence, de 1 (le plus) à 6 (le moins)]

! Notes de technique

! Notes de lecture

! Rapports de congrès

! Résumés d'article scientifique

! Rappels sur l'utilisation du logiciel

! Information sur l'association FCBM

7- Souhaiteriez-vous un meilleur équilibre entre spécialités ? oui ! non ! (H, C, M et P)

8- Considérez-vous que la LDM soit un complément utile des dossiers ? oui ! non ! (permettant d'aborder des questions qui ne peuvent pas l'être avec les seuls dossiers)

9- La LDM vous a-t-elle déjà aidé à ne pas oublier les dossiers ? oui ! non !

10- Seriez-vous prêt à devenir "correspondant" de la LDM ? oui ! non ! (proposition de sujets à traiter, textes à publier sous votre nom dans l'esprit d'un Forum des utilisateurs)

11- Merci de préciser votre situation professionnelle : Biologiste ! Technicien ! Interne ! 12- Précisez votre code EMED si vous le souhaitez: EMED0 _ _ _ _ Pour nous retourner votre réponse : 1 ) Imprimez ce questionnaire 2 ) Remplissez-le 3 ) Adressez-le à FCBM : a – par fax : 05 62 17 39 01 ou 00 33 5 62 17 39 01 depuis lʼétranger b – par email après lʼavoir “scanné” : [email protected] c – par courrier postal : FCBM – 66 chemin du Vallon – 31400 TOULOUSE – France

Merci de votre aide !