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Conducteur Atelier
Diagrammes de Flux
Exercice N°1 : Une société de transport en commun... un accident... Règles de gestion pour le traitement de l’accident : • Le conducteur remplit une déclaration d’accident. Il conduit le bus à l’atelier qui établit un devis de réparation. • Le service administratif définit la responsabilité selon la déclaration d’accident.
• Trois cas sont envisagés – prise en charge par les assurances : déclaration et devis sont transmis à l’assurance qui règle la note. – responsabilité du conducteur : la société indemnise l’accidenté sur présentation des justificatifs. – responsabilité du tiers : c’est lui qui paie l’addition... Le conducteur envoie la déclaration d’accident au service gestion accident. Le conducteur conduit le véhicule à l’atelier. L’atelier envoie le devis au service gestion d’accident. Le service gestion accident envoie la déclaration et le devis à l’assurance. L’assurance transmet le paiement au service gestion accident. Le tiers envoie les justificatifs au service gestion accident. Le service gestion accident envoie le règlement au tiers.
Véhicule
Service Gestion Assurance
Déclaration accident
Devis
Paiemen
t Justificatif
Déclaration + devis
Règlement
Assurance Tiers
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Diagrammes de Flux
Exercice N°2 : Les différents clubs transmettent à la ligue Belge Francophone de Triathlon et de Duathlon (LBFTD) les dates des triathlons qu’ils organisent ainsi que leur descriptif. La LBFTD examine ces propositions et inscrit au calendrier les triathlons retenus.
Une fois les triathlons inscrits au calendrier, le secrétaire des clubs qui organise une épreuve fournit les bulletins d’inscriptions aux demandeurs qui les retournent renseignés et accompagnés de pièces justificatives.
Le secrétaire procède alors à plusieurs vérifications avant de renvoyer une réponse.
• Le respect des quotas de triathlètes par triathlon imposés pour la sécurité sur le parcours. • Le respect du délai d’envoi (la clôture des inscriptions est automatique 15 jours avant la
compétition). • La vérification de la photocopie de la licence qui atteste de l’appartenance du triathlète à la
fédération et la régularité de son assurance sportive. • La présence du chèque de règlement des frais d’inscriptions
Si l’inscription est régulière, le secrétaire accuse réception de celle‐ci et confirme son enregistrement.
Les clubs transmettent à la LBFTD les dates et le descriptif. La LBFTD renvoie le calendrier des dates aux clubs. Le club envoie le bulletin d’inscriptions athlète. Les athlètes renvoient l’inscription et les pièces justificatives. Le club transmet la réponse à l’athlète.
Club
Athlète
Bulletin inscription
Réponse
Inscription et pièce justificatives
Date et descriptif
Calend
rier
LBFTD
3
Diagrammes de Flux
Exercice N°3 :
La SARL DETAIRE fabrique et commercialise des produits alimentaires à base de pommes de terre. Les dirigeants souhaitent une analyse de leur système d’information et plus particulièrement le domaine de la gestion des activités commerciales. Le service commercial recueille chaque jour les commandes des clients (pour l’essentiel des grandes surfaces), chaque commande est saisie par une secrétaire commerciale. Cette secrétaire vérifie la situation des clients avec l’état des litiges adressés par le service contentieux. Les commandes passées par les clients‐litiges (clients ayant un encours de crédit supérieur au plafond) sont bloquées. Et la commande est alors transmise au service contentieux. Les autres commandes sont transmises au secrétariat du service expédition.
Lorsque le service contentieux reçoit une commande bloquée, il envoie aussitôt un courrier aux clients concernés. Le service contentieux examine en fin de journée la situation des clients‐litiges et débloquent les commandes des clients ayant régularisé leur situation.
Les commandes des clients sont préparées par le service expédition : en début de matinée, les bons de préparation sont imprimes par la secrétaire du service puis transmis au responsable du service qui les dispatchés auprès des différents préparateurs. Les préparateurs emballent les colis, les chargent dans les camions et notent les quantités livrées sur l’ordre de préparation. Le préparateur saisit ensuite les quantités livrées pour chaque commande. Une fois le bon de préparation établi, celui‐ci est remonte au service commercial qui peut alors éditer le bon de livraison en 2 exemplaires (1 pour le transporteur et 1 pour le service commercial). Un double des ordres de préparation est remis au secrétariat commercial qui se charge alors de saisir les bons de livraison. Pour les commandes incomplètes, un état des reliquats de commande est établi par un employé du service commercial qui l’adresse aussitôt à la secrétaire commerciale. Un employé du service commercial imprime la facture en 3 exemplaires : 1 pour le client, 1 pour la comptabilité et 1 pour les archives. Le service commercial adresse par ailleurs en fin de mois un relève de factures aux clients. Les clients adressent leur règlement au service comptable qui les impute en comptabilité.
