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Dossierdu mois

n°10 • Décembre 2012

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SociétéFête des lumières : la Confluence remplace la Tête d’or 4

JuSticeGrand stade : “Il y aura du grabuge !” 6 Huit ans de prison pour l’entraîneur violeur 8

Politique103 jeunes Prodij soutenus par la Ville de Lyon 10Dispositif hivernal d’urgence : 150 places de plus 11

économieUne Bourse régionale à Lyon en 2013 121,4 milliard d’euros pour l’enseignement en Rhône-Alpes 14

mondeDes Kurdes en grève de la faim pour soutenir leurs prisonniers 16Palestine : un peuple meurtri frappe à la porte de l’ONU 17

urbaniSmePas de record, mais du monde à la halle Stéphane Diagana 18Charbonnières : ancien hôtel de région cherche acheteur 20

aSSuranceS Cabinet Baud & Associé : L’assurance de prêt 22

SPortLe Lou face au doute 24Faut-il croire au retour de Gourcuff ? 25

doSSier du moiSLyon News vous offre pour Noël le meilleur des rendez-vous de starspar Laurent Argelier 26

cultureExpo, concerts et spectacles, théâtre, livres, cinéma et DVD 36/44

loiSirSSélections bars & restos 46/48Un repas de Noël autour du monde 50Ouvertures... 52Mondial Auto Paris 2012 : Aston Martin Vanquish 54Nouveautés 2013 : Triumph Daytona 675 55 Mode shopping : Smart homme, Serge Blanco 58/60Beauté : 3 étapes pour un rasage impeccable ! 62Remise en forme : Se mettre au sport avant les fêtes, pourquoi ? 64Horoscope 66

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C’est “la grande novation”, annoncée par Gérard Collomb. “La ville s’agran-dit”, explique le maire de Lyon, et la Fête des lumières avec. Après une participation timide en 2009 (un bon-homme lumineux accroché à l’une des grues de chantier et 2010 illumina-tion du bâtiment des Douanes), c’est cette fois-ci l’Hôtel de région qui sera mis en lumière.

L’installation est l’œuvre de Philippe Cotten, alias CozTen. L’artiste toulou-sain avait déjà signé il y a deux ans l’animation “Le soleil a rendez-vous avec la lune” installant une lune

mobile sur le parvis de la cathédrale Saint-Jean. A la Confluence, ce sont des fleurs géantes qui vont envahir le bâtiment construit par Christian de Portzamparc. Les visiteurs pourront observer le spectacle de l’extérieur, ou s’immerger dans l’univers floral en déambulant dans l’atrium au son des chants polyphoniques de l’Orchestre de l’Hostel-Dieu.

La darse devrait, elle aussi, être illumi-née, a annoncé Gérard Collomb, sans donner plus de détails. Par ailleurs, un chemin lumineux sera balisé de Belle-cour jusqu’au voûtes de Perrache.

Fête des lumières : la Confluence remplace la Tête d’or

Une centaine d’animations investiront quelque 70 sites lyonnais entre le 6 et 9 décembre pour la 14ème édition de la Fête des lumières des temps modernes. La Confluence fait pour la première fois partie du parcours, mais pas le parc de la Tête d’or, faute de sous.

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“Une chose qu’on ne doit pas louper, c’est la place des terreaux”, a insisté le maire de Lyon. “C’est cette place que les Lyonnais viennent voir en pre-mier”. L’installation a été confiée cette année à Hélène Richard et Jean-Michel Quesne de Skertzo. Les deux artistes signent leur retour à Lyon, après avoir investi le même lieu en 2002 (“Réflec-tions”) et 2003 (“Zones d’ombres”).

Leur spectacle 2012 s’intitule “high-lights” et promet une “symphonie composée autour de différentes sources de lumière”. “Pour nous, les façades ne sont pas un écran”, explique Hélène Richard. Néons, fais-ceaux de lumière et jeux de miroirs seront employés pour “transformer, redessiner et magnifier” les édifices.

Autre classique, le théâtre des céles-tins accueille cette année des “Lu-mières archipicturales”. La façade du théâtre se métamorphosera en toile sur laquelle naissent des tableaux éphémères, avant que des lilliputiens ne s’attaquent à l’édifice. L’œuvre est signée Laurent Langlois, qui connait bien le site pour avoir obtenu le grand prix de la Fête des lumières en 2001 au même endroit avec “Peinture lu-mière”. La place voisine des Jacobins reste en revanche cette année dans le noir, les travaux de réfection n’y étant pas encore tout à fait terminés.

Dernière création monumentale, la cathédrale Saint-Jean sera secouée d’étranges convulsions. Les statues et gargouilles prendront vie et des gra-vures moyenâgeuses viendront redes-siner la façade.

La colline de Fourvière sera, elle, cette année le théâtre d’une œuvre triangulaire, formée entre la basilique, le palais de justice qui profitera d’une mise en lumière pérenne, et le chevet de la cathédrale. D’immenses dessins colorés, inspirés de Miro, Picasso et Mondrian illumineront ainsi les quais de Saône.

Marie-Jeanne Gauthé, qui alterne d’une année à l’autre le monumental aux Terreaux avec des œuvres plus intimistes, s’empare cette année de la fontaine de la place du maréchal lyautey. La statue, qui représente la ville de Lyon, sera enserrée de fils laser, se dévoilant au cœur d’un écrin lumi-neux. Une installation qui rappelle la splendide œuvre “Un air du large”, avec laquelle l’artiste a émerveillé les Lyonnais en 2010, place de la Répu-blique.

Ailleurs on pourra admirer des pou-pées japonaises (cour de l’Hôtel de ville), un cœur en 3D (place de la bourse), des fantômes volants (ter-rasses de la Guillotière), des flamants roses suspendus (Jardin des plantes), des méduses (place Marc Aron, Lyon 3ème), des girafes et autres bestioles dans les ascenseurs du métro (Am-père, Jean-Macé, Cordeliers, Croix-Rousse et Valmy) ou encore des esqui-maux (façade de la gare Saint-Paul).

La place bellecour reste, elle, décidé-ment un terrain d’expérimentations. Cette année, il faudra pédaler pour éclairer la statue équestre. L’installa-tion s’appelle “Magic cube” et est l’œuvre de Gilbert Monty qui signe ici sa première création monumentale à

Lyon, après deux participations plus intimistes en 2007 (“Free pulsion”, quai de Saône) et 2009 (“Jardin de fleurs lumineuses”, montée de la Grande côte). Trente vélos seront installés au pied de la statue invitant petits et grands à pédaler le plus vite possible pour faire naître une succes-sion d’images abstraites et colorées.

Les traditionnels lumignons du cœur investiront cette année la cour du Palais Saint-Jean. Le bénéfice de l’opé-ration sera reversé à Handicap inter-national.

Après le succès des chars japonais, faits de papier et bambou, dont la pro-cession dans la ville a émerveillé les Lyonnais en 2011, un nouveau défilé est prévu cette année. Il puise ses ori-gines dans la mythologie indienne et raconte les aventures des six messa-gers de la prêtresse Furgia : un tigre, une vache, un singe, un éléphant, un paon et un cobra, envoyés aux confins des lointaines terres du couchant. Cette “Sarabande des animaux ma-gnifiques” est l’œuvre de la compa-gnie l’Atelier de l’évènement.

Enfin, le crayon perd son 8 au profit d’une mise en lumière pérenne de sa pointe. En revanche, le parc de la Tête d’or, dont l’obscurité était souvent le théâtre de créations fabuleuses, res-tera cette année plongée dans le noir. Le budget de la fête, 2 millions d’euros comme l’année dernière, financé pour moitié par des partenaires privés, était déjà consommé. =M.A.

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“S’ils veulent rentrer chez moi, il faut qu’ils me passent sur le corps”, tempête Philippe Layat en audience. La route que le Grand Lyon compte construire, couperait en deux les terres de cet éleveur de moutons.“C’est un endroit bucolique, qui fait partie du V-vert (le poumon vert de l’est lyonnais, ndlr)”, fulmine l’agriculteur. “Il n’y a pas de pollution, que des moutons qui paissent.”

De ses 24 hectares, il ne lui en resterait alors plus que 18, en deux morceaux. Pour quel préjudice ? Voilà l’objet d’une bataille de chiffres entre Étienne Tête, élu écologiste et avo-cat de l’agriculteur, et le Grand Lyon.

Et l’homme de loi a levé un lièvre : une facture de 900 000 euros payée par le Grand Lyon à la Chambre de l’agricul-ture. Un “protocole secret”, selon les termes d’Etienne Tête, qui engage la chambre consulaire à tenter de trouver des accords amiables avec les agriculteurs concernés par les expropriations. “C’est proprement scandaleux !”, s’étrangle l’écologiste. “On ne peut pas servir deux maîtres à la fois. Défendre les agriculteurs et vendre des prestations au Grand Lyon.”

Un euro le mètre carréLa collectivité urbaine propose de racheter les terres de Philippe Layat au prix d’un euro le mètre carré, plus une indemnité d’éviction. Non loin de là, aux Panettes, un terrain qui doit accueillir l’un des parkings du stade, les prix sont sans commune mesure : 42 euros. Une question de classi-fication. Si les terrains de l’agriculteur sont fléchés N pour naturels, ceux du futur parking sont catalogués AU (à urba-niser) et donc maintes fois plus chers.

Mais Philippe Layat ne veut de toute façon pas vendre. “Même à 350 euros. Je ne suis pas une prostituée”, s’écrie l’éleveur. “Ça fait 400 ans que ma famille est installée ici. Si vous prenez ma terre, c’est comme si vous m’arrachiez le cœur.” Et de menacer : “Je vais défendre les terres de mes ancêtres, qui ont trimé pour les cultiver.” Sans trop se faire d’illusions. “Ils vont m’envoyer les CRS et les bulldo-zers. Mais il y aura du grabuge ! Je suis prêt à mourir en martyr.”=M.A.

Grand stade : “Il y aura du grabuge !”

Après-midi houleuse chez le juge de l’expropriation, ce mercredi 7 novembre. Philippe Layat, qui possède 22 hectares de terrain à Décines et Chassieu, était convoqué pour une audience assez technique, destinée à définir la valeur

de ses terres. Car l’agriculteur doit être exproprié pour permettre la construction d’une voie d’accès au futur Grand stade.

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“Que de souffrance ! Que d’en-fances et d’adolescences brisées ! Que de blessures qui ne se refer-meront jamais !”, s’était exclamée l’avocate générale, Jacqueline Dufour-net au terme d’un procès fleuve s’éta-lant sur sept jours d’audience.

26 femmes étaient venues raconter comment elles ont été violées par Régis de Camaret au tennis-club des Marres à Saint-Tropez. Un chiffre sous-évalué selon les avocats des parties civiles qui pensent que d’autres “vic-times anonymes”, auraient préféré enfouir ces souvenirs douloureux. Les témoins racontaient en détail com-ment Régis de Camaret les surprenait à la sortie de la douche, se glissait dans leur chambre dont il leur interdisait de fermer la porte à clé.

Si les plus âgées arrivaient à le repous-ser, les plus jeunes et fragiles devaient ensuite endurer attouchements, viols et même actes de sodomie. Sans oser rien dire, de peur de déplaire à leur entraîneur, d’être renvoyées du centre et de compromettre ainsi leur carrière de tenniswoman dont elles rêvaient

tant. Toutefois, la plupart des faits étant prescrits, seuls les viols subis par Stéphanie Carrouget et Karine Pomares entre 1989 et 1990 étaient jugés à Lyon.

“Vous avez fait tant de mal à ces deux personnes et aux autres vic-times”, a lancé l’avocate générale à Régis de Camaret qui écoutait le réqui-sitoire impassible, la tête baissée. “Je souhaite que dans la solitude de sa cellule, il entend enfin la souf-france de ses victimes”, a-t-elle ajou-té, réclamant dix à douze ans de prison.

La défense plaide le bénéfice du doute“Vous n’êtes pas là pour réparer la souffrance des victimes”, a lan-cé aux jurés Me Catherine Gambette, demandant l’acquittement de son client au bénéfice du doute, pointant l’absence de preuves matérielles et quelques incohérences dans les dépo-sitions des victimes.

“Aucune agression sexuelle de-puis 1993, rien”, a ajouté Me Emma-

nuel Daoud, l’autre avocat de la dé-fense, dépeignant “un vieil homme au soir de sa vie”, qui ne serait “plus dangereux”. “Il avait per-du totalement ses repères, était dépassé par les évènements”, a estimé l’avocat.

Des arguments qui n’ont pas convain-cu les jurés qui ont condamné Régis de Camaret à huit ans de réclusion criminelle et l’interdiction définitive d’exercer le métier d’entraîneur. “C’est une bonne décision”, a jugé Me Isa-belle Colombani, l’avocate de Stépha-nie Carrouget. “Elle reconnait sa culpabilité tout en tenant compte de l’ancienneté des faits”, a-t-elle exposé, espérant “qu’il n’interjette pas appel” pour éviter aux victimes un nouveau procès éprouvant.

“La honte a changé de camp”, s’est félicitée Isabelle Demongeot, dont le livre de confidences “Service volé”, publié en 2005, a déclenché l’affaire. “Ça a été un très long combat. En-fin, ce soir, il est en prison.”

=M.A.

Huit ans de prison pour l’entraîneur violeur

De longues minutes d’embrassades ont suivi l’annonce du verdict de la cour d’assises du Rhône. Stéphanie Carrouget et Karine Pomares, les deux jeunes femmes violées alors qu’elles n’avaient que 13 et 14 ans, et l’ancienne championne de France Isabelle Demongeot, ont accueilli le jugement en larmes. Régis de Camaret, leur ancien entraîneur de tennis a été reconnu coupable de viols aggravés sur mineures par personne ayant autorité.

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103 jeunes Prodij soutenus par la Ville de Lyon

Prodij fête cette année son sixième anniversaire. Depuis sa création en 2006, 460 projets ont été soutenus. Outre une aide financière, les jeunes bénéficient d’un suivi tout au long de la réalisation de leur idée. Pour cela, chaque porteur de projet dispose d’un référent - professionnel du secteur visé, éducateur de centre social, élu de la ville… - qui l’épaulera dans ses démarches.

Tout commence par un premier rendez-vous à la Mission Jeunesse de la Ville de Lyon qui vérifie que le projet correspond bien aux critères. Pour pouvoir concourir, le ou les candidat(s) doi(ven)t habiter, étudier ou travailler à Lyon. Puis, le projet ne doit ni s’inscrire dans un parcours scolaire ni relever d’une activité pro-fessionnelle.

La Mission Jeunesse vérifie égale-ment l’avancement du projet. “S’il n’est pas encore suffisamment

mûr, elle aide à mieux le monter”, indique Anne Brugnera. Plusieurs réu-nions peuvent être nécessaires avant que le projet ne puisse être présenté en commission.

Cette commission, qui a le dernier mot sur l’octroi des aides, est composée d’élus de la Ville et de représentants des structures partenaires : MJC, Crij, centres sociaux. “Il faut que les can-didats démontrent en quoi leur projet apporte quelque chose à la ville ou au monde en général”, pointe l’adjointe à la jeunesse. Toute-fois, le tri ayant été fait en amont, “son but n’est pas de dire non à des projets aboutis”, relativise l’élue. Et d’ajouter : “On est souvent surpris par les objets des projets !”

Evènementiel, sport, septième art, nou-velles technologies : les domaines sont très variés. Des pensionnaires du Foyer Saint-Michel, un lieu d’accueil pour filles en détresse, ont ainsi organisé

“une très belle fête pour le bicen-tenaire de leur établissement”, se souvient Anne Brugnera. Deux élèves de première au lycée Jean-Perrin (Lyon 9ème) ont, eux, tourné une websérie intitulée “Les Ados”, diffusée sur You-tube, tandis que d’autres ont parcouru l’Amérique du Sud à vélo afin d’étu-dier les bonnes pratiques en matière de développement durable.

En moyenne, chaque dossier a été soutenu à hauteur de 1080 euros, et 1360 euros s’il s’agissait d’un projet à l’international. Seul regret d’Anne Bru-gnera : “il n’y a pas encore beau-coup de projets qui émanent des quartiers défavorisés”. Un groupe de 12 jeunes de Mermoz fait toutefois parti des lauréats des trophées 2012. Ils étaient partis à Barcelone pour par-ticiper à un tournoi international de foot réunissant quelque 5000 jeunes du monde entier, compétition dont ils ont terminé finalistes. =M.A.

“Notre but est d’aider les jeunes qui ont un projet à le mettre en œuvre”, explique Anne Brugnera, adjointe à la mairie de Lyon (photo). 103 de ces projets, portés par de jeunes Lyonnais entre 16 et 26 ans, ont été soutenus cette année dans le cadre du dispositif Prodij. Les 12 meilleurs seront primés le13 décembre, au cours d’une soirée de trophées au Comœdia.

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Dispositif hivernal d’urgence : 150 places de plus

“Chaque habitant du Rhône pourra faire preuve d’hospitalité et de convivialité”, a ironisé le préfet du Rhône, Jean-François Carenco lors de la présentation du dispositif. Il affirme avoir veillé à ce que les places d’héber-gement soient cette fois-ci mieux réparties sur le territoire. “Avant le sujet n’était pas assez bien partagé dans le département”, note Alain Marc, préfet délégué pour l’éga-lité des chances. Cette année, dix communes accueilleront des sans-abris, même si le gros des installations se concentre à Lyon, Villeurbanne, Bron et Décines.

Le dispositif hivernal est en vigueur depuis le 1er novembre et jusqu’au 2 avril. Les places ne seront toutefois dispo-nibles qu’au fur et à mesure de l’évolution des tempéra-tures. En revanche, une fois qu’un centre est ouvert, il le restera jusqu’à la fin.

Pensionnat, locaux administratifs, caserne, foyers, villages mobiles ou encore hôtels, la panoplie des sites mis à la dis-position des SDF est vaste. Les hôtels (60 places) ne reste-ront toutefois qu’un moyen de dépannage. “Ce n’est pas la meilleure des solutions”, concède Jean-François Carenco,

qui pointe surtout le fait que “les personnes hébergées ne peuvent pas y faire la cuisine”.

En revanche, l’ouverture de gymnases n’est prévue qu’en dernier recours, et pas plus que dix jours d’affilé, pour ne pas trop gêner la pratique sportive. L’hiver dernier, le gym-nase Duplat (Lyon 1er) avait été réquisitionné pendant 40 jours. Cette année, cinq installations sont concernées, dans les 2ème, 5ème, 6ème, 8èmeet 9ème arrondissements.

Nouveauté cette année : à la demande de Cécile Duflot, un diagnostique doit être établie pour chaque sans-abri qui ar-rive dans l’un des centres. Un “plan stratégique” sera mis en œuvre début 2013 pour “mieux préparer la sortie” des personnes à la fin de la période hivernale.

Le dispositif coûte 4,2 millions d’euros. A côté des mesures hivernales, le préfet dispose toute l’année de 2852 places réservées aux SDF, pour un budget de 27,5 millions d’euros. En 2011, 1085 personnes ont pu quitter le dispositif pour intégrer un logement social ordinaire, ce qui fait dire au pré-fet que “l’hébergement d’urgence, ça marche”. =M.A.

810 places d’hébergement peuvent être mobilisées depuis le 1er novembre pour accueillir les sans-abris pendant la période hivernale. L’année dernière il n’y en avait que 660.

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“L’argent, il y en a. Il faut le router vers les PME”, insiste Philippe Valentin, qui note “une vraie demande de la part des chefs d’entreprise.” Pour mettre ces derniers en contact avec des investisseurs locaux, une association a été créée qui regroupe les CCI de Lyon et de Rhône Alpes, la Caisse des Dépôts, la Banque de France et Oséo.

500 ans d’histoireLyon qui avait accueilli en 1540 la première Bourse française, ne dis-pose plus de place financière de-puis 1983. La renaissance d’une Bourse régionale en province

serait “une première”, selon Philippe Valentin. “Il n’y a pas d’autres projets en France, nous sommes vraiment pi-lote.”

Un peu trop, peut-être même, ce qui engendre quelques lenteurs au démarrage. Le projet accuse d’ores et déjà un an de retard. “Ça fait sept ans que nous travail-lons dessus”, indique Philippe Valentin, qui promet désormais une mise en place “courant 2013”. Reste à trouver un inter-médiaire pour opérer la plate-forme. Des pourparlers sont en cours avec Alternativa, un opéra-teur suédois dédié aux PME.

Moins de rendement, plus de sécurité

La future place d’échanges s’adresse aux entreprises entre 20 et 500 personnes, qui font “quelques millions d’euros de chiffre d’affaires”, explique le vice-président de la CCI lyon-naise. Des sociétés trop petites pour se financer sur les marchés existants. La nouvelle structure devra permettre des levées de fonds entre 200 000 et 800 000 euros, alors que le ticket d’en-trée est de 2,5 millions sur Alter-next, la plate-forme parisienne dédiée aux PME. En revanche, les start-ups, et autres transmissions d’entreprise ne font pas partie de la cible.

Chaque entreprise candidate devra se soumettre à l’avis d’une commission, où siègeront entre autres la Caisse des dépôts, Oséo, la Banque de France et des ex-perts de l’autorité de régulation des marchés. Les investisseurs vi-sés sont des banques et business angels mais aussi des particuliers rhônalpins. “Pas de fonds de pension nationaux ou inter-nationaux”, insiste Philippe Valentin. Les cotations auront lieu tous les trois mois et seront basées sur “la valeur de l’en-treprise, pas sur la spécula-tion”. “Le retour sur investis-sement est moindre comparé à d’autres placements mais il y a plus de sécurité”, souligne-t-on à la CCI de Lyon, qui espère traiter 30 à 40 dossiers par an. =M.A.

Une Bourse régionale à Lyon en 2013

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“Simplicité, proximité, liquidité” sont les maitres-mots de la future Bourse régionale lyonnaise, selon Philippe Valentin, vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Lyon. Une nouvelle place d’échange qui devra permettre aux entrepreneurs locaux d’accéder plus facilement à des financements.

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Et si Rhône-Alpes était un objet, un personnage historique ou une spécialité gastro-nomique… ?Qu’on la connaisse depuis toujours ou qu’on vienne seulement de la “rencontrer”, la région Rhône-Alpes n’a pas fini de nous étonner par sa diversité et ses richesses. Pour les découvrir ou les redécouvrir, plongez dans ce carnet, creusez-vous (un peu) la tête et découvrez tous les visages de Rhône-Alpes à travers des questions ludiques ou pédagogiques ! À vous de jouer…

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Coïncidence de calendrier : trois jours après avoir remis son rapport sur la compétitivité au premier ministre, Louis Gallois était à Lyon, en sa qualité de commissaire général à l’investissement. L’occasion d’annoncer d’importants investissements en Rhône-Alpes.

1,4 milliard d’euros pour l’enseignement en Rhône-Alpes

“Je suis très heureux d’être dans cette région très dynamique, très rassemblée. Tout le monde va dans le même sens”, s’est félicité Louis Gallois à l’issue d’une réunion à la préfecture, début novembre. Il y était venu annoncer que l’Etat, dans le cadre des investissements d’avenir, décidés sous Sarkozy, allait fortement investir en Rhône-Alpes.

35 milliards d’euros sont mobilisés à l’échelle nationale dans le cadre du programme, autour de cinq priorités : l’enseignement supérieur et la formation, la recherche, l’industrie et les PME, le numérique et le développement durable. L’ambition affichée par ce programme est de rendre le pays plus compétitif et créateur d’emplois.

1,41 milliard d’euros seront ainsi dépensés pour l’ensei-gnement supérieur et la recherche rhônalpins. “Une somme tout à fait considérable”, a jugé Louis Gallois. 108 projets se partageront cette manne, notamment des initiatives et pôles d’excellence et différents programmes de recherche. 220 millions d’euros supplémentaires sont prévus pour soutenir 255 entreprises dans le cadre de l’aide à l’investissement, sans oublier de nombreux sou-tiens à la compétitivité et la ré-industrialisation, au nu-mérique et au développement durable. “Nous voulons associer les PME à tout ce que nous faisons en ma-tière de transfert technologique et d’innovation”, a ajouté le commissaire général à l’investissement.

Un rapport controverséSon passage à Lyon a permis à Louis Gallois de revenir sur le rapport qu’il venait de remettre au premier ministre

Jean-Marc Ayrault. “Un magnifique projet collectif” pro-pice à créer ce fameux “choc de confiance”, a-t-il jugé. “Il faut passer rapidement à la mise en œuvre des mesures, les cadencer ainsi que poursuivre le dé-bat sur cette question de compétitivité. Il faut que les Français comprennent ce qui se passe”, a ajouté l’ancien patron de la SNCF et d’EADS.

Un constat qui n’est pas partagé par tout le monde à gauche. Si Gérard Collomb est pour, l’économiste et dé-puté PS de la deuxième circonscription, Pierre-Alain Muet est plus réservé. “J’étais de ceux qui attendaient avec impatience le rapport Gallois”, a noté le maire de Lyon dans un communiqué. “Aujourd’hui, les mesures annoncées par le premier ministre Jean-Marc Ayrault, montrent que le gouvernement a décidé d’engager la bataille de la compétitivité et je m’en félicite.”

Autre son de cloche chez Pierre-Alain Muet. “Le déficit de compétitivité de l’économie française a pour prin-cipale cause un manque de stratégie industrielle”, explique-t-il sur son blog. “Priorité doit être donnée à l’investissement des entreprises industrielles et non à un transfert de prélèvements des entreprises vers les ménages dont les effets, dans la conjonc-ture actuelle, nuiraient au pouvoir d’achat, donc au carnet de commandes des entreprises”, a ajouté l’élu, craignant “le risque de plonger notre économie dans la récession”.=M.A.

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Le 12 septembre dernier, 63 détenus kurdes, empri-sonnés en Turquie, ont entamé une grève de la faim illimitée. Alors que certains grévistes sont d’ores et déjà dans un état critique, plusieurs centaines d’autres les ont rejoints rapidement. Puis, début novembre, tous les prisonniers kurdes, à l’exception des enfants, personnes âgées et malades, soit quelque 10 000 per-sonnes auraient cessé de s’alimenter. Le plus vaste mouvement de protestation depuis le début de la lutte armée en 1984.

Parmi les grévistes figurent des responsables du Parti kurde de la paix et de la démocratie (BDP), qui détient 29 des 550 sièges au parlement, des députés et élus locaux, à l’instar des maires de Diyarbakir (sud-est) et Van (est).

Depuis, les manifestations de soutien se sont multipliées en France et en Europe. Près de 10 000 Kurdes ont défilé le 2 novembre à Bruxelles, appelant les institutions eu-ropéennes à intervenir auprès de la Turquie. Des grèves de la faim ont eu lieu à Bordeaux, Marseille, Paris, Vannes, Rennes, Nantes ou encore Strasbourg, où les grévistes ont reçu le soutien de plusieurs eurodéputés.

“Le silence de l’Union européenne est pesant sur la question kurde”, jugeait alors l’élue du Front de gauche, Marie-Christine Vergiat. “Il est essentiel de rompre le mur du silence afin d’attirer l’at-tention de l’opinion publique sur le martyr du peuple kurde et d’obliger le gouvernement turc à ouvrir un dialogue politique avec ses représen-tants plutôt que de les jeter en prison.”

Les revendications sont partout les mêmes : l’utilisa-tion de la langue kurde dans l’éducation et la justice, ainsi que la libération du leader kurde Abdullah Öcalan, considéré par Ankara comme un terroriste. Condamné à la prison à vie, il est détenu à l’isolement depuis 1999 sur l’île d’Imrali.

“Nous réclamons également un traitement hu-main pour les prisonniers en grève de la faim en Turquie”, ajoute Amet, l’un des grévistes lyonnais. “Nous sommes ici pour leur montrer qu’on est avec eux.” D’autres actions seraient d’ores et déjà en préparation. “On ne va pas en rester là”, prévient Amet.=M.A.

Des Kurdes en grève de la faim pour soutenir leurs prisonniers

Ils avaient planté une tente bleue place Bellecour, pour donner de la visibilité à leur mouvement. 14 kurdes ont observé un jeûne symbolique en soutien aux “prisonniers politiques” kurdes détenus en Turquie.

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La veille, un cessez-le-feu avait été conclu entre Israéliens et Pales-tiniens mettant fin à l’opération “Pilier de défense”, lancée une semaine plus tôt. Une opération qui a causé la mort de 163 Palestiniens, en majorité des civils, dont un tiers de femmes et enfants. Par ailleurs, 6 Israéliens ont été tués par des roquettes tirées par le Hamas.

L’offensive israélienne a été ver-tement critiquée en France par certains partis de gauche. “Ces opérations militaires visent à maintenir un climat de peur et d’oppression permanente sur la population. L’usage de la force militaire à Gaza n’a jamais em-pêché le tir de roquettes vers Israël, au contraire elle parti-cipe à l’escalade des violences”, a ainsi écrit Danielle Lebail, secré-taire départemental du PCF, dans un communiqué. L’élue communiste déplore que les civils soient “les premières victimes de la des-truction des infrastructures publiques”.

L’offensive militaire intervient sur fond de campagne électorale en Israël. Des élections législatives s’y déroulent le 22 janvier 2013. Ce qui fait dire aux organisateurs de la ma-nifestation que “Benjamin Neta-nyahu imprime sa profession de foi électorale avec le sang palestinien”.

Une précédente invasion, appelée “Plomb durci”, avait été menée fin 2008, début 2009, là aussi en conco-mitance avec des élections légis-latives israéliennes qui ont eu lieu un mois plus tard. L’opération avait causé la mort de 1600 Palestiniens. Le rapport rédigé par l’ancien juge de la cour constitutionnelle d’Afrique du Sud, Richard J. Goldstone avait alors accusé l’armée israélienne d’ “actes assimilables à des crimes de guerre et peut-être, dans certaines circonstances, à des crimes contre l’humanité”.

Cinq ans de blocusDepuis 2007, un an après la victoire du Hamas aux élections législatives

dans l’enclave palestinienne, Israël impose un blocus à la bande de Gaza, contrôlant la plus grande par-tie des frontières terrestres, la totalité de la façade maritime - réduisant au minimum l’espace de pêche autori-sée - et la totalité de l’espace aérien.

Ce carcan, sans guère d’équivalent dans le monde, empêche toute forme de développement écono-mique dans une zone surpeuplée (1,6 million d’habitants sur un territoire un tiers plus petit que le Grand Lyon).

C’est dans ce contexte que la Pales-tine est devenue le 29 novembre état observateur à l’Onu, par 138 voix pour, 9 contre et 41 absten-tions. Après bien des hésitations, François Hollande et son ministre des affaires étrangères, Laurent Fa-bius, avaient décidé de tenir la pro-messe de Nicolas Sarkozy. La France devenait ainsi le premier pays occi-dental à soutenir l’initiative du pré-sident de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas.=M.A.

Palestine : un peuple meurtri frappe à la porte de l’Onu

Entre 800 et 1500 manifestants ont défilé samedi 24 novembre entre Bellecour et les Terreaux, à l’appel du “Collectif 69 de soutien au peuple palestinien”, qui regroupe une trentaine d’associations, syndicats et partis politiques.

“Gaza résistance” et “Israël casse-toi”, pouvait-on entendre dans le cortège.

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Courses, sauts et lancers de poids étaient au menu du mee-ting inaugural, en présence du champion olympique de la perche, Renaud Lavillenie et du sprinteur Christophe Le-maitre. Si ce dernier a dû suivre les épreuves de la tribune, en raison d’une entorse contractée à une cheville, Laville-nie a, lui, remporté le saut à la perche. Sans trop forcer son talent. En se contentant de 5m70, il est resté 25 centimètres en dessous de sa performance olympique et à 33 cm de son record personnel.

L’une des plus grandes de FranceLa nouvelle halle d’athlétisme est la plus grande du quart sud-est de l’Hexagone. Son plateau de 6400 m² accueille une piste circulaire (6 couloirs) de 200 m, une piste de sprint de 60 m (8 couloirs), des aires de saut en longueur, hauteur et à la perche, ainsi qu’une cage de lancer de poids. Construit d’un seul tenant sans aucun poteau intermédiaire,

elle offre 2000 places. Une salle d’échauffement, de muscu-lation, ainsi qu’un sauna complètent les installations.

“Au plan sportif, la halle d’athlétisme Stéphane Dia-gana fera le lien entre sport de haut niveau et sport de masse”, se félicite le maire de Lyon, Gérard Collomb. L’équipement est ouvert aux scolaires, notamment du col-lège Victor Schoelcher et du lycée de la Martinière, ainsi qu’aux licenciés des clubs d’athlétisme. “Plus de 3500 en-fants pourront s’y entrainer régulièrement”, indique le préfet Jean-François Carenco.

Mais la nouvelle halle devrait également accueillir des mee-tings nationaux. Les championnats de France universitaires (7 février 2013) et les championnats de France cadets/ju-niors (16 et 17 mars 2013) sont d’ores et déjà programmés. =M.A.

Près de 2000 spectateurs ont assisté le 9 novembre à l’inauguration de la nou-velle halle d’athlétisme à la Duchère, en présence de la ministre des Sports, Valérie Fourneyron. L’équipement porte le nom de Stéphane Diagana (43 ans), qui est devenu en 1997 à Athènes le premier champion du monde d’athlétisme masculin français de l’histoire en remportant le 400 m haies. L’implantation de la halle

qui a coûté 25 millions d’euros, constitue le point d’orgue du Grand projet de ville de la Duchère. Un chantier lancé en 2003 et destiné à transformer radicalement le visage de l’un des quartiers les plus défavorisés de Lyon.

Pas de record, mais du monde à la halle stéphane Diagana

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Libéré de ses activités depuis mi-2011 et la livraison du nouvel Hôtel de Ré-gion dans le quartier de la Confluence, le site charbenois prépare sa mue. La Région, qui souhaite un projet global d’aménagement, confié à un opérateur unique, avait lancé en janvier dernier un appel à projet national. Dix équipes avaient fait acte de candidature, dont cinq ont été invitées à présenter un projet détaillé : Bouwfonds Marignan, Bouygues, Financière rive gauche, Icade / Altarea Cogedim et Nexity. Bouwfonds et Nexity semblant hors jeu, les négociations se poursuivent avec les trois autres prétendants.

Un nouveau quartier à Charbonnières

Pour Charbonnières-les-Bains, la nou-velle est une aubaine. La commune compte sur ce projet pour voir émer-

ger “un vrai quartier sur ce site, avec des transports, des com-merces”, explique le maire (DVD) de la commune, Maurice Fleury.

Les projets laissent une large place à la nature, seuls 30% du site pouvant être bâtis. Rien n’obligera d’ailleurs le futur propriétaire à conserver les onze bâti-ments existants. Le nouvel ensemble mêlera 30 000 m² de logements avec des commerces et activités écono-miques. Parmi ces dernières, un centre santé/bien-être cher au maire, qui en attend de nouvelles retombées écono-miques. Un paramètre non négligeable dans une commune dont les recettes dépendent pour près de 50% du casino.

Maurice Fleury compte également sur le projet pour rattraper un peu son re-tard en matière de logements sociaux. Sa commune en compte moins de 7%, un taux très éloigné des 20% impo-

sés par la loi SRU. 30% des nouveaux habitats relèveront ainsi du logement social ou de l’accession sociale à la propriété.

Pour la Région, la consultation en cours permet de voir enfin le bout du tunnel d’un processus pas mal enlisé. Plusieurs scénarios avaient été envisa-gés pour la reconversion du site, dont la création d’un éco campus. Aucun n’avait abouti. Et le site coûte cher : 25 000 euros par mois pour le seul gardiennage. Puis, en ces temps de disette, la Région compte sur la vente des terrains pour renflouer ses caisses. Quitte à céder ses biens au plus fort de la crise. Et sans être trop regardant sur le prix. Évalué naguère entre 25 et 30 millions d’euros, “le prix d’acqui-sition ne sera pas le seul critère de choix”, fait savoir le président du Conseil régional, Jean-Jacques Queyranne.=M.A.

Un écrin de verdure de 10,5 hectares. L’ancien siège du Conseil régional, situé en bordure de la route de Paris à Charbonnières, connaitra bientôt un nouveau destin. Cinq promoteurs se disputent le terrain pour y construire des logements, bureaux et autre centre de santé. Le lauréat sera connu le 13 janvier prochain.

Charbonnières : ancien hôtel de région cherche acheteur

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Vue générale projet de Bouygues

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Un paradoxe alors qu’aujourd’hui les emprunteurs consultent deux voire trois organismes financiers avant de s’engager. Parmi ces organismes les courtiers figurent en bonne place. Alternative aux banques, ces professionnels indé-pendants sont souvent de bons conseils, justement parce qu’ils ne sont liés à aucun donneur d’ordres spécifique.

L’apport des courtiersImplantés partout en France, dis-ponibles, parfaitement aguerris aux pratiques de leur métier, ces courtiers sont en lien quotidien avec les compagnies d’assurance qu’ils ont sélectionnées. Et ils prennent soin de s’entretenir avec chaque souscripteur de prêt, avant de leur faire une offre.

Une étape indispensable pour analyser les besoins des emprun-teurs avec précision et ainsi pou-voir leur proposer des prix et desgaranties sur mesure, lorsqu’il s’agit de ratifier une assurance de prêt. Et ce, en quelques jours, puisque souscrire une couver-ture individuelle ne prend pas plus de temps qu’opter pour l’offre incluse au prêt et ne de-mande aucune démarche parti-culière à l’établissement prêteur.

Beaucoup ignorent que les assu-rances visant à couvrir les risques de décès ou de maladie dans le cadre d’un prêt peuvent être souscrites de façon totalement in-dépendante. Pourtant, dans bien des cas, s’assurer auprès d’une compagnie indépendante, plutôt que d’opter pour l’assurance de sa banque, est synonyme de meil-leures garanties au meilleur prix.

La loi LagardeDepuis le 1er septembre 2010, chaque emprunteur peut sous-crire une assurance de prêt au-près de l’assureur de son choix, sous réserve que le niveau des garanties soit équivalent à celui du contrat d’assurance de groupe proposé par l’organisme prêteur. La loi Lagarde protège les em-prunteurs en précisant notam-ment “que le prêteur ne peut pas modifier les conditions de taux du prêt prévues dans l’offre (…), en contrepartie de son accep-tation en garantie d’un contrat d’assurance autre que le contrat d’assurance de groupe qu’il pro-pose”.

Article fait par AFI ESCA

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Grâce à la loi Lagarde cela fait maintenant deux ans, que tout emprunteur est libre de souscrire une assurance auprès de la compagnie

de son choix. Reste que faute d’informations suffisantes, les emprunteurs font confiance à leur banque et suivent les conseils de leur banquier sans mettre les assureurs en concurrence.

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Le Lou face au doute

Loin des résultats attendus, le bilan de ce début de saison est très mitigé pour le Lou Rugby. La grosse écurie lyonnaise, grande favorite, forte des recrutements de Sébastien Chabal et Lionel nallet, n’est pour l’instant pas au niveau de ses ambitions. La remontée en Top 14 des Rouge et noir, souvent chahutés sur les pelouses de Pro D2, s’annonce fina-lement plus compliquée que prévue.

Après une défaite à domicile face au voisin et leader Oyonnax (31-33), les Lyonnais se retrouvent face au doute. jean Sousa (photo), deuxième ligne du Lou se confie sur ce tournant de la saison.

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n Cette défaite face à Oyonnax, a-t-elle fait du mal au groupe ?

A la fin du match, il y a eu beau-coup de déceptions, de colère et de frustrations mais il ne fallait pas trop s’éterniser sur cette défaite. De toute façon, on n’est même pas à la moitié du championnat.

Depuis le début de saison, on joue un peu en fonction de ce que fait Oyonnax, par rapport au nombre de points de retard que l’on a sur eux. Là, on est à douze points. Maintenant on va se concentrer sur nous, quelques soient les équipes que l’on va rencontrer. On ne lâchera rien, on ne lâchera aucun match. Je pense que cette défaite nous a un peu libérés. Maintenant, vous allez voir du bon jeu, on va

pouvoir penser à ce que l’on fait sur le terrain sans avoir à penser à ce que fait Oyonnax.

Il faut qu’on arrête de gamberger, parce que notre but c’est, d’abord bien sûr d’être promu, mais aussi de se faire plaisir sur le terrain. Bien sûr on joue pour gagner mais aussi pour se faire plaisir. On est des rugbymans pour ça, et maintenant c’est ce qu’on va faire à chaque match.

n Pourquoi n’étiez-vous pas libérés auparavant ?

Il y a forcément un facteur psycho-logique mais je ne suis pas spécia-liste dans ce domaine. Il y avait une pression que le public nous mettait pour de bonnes raisons. Et surtout

une pression que l’on se mettait tout seul, mais je pense qu’elle a disparu.

n Est-ce-que ce retard sur le leader Oyonnax ne vous met pas, au contraire, plus de pression ?

Je ne pense pas. Le championnat est très long. Oyonnax est à douze points mais on n’est qu’à un point du deuxième (La Rochelle, ndlr). Ça ne représente qu’une victoire et une défaite dans chaque camp, ce n’est pas significatif pour la fin de saison. Au contraire, même si c’est un peu tard, le championnat est bel et bien lancé et maintenant on va pouvoir se régaler jusqu’à la fin.

=Propos recueillis par Laureline Coquard

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Une lente descente aux enfers. Ac-clamé le 25 août 2010 par 15 000 curieux, à l’occasion de sa présenta-tion officielle et en grande pompe à Gerland, Yoann Gourcuff s’est pour la première fois fait siffler par Gerland le 8 janvier 2012, lors de son entrée en jeu en Coupe de France, contre la Duchère. Entre ces deux dates, moins d’un an et demi s’est écoulé, durant lequel le Breton a vu un impression-nant élan d’enthousiasme se muer en vraie déception, aussi bien sur le plan sportif, qu’économique et marketing. Au total, en 70 matchs disputés toutes compétitions confondues avec l’OL, le meneur de jeu est crédité de seu-lement 11 buts et autant de passes décisives.

Vers un départ cet hiver ?

Malgré l’un des salaires les plus impor-tants de l’effectif, Yoann Gourcuff, est loin d’être indispensable à l’équipe. A tel point que l’été dernier, son pré-sident, Jean-Michel Aulas, a tenté de s’en débarrasser, déclarant que “s’il fait l’objet de sollicitations et qu’il souhaite partir, il pourrait alors être transferé”. Même Juninho s’est récemment permis de l’égratigner au détour d’une interview, estimant que Gourcuff “n’a jamais apporté ce

qu’il aurait dû”. Autre son de cloche toutefois chez Rémi Garde, qui semble souhaiter garder son meneur de jeu : “J’espère l’avoir le plus longtemps possible. On n’en est pas à imagi-ner son départ”. On dit néanmoins Arsenal et Valence attentifs aux pres-tations de l’ancien Bordelais.

Au sein même du club, le joueur di-vise, interroge, déroute. Arrêté plus de 383 jours à Lyon depuis 2010, man-quant plus de la moitié des matchs, le milieu de terrain enchaîne les bles-sures. Et le moindre pépin l’éloigne du terrain : coup reçu sur le talon en novembre 2010 (deux mois d’indis-ponibilité), ongle d’orteil cassé en mars 2011 (deux semaines), bles-sure aux adducteurs en mai 2011 (deux mois), opération de la cheville gauche fin juillet 2011 (trois mois), nouvelle blessure aux adducteurs mi-février 2012 (deux mois) et entorse du genou droit en août dernier (deux mois et demi).

Un enchaînement malheureux et plutôt mystérieux qui pose de nom-breuses questions, d’autant que le joueur n’est pas du genre à se confier à la presse. Il se méfie des médias, sélectionne les rares journalistes qui auront le droit de l’interviewer, ins-crit ceux qui lui donnent mauvaise

presse sur liste noire et leur interdit même parfois d’évoquer certains sujets, comme lors de la Coupe du Monde 2010 en Afrique du Sud. Une communication ultra-verrouillée qui ne l’aide pas à redorer son blason auprès des supporters.

Du mieux en 2012

Affûté lors du stage de préparation à Tignes, homme du match lors du Trophée des Champions remporté contre Montpellier à New-York et unique buteur à Rennes pour la pre-mière journée de Ligue 1, le Breton ne pouvait rêver meilleur début de saison. Seulement, une entorse du genou contractée contre Troyes le 18 août l’a de nouveau rendu indispo-nible. De retour depuis le 31 octobre dernier, le Gone semble toutefois avoir retrouvé sa vista dans le jeu, réalisant en cette fin d’année autant que pendant toute la saison dernière (2 buts, 2 passes décisives). De quoi rassurer son coach. “Avec tout ce qu’il a traversé, tout ce qu’il a subi ici, je pense qu’il a mûri. Je le sens plus léger, plus spontané”, a déclaré Rémi Garde récemment.

=Mikhaël Defoly

Faut-il croire au retour de Gourcuff ?

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Recruté pour 22 millions d’euros en 2010 pour donner un nouvel élan à l’OL, yoann Gourcuff a pour l’instant déçu les espoirs placés en lui. Eloigné du terrain par de nombreuses blessures, le meneur de jeu semble néanmoins enfin dans son élément cette saison.

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LyOn news VOus OffRe pOuR nOëL Le meILLeuR

Des RenDez-VOus

De sTARs

“Les stars sont mes collègues de travail !”

Laurent Argelier, journaliste people, interviewe les stars, lance les buzzs et se charge des relations publiques des onze radios d’Espace Groupe. Celui que l’on surnomme Mister casquette s’est prêté au jeu des stars en passant de l’autre côté du micro.

n Laurent comment faîtes-vous pour pousser les stars à se livrer et à se dévoiler autant ?

La base de mon travail c’est la préparation des interviews même si parfois on peut manquer de temps. Mon astuce c’est de toujours avoir une quinzaine de questions même si je n’en pose que huit. Il faut que l’invité sente que l’on a travaillé l’interview : si l’on rencontre un acteur on va voir son film, si c’est un écrivain, on lit son livre... etc.

Pour les pousser à se livrer, j’ins-talle une proximité les yeux dans les yeux. J’ai des questions clés avec des mots clés. En réalité je passe très peu de temps sur leur promotion (rires).

Je ne les agresse jamais, au contraire je les mets en confiance. Ils utilisent le charme pour répondre donc moi aussi. C’est comme une relation de séduction : le ton est plus lent, les mots sont posés et la voix est plus grave.

n Avez-vous réalisé votre rêve de journaliste people ?

J’avais un rêve....C’était d’inter-viewer Patrick Bruel et c’est chose faîte. Ca va devenir une de mes plus jolie rencontre. Cette inter-view “ping-pong” s’est déroulée en 6 minutes. Patrick est très vif et joueur avec un côté adulescent. Il a du vécu et un passé qu’il sait très bien exprimer. C’était un pur moment de complicité. Y aura certainement une suite...

Laurent Gera est aussi un vrai coup de coeur pour moi. Je l’aime en tant qu’artiste et en tant que personne. Il est le contraire de ce que ce disent les détracteurs sur lui. Il est mélancolique et d’une profonde générosité. Il est fidèle en amitié et discret quant à sa vie privé. En tant qu’artiste il est un vrai performeur, c’est le meilleur des imitateurs de tous les temps.

n quels sont vos projets ? A quand la télévision ?

Continuer cette merveilleuse aventure avec MFM. J’ai une

liberté de ton et d’invités que je n’aurais nulle par ailleurs. Il faut rester fidèle aux gens qui t’ont donné une chance. C’est un devoir de mémoire. J’aime cette radio aussi bien au niveau de la programmation qu’au niveau des gens qui y travaillent. C’est une radio qui a beaucoup d’am-bition. J’ai de l’affection pour Julien Fregonara, le directeur général. Christophe Mae le PDG, un homme discret et efficace dans ses décisions et ses idées. Il m’a donné sa confiance et je ne la trahirai jamais.

La prochaine étape sera la télévi-sion. J’ai déjà connu ce bonheur pendant 3 ans sur France3 Rhône Alpes Auvergne. Il est vrai que la télévision a un effet loupe. Ce qui me plairait beaucoup c’est d’arriver à mettre en place la même chose que Buzz People : beaucoup de liberté de ton et de l’intimité. Pourquoi pas Direct 8 ou NT1. J’ai envie de remettre le couvert.

=Propos recueillis par Oriana Marc

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meilleur des rendez-vous de stars

n quel est votre premier geste du matin, Patrick Bruel ?Venir vous voir (rires) !

n Vous sortez votre 7ème opus Lequel de nous, quels sont les thèmes que vous avez abordé dans cet album ?

Ça va des chansons d’amour qui ne se passent pas forcément bien à un regard sur quelques éléments importants de notre société mais tout par le prisme de l’humain, des individualités. C’est un disque dans lequel je me suis permis quelques audaces musicales.

n Cet album est un fabuleux passeport pour la scène, a quand une tournée nationale?

La tournée commence en mai 2013.

n Est-ce dur d’être Patrick Bruel ?

J’ai connu pire (rires).

n Vous êtes condamné à être toujours le premier ?

Non je suis condamné à toujours faire mieux, à toujours aller au bout de ses rêves en vivant ses pas-sions mais pas à être le premier.

n Il y a plusieurs personnages en vous : le chanteur, l’acteur, l’artiste engagé...etc lequel est votre préféré ?

Le père de famille. Tous les matins, quand je regarde les yeux de mes enfants et que je vois qu’ils sont heureux, je suis un homme comblé.

n Vous qui chantez si souvent l’amour, êtes-vous un éternel amoureux ?

C’est tout à fait ça. L’amour est un moteur essentiel pour moi.

n quel est votre secret pour rester si jeune ?

Je mange beaucoup de yaourts.

n Vous êtes un éternel adu-lescent ?

C’est tout à fait juste. Je m’y plais bien dans cet entre-deux parce qu’il y a une pureté dans l’adolescence qu’on ne retrouve jamais à l’âge adulte. Vous me donnez une idée... Je vais faire une chanson “adulescence”.

n Avez-vous peur de vieillir ?

On ne peut pas avoir peur de quelque chose d’inexorable. Je peux avoir peur de quelque chose qui pourrait me surprendre mais pas de vieillir.

n que vous évoque le temps qui passe ?

Quand on fait des choses très inté-ressantes on voit le temps passer beaucoup plus vite. Et lorsque l’on

a des enfants on a envie de retenir ce temps.

n qu’attendez-vous de la vie qui très souvent vous a gâté ?

Qu’elle continue !!

n qu’elle est la prochaine étape de votre carrière?

De partir en tournée avec cet album, de tourner un autre film et de peut être faire une pièce de théâtre.

n Avec quel artiste français sou-haiteriez-vous enregistrer un duo ?

Jean-Louis Aubert. Jean-Jacques Goldman.

n Etes-vous pour ou contre le mariage pour tous ?

Je suis pour parce que au regard de l’article 1 de la déclaration des Droits de l’Homme, les hommes naissent libres et égaux en droit.

n Etes-vous pour ou contre la réouverture des maisons closes ?

Tout à fait pour parce que ça évi-tera à ces jeunes filles de subir des violences et de se geler dans la rue. Ça régulera pas mal de choses. La prostitution étant incontournable autant que ce soit clean.

Patrick Bruel par Laurent Argelier

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n Clotilde Courau, vous souvenez-vous de votre coup de foudre pour le cinéma ?

Cette rencontre s’est faite devant une émission intitulée “Ciné Cinéma” sur France 3. Devant mon écran défilaient les plus grands chefs-d’œuvre du cinéma. Petit à petit l’idée de devenir interprète a germé en moi. J’ai donc pris des cours de théâtre. Et un jour, en interprétant Jeanne d’arc de Charles Péguy, seule sur scène en pleine lumière, l’évidence est venue à moi : je serai comédienne.

n Lors du festival Lumières, vous assurerez une “Master Class”. qu’est-ce que cela représente pour vous ?

Ce festival redonne sa place à notre patrimoine. Il permet aux jeunes, qui n’auraient pas eu la chance de découvrir le même cinéma que moi, de rencontrer les chefs-d’œuvre et leurs acteurs. Ils découvriront l’essence même du cinéma. Cette Master Class a pour but de les éclai-rer sur ce qui a nourri mon appétit d’interprète, quelles sont mes réfé-rences et quelle actrice je suis.

n quelle est la particularité du festival Lumières ?

C’est un festival qui a pour but de perpétuer le patrimoine cinématographique, de réunir des passionnés pour raconter la genèse de cet art. Ce rapport avec le public est toujours très agréable. J’aime entendre parler de “Elisa”, “Le petit criminel”, “Embrassez qui vous voudrez” ou encore “La men-tale”. J’aime entendre les critiques d’un public différent selon le film.

n que vous évoque le nom de Grace Kelly ?

Grace Kelly était une comédienne interprète qui a rencontré son maître en la personne d’Alfred Hitchock. Ensemble, ils ont créé des chefs-d’œuvre.

n quel est le rêve que vous n’avez pas encore réalisé ?

Peut-être trouver un binôme créatif, c’est-à-dire d’établir une belle colla-boration avec un metteur en scène. Comme ont pu le faire Penelope Cruz et Pedro Almodovar.

n Clotilde Courau, vous êtes maman de deux petites filles. Comment réagiriez-vous si l’une d’elles embrassait une carrière au cinéma ?

Après avoir averti, on ne peut que soutenir le désir de son enfant. Si ma fille a le désir et la passion du cinéma, alors qu’elle y aille. Je serai là pour elle.

n que vous évoque le mot “bonheur” ?

Une envie, un désir. Et en même temps je pense que cela n’existe pas. Pour être heureux chaque jour, il faut être en paix avec soi même et cela demande beaucoup de travail.

n Même lorsque l’on est une princesse comme vous ?

Même lorsque l’on est une princesse comme moi (rires).

Clotilde Courau par Laurent Argelier

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meilleur des rendez-vous de stars

n Vous sortez un nouvel album, “Danse”, reprenant tous les grands succès ensoleillés de la chanson française. Comment est née l’idée d’enregistrer un album de reprises ?

C’est un projet qui me tenait à cœur depuis quelques temps puisqu’en douze ans de carrière, je n’avais jamais travaillé sur des reprises. Mais c’est avant tout une envie du public ! Les Français tra-versent une période difficile. Ils ont besoin d’être rassurés et d’entendre des airs familiers. Ce disque est un vaccin anti-crise (rires).

n En quoi ce septième album vous ressemble-t-il ?

C’est avant tout un album dansant, donc très pêchu et positif. C’est une invitation au voyage et à la bonne humeur, tout comme moi !

n Vous entamerez une nouvelle tournée en 2013. quelles surprises nous réservez-vous ?

Vous avez trouvé le mot juste, “sur-prise” ! Je peux juste vous dire que

vous assisterez à un show très festif et dansant.

n Vous êtes aujourd’hui votre propre productrice. Est-ce un rêve qui se réalise ou une obligation ?Pour être honnête, ce n’était pas mon but premier. Certes j’aime prendre les décisions importantes et mettre mon grain de sel puisque je suis seule sur scène. Mais dans le cas présent, il s’agit bien d’une obligation.

n Lorie, quel est votre but ?Chanter et ravir mon public. Le bonheur est mon moteur !

n La célébrité est-elle quelque chose d’agréable ?Oui et non (rires) ! Comme dans tous les métiers, nous rencontrons nombre d’avantages, mais les inconvénients existent aussi. Les paparazzi, notamment, font partie des mauvais côtés.

n Votre participation à l’émis-sion “Danse avec les stars” pour-rait-elle booster la suite de votre carrière ?

Je le pense oui. Mais si je participe à cette émission c’est avant tout pour les valeurs qu’elle véhicule, telles que le dépassement de soi et le tra-vail. La danse est une passion pour moi ! Mais pour un artiste qui sort un nouvel album, être présent tous les samedis soirs en prime time sur TF1 est une chance.

n Vous êtes donnée comme la prochaine gagnante de l’émis-sion. Est-ce difficile à vivre ?

C’est une pression supplémentaire, bien sûr. Le public a l’habitude de me voir danser dans mes clips ou sur scène. Mais contrairement à ce que l’on croit, je ne maîtrise pas chaque danse, et cette émission est un grand défi pour moi aussi. Le public s’attend à un certain niveau en me voyant danser, et je ne peux pas le décevoir. Je dois donc travailler deux fois plus dur.

Lorie par Laurent Argelier

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n Vous êtes à l’affiche du film Thérèse Desqueyroux, le personnage que vous incarnez est à la fois une femme moderne, tourmentée et déprimée.

C’est une femme qui souffre et qui cherche la liberté. Elle est dans un chaos mais elle va tout de même vers la lumière.

n Ce film est à la fois doux et amer, qu’en pensez-vous ?

En effet, il y a une grande sensua-lité et une grande rigidité liée au contexte familial qui est impres-sionnant d’austérité.

n Un film c’est une rencontre avec un scénario, un personnage, un réalisateur.... vous souvenez-vous à quel moment vous avez eu le déclic d’accepter ce rôle ?

J’avais envie de travailler avec Claude Miller depuis de nom-breuses années. J’ai reçu le roman de François Mauriac avant même que le scénario soit écrit, quand j’ai lu cette histoire et que j’ai découvert cette femme incroyable, j’ai immédiatement aimé son mystère et son destin. J’ai pas hésité une seconde à dire oui.

n Pourquoi ce rôle est différent de tous ceux que vous avez pu jouer ?

Il est plus sombre et plus contradic-

toire. C’est une femme assez ambi-guë qui ne connait pas les raisons de ses actes et qui ne se connait pas elle même complétement mais qui pourtant a un grand caractère et beaucoup de force. Elle refuse de se soumettre, elle est pleine de paradoxes.

n C’est une rebelle et une écorchée vive ?

Elle n’est une rebelle que parce qu’elle refuse la vie qu’on lui impose. Et en même temps elle n’en est pas une parce qu’elle ne décide pas de s’échapper et qu’elle ne dit pas non. Elle subit la violence qu’il y a autour d’elle et cette violence l’empêche de parler. Finalement c’est une femme obéissante.

n Avez-vous de l’affection pour votre personnage ?

Bien sur. Pour tous ceux que j’ai incarné j’ai de l’affection pour eux. C’est une femme que je trouve tellement humaine. La façon dont elle glisse vers ce crime je trouve ça très émouvant.

n Grâce a ce rôle pensez-vous que vous allez vous détacher de ces rôles de jeune première qui vous collent toujours un peu à la peau ?

Je pense que c’est plutôt l’expé-rience, la maturité et l’âge qui

m’éloignent des emplois de jeune première. Mais j’ai encore plaisir à jouer des rôles plus légers. Celui-ci est un rôle de femme plus fort, plus complexe et ça correspond à mes désirs d’actrice aujourd’hui.

n quels sont justement vos désirs d’actrice ?

Explorer des mondes que je n’ai pas encore découvert. Aller vers l’inconnu en bousculant ma pudeur, mes peurs et mes craintes. Avoir plus confiance en moi en faisant des choix plus audacieux.

n que vous évoque le mot bonheur ?

D’avoir le choix et d’être libre. D’aimer et d’être aimée. En tant qu’actrice je suis comblée.

n que pensez-vous du mariage pour tous ?

C’est délicat... je pense que les parents homosexuels doivent avoir les mêmes droits que les hétéro-sexuels. La famille évolue et c’est tant mieux. Dans l’idée je suis plutôt pour.

n quelle est votre chanson française préférée ?

Si je pense à Thérèse, mon person-nage, ce serait Résiste de France Gall.

Audrey Tautoupar Laurent Argelier

Je pense que c’est plutôt l’expérience, la maturité et l’âge qui m’éloignent des emplois de jeune première.

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n Alexandra Lamy, vous êtes l’un des principaux visages du nou-veau film de Sandrine Bonnaire, “j’enrage de son absence”. Pourquoi avoir accepté de jouer le rôle de Mado ?

Lorsque Sandrine m’a contactée pour me proposer le scénario, j’ai été extrêmement touchée. Je savais que le film ne serait pas une comédie, et j’ai beaucoup apprécié que l’on m’imagine dans quelque chose de plus dramatique. L’histoire, toute en pudeur, m’a séduite. Il s’agit d’une femme qui a perdu un enfant, qui a choisi de refaire sa vie pour finalement voir son ex-mari revenir vers elle. Ce n’est pas un film réservé aux femmes, il s’adresse aussi aux hommes, aux pères.

n Lorsque vous avez regardé le film, quelle est la scène qui vous a le plus bouleversée ?

Il est difficile, en tant que spectatrice, de commenter son rôle d’actrice. Mais il y a un passage que j’ai trouvé très émouvant. Jacques et Mado se retrouvent dans une même chambre, et l’on sent que ces deux personnes se sont aimées, qu’elles s’aiment encore mais qu’elles ne peuvent plus être ensemble.

n Pour être franc, j’ai moi-même eu plusieurs fois les larmes aux yeux en regardant ce film. Les âmes sensibles apprécieront-elles le film ?

Cela ne fait aucun doute ! Il y a tout d’abord un grand suspens,

puisqu’il s’agit d’un thriller psycho-logique. Le spectateur découvre les secrets de chaque personnage, entre dans leur intimité. Et si Sandrine Bonnaire ne laisse pas tout ouvert, elle demande au spectateur de prendre partie pour l’un ou l’autre. C’est un film bouleversant, qui remue l’intérieur de l’être et dont on se souvient longtemps.

n L’amour fait parti des thèmes récurrents de ce film. Pensez-vous que “amour” rime avec “toujours” ?Pour commencer il faut le vouloir ! Vivre à deux est très compliqué. Plus encore lorsque l’on est un homme et une femme, à une époque où l’on se sépare pour un rien. L’infidélité, c’est très facile.

Vivre à deux est très compliqué. Plus encore lorsque l’on est un homme et une femme, à une époque où l’on se sépare pour un rien.

Alexandra Lamypar Laurent Argelier

meilleur des rendez-vous de stars

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n Votre premier film “j’enrage de ton absence” compte l’histoire d’un deuil impossible à faire. Lequel ?Celui d’un enfant. Mado et Jacques Forment un couple uni et amou-reux. Leur bonheur est terni par la disparition tragique de leur enfant. Ce drame les mène à la séparation. Si Mado, jouée par Alexandra Lamy, parvient à refaire sa vie et devenir à nouveau mère. Jacques, lui, en est incapable. Quelques années plus tard, il est amené à rencontrer Paul, le fils de son ex femme. Un jour qui va marquer le reste de sa vie.

n quelle est la part autobio-graphique de cet incroyable film ?Je me suis inspirée d’un homme que ma mère a aimé. Ils devaient s’unir devant Dieu mais la vie en décidé autrement. Quelques temps plus tard, elle a rencontré et épousé mon père. Mais à plusieurs reprises, ce premier amour a refait surface dans notre vie. L’année de mes 20 ans, je l’ai croisé dans une poste à Paris. Il n’était plus du tout le même. Il vivait dans la rue et avait renoncé à tout. Nous sommes allés boire un café, et il m’a confié n’avoir jamais fait le deuil de ma mère. J’ai été profondément marquée par ces paroles, et je me suis interrogée : “Quel évènement pourrait me mener à une telle

situation ?” J’ai rapidement trouvé la réponse : la perte de mon enfant.

n En visionnant le film, quelle est la scène qui vous a transportée ?Il y en a beaucoup ! Mais j’ai en mémoire l’instant où le père, inter-prété par William Hurt, prononce le titre du film “j’enrage de son absence”. Son jeu transpire la sin-cérité. Ce film est avant tout centré sur la place du père dans la famille. Et je réalise, au fil des projections, que certains hommes pleurent dans leur fauteuil de cinéma.

n Pourquoi avoir choisi Alexandra Lamy pour interpré-ter le rôle de Mado ?Mado est quelqu’un de terrien, de beau sans être artificiel. Après l’écri-ture, j’ai cherché qui ressemblait le plus à cette femme que j’avais créée. Et Alexandra m’est immédia-tement venue à l’esprit. C’est une actrice que j’aime depuis toujours, et j’avais le souhait de l’emmener dans un jeu plus dramatique que celui que lui confiait Ozon.

n Vous passez pour la pre-mière fois derrière la caméra. Etait-ce un rêve de petite fille ?La première fois n’est pas le terme exact, puisque j’ais déjà réalisé un documentaire. Mais en effet, il s’agit de ma première fiction. Et ce

fut une superbe expérience. Après un important travail de réflexion qui consiste à imaginer le film scène par scène, personnage par personnage, vient la construction de l’histoire en images.

n quels sont vos projets pour la suite ?J’en ai devant et derrière la caméra ! En tant qu’actrice, plu-sieurs films sont en préparation. La réalisatrice, elle, a plusieurs projets en tête.

n que vous évoque la fidélité ?La noblesse. Comme nous le disions précédemment, les per-sonnes que l’on aime on les garde à jamais dans le cœur. Notez que William Hurt est quelqu’un que j’ai aimé dans la vie, il est le père de mon enfant. Et j’aime l’idée que l’histoire soit inspirée d’un homme que ma mère a aimé et qu’elle se concrétise avec un homme que j’ai aimé.

n quel regard avez-vous sur le temps qui passe ?J’aime le temps qui passe, il prouve que l’on grandit. En tant qu’actrice, je n’approuve pas le recours à la chirurgie. Je trouve qu’elle vous rend bizarre. Tout comme le vin, dans lequel on ajoute mille arti-fices qui le dénaturent.

Alexandra Lamypar Laurent Argelier

Sandrine Bonnaire par Laurent Argelier

Mais la fidélité est belle. Et c’est un combat de tous les jours.

n Dans une vie, nous rencon-trons plusieurs amours. Pensez-vous qu’on les aime à jamais ?C’est certain. Je prends l’exemple du père de ma fille. C’est quelqu’un

que j’aime énormément et avec qui je m’entends très bien. Mais je lui porte une autre forme d’amour aujourd’hui . Et il est très important pour moi de pouvoir parler de mon ex librement et de façon positive, puisque c’est quelqu’un que j’ai aimé.

n Alexandra Lamy, que vous évoque le mot “passion” ?

“Attention !”. Je me méfie des rela-tions ou comportements passion-nels. Le cœur peut nous brouiller l’esprit, et nous faire faire les mauvais choix.

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culture expo

Endless fort du Bruissin centre d’art contemporain franchevilleDu 8 décembre 2012 au 17 mars 2013

Pour sa 10ème exposition depuis sa réhabilitation, le Fort du Bruis-sin, centre d’art contemporain de Francheville a invité Caroline Soyez-Petithomme, directrice artistique de l’association “La Salle de Bains, Espace d’art contemporain, Lyon” à concevoir un pro-jet d’exposition d’un ou une artiste de son choix. Elle a choisi de présenter le travail de l’artiste américaine Lisa Beck et d’invers-tir l’ensemble des espaces d’exposition du centre d’art contem-porain. Comme le suggère le titre de l’exposition Endless (qui signifie “sans fin”), la pratique artistique de Lisa Beck (née en 1958 à New-York) se déploie comme un continuum, comme une série ouverte de motifs, principalement abstraits, que l’ar-tiste invente, répète et agence depuis le milieu des années 80.

Rue du Château-d’Eau - 69340 Francheville

Effrôler Galerie L’OujopoDu 22 novembre au 29 décembre 2012

L’exposition aurait pu s’appeler : “Les deux galeristes, l’artiste, le calque et le tissage”.“C’est l’histoire de Jean Louis, Jean Louis Mandon qui défend, soutient et ex-pose mon travail depuis longtemps. C’est l’histoire de Laurent, Laurent Seror, mon ami de toujours, qui ouvre une galerie sur Lyon, programme une expo calque et n’imagine pas que je n’en sois. C’est l’histoire de Jean Louis, qui me “prête” le temps d’une expo à Laurent pour partager mon univers calque avec Géraldine Trubert et Jacquie Barral. C’est l’histoire d’une belle collaboration...Ce “tissage de points de vue”, mes tissages de papier calque, je vous invite à les découvrir du 22 novembre au 29 décembre 2012 à la Galerie de l’OuJoPo”.

40 rue de la Viadert – 69006 Lyon

De la pierre à la page, Fernand Pouillon, l’architecte qui aimait les livres

musée de l’ImprimerieDu 23 Novembre 2012 au 3 Mars 2013

L’exposition met face à face les ouvrages du Jardin de Flore et les éditions anciennes qui ont enthousiasmé et inspiré Fernand Pouillon, principalement en provenance de la Bibliothèque municipale de Lyon ; en particulier des livres de Colonna (1546), Philibert de l’Orme (1561), Palladio (1570) Tory (1529), Perret (1601), Alberti (1553), Androuet du Cerceau (1576)… Les liens étroits entre le livre et la pratique de l’architecture telle que la concevait Fernand Pouillon, sont évoqués, de même que son cheminement vers les métiers d’éditeur et d’imprimeur pour la bibliophilie. L’exposition offre également un véritable panorama, une vraie “leçon de chose” sur la fabrication d’un livre de bibliophilie, avec des focus sur les techniques d’illustrations (bois, taille-douce, lithographie, phototy-pie, pochoir, enluminure…), la fabrication du papier, l’impression, la reliure.

13 Rue de la Poulaillerie - 69002 Lyon

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104, rue Président Edouard Herriot - 69002 LYON - Tel : 04 78 37 60 97

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Mustapha El Atrassi • Le Rideau RougeDu 11 au 15 Décembre 2012

L’œil vif et pétillant, il nous emmène et parfois même nous malmène dans un univers où il sait dénoncer les travers qui nous pourrissent la vie, toutes ces choses qui nous angoissent et nous gênent.

culture spectacles

Chico & The Gypsies Amphithéâtre – salle 3OOO19 Décembre 2012

Depuis vingt ans, le groupe “Chico & the Gypsies” se produit dans le monde entier et participe aux soirées les plus prestigieuses (Paris, New York, Tokyo, Moscou, Bey-routh, Dubaï, etc…). 2012 est l’occasion de fêter en musique avec l’album “& Frien-ds…” les 20 ans du groupe “Chico & the Gypsies” et les 25 ans de la sortie du tube planétaire, Bamboleo.

Thomas Dutronc • Cité Internationale - Centre de Congrès Lyon11 Janvier 2012

Thomas Dutronc revient sur le devant de la scène avec un nouvel album. Après le succès incontestable du premier “Comme un manouche sans guitare” et des titres comme “j’aime plus paris” ou encore “jeune, je ne savais rien”, il fait désormais partie des grands de la scène française. Il obtient en 2009 une victoire de la musique pour la chanson originale de l’année. Cet amoureux du swing, ce virtuose de la guitare est venu à la chanson presque par hasard, après quelques expériences cinémato-graphiques, et c’est un beau hasard ! Son nouveau spectacle est aussi original que le précédent qui a rencontré un triomphe. Ce concert est à la fois drôle, convivial et touchant, tout à son image.

Dani Lary • Hall Tony Garnier21 Décembre 2012

“Dans son dernier spectacle le magicien DANI LARY quitte les chemins de la scène « du plus grand cabaret du monde sur France 2 » les samedis soir, pour nous entraî-ner dans un monde étrange et envoûtant.”

Francois Xavier DemaisonLa Bourse du travail12 Décembre 2012

François-Xavier Demaison, c’est l’histoire d’un mec qui a joué Coluche pour An-toine de Caunes et qui fait le saltimbanque depuis qu’il a compris qu’il perdait son temps dans son bureau d’avocats à New York, le jour précisément où les deux tours jumelles sombraient dans le néant.Depuis, il a rattrapé le temps perdu: France Inter et Canal + avec Stéphane Bern, cinéma (plus de 20 films à son compteur aujourd’hui), théâtre.François-Xavier Demaison nous revient avec un nouveau one man show. Chacun se souvient de “Demaison s’envole”.

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culture théâtre

J’aime beaucoup ce que vous faitesThéatre de l’OdeonJusqu’au 28 décembre 2012

Comment une fausse manœuvre avec un télé-phone portable vous fait découvrir ce que vos meilleurs amis pensent vraiment de vous. Pierre et Marie sont en route pour rendre visite à leurs amis, Charles et Carole, retirés à la campagne depuis six mois. Sur le chemin, ils s’adonnent à leur sport favori : la langue de pute et n’y vont pas de main morte sur leurs hôtes. Petit détail gênant : le portable de Pierre, mal verrouillé, appelle malencontreusement ces derniers qui, en direct, entendent tout ce que leurs meilleurs amis pensent d’eux !

6 rue Grolée - 69002 Lyon

Besame muchoThéatre de l’etoile RoyaleLes 13, 14, 20, 22 et 23 décembre 2012

Buenos Aires, en 1982, à la fin de la guerre des Malouines. Le “dangereux communiste” Diego de la Vega,traqué par le ca-pitaine Marquez et le sergent Garcia, se réfugie dans le cabaret miteux de Carmen, qui, entourée d’un orchestre minable, tente d’assurer avec sa fille Pilar la survie de son commerce malgré le couvre-feu. Suspectées d’être des femmes de petite vertu et opposantes au régime,Carmen et Pilar vont devoir choisir leur camp : courir le risque de cacher un opposant au régime ou le livrer au capitaine !

17 rue Royale - 69001 Lyon

Mon mariage, mes amis, mes embrouillessalle RameauLe 31 décembre 2012

Léon, célibataire quarantenaire, va enfin se marier avec un su-perbe mannequin originaire de l’Est rencontrée sur un site de rencontre via internet. Il a demandé à ses deux meilleurs amis Fred et Richard qui n’ont jamais vus l’heureuse élue, un coup de mains pour installer la salle des fêtes dans laquelle va se dérouler les festivités. Tout pourrait se passer dans le meilleur des mondes

si en voyant la photo de la futur mariée, Richard ne croyait pas reconnaître en elle une connaissance bien particulière...

29 rue de la Martinière - 69001 Lyon©

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cultureculture livres

BD: Vingt-trois prostituées Chester Brown

Montréalaises Drawn and Quarterly

Réservé, poli, gentiment monstrueux : voilà le témoi-gnage d’un client ordinaire. L’histoire même de l’auteur qui, face à l’échec d’une rela-tion amoureuse, décide d’en-terrer ses illusions roman-tiques pour basculer dans le monde des relations tarifées. Vingt-trois prostituées, au-tant de coups de téléphone, de lits peu engageants, d’ap-préhensions et de débats entre proches au sujet de cette facette de sa vie qu’il ne cherche aucunement à dissimuler. Si l’ouvrage s’en était tenu au témoignage, on aurait parlé style. Magis-tral, pour tout dire, malgré le poids d’une traduction plus que discutable. Mais en s’aventurant sur le ter-rain du pensum militant, le livre s’expose à une critique autrement plus lourde : car à son corps défendant, ce pe-tit bréviaire illustré résume, sous des abords indiscuta-blement bien intentionnés, tous les errements d’une morale libertaire surprise en plein coït avec les formes les plus sauvages de libéralisme économique.

Bon petit soldatMazarine Pingeot

Essai

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d’un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d’un trio aussi idéal que mythique, mais n’être rien ailleurs – rien, nada, personne. Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur – ne vit-elle pas aux crochets de la République ? Et puis devenir l’héritière morale. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même. Comment échapper à ce sortilège ori-ginel qui l’empêche d’être autre chose qu’un “bon petit soldat” ? C’est sous forme de journal que Ma-zarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant les-quels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique. Elle fait de son écriture, vi-brante et exutoire, le lieu d’une étonnante intros-pection collective.

Les deux messieurs de BruxellesEric-Emmanuel Schmitt

Albin Michel

Un recueil de 5 nouvelles sur le mystère des sentiments inavoués. Souvent, l’architec-ture d’une vie est composée de passions invisibles, qui ne se diront jamais, que per-sonne ne devinera, inacces-sibles parfois même à celui qui les éprouve. Et pourtant, quoiqu’obscurs, ces senti-ments sont réels ; mieux, ils construisent la réalité d’un destin. Avec délicatesse, Eric-Emmanuel Schmitt dévoile les secrets de plusieurs âmes. Une femme entretenue et gâtée par deux hommes qu’elle ne connaît pas. Un héros qui se tue à la mort de son chien. Une mère généreuse qui se met à haïr un enfant. Un couple dont le bonheur repose sur un meurtre. Un mari qui rap-pelle constamment sa nou-velle femme au respect de l’époux précédent…

Les égouts de Los AngelesMichael Connelly

Seuil

Près de deux ans après avoir résolu l’affaire du Dollmaker, le célèbre inspecteur Harry Bosch reprend du service après une nouvelle affecta-tion au commissariat de West Hollywood et découvre dans un égout le cadavre d’un de ses anciens compagnons de guerre. La victime était un rat de tunnel, unité mili-taire américaine pendant la guerre du Viêt Nam. Bosch est ainsi amené à enquêter sur de mystérieuses attaques de banques, tout en essayant de protéger un jeune témoin de l’enfer de la rue.

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culture dvd

Twixt Sortie : 12 décembreRéalisé par Francis Ford Coppola

Un écrivain sur le déclin arrive dans une petite bourgade des États-Unis pour y promouvoir son dernier roman de sorcellerie. Il se fait entraîner par le shérif dans une mystérieuse histoire de meurtre dont la victime est une jeune fille du coin. Le soir même, il rencontre, en rêve, l’énigma-tique fantôme d’une adolescente prénommée V. Il soupçonne un rapport entre V et le meurtre commis en ville, mais il décèle également dans cette histoire un passionnant sujet de roman qui s’offre à lui. Pour démêler cette énigme, il va devoir aller fouiller les méandres de son subcons-cient et découvrir que la clé du mystère est intimement liée à son histoire personnelle.

How I met your mother – Saison 7Sortie : 12 décembreRéalisé par Pamela Fryman, Ron Greenberg, Michael Shea

Ted Mosby se remémore ses jeunes années... Alors qu’il cherchait la femme de ses rêves à New York avec l’aide de ses meilleurs amis Marshall, Lily, Barney et Robin.

Associés contre le crimeSortie : 27 décembre 2012Réalisé par Pascal Thomas

Prudence et Bélisaire Beresford ont décidé de prendre un peu de repos bien mérité. Quand une richissime héritière russe disparaît, Prudence ne résiste pas à l’appel du danger... Bélisaire n’a pas le choix : il suit sa turbulente épouse. L’enquête les mènera sur les traces d’un mystérieux savant qui détient les secrets de l’éternelle jeunesse...

Total Recall - Mémoires programméesSortie : 15 décembreRéalisé par Len Wiseman

Modeste ouvrier, Douglas Quaid rêve de s’évader de sa vie frustrante. L’implantation de souve-nirs que propose la société Rekall lui paraît l’échappatoire idéale. S’offrir des souvenirs d’agent secret serait parfait… Mais lorsque la procédure d’implantation tourne mal, Quaid se retrouve traqué par la police. Il ne peut plus faire confiance à personne, sauf peut-être à une inconnue qui travaille pour une mystérieuse résistance clandestine. Très vite, la frontière entre l’imagination et la réalité se brouille. Qui est réellement Quaid, et quel est son destin ?

Expendables 2 : unité spéciale

Sortie : 22 Décembre 2012Réalisé par Simon West

Les Expendables sont de retour, et cette fois, la mission les touche de très près... Lorsque Mr. Church engage Barney Ross, Lee Christmas, Yin Yang, Gunnar Jensen, Toll Road et Hale Caesar – et deux nouveaux, Billy The Kid et Maggie – l’opération semble facile. Mais quand l’un d’entre eux est tué, les Expendables jurent de le venger. Bien qu’en territoires hostiles et donnés per-dants, ils vont semer le chaos chez leurs adversaires, et se retrouver à tenter de déjouer une menace inattendue – cinq tonnes de plutonium capables de modifier l’équilibre des forces mon-diales. Cette guerre-là n’est pourtant rien comparée à ce qu’ils vont faire subir à l’homme qui a sauvagement assassiné leur frère d’armes…

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culture cinéma

Arbitrage / Sortie : 5 décembre

Réalisé par Nicholas JareckiAvec : Richard Gere, Susan Sarandon, Tim RothGenre : thriller

Robert Miller est l’un des magnats les plus puissants de la finance new-yorkaise. Fort d’une réussite exemplaire, entouré de sa femme, Ellen, et de ses enfants dont sa brillante fille, Brooke, il incarne à lui seul le rêve américain. Pourtant, au-delà des apparences flamboyantes, Miller est piégé. Il doit à tout prix vendre son empire à une grande banque avant que l’on ne découvre l’ampleur de ses fraudes. La liaison qu’il entretient avec Julie, une jeune marchande d’art française, complique aussi sa vie privée... Alors qu’il est à deux doigts de conclure la transaction espérée, une erreur de trop va le mêler à une affaire criminelle...

Mes héros / Sortie : 12 décembre

Réalisé par Eric BesnardAvec : Clovis Cornillac, Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Pierre RichardGenre : comédie

Maxime est un chef d’entreprise qui fait des heures supplémentaires pour sauver sa compagnie d’ambulances au risque de sacrifier sa femme et ses enfants. Apprenant que sa mère est en garde à vue, il va la sortir de prison... et se le fait aussitôt reprocher. Olga, sa mère, est en effet une femme de caractère. Il apprend qu’elle s’est à nouveau disputée avec son père et décide de la ramener chez elle. C’est l’occasion pour Maxime de passer un week-end loin de ses responsabilités. Chez ses parents, deux sexagénaires qui, depuis quarante ans, s’aiment autant qu’ils s’engueulent. Cette parenthèse joyeuse dans une vie agitée est l’occasion pour le fils de se rappeler d’où il vient. La vie a beau être éphémère et injuste elle peut aussi être envisagée comme une suite de petits bonheurs. D’autant plus qu’ils ont un invité...

De l’autre côté du périph / Sortie : 19 décembre

Réalisé par David CharhonAvec : Laurent Lafitte, Omar Sy,Zabou BreitmanGenre : comédie

Un matin à l’aube dans une cité de Bobigny, près d’un vieux tripot clandestin, est retrouvé le corps sans vie de Constance Chaligny, femme du très influent Jean-Eric Chaligny, premier patron de France, au centre d’un climat social extrême qui secoue la France depuis quelques semaines. Ce matin-là deux mondes radicalement opposés vont alors se croiser : Ousmane Diakhaté, policier de la section financière de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquête va les emmener d’un côté à Paris et son syndicat patronal, de l’autre en ban-lieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour à tour, de l’autre côté du périph.

Jack Reacher / Sortie : 26 décembre

Réalisé par Christopher McquarrieAvec : Tom Cruise, Robert Duvall, Richard JenkinsGenre : drame – thriller

Un homme armé fait retentir six coups de feu. Cinq personnes sont tuées. Toutes les preuves ac-cusent l’homme qui a été arrêté. Lors de son interrogatoire, le suspect ne prononce qu’une phrase : “Trouvez Jack Reacher.” Commence alors une haletante course pour découvrir la vérité, qui va conduire Jack Reacher à affronter un ennemi inattendu mais redoutable, qui garde un lourd secret.

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loisirs bars

L’Absolu107 quai Pierre Scize69005 Lyon06 67 32 48 60 ou 06 98 26 77 07

Au coeur du vieux Lyon, situé sur les quais de Saône venez découvrir Le bar “L’Absolu”. Si vous cherchez un lieu où venir en sortant de cours ou du bureau.Si vous cherchez un lieu pour venir boire un bon verre de vin et manger une planche de charcuterie/fromage. Si vous cherchez un lieu où venir boire un verre avant de sortir. Si vous voulez vous préchauffer sur le dance flooor avant d’aller en boîte de nuit. L’Absolu n’attend plus que vous entre 18h et 1h.

Café de la cathédrale6 Rue Saint Etienne69005 Lyon04 78 37 15 10

Un décor “années 50 américaines”, rappellant la série “Happy Days” ou les couvertures du magazine “Life”, le Café de la Cathédrale fait dans le rétro américain. Vieilles enseignes et pompes à essence en guise de décor. Ce café, doté d’une agréable terrasse, est idéalement situé à l’angle des rues Saint Jean et Saint Etienne, à côté du parvis de la primatiale Saint Jean.

Le Florian3 rue de la Baleine - 69005 Lyon - 04 78 42 24 37

Pour l’histoire, Le Caffé Florian est le plus ancien, célèbre et luxueux café de la Place Saint-Marc de Venise. Le 29 Décembre 1720, Floriano Francesconi, ami de tous les notables de Venise, inaugure son célèbre café, situé sous les arcades des procuraties neuves de la place Saint-Marc avec vue sur la Basilique. Les clients le rebaptisent rapidement par le nom de son Propriétaire. C’est alors que naît le Caffé Florian. Dès lors poussée la porte du Florian Vieux Lyon, un voyage hors du temps vous emmènera découvrir la quintessence Vénitienne. Un cocktail à la main, vous vous laisserez porter par des rythmes jazzy aussi entrainants qu’apaisants.

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Le Ness4, boulevard des Brotteaux - 69006 Lyon - 04 78 24 31 81

Dans un cadre moderne et design, le Ness propose de déguster des spécialités italiennes et une cuisine raffinée au feu de bois. Une clientèle d’affaires se retrouve dans ce lieu branché le midi, et le soir, une majorité de jeunes gens vient donc profiter d’une ambiance très festive. On peut s’installer dans la salle spacieuse du rez-de-chaussée ou au premier étage dans une atmosphère plus intimiste et déguster les spécialités maison : escalope Valdostane grillée au feu de bois, antipasti, Saint-Jacques façon Ness, ou autres salades, viandes, pois-sons grillés, pâtes.

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loisirs restos

Hall 93, promenade des Tuileries 69160 Tassin la demi lune04 78 36 99 99

Plus que jamais créateur et novateur, le Chef Philippe Gauvreau souhaite aujourd’hui relever un nouveau défi : le voilà donc qu’il a investi la Promenade des Tuileries avec Halles 9, une brasserie chic et cosy de 450 m2 qui propose une cuisine de brasserie haut de gamme. On y vient siroter son café le matin, comme déjeuner à midi pour une pause des plus savoureuse ou y dîner pour des moments gourmands et conviviaux.

Le Plato 1, rue Villeneuve 69004 Lyon 04 72 00 01 30

Grace à un cadre chic, romantique et original, l’œil est d’abord agréablement surpris dès l’entrée au Plato. Design, couleurs tendres et plantes vertes se marient pour créer une ambiance détendue et élégante. Côté cuisine, raffinement et originalité sont également les deux maîtres mots avec par exemple le filet de bœuf poêlé aux poivrons rouges confits. En saison, les gibiers à plumes sont l’une des spécialités, et les Saint-Jacques fraîches connaissent un grand succès.

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loisirs cuisine

Un repas de Noël autour du monde

En ItaliePartons en Italie où la tradition culi-naire de Noël varie d’une région à l’autre. Au nord, on déguste le Pa-nettone, cette brioche toute ronde sucrée aux raisins et fruits confits. Au centre, ce sera le Panforte, une spécialité à base d’amandes, de fruits confits et miel. Le sud, lui, opte pour des beignets au miel et fruits confits, spécialité de Naples. Et tout le monde se régale avec les ricciarelli, une pâte d’amande re-couverte de sucre glace ou de cho-colat fin. Au Sud on se réunit le 24 autour d’un plat léger à base de mo-rue ou d’anguille avec des légumes. Au Nord, le 25 la valse des antipasti bat son plein, suivie des primi patti - une entrée à base de pâtes farcies- et le fameux pot au feu.

En SuèdeEn Suède, le repas de Noël se pré-sente sous la forme d’un immense buffet de mets chauds et froids, le smörgåsbord. Il est composé de di-verses sortes de hareng mariné, du saumon, des boulettes de viande, des saucisses, du pâté de foie, du chou rouge cuit... On sert aussi le traditionnel jambon bouilli puis grillé. En dessert, les suédois se ré-galent avec une sorte de riz au lait à l’orange et des petits gâteaux au gingembre, cardamome, cannelle et clou de girofle.

En EspagneDe mi-décembre au 6 janvier, les espagnols sont en fête. Pas de père noël, chez eux, ce sont les rois mages qui apportent les cadeaux aux enfants. Avant Noël, on prépare des petits biscuits sucrés : les man-tecados (aux noisettes), les roscos (biscuits au vin) ou encore des pol-vorones (biscuit à la cannelle). Le

repas est différent selon les régions mais c’est généralement une dinde ou un ragoût de chevreau que l’on mange en famille le 24 au soir. La table reste garnie de pâtisseries jusqu’au dimanche des Rois. On consomme pendant cette période et jusqu’au solstice d’hiver, la cou-ronne des Rois, une pâte briochée aux fruits confits et sucre.

En Grande-BretagneEn Grande-Bretagne, la tradition de Noël commence dès le mois de novembre lors de la prépara-tion du fameux Christmas Pudding qui sera dégusté le soir du réveil-lon de Noël. C’est lors du dernier dimanche avant Noël que la famille se réunit pour “tourner” le pudding en faisant un voeux. Outre ce des-sert, l’autre spécialité de Noël est le célèbre Christmas Cake, recou-vert d’un glaçage au sucre et déco-ré de petits sujets, il remplace un peu notre bûche. La coutume de la Dinde de Noël est également très présente en Grande Bretagne, rôtie, elle est farcie à la sauge et aux oignons. On trouve également sur les tables les saumons d’Ecosse bien sûr et l’autre plat national de tradition : le jambon braisé de Noël.

Au PortugalAu Portugal, toute la famille se réunie le 24 autour d’une morue bouillie avec des pommes de terre et des légumes verts. Le repas du 25 est plus fastueux avec un che-vreau rôti accompagné de pousses de navets et de grelos. On mange aussi un gâteau des rois similaire à celui des espagnols, du riz au lait et des Filhós, de gros beignets parfumé avec de l’eau de vie et de l’orange. On les saupoudre de can-nelle et de sucre avant de les dévo-rer à pleine dent.

En France, le repas de noël, c’est bien souvent dinde aux marrons, chapon et huîtres. Si vous êtes lassés de déguster le même menu chaque année, Lyon news vous propose d’innover avec un voyage culinaire mondial. Découvrez les plats traditionnels servis à noël dans ces 5 pays. Bon appétit !

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loisirs nouveauté

Les travaux s’activent pour permettre au jeune Hugo Molina de démarrer son activité mi décembre sous l’appellation “Le pain des Jacobins” dans un cadre complètement revisité et résolu-

ment actuel. Une décoration aux mélanges de bois et de fer, une baie vitrée offrant une vue sur l’atelier, des manges debout permettant de déguster sur place les différentes formules, les fameux cup cakes Maison de Sophie, Le pain des Jacobins ne sera pas une boulangerie comme les autres. Formé sous la houlette du Compagnon boulan-ger de St. Bernard, Christophe Cliet Marell, avec qui il s’est associé, le jeune Caladois va devenir lyonnais et bénéficiera de l’aide familiale pour la partie commerciale. “Sur les traces de mon arrière grand père boulanger j’entends profiter de la transmission du savoir faire d’un Compagnon soucieux de produits répondant à la tradition française” a annoncé Hugo Molina. Tout un programme.

Un club privé chic et discret ouvre ses portes aux amateurs de cigare

Ouvert depuis le 7 Décembre, le Cigare Club Victoria Hall accueillera dans une atmosphère chic et discrète les amateurs de Havane qui s’adonneront à leur plaisir

préféré en toute tranquillité en bénéficiant du confort d’un sa-lon qui leur est entièrement dédié. Vous y retrouverez de nom-breuses références de cigare et de spiritueux haut de gamme. Pour plus de renseignement, contacter le restaurant Le Victoria Hall au : 04 37 28 07 97

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Le mercredi décembre19

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mondial Auto paris 2012 : Aston Martin Vanquish

Au lendemain d’une première vue de son intérieur et de sa face ar-rière, l’Aston Martin Vanquish s’est montrée sous toutes ses coutures aujourd’hui. La firme de Gaydon a également présenté sa nouvelle création dans un clip vidéo.

La Vanquish est officiellement de retour. Aston Martin vient de pu-blier une vidéo de son nouveau supercar reprenant l’appellation du bolide produit de 2001 à 2004, ainsi que les clichés la montrant sous toutes ses facettes.

La naissance de cette voiture est importante à plusieurs titres. A peine créée, elle symbolise déjà la longévité d’Aston en intervenant en guise de célébration du cente-naire de la marque fondée en 1913.

Son arrivée au monde était atten-due en raison de l’héritage qu’elle doit supporter. Elle prend le relais d’une DBS arrivée au terme de sa carrière et doit également faire oublier la One-77 qui est sold out, mais possède pour cela de nom-breux gènes des deux véhicules.

Dans ce clip, Aston Martin n’a pu s’empêcher de vanter les lignes harmonieuses et agressives de sa dernière création. Cette dernière a été façonnée à l’image du concept-car présenté Project AM 310 lors du concours d’élégance de Villa d’Este en Italie.

En position statique, cette Van-quish semble très réussie. Elle bé-néficie de jantes 20 pouces habil-lées de pneus Pirelli P Zero 255/35 à l’avant et 305/30 à l’arrière, de freins en carbone ainsi et de trois modes de suspension : Normal, Sport and Track.

Son gabarit est assez proche de celui de la DBS. Elle mesure 4,72 mètres en longueur avec 2,74 mètres d’empattement, 2,07 mètres en largeur, 1,29 mètre en hauteur et perd 55 kg par rapport à la voiture qu’elle remplace pour afficher 1.739 kg sur la balance.

A l’intérieur, la Vanquish offre sans surprise la possibilité de passer du 2+0 au 2+2. Dans cette dernière configuration, elle réserve aux

passagers situés à l’arrière plus d’espace que ne le permettait la DBS : 3,7 cm de plus au niveau des jambes, 5 cm de plus pour les genoux, 8,7 cm pour les coudes et 2,5 cm pour les épaules. Au total, le volume d’espace à l’arrière se chiffre à 368 litres, en progression de 60% par rapport à la DBS.

Associé à la boîte automatique six-rapports Touchtronic 2 de la DBS, son V12 6.0 développe 573 chevaux et 620 Nm de couple lui permettant d’avaler le 0-100 en 4,1 secondes, deux dixièmes de secondes de mieux que la DBS. Mais le principal point faible de la Vanquish devrait se trouver dans une vitesse de pointe qui plafonne à 295 km/h, soit 10 km/h de moins que la DBS.

La nouvelle supercar de la firme de Gaydon devrait débarquer dans les concessions européennes avant la fin de l’année. Son prix avoisinerait les 235.000 euros.

Sources : Actus et Tests auto sur Turbo.fr

loisirs auto

Au lendemain d’une première vue de son intérieur et de sa face arrière, l’Aston Martin Vanquish s’est montrée sous toutes ses coutures aujourd’hui.

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Voici la version définitive de la nouvelle Triumph Daytona 675. La sportive britannique a été entière-ment revue pour conserver une place de choix chez les supersportives. A commencer par le nouveau mo-teur qui gagne 3 chevaux et 0,3 mkg. Ce qui donne 128 chevaux au vilebrequin et 7,6 mkg de couple. Le régime maxi a aussi été revu à la hausse, il culmine maintenant à 14 400 tr/min (13 900 tr/min en 2012). L’embrayage anti-dribble est aussi monté sur la moto.

Et comme sur les nouvelles Street Triple, la nouvelle Daytona adopte une clé codée. Au niveau de la par-tie-cycle, la moto perd 1,5 kg sur la balance. Cadre et boucle arrière sont nouveaux avec l’échappement qui quitte le dessous de selle pour migrer en position basse. Triumph annonce aussi une meilleure lecture de la route (ou du circuit..) grâce au nouveau châs-sis et aux nouvelles suspensions. La répartition des masses a également été revue (meilleur centrage) tout comme la géométrie (empattement raccourci).

Une version ABS arrive également au catalogue. Il est déconnectable, et dispose également d’un mode

adapté à la piste qui autorise la glisse de la roue arrière. De nouvelles roues plus légères, qui offrent moins d’inertie ont aussi été montées pour améliorer la maniabilité de la moto. Enfin, la moto profite d’une hauteur de selle réduite de 10 mm, ce qui devrait un peu améliorer la position de conduite sur la route.

Daytona 675 RComme la version Standard, la Daytona R évolue pour 2013. Elle hérite évidemment de toutes les amé-liorations réalisées sur la Daytona, mais elle y ajoute les suspensions Öhlins (TTX à l’arrière et NIX30 à l’avant) l’ABS de nouveaux étriers Brembo plus lé-gers des éléments en carbone et un shifter de série.

La Daytona standard sera affichée à 11 790 euros, la version ABS à 12 190 euros et la Daytona R ABS coûte 13 690 euros. Les deux motos seront disponibles en janvier 2013.

Source : www.motorevue.com

loisirs moto

Annoncée depuis deux ans déjà, voici la nouvelle Triumph Daytona 675 millésime 2013. Si la partie avant ressemble au modèle actuel, c’est surtout à l’arrière que les changements sont les plus nombreux.

nouveautés 2013 : Triumph Daytona 675

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Etape 1 : préparez votre peauLe pré-rasage ou comment bien préparer le poil

Les poils sont durs au réveil alors lais-sez leur le temps de se réveiller. Evitez le rasage au saut du lit quand les poils sont encore pelotonnés dans leurs fol-licules. Et même s’il est capital de net-toyer le visage le matin afin d’éliminer toutes les impuretés et d’hydrater la peau, sachez qu’il convient d’attendre 15 à 20 minutes avant de vous raser : le temps pour les poils de se ramollir et de s’assouplir. Une à deux fois par semaine prévoyez un gommage de la peau pour éliminer les cellules mortes.

La douche

Sachez qu’il faut se raser dans la douche ou bien juste après. A l’image de la serviette chaude du barbier, le secret est la vapeur. Elle permet aux pores de s’ouvrir, de libérer les poils de les détendre et de les assouplir. Un bon indicateur : si la buée n’a pas recouvert le miroir de votre salle de bains, votre peau n’est pas encore prête !

Le nettoyage

Il est important de nettoyer votre peau avant le rasage. Utilisez un gel nettoyant que vous ferez mousser 10 secondes afin de purifier votre peau. Notez que si vous vous rasez sans nettoyer votre peau, vous risquez de coincer des impuretés dans vos pores ouverts ce qui tend à favoriser les cou-pures. Si vous utilisez un blaireau par la suite, il vous permettra d’exfolier en douceur et de vous débarrasser de vos peaux mortes.

L’huile de pré-rasage

Bien que souvent oubliée, l’huile de pré-rasage joue un rôle crucial dans la diminution des entailles, coupures et irritations. Humidifiez tout d’abord la zone à raser avec de l’eau chaude. Dé-posez une goutte d’huile de pré-rasage dans le creux de la main. Emulsionnez et chauffez la goutte d’huile paume contre paume. Ne rincez pas !

Etape 2 : rasez votre barbeAppliquer le gel, la mousse ou la crème à raser

Pour un rasage ultra précis, utilisez un gel de rasage ou une mousse à raser, afin de faciliter le redressement du poil et améliorer la glisse de la lame. Appli-quez le gel de rasage ou la mousse à raser sur votre barbe par de légers massages circulaires en commençant par le cou.

Le rasage

Vous devez toujours prendre la direc-tion de la pousse de votre poil : vous éviterez ainsi la formation de poils incarnés. Commencez par les pattes en descendant vers les joues. Réservez la zone du cou et du menton pour la fin du rasage. Ainsi, vous laisserez l’huile de pré-rasage agir plus longtemps, ce qui facilitera la coupe de ces poils plus durs et de cette zone moins régulière. Préférez des gestes longs et disciplinés à de petits gestes rapides et désordon-nés. Nettoyez votre lame de rasoir fré-quemment sous un filet d’eau chaude : vous augmenterez sa durée de vie et votre rasage sera impeccable !

Etape 3 : apaisez votre épidermeRincez !

Une fois le rasage terminé, aspergez votre visage avec de l’eau froide à plu-sieurs reprises. En plus de débarrasser votre visage des résidus de crème, l’eau froide referme les pores de votre peau. Vous vous êtes blessé ? Utilisez une pierre d’alun aux propriétés naturel-lement hémostatiques pour stopper le saignement après l’avoir passée sous l’eau tiède. Adoucissante, hydratante, astringente et non allergisante, elle tonifie aussi la peau et aide à resserrer les pores après le rasage. Pour sécher votre visage, tamponnez-le avec une serviette propre, mais ne frottez sur-tout pas !

Le soin après-rasage

Lotion après-rasage sans alcool ou baume hydratant, ne négligez pas le soin il est primordial., idéale pour les hommes à la peau grasse. =F. B.

Le froid, le changement d’habitude alimentaire, autant de facteurs qui fragilisent la peau. Il est donc indispensable

d’entretenir au mieux votre visage et cela commence tout d’abord par un rasage impeccable et soigné.

Se raser tous les jours irrite la peau. Comment en serait-il autrement lorsqu’on sait qu’il faut en moyenne

15 passages de lame pour être rasé correctement et plus encore pour un rasage parfait. Voici les 3 étapes essentielles

pour un rasage tout en douceur.

3 étapes pour un rasage impeccable !

3 étapes pour un rasage impeccable !

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loisirs remise en forme

Qui dit fêtes de fin d’année dit aussi excès alimentaires en tous genres. Chocolat, foie gras et autres petits plaisirs devraient vous laisser le goût amer des 3 kilos en trop responsables de l’effet “boudiné(e) dans mon jean préféré”. Pour y échapper cette an-née et optimiser votre capital forme dès la rentrée, nous vous conseillons de débuter une activité sportive dès maintenant.

La bonne formule ? Pratiquer une acti-vité cardiovasculaire pour mobilier votre cœur et une activité de flexibili-té générale pour préparer votre corps à exécuter les mouvements de la vie de tous les jours avec plus d’aisance.

Régularité et plaisirLe secret de la réussite tient en 2 mots : régularité et plaisir. A raison de 3 fois par semaine, misez, côté cardio, sur des activités festives et optez pour des activités de renforcement ciblées. Parce que Wellness Sport Club fait de l’ac-compagnement personnalisé sa prio-rité, vous ne commencerez pas sans un rendez-vous initial avec votre coach.

Au programme : découverte des es-paces musculation, cardio-training, fonctionnel, salle de cours collectifs, espace aquatique. Vous testerez le fonctionnement des appareils adap-tés à vos objectifs et à votre profil et le coach vous orientera sur les activi-tés faites pour vous. Envie de soleil ? Et pourquoi ne pas tester la zumba et son ambiance latine ? Pour les ac-cros des plaisirs aquatiques, un cours d’aquabiking s’impose. Pédaler dans l’eau chaude alors qu’il gèle dehors… Le must !

En ajoutant quelques règles de bon sens à suivre au quotidien, le sportif débutant que vous êtes devrait re-nouer avec son corps et acquérir l’ai-sance qui lui manquait. Préférez l’esca-lier à l’ascenseur, oubliez la voiture pour les petits trajets et au bureau, levez-vous régulièrement de votre fau-teuil. Un nouvel art de vivre à adopter sans plus tarder pour aborder 2013 en toute sérénité !

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Se mettre au sport avant les fêtes : pourquoi ?

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Comme chaque fin d’année vous repoussez systématiquement votre inscription au centre de remise en forme, prétextant les pseudo bonnes résolutions de début d’année. Le temps file et vous voilà déjà à l’aube de 2013, toujours sans activité sportive. Et si vous sautiez le pas avant les fêtes ?

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loisirs horoscope décembre

Édité par la Société SUCH A STAR

1110 Route du Puy d’Or - 69760 LimonestTél : 04 89 04 47 41RCS : 523 99 088 Responsable de la publication & de la rédaction

Dominique LAFOY / direction@suchastar.com

Commercial Alexandre d’AUBAREDE 06 23 31 67 32 / commercial@suchastar.comRédactrice en chef Oriana MARCÉquipe rédactionnelle Michael AUGUSTIN, Fabienne DUMASOnt collaboré à ce numéroLaureline COqUARD, Mikhaël DEFOLY,

Chrystèle DEVIERNE, Fabiola BARANI-RUSSELO

Photographes Alain RICO, Michael AUGUSTIN

Photo couverture © MFM Radio

Graphiste Marina GLAVANOVIC

Impression Brailly, 62 route Millénaire Parc Inopolis - 69230 Saint Genis Laval

BELIERLes fêtes de fin d’année vous réserver un lot de surprises détonantes ! En espérant que vous aurez le coeur bien accroché, certaines révéla-tions pourraient vous perturber ! C’est le moment de plancher sur les projets de l’année à venir, 2013 sera votre année si vous vous en donnez les moyens !

TAUREAUPas de quoi pavoiser en ce mois de décembre qui rime avec coup de fatigue ! Les finances accuseront le coup si vous n’êtes pas assez vigi-lant sur vos colonnes recettes et dépenses. En couple, les célibataires auront toutes les choses de renouer le dialogue ou plus avec un(e) revenant(e). Avancez avec prudence.

GEMEAUXDe nouvelles personnes entreront dans votre cercle proche et en pousseront d’autres vers la sortie, ce qui pourrait susciter jalousies et tension. Côté finances, vous pourrez consolider votre situation maté-rielle, à condition de vous imposer un petit régime budgétaire, il va falloir coller des rustines sur votre panier percé !

CAnCERLa lune vous suivra dans vos moindres déplacements ce mois ci et vous portera une chance assez unique ! D’heureux concours de cir-constances vont remplir ce mois avec des fêtes de Noël qui verront de vieux conflits s’enterrer à jamais. Vous êtes dans une dynamique positive et ça se ressent.

LIOnLa communication pêche un peu avec votre moitié, les non-dits sus-citeront des conflits souvent inutiles. C’est avec votre sens aigu de la diplomatie que vous rétablirez le courant entre vous ! Une petite instabilité professionnelle ouvrira peut être la voie à une grande recon-version !

VIERGEUn peu d’égoïsme ne nuit pas ! C’est le moment de penser à vous et pas au travers des autres comme vous l’avez trop fait ces derniers temps. Fini la Vierge Saint Bernard, réveillez le pitbull qui sommeille en vous ! Affirmez vous ! Pensez à prévoir de belles festivités, des fêtes réussies vous feront un bien fou !

BALAnCEVous flottez un peu entre deux eaux, tranquillement, en vous lais-sant bercer par le rythme tranquille de la vie ! Cette période de calme vous apportera sérénité et vous permettra de faire le point sur des événements passés qui vous ont demandé beaucoup d’énergie. Côté sentimental, sachez surprendre votre moitié, elle ne demande que ça !

SCORPIOnC’est l’UMP dans votre couple ? à trop vous bouffer le nez, certaines cicatrices seront indélébiles, sachez ménagez votre monture. Côté professionnel, c’est un mois speed qui s’offre à vous, si vous n’avez pas encore posé quelques jours de congés entre les fêtes, il serait grand temps, sans quoi le burn-out vous fera de l’oeil.

SAGITTAIRELa vie des autres vous fait envie ? Eh bien pourquoi ne pas briser la carapace et tenter l’impossible ? Si vous rêvez de changer de vie, donnez vous en les moyens. Un investissement immobilier, un grand voyage ou un projet familial donnera un peps incroyable à votre vie. Ce mois marquera un virage important dans votre vie.

CAPRICORnE

N’attendez pas que l’amour vous tende les bras, il faudra aller le chercher vous même ! Célibataires, retroussez vos manches, ça fini-ra par payer. Côté finances, gardez un oeil attentif sur vos comptes et sachez levez le pied sur les gros cadeaux de Noël ! Freinez votre grande générosité.

VERSEAU Les idées ne manqueront pas pour améliorer votre quotidien ou pour améliorer votre situation financière. Attention cependant aux associa-tions malheureuses, il n’y a pas que des personnes bien intentionnées autour de vous, les conseils de la famille seront précieux. Les fêtes vous promettent de grands moments d’émotion, et vous en serez un membre actif.

POISSOnDécembre s’amorce avec une montagne de projets pour 2013. Sachez vous montrer discret sur leurs concrétisations, sachez ravaler votre langue ! Pour les récents déçus de l’amour, un nouvel élan marquera la fin d’une période de doutes. Sachez ouvrir davantage votre coeur et de belles rencontres s’offriront à vous, à n’en pas douter.

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