10 conseils pour russir votre

projet de virtualisation de

serveurs

Ralis pour Microsoft France par

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Introduction La mise en uvre dun projet de virtualisation de serveurs prsente de nombreux avantages pour

votre organisation :

Une rduction et une meilleure exploitation des serveurs physiques.

Une rduction des cots oprationnels (matriel, nergie, espace).

Une amlioration de la disponibilit des serveurs.

Une plus grande souplesse pour grer lvolution des besoins informatiques.

Mais afin de russir votre projet de virtualisation de serveurs, il est prfrable de ne pas ngliger les

impacts techniques et organisationnels que celui-ci va introduire.

Nous vous proposons donc dans ce document dix conseils afin de vous aider dans votre rflexion, en

rappelant tout de mme que les retours sur investissement lis la virtualisation de serveurs sont

avrs, que les technologies affrentes sont maintenant prouves et que ce choix dvolution de

votre systme dinformation est stratgiquement pertinent.

Changer de paradigme : Imaginer la mutualisation

La virtualisation de serveurs va vous faire changer de paradigme, les serveurs physiques tant

remplacs par des machines virtuelles sexcutant sur une infrastructure de serveurs de virtualisation

que vous aurez mise en uvre. Votre investissement dinfrastructure est donc mutualis, et du fait

de la souplesse introduite par cette consolidation, une rflexion pralable est conseille afin

danticiper lutilisation qui en sera faite en tenant compte des besoins existants mais aussi de ceux

qui pourraient merger.

Un projet de virtualisation de serveurs pour une entreprise peut donc (avec un peu dimagination)

tre compar un projet dimplantation de transports en commun pour une agglomration :

Linvestissement dans les infrastructures est important.

Pour tre rentable, linfrastructure doit tre utilise et donc apporter un niveau de souplesse

et de services attractif pour lusager.

Il doit tre moins coteux de prendre les transports en commun que sa voiture.

Lutilisation de ces transports en commun doit permettre de raliser des conomies

globales : moins de parkings ( gains dadministration), moins dessence consomme (

consommation lectrique moindre) ou plus defficacit avec moins de temps perdu dans les

embouteillages ( meilleure disponibilit / rapidit de mise en uvre).

Arriver dterminer vos attentes actuelles et futures, ainsi que celles des consommateurs des

ressources informatiques (les utilisateurs, les directions mtier, etc.) vous permettra de mieux

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dimensionner votre infrastructure de virtualisation et donc doptimiser des investissements qui

seront de fait mutualiss.

Collecter des donnes pour vendre le projet de

virtualisation

Si un projet de virtualisation de serveurs permet de rduire les cots par une rduction du nombre

de machines physiques et donc une meilleure utilisation des matriels, une moindre consommation

lectrique, des gains de place dans les salles machines, etc., il est recommand de pouvoir prsenter

des donnes concrtes (lies votre environnement) afin de dterminer :

Quels sont les gains escompts ?

Quels sont les serveurs virtualiser en priorit (et pourquoi) ?

Sans une collecte pralable (et srieuse) dinformations sur lutilisation des ressources physiques

relles des diffrents serveurs en exploitation, il est difficile de rpondre ces deux questions, et

donc daboutir un accord pour dbloquer les fonds ncessaires au projet de la part dune direction

gnrale.

Cette collecte de donnes doit prendre en compte (au minimum) les indicateurs suivants :

Le pourcentage dutilisation de la CPU.

La quantit de mmoire vive utilise.

Le dbit dE/S pour les disques durs.

Lutilisation du rseau (en E/S).

Afin dtre exploitable, cette collecte devra tre la plus reprsentative dune utilisation normale des

serveurs, donc seffectuer pendant une priode de temps significative (suffisamment longue et si

possible lorsque lactivit de lentreprise est normale ).

Et sil est important de pouvoir dterminer des moyennes pour ces diffrents indicateurs, lanalyse

des valeurs maximales (et ventuellement leur rpartition dans le temps) est aussi un lment

critique pour dterminer la pertinence dune virtualisation dun serveur physique : un serveur qui est

24h sur 24h un taux moyen dutilisation de la CPU de 5 % parait tre un bon candidat, mais sil est

pendant quelques heures de la journe un taux de 90%, la question peut se poser.

Au-del de ces indicateurs bruts, il est important davoir des informations sur les serveurs eux-

mmes :

Quel est le modle du serveur analys ?

Combien a-t-il de processeurs, et de quel type (combien de curs, quelle frquence)?

Quand a-t-il t achet ? Est-il amorti ?

Quel est le systme dexploitation utilis ?

Celui-ci est-il encore support ?

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Si le systme dexploitation et/ou les applications ne sont plus supports, avec quels serveurs

ou poste de travail doit-il communiquer ?

Quel est le taux de disponibilit du serveur ?

Quelle est la criticit des applications sexcutant sur ce serveur ?

Ces lments complmentaires peuvent amener prendre des dcisions qui ne se basent pas sur les

donnes collectes (isoler un serveur Windows NT 4.0 qui reprsente un risque de scurit en jouant

sur la virtualisation des communications rseau par exemple), ou qui permettent de les replacer dans

un contexte changeant leur interprtation (90% dutilisation maximale dun processeur mono-cur

cadenc 1 GHz pourra trs facilement tre absorbe par un matriel avec une CPU quatre-curs

cadencs 2,8 GHz).

Ces donnes permettent donc de proposer une liste de serveurs physiques quil serait pertinent de

transformer en machines virtuelles.

Il faut ensuite dterminer le cot de ces machines physiques, en utilisant un des modles en cours

dans lentreprise (sil y en a) tels que la refacturation, lamortissement, le cot dachat ou des

approches moins simplistes intgrant les aspects humains, lexploitation, la gestion de

lobsolescence, etc. De toute vidence, ce nest pas la partie la plus simple, mais elle porte au moins

sur une liste de serveurs dfinie.

La prochaine tape consiste valuer le cot de linfrastructure ncessaire en fonction du nombre

de serveurs virtualiser (et du nombre de machines virtuelles par serveur). Cette nouvelle

infrastructure inclura au minimum de nouveaux serveurs, trs probablement une architecture de

stockage de type SAN (mme dentre de gamme) indispensable pour bnficier des aspects de

haute disponibilit ou de mise en uvre de PRA (Plan de Reprise dActivit), voire quelques

investissements au niveau du rseau.

Si lestimation du cot des serveurs physiques virtualiser et de linfrastructure ncessaire pour

cette virtualisation est loin dtre vidente effectuer, ce sont nanmoins deux lments

indispensables afin de justifier la pertinence dun tel projet.

Collecter des donnes pour justifier les investissements

effectus

Il est recommand de se donner les moyens de prouver que votre projet de virtualisation de

serveurs, qui a engendr des investissements importants, gnre bien les rductions de cots

envisages. Cet exercice, qui est prilleux lorsquon parle dinfrastructure, peut tre facilit par la

mise en place dune collecte systmatique dinformations sur le fonctionnement des

environnements virtuels dploys.

La premire tape est de maintenir jour les informations concernant linfrastructure de

virtualisation mise en place, et lvolution de son utilisation (par rapport au primtre initial):

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Le dtail de linfrastructure de virtualisation (les serveurs physiques, les clusters, le stockage,

le rseau, etc.)

Le dtail des instances virtuelles (quelles sont les machines virtuelles, sur quels serveurs

physiques sexcutent-elles, sur quels clusters, etc.)

Ces serveurs virtuels sont-ils danciens serveurs physiques ou le fruit de nouvelles demandes

de ressources de la part des directions fonctionnelles (ce qui aurait un impact chiffrable sur

des conomies ralises en vitant lachat de nouveaux serveurs) ?

Quest-il advenu des serveurs physiques virtualiss (rutilisation, vente, don, etc.) ?

Il est ensuite intressant de rgulirement collecter les informations suivantes :

Quels sont les chiffres dutilisation de linfrastructure de stockage (qui est probablement

mutualise) et de bande passante rseau ?

Quelle est la consommation lectrique (alimentation, refroidissement) de lensemble des

machines physiques hbergeant des serveurs virtualiss (les constructeurs fournissent des

informations de consommation en Watt) ? Un calcul de lconomie rgulirement effectue

par rapport la consommation de serveurs (anciens et nouveaux) non virtualiss, sil ne

compensera pas linvestissement initial pourra tre bien peru, tant dun point de vue

financier quenvironnemental.

Quel est le taux de disponibilit des serveurs virtualiss (ce point peut tre mis en regard

avec la criticit des applications sexcutant sur ces serveurs) ?

Si un modle de refacturation est en place dans votre organisation, quel est le cot (calcul

sur lutilisation des ressources physiques utilises) pour les diffrents dpartements ?

La mutualisation des investissements (et donc leur meilleure utilisation) permise par la virtualisation

doit pouvoir permettre de justifier la pertinence de ce type de projet. Mais encore faut-il pouvoir le

dmontrer et donc collecter (et analyser) rgulirement les informations ci-dessus.

Tenir compte des impacts culturels dun projet de virtualisation

Lintroduction dune nouvelle technologie pose toujours un problme dadaptation et doit donc tre

soigneusement prpare afin de garantir sa pleine et entire acceptation par les utilisateurs et

informaticiens.

Non seulement la virtualisation de serveurs nchappe pas cette rgle, mais dans la mesure o elle

va ncessiter des adaptations profondes dans des domaines aussi varis que le stockage, le rseau,

ladministration, on peut considrer que la russite dun projet va dpendre en grande partie dun

effort conjoint de diffrentes personnes en charge de linformatique de votre organisation et qui

nont pas ncessairement lhabitude de travailler ensemble.

Prenons deux exemples pour illustrer ce point :

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Si pour un cluster de deux serveurs hbergeant vos machines virtuelles vous demandez la

personne en charge du rseau deux connexions physiques, il ny aura pas de problmes. Mais

lorsque vous lui demanderez de configurer plusieurs dizaines dadresses TCP/IP (au moins

une par machine virtuelle), un petit travail dexplication sera ncessaire.

De mme la personne en charge du stockage et des sauvegardes devra tre informe de

lapparition dune baie SAN de bonne capacit accessible simultanment par vos serveurs de

virtualisation.

Afin donc dassurer la bonne mise en uvre de votre projet de virtualisation, il est fondamental de :

Communiquer auprs des diffrentes quipes techniques afin dexpliquer le projet et les

volutions techniques quil implique.

Prendre la mesure des rsistances prvisibles en adoptant une dmarche qui sappuie tant

que faire se peut sur les procdures et outils existants afin que les changements ncessaires

ne soient pas trop brutaux.

Ou pour formuler les choses diffremment, leffort consacrer pour faire accepter par les quipes

techniques les changements introduits par un projet de virtualisation est certainement aussi

important que celui quil aura fallu produire pour convaincre la direction de la pertinence

conomique du projet.

Etre prt pour la gestion oprationnelle dun

environnement virtualis

Les procdures en place dans lentreprise pour lexploitation des serveurs physiques vont devoir tre

adaptes (voire repenses) par lintroduction de la virtualisation.

En effet, dans la plupart des entreprises, cohabitent des environnements serveurs sous Unix / Linux

et Windows qui sont administrs par des quipes diffrentes, ayant de bonnes connaissances des

systmes dexploitation en question (fonctionnement, support, communication, scurit, etc.) et se

rpartissant les responsabilits dexploitation des serveurs physiques.

Lintroduction de la virtualisation a lgrement tendance brouiller cette belle rpartition, puisque

quil faut administrer un serveur physique, avec un hyperviseur qui peut ncessiter des comptences

Linux (KVM, Xen), VMware, ou Windows (Hyper-V) mais aussi des machines virtuelles dans lesquelles

peuvent sexcuter des systmes dexploitation totalement diffrents.

Quelle quipe va donc tre responsable de ladministration dun serveur physique hbergeant des

machines virtuelles ? Et comment arriver tirer pleinement parti des comptences internes afin

dassurer une gestion optimale et cohrente (optimise et scurise) dun serveur de virtualisation

sur lequel cohabitent diffrents environnements systmes ?

Idalement, la solution serait de rorganiser les quipes dadministration afin que les personnes en

charge de lexploitation des serveurs de virtualisation possdent lensemble des comptences

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ncessaires ladministration de lhyperviseur et des machines virtuelles. Ceci est rarement

envisageable, sauf dans le cas dorganisations de tailles moyennes avec un environnement

informatique homogne (cf. conseil n8).

Il est donc recommand de formaliser de faon trs prcise les diffrentes procdures et

informations techniques, et de communiquer ces lments afin que les diffrentes quipes en

charge de ladministration des environnements physiques et virtuels puissent travailler de faon

cohrente.

Implications sur le datacenter (la salle machine)

Cette communication entre quipes techniques sur les impacts dun projet de virtualisation concerne

aussi les personnes en charge de lexploitation de la salle machines (le datacenter ), puisque

diffrents aspects de dimensionnement tels que la place au sol, la consommation lectrique (et donc

la climatisation) vont tre diffrents par rapport lhbergement de serveurs physiques ddis.

On peut ajouter que des demandes spcifiques peuvent accompagner la mise en uvre de serveurs

de virtualisation, notamment en ce qui concerne larchitecture rseau (avec des rseaux ddis pour

les clusters ou les communications avec les SAN / NAS) ou le positionnement dans la salle machines

des serveurs et baies de stockage.

Enfin il ne faut pas ngliger le fait que la disponibilit des serveurs de virtualisation sera un lment

critique, compte tenu de limpact important dune panne matrielle ou logicielle sur le

fonctionnement des nombreux serveurs virtualiss. Au-del de la mise en uvre de cluster de

serveurs de virtualisation, il est donc recommand dapporter un soin particulier :

Au choix des matriels (serveurs, stockage, rseau) en optant pour des solutions apportant

une redondance des composants.

A lenvironnement de la salle machine, en prvoyant par exemple un systme

dalimentation lectrique de secours, une bonne climatisation, des accs scuriss, etc.

A linfrastructure de sauvegarde et restauration, avec le cas chant une rflexion sur la

mise en uvre dun plan de reprise dactivit (PRA).

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Apporter un soin particulier lenvironnement

dadministration

A mesure que les ressources informatiques deviennent virtuelles et abstraites, linfrastructure

informatique devient plus complexe administrer et les conomies permises par la virtualisation

peuvent tre contrebalances par une augmentation des cots de maintenance (selon le Gartner

Group, une infrastructure virtualise mal gre est plus coteuse quune infrastructure non

virtualise).

Il est donc important de prendre en compte dans votre choix de technologie de virtualisation de

serveurs les offres disponibles concernant lenvironnement dadministration.

Les questions quil est recommand de se poser sont les suivantes :

Est-il possible dutiliser les mmes outils dadministration pour grer les serveurs physiques

de virtualisation et les serveurs virtualiss (excuts dans des machines virtuelles) ?

Les outils dadministration disponibles couvrent-ils lensemble des besoins

classiques (gestion du changement, gestion des configurations, supervision, sauvegarde,

etc.) ?

Lenvironnement dadministration choisi est-il dj familier aux personnes qui sont en charge

de ladministration des serveurs ?

Concernant ce point, Microsoft propose une solution dadministration la fois simple et complte

pour permettre de grer la fois les environnements virtuels et physiques, les systmes

dexploitation et les applications.

Avec Microsoft System Center, ensemble complet doutils dadministration, lexploitation des

systmes se rationalise et la complexit se rduit au minimum. Les outils tant communs aux

systmes physiques et virtuels, aucune formation supplmentaire nest ncessaire, la maintenance

se simplifie et vous pouvez appliquer de faon uniforme vos stratgies dans toute lentreprise. De

plus, vous continuez dutiliser vos logiciels, votre personnel et vos processus existants.

Microsoft System Center propose des solutions efficaces pour la gestion des configurations, de la

conformit, des incidents et des changements, la supervision de bout en bout, la protection et la

restauration des donnes et lautomatisation des processus IT.

Et pour les PME/PMI, il est de plus possible dopter pour System Center Essentials Plus 2010,

solution de management intgre pour les organisations ayant jusqu 50 serveurs et 500 clients, qui

permet de raliser simplement et efficacement les tches de gestion complexes des serveurs virtuels

et physiques, mais aussi des postes de travail partir d'une seule et unique console.

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Opter pour une solution technique maitrise

La virtualisation de serveurs introduit un nouveau composant

technique, lhyperviseur, qui pour des raisons pratiques (tches

dadministration simples, configuration, etc.), est associ un

systme dexploitation. Si celui-ci nest pas matris par les

personnes en charge au sein de votre organisation de la gestion

des serveurs, il faudra probablement prvoir des formations ou

le recrutement de personnes qualifies afin de vous assurer du

bon fonctionnement de linfrastructure de virtualisation.

Les trois offres principales du march, sont celles de VMware,

Microsoft et Citrix (Gartner - Magic Quadrant for x86 Server

Virtualization Infrastructure - 30 Juin 2011).

Le choix dune de ces technologies implique dans leurs dernires

versions de correctement maitriser les systmes dexploitation suivants :

Fournisseur Hyperviseur Systme dexploitation utilis Mode de mise disposition

VMWare ESX 5.0 Linux Red Hat 5 Intgr dans vSphere 5

Microsoft Hyper-V 2.0 Windows Server 2008 R2 Intgr dans Windows Server

Citrix Xen (projet Open Source)

CentOS 5.5 Via XenServer 6

Notre recommandation est de ne pas multiplier les environnements systme dans votre

organisation : si le systme dexploitation de vos serveurs est majoritairement Windows Server et /

ou si vous ne disposez pas dans vos quipes de personnes matrisant Linux, le choix de lhyperviseur

Hyper-V semble judicieux.

Trouver les bons partenaires

Un projet de virtualisation de serveurs est structurant et ncessite des comptences particulires

dont vous ne disposez peut-tre pas au sein de votre organisation. Compte tenu des enjeux (et des

bnfices associs) il est donc recommand de prvoir une prestation de service qui couvrira,

suivant la complexit de votre projet :

La phase de planification initiale.

La mise en uvre de la solution choisie.

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Un transfert de comptences vers vos quipes internes.

Que ces prestations soient assures par des entreprises comptentes est bien entendu vivement

recommand. Or, les trois principaux fournisseurs de technologies de virtualisation (VMware,

Microsoft et Citrix) proposent sur leurs sites Web des listes de partenaires ayant obtenu un niveau de

qualification adquat pour vous accompagner efficacement.

Opter pour une solution intgre

Conscients que, pour des entreprises de taille moyenne notamment, la mise en uvre dune

infrastructure de virtualisation de serveurs puisse prsenter certaines difficults malgr les solutions

techniques et daccompagnement disponibles, plusieurs constructeurs proposent sous forme de

rack des configurations prtes lemploi pour hberger et administrer un nombre illimit1 de

machines virtuelles sur une architecture redondante qui inclue gnralement :

Deux serveurs.

Une baie de stockage iSCSI SAN (Storage Area Network).

Deux commutateurs Ethernet 10 gigabits pour la communication avec la baie SAN.

Deux licences Windows Server 2008 R2 Datacenter.

System Center Essentials Plus 2010 (intgrant les fonctions de sauvegarde et restauration de System Center Data Protection Manager 2010).

Ces architectures matrielles compltement redondantes sont donc fournies avec une pr-

installation de ldition Datacenter de Windows Server 2008 R2 (incluant Hyper-V) mais aussi avec

loffre dadministration System Center Essentials Plus 2010.

Ces offres apportent une solution cl en main pour les entreprises, tout en permettant des

volutions, tant par lajout de nouveaux serveurs (14 de plus) sur le rack initial que par la mise en

uvre dun deuxime rack sur un site distant pour garantir une complte disponibilit de vos

services applicatifs et de vos donnes.

Elles sont aussi gnralement accompagnes de prestations de services, et peuvent donc tre une

faon scurisante denvisager un projet de virtualisation de serveurs.

1 Ldition Datacenter de Windows Server inclut un nombre illimit de licences Windows Server sexcutant

dans des machines virtuelles.