Informations complémentaires relatives à l’activité Gestion des commandes :
« Lorsque la secrétaire commerciale reçoit une commande, elle verifie d’abord si le client n’est pas en litige. Si la commande est en litige, elle la remet au service contentieux. Dans le cas contraire elle contrôle les coordonnées du client et le met à jour. Au besoin, elle crée un compte pour les nouveaux clients.
Elle saisit ensuite le bon de commande t l’imprime pour le remettre au service des expéditions. 01° le client passe une commande au service commercial 02° le client‐litige passe une commande au service commercial 03° le service commercial verifie si client‐litiges si oui il remet la commande au service contentieux 04° le service contentieux envoie un courrier au client‐litige
4
Archive Comptabilité
Service Commercial
Service expédition
Service contentieux
8
7
3
11
12
Client litige
Client
Transporteur
9
1
10
2
6
5
4
05° le client litige règle la facture au service contentieux 06° le service contentieux transmet la commande débloquée au service expédition 07° le service commercial envoie la commande au service expédition 08° le service expédition envoie le bon de réception au service commercial 09° le service commercial envoie le bon de livraison au transporteur 10° le service commercial envoie la facture au client 11° le service commercial envoie une copie de la facture au service archive 12° le service commercial envoie une copie de la facture au service comptabilité
5
Est inscrit
Modélisation des données
Le M.C.D (Menu Conceptuel de Donnée) gère les tables dans une base de données relationnelle
Eléments principaux du M.C.D :
• Entités : élément matériel ou immatériel qui a un sens à lui seul pour le domaine étudié.
Entité regroupe un ensemble de propriétés qui qualifient l’entité.
Entité
Propriétés
Une propriété doit jouer un rôle d’identifiant (permet d’identifier de manière unique une occurrence de l’entité étudiant clé primaire)
Les entités sont reliées par des relations, les relations portent des cardinalités.
(1, n) (0, n)
Etudiant IdEtudiant (identifiant) Nom Prénom Adresse
………..
Etudiant IdEtudiant (identifiant) Nom Prénom Adresse
………..
Unité Formation IdUniteFormation Intitulé Nbre Périodes
6
Est
Reprend
Modélisation des données
(1, n) Un étudiant ou plusieurs sont inscrit à l’unité de formation.
(0, n) Aucune unité de formation ou plusieurs a des étudiants inscrit.
0 Aucun 1 Un seul N Plusieurs Exercice N°1 : Une agence de locations de vacances en France a, en vue de faciliter la recherche, regroupé ses différentes locations par type. (Exemple: type 1 studio, type 2 appartement 2 pièces, type 3 appartement 3 pièces,...). Chaque location est identifiée par un numéro de référence et qualifiée par une adresse et une brève description. Une location est d'un seul type. Elle a aussi découpé le pays en région qui reprend différents départements. Les régions ont un nom, les départements ont un numéro et un nom. Donner le dictionnaire des données. Elaborer le MCD.
(0, n) (1,1)
(1,1)
(0, n) (1, n) (1,1)
Type de location Idtype (identifiant) Intitulé
Bien IDBien Adresse
Région IdRégion Nom
Département N° Département Nom
Situe
7
Modélisation des données
Exercice N°2 : Soient les données suivantes : N° club, libelle club, Idcatégorieclub, libelle catégorie club, N°Joueur, nom joueur, N°Match, date match. Soient les règles de gestions suivantes : Un club appartient à une et une seule catégorie. Un joueur est affilié à un est un seul club. On souhaite connaître pour chaque match « les deux clubs » et « les joueurs qui ont joué » « si le match a déjà eu lieu »
Club
Catégorie
(1,1) (1, n)N°Club IdCatégorieClub Libellé Libellé
(1, n)
(1, n)
(1,1) ‐2,2
Joueur Match (0, n) (0, n)N°Joueur N°Match Nom joueur Date
8
Modélisation des données
Exercice N°3 : Un établissement scolaire : Un professeur est identifié par ses Nom Prénom Adresse Date de naissance et Qualification Un cours est qualifié par un intitulé et nombre d’heures Un local est qualifié par un numéro, une capacité et éventuellement une spécialité (labo chimie….) Un équipement est qualifié par un code et un intitulé Une aile est qualifiée par un code et un nom Un professeur peut enseigner différents cours. Un cours peut être donné dans des classes différentes. Un local peut être équipé d’équipements différents. *Certains cours ont un prérequis
PROF (1, n) (1, n) Cours IdProf IdCours (0, n) Nom Intitule Prénom (1, n) Nbres H Adresse (0, n) DateN Qualif
(1, n) Local IdLocal (0, n) (0,1) Equipement Capacité IdEquipementSpécialité Intitulé (1,1)
(1, n) Aile IdAile Intitulé
9
Modélisation des données
Exercice N°4 : Employés d’une entreprise ‐ Un employé est identifié par un numéro, nom, prénom, date de naissance et adresse ‐ La qualification est qualifiée par un code et un intitulé. ‐ Une qualification peut être possédée par plusieurs employés. ‐ Un local est identifié par un numéro et un code qi correspond à une position sur un plan. ‐ Un employé occupe un local ‐ Un local peut être occupé par plusieurs employés. Mais il existe des locaux i ne sont pas occupé par des employés. ‐ Un employé gère des dossiers. ‐ Un dossier est qualifié par un numéro, intitulé et une brève description. ‐ Un dossier peut être gérer par plusieurs employés.
Employé (1, n) (1, n) Qualification IdEmployé IdQualif Nom Intitule Prénom DateN Adresse (1, n) (0, n) Dossier (1, n) IdDossier
Intitulé Description
(0, n) Local IdLocal Code
10
Modélisation des données
Exercice N°1 Simple : Gestion des configurations IP d’un parc informatique. On souhaite mettre en place une application qui permet de retrouver pour chaque équipement du parc informatique d’une entreprise les informations suivantes : Le ou les adresses IP des équipements (un équipement peut posséder plusieurs adresses IP).
Pour une adresse IP, le réseau auquel elle appartient. Pour chaque réseau, l’adresse de la passerelle par défaut le netmask, l’adresse du ou des serveurs DNS.
REM : Il n’y a pas d’entité adresse.
Equipements (1, n) (1, n) Réseau IdEquipement IdReseau Nom Passerelle Netmask
(1, n)
(1, n) DNS IDDNS
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Modélisation des données
Exercice N° 2 Simple : Planning des cours organisés par une "auto‐école". Dans une auto‐école, on a les données suivantes: Nom de l'élève Nom du moniteur N° d'immatriculation du véhicule Le modèle du véhicule (exemple: clio, corsa, 308, punto, megane, etc...) La durée prévue d'une leçon Règle de gestion: Une leçon est planifiée pour une durée donnée, elle concerne un élève, Un modèle de véhicule, un moniteur pour une date et une heure prévue. Un élève peut suivre des leçons avec des moniteurs différents. Les débuts des leçons sont alignés sur des tranches préétablies. Variante: Idem mais un élève ne suit l'ensemble de ses leçons qu'avec un seul et même moniteur.
ELEVE (1, n) (1,1) LECON N° Eleve IdLecon Nom Date Prenom Duree Adresse (1,1) (1,1)
(1,1)(1, n)
MONITEUR (1, n) N°Moniteur MODELE Nom IdModele Prenom Intitule Adresse
(1, n)
(0, n) TRAITEMENT HORIARE (1,1) Heure VEHICULE
N°Immat
12
Modélisation des données
Exercice N° 3 Simple : Gestion des équipes dans un atelier de fabrication Données: N° de l'équipe Nom d'un employé N° de matricule d'un employé Qualification d'un employé Le nombre de personnes ayant une qualification donnée dans l'entreprise. Nombre de personnes ayant une qualification donnée dans une équipe. Règles de gestion: Dans une équipe, il y a toujours un et un seul chef d'équipe et au moins un employé. Un employé a une qualification unique et appartient à une et une seule équipe. On doit pouvoir répondre aux questions suivantes: A quelle équipe appartient une personne déterminée ? Qui est le chef d'une équipe déterminée ? Qui a sous ses ordres un tel chef d'équipe ?
EMPLOYE (1,1) (1, n) EQUIPE N°MATEMPLOYE N°EQUIPE Nom (0,1) (1,1) (1,1) (1, n)
(1, n) (1, n)QUALIFICAION
IdQualif Intitulé Nbre Employé
Un employé appartient à 1 et 1 équipe Une qualif est possédée par 1 ou plusieurs employé
Un employé est chef de zéro à une équipe Une équipe a 1 et 1 seul chef
13
Modélisation des données
Exercice N° 4 Simple : Gestion des courses de chevaux d'une saison Données: Type de course (tiercé, quarté, quinté) N° de la course (3ème course à Longchamp) Désignation de la course qui est unique (Prix de l'arc de triomphe, Gd prix d'Amérique, etc...) Nom du champ de course (Longchamp, Vincennes, etc....) Catégorie de course (galop, trot attelé, trot monté, obstacles, etc...) Date de la course Dotation de la course Nom du cheval supposé unique N° de dossard du jockey (et donc du cheval) Nom du propriétaire du cheval Le gain du cheval depuis le début de la saison Sexe du cheval Nom du jockey Date de naissance du cheval Règles de gestion: Un champ de course est équipé pour une ou plusieurs catégories de course. Une course est toujours d'un seul type donné. Un cheval a une parenté ascendante et éventuellement descendante. Une course ne peut être que d’une seule catégorie.
14
(1,1) (1, n) COURSE TYPE
IdCourse IdType N° Course
CATEGORIE Nom Type Désignation (1,1) (1, n) IdCat Date Nom Cat Dotation
(1,1) (1, n)
(1, n) (1,0)CHAMP JOCKEY
IdChamp IdJockey Nom Nom (1, n) N° jockey
CHEVAL IdCheval
(0, n) Nom Sexe Proprio
Gain (2,2)
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Modélisation des données
Exercice N° 5 Simple : Gestion des animaux dans un zoo. Les animaux d'un zoo suivent chacun un régime alimentaire. Un régime est constitué d'un mélange d'ingrédients, chacun en quantité déterminée. Le régime d'un animal peut varier d'un jour à l'autre. Chaque animal est caractérisé, en fonction de son espèce, par ses besoins minima et maxima en nutriments (calcium, protéine, etc...) exprimés en mg par unité de poids de l'animal. Ces besoins sont fonction de l'espèce de l'animal. On connaît la teneur de chaque ingrédient en nutriments, exprimée en mg par kg d'ingrédient. Chaque ingrédient a un coût unitaire. Chaque animal requiert des soins qui sont évalués en francs par jour. Ces soins peuvent varier d'un jour à l'autre. Etablir le dictionnaire des données.
Dictionnaire des données
Nom du champ Description (Role du champ)
Type Longueur Caractére
Idcourse Identificateur des courses
N (entier) 1 octet Auto incrémenté
Date de naissance Date de naissance Date (AAAA/MM/JJ)
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ANIMAUX (1,1) (1, n) ESPECE (1, n) IdAnimaux IdEpesce Nom Nom Poids
(1, n) (1, n)
(1, n) SOINS IdSoins Libellé (1, n) (1, n) (1, n) REGIME JOUR IdRegime N°Jour
Nom
(1, n)
(0, n)
INGREDIENT (1, n) (1, n) NUTRIMENTS IdIngredient IdNutriment (1, n) Nom Nom Cout Unitaire
17
Modélisation des données
Exercice N° 6 Simple : Archivage de toutes les médailles olympiques. Le COI souhaite déployer sur le Web une base de données reprenant l'ensemble des médailles olympiques de l'ère moderne aussi bien en sport collectif qu'individuel. Le visiteur doit pouvoir extraire des informations en choisissant l'année, le type de jeux (hiver/été) et/ou la ville organisatrice. Les différentes épreuves sportives pour lesquelles des médailles ont été distribuées sont réparties en Catégories (natation, athlétisme, cyclisme, etc...) et disciplines (100m haies, 110m haies, 100 m plat, 100 m nage libre, 100 m brasse, 4x100 mètres plats, 4x100 mètres nage, etc...). On fera la distinction entre les disciplines individuelles et collectives. Pour les 3 disciplines individuelles, on souhaite archiver les athlètes médaillés et la (les) nation(s) qu'ils représentaient. Pour les disciplines collectives, on souhaite archiver les médailles obtenues par chaque nation. De plus, on souhaite archiver le nombre total de médailles d'or, d'argent et de bronze obtenues par chaque nation lors d'un jeu d'hiver ou d'été. Etablir le dictionnaire des données.
18
19
Modélisation des données
Exercice N° 7 Simple : Archivages des championnats de formule 1. Chaque année, un ensemble de courses de formule 1 sont organisées dans le cadre des championnats du monde des pilotes et des constructeurs. Chaque course est considérée comme un grand prix (GP Belgique, GP de Grande‐Bretagne, GP d'Argentine, etc...). Un grand prix n'a pas toujours lieu chaque année dans un pays et n'est pas toujours organisé sur le même circuit (exemple: Monaco, Francorchamps). Lors de chaque course, des points sont distribués aux pilotes et constructeurs en fonction des places. Pendant une année, un pilote n'appartient qu'à une seule écurie. La participation d'une écurie est limitée à 2 voitures par grand prix. Une écurie ne peut utiliser qu'une seule marque de moteur et de pneumatiques pendant un championnat. On souhaite pouvoir obtenir La composition de la grille de départ d'un grand prix d'une année déterminée avec les temps de qualification. Le classement d'un grand prix d'une année déterminée et les points récoltés par les pilotes et écuries. Le classement final des pilotes et des écuries d'un championnat déterminé. La liste des différents vainqueurs sur un circuit déterminé ou un grand prix déterminé. Le palmarès d'un pilote, d'une écurie, d'un motoriste ou manufacturier (pneumatique).
20
21
Modélisation des données
Exercice N° 8 Simple : Catalogue d'une médiathèque. Une médiathèque souhaite établir un catalogue des exemplaires des albums disponibles dans ses diverses implantations. Un exemplaire d'un album se trouve sur un support déterminé qui peut être un vinyl, un CD, une cassette audio, un DVD. Un album se compose d'un ou plusieurs enregistrements. Chaque enregistrement est caractérisé par le titre de l'œuvre, une date, un lieu d'enregistrement (studio, salle, etc..) et un ou plusieurs interprètes. Une œuvre peut avoir été enregistrée plusieurs fois en des lieux, moments et par des interprètes différents. Une œuvre a pour auteurs un ou plusieurs compositeurs et paroliers. Un artiste peut être compositeur, parolier ou interprète.
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EXEMPLAIRES (1,1) se situe (1, n) IMPLANTATION IdExemplaire IdImplantation Libellé Adresse (1, n)
(1,1)
ALBUM (1,1) se trouve (1, n) SUPPORT IdAlbum IdSupport Libellé Libellé (1,1)
(1, n)
ENREGISTREMENT (1,1) enregistre (1, n) LIEU IdEnregistrement IdLieu (1,1)
correspond (1, n)
ŒUVRE
ARTISTES (0, n)
compose (1, n) IdOeuvre IdArtitse Nom Nom (0, n) est auteur (1, n) Titre Prénom (0, n) est parodié (1, n)
23
Modélisation des données
Exercice N° 9 Simple : Gestion des réservations dans des salles de spectacle. Une société gère plusieurs salles de spectacle. Chaque salle est équipée d'un certain nombre de sièges répartis en différentes catégories (place orchestre, 1er balcon, 2ème balcon, etc...). Chaque siège dans une salle possède un numéro qui l'identifie dans la salle. Un spectacle peut avoir lieu dans des salles différentes et est caractérisé par un nom et une durée. Plusieurs séances d'un même spectacle peuvent avoir lieu le même jour dans une même salle. Une séance est caractérisée par une heure déterminée et un numéro d'ordre dans la journée. La société souhaite à tout moment obtenir la liste des places disponibles pour une séance donnée d'un spectacle déterminé. Le prix de base d'une place dépend de la catégorie de la place, du spectacle et de la salle. Chaque ticket imprimé doit mentionner le nom du spectacle, la séance (n° ordre, date, heure), le numéro du siège, la salle et le prix. Il y a lieu aussi d'enregistrer les coordonnées du client qui a effectué la réservation pour la traiter par correspondance. En cas de réduction, le ticket doit mentionner le prix réel appliqué.
24
Modélisations des données
Exercice N° 10 Simple : Gestion d'une bibliothèque. Une bibliothèque souhaite gérer la location de son stock de livres par des moyens informatiques modernes. Les livres mis en location sont caractérisés par un titre, un ou plusieurs auteurs, une maison d'édition, une publication et une classification (policier, aventure, fiction, etc...). Une publication n'est jamais produite que par un et un seul éditeur. Une oeuvre peut cependant exister dans des publications différentes et avoir été imprimé par des éditeurs différents. Chaque exemplaire mis en location est identifié au moyen d'une étiquette numérotée. Chaque lecteur possède une carte de lecteur avec son numéro de lecteur, son nom, son adresse et son statut social (étudiant, salarié, retraité). Le tarif est fonction de la catégorie sociale. La durée de location normale d'un ouvrage est fixée à quinze jours. A tout moment, le bibliothécaire doit pouvoir connaître l'état de disponibilité d'un livre et en cas d'emprunt en cours, la date à partir de laquelle le livre serait de nouveau disponible. En cas de retour anticipé d'un livre réservé par un lecteur, un courrier électronique doit être délivré à ce lecteur l'avertissant de la disponibilité. Un lecteur peut demander la réservation d'un livre jusqu'à la date présumée de son retour. Le bibliothécaire doit pouvoir, en début de journée, imprimer des lettres de rappel destinées aux emprunteurs qui auraient dépassé la durée de la location. On désire aussi établir une statistique des emprunts.
25
Modèle logique des données
La description conceptuelle a permis de représenter le plus fidèlement possible les réalités de l’univers à informatiser. Mais cette représentation ne peut pas être directement manipulée et acceptée par un système informatique. Il est donc nécessaire de passer du niveau conceptuel à second un niveau plus proche des capacités des systèmes informatiques: le niveau logique des données. Passage d'un MCD à un modèle logique codasyl.
26
Règles de passage du MCD au modèle relationnel.
27
Toute entité devient une relation. L’identifiant de l’entité devient clé primaire de la relation. Une relation est une table. L'identifiant devient la clé primaire de la table. Association binaire de type (1‐n) ou (1‐1).
L'association R disparait, l'identifiant de A est incorporé à la relation B et devient la clé étrangère de la relation B. La clé étrangère est marquée par #. Si l'association est porteuse de propriétés, celles‐ci deviennent des attributs de B.
Association binaire de type (m, n).
28
Devient une relation (table), sa clé est obtenue en concaténant les identifiants des entités qui participent à l'association. Si R est porteuse de propriétés, celles‐ci deviennent les attributs de R.
ARTICLE (0, n) est repris (1, n) COMMANDERef quantite N°Com Intitulé Date Prix Unitaire
(1,1)
CLIENT N°Client (1, n) Signalétique
Format relationnel :
CLIENT : N°Client , Signalétique
COMMANDE : N°Commande, Date, N°Client
ARTICLE : Ref, Intitulé, Prix Unitaire
Est repris : Ref, N°Commande, quantité
(1,1) et (0,1) ne crée pas de nouvelle table.
Table Client
1 client1 adresse1 2 client2 adresse2
Table Article
1 article1 20 2 article2 10 3 article3 40
Table Commande
1 20/07/2011 client1 2 20/07/2011 client1
29
3 20/07/2011 client2 4 20/07/2011 client3 Impossible car le client3 n’existe pas
Est Repris
Article1 client1 20 Article2 client2 10 Article1 client2 20 Article1 client1 20 impossible doublon Article4 client1 30 impossible article4 n’existe pas (INTEGRITE REFERENTIELLE)
Cours IdCours Intitulé Nbre heure
1 SGBD 60
2 ANALYSE 60
3 LOGIQUE 60
Section IdSection Intitulé IdCatégorie
1 BAC INFOTECH 1
2 BAC COMPTA 2
3 BAC GESTION 2
Catégorie IdCat intitulé
1 TECH
2 ECONOMIQUE
Est donné IdCours IdSection
1 1
2 1
3 1
Etudiant N°Etudiant Signalétique
1 ETUDIANT1
2 ETUDIANT2
3 ETUDIANT3
30
Suit N°Etudiant IdCours Résultat Type contrôle
Date contrôle
DOUBLON 1 1 60% Interro 25/092011
1 1 40% Interro 5/10/2011
DOUBLON 2 1 20% Interro 25/09/2011
2 1 10% Interro 5/10/2011
Etudiant : N°Etudiant, Signalétique
Suit : IdCours, DateJ, IdCours, resultat type de contrôle
Calendrier : DateJ
Cours : IdCours, intitulé, nombre heure
Est Donné : IdSection, IdCours
Section : IdSection, Intitulé, IdCategorie
Catégorie : IdCatégorie, Intitulé
Normalisation des entités : 1°Forme normale :
Toutes les propriétés d’une entité prenant 0 ou 1 valeur Soit l’entité article
IdArticle Intitulé Couleur Prix 1 pull rouge 40€ blanc 45€
2 veste noir 250€ marron 275€ gris 225€ blanc 220€
31
ARTICLE (1, n) est vendu (1, n) COULEUR IdArticle Prix IdCouleur
Intitulé Libellé
MLD relationnel :
Article : IdArticle, Intitulé
Couleur : IdCouleur, Libellé
Est vendu : IdArticle, Idcouleur, Prix
Article Couleur
IdArticle Intitulé IdCouleur Libellé
1 pull 1 rouge 2 veste 2 blanc 3 noir 4 marron 5 gris
Est vendu
IdArticle IdCouleur Prix
1 1 40€ 1 2 45€ 2 3 250€ 2 4 275€ 2 5 225€ 2 2 220€
32
2° Forme normale : Tout attribut doit dépendre de l’identifiant complet.
ARTICLE (1, n) est vendu (1, n) COULEUR IdArticle Prix IdCouleur Intitulé Libellé (1, n)
(1, n) FOURNISSEUR IdFournisseur Nom Adresse
MLD relationnel :
Article : IdArticle, Intitulé
Couleur : IdCouleur, Libellé
Est vendu : IdArticle, Idcouleur, Prix
Fournisseur : IdFournisseur, Nom, Adresse
Est fourni : IdArticle, IdFournisseur, Catégorie fournisseur
1 1 lainage 2 2 manteau
33
CORRECTION
ARTICLE (1, n) est vendu (1, n) COULEUR IdArticle Prix IdCouleur Intitulé Libellé (1, n)
(1, n)
FOURNISSEUR (1, n) Correspond (1, n) CATEGORIE FOURNISSEURId Fournisseur IdCatégorie Nom Intitulé Adresse
MLD relationnel :
Article : IdArticle, Intitulé
Couleur : IdCouleur, Libellé
Est vendu : IdArticle, Idcouleur, Prix
Fournisseur : IdFournisseur, Nom, Adresse
Est fourni : IdArticle, IdFournisseur
Catégorie fournisseur : IdCatégorie, Intitulé
Correspond : IdCatégorie, IdFournisseur
34
3° Forme normale : Il ne peut pas y avoir des dépendances entre des propriétés qui ne font pas partie de l’identifiant
ARTICLE (1, n) est vendu (1, n) COULEUR IdArticle Prix IdCouleur Intitulé Libellé (1, n) (0, n) (0, n)
Reprend Quantité (1, n) COMMANDE IdCommande Date commande N° Client Signalétique
(1, n)
FOURNISSEUR (1, n) Correspond (1, n) CATEGORIE FOURNISSEURIdFournisseur IdCatégorie Nom Intitulé Adresse
35
MLD relationnel :
Article : IdArticle, Intitulé
Couleur : IdCouleur, Libellé
Est vendu : IdArticle, Idcouleur, Prix
Fournisseur : IdFournisseur, Nom, Adresse
Est fourni : IdArticle, IdFournisseur
Catégorie fournisseur : IdCatégorie, Intitulé
Correspond : IdCatégorie, IdFournisseur
Commande : IdCommande, Date commande, N° client, Signalétique Client
Reprend : IdArticle, IdCommande, IdCouleur, Quantité
CORRECTION
36
ARTICLE (1, n) est vendu (1, n) COULEUR IdArticle Prix IdCouleur Intitulé Libellé (1, n) (0, n) (0, n)
Reprend Quantité (1, n)
COMMANDE (1,1) Passe (1,
n) CLIENT IdCommande N°Client Date commande Signalétiq
(1, n)
FOURNISSEUR (1, n) Correspond (1, n) CATEGORIE FOURNISSEUR IdFournisseur IdCatégorie Nom Intitulé Adresse
37
Article : IdArticle, Intitulé
Couleur : IdCouleur, Libellé
Est vendu : IdArticle, Idcouleur, Prix
Fournisseur : IdFournisseur, Nom, Adresse
Est fourni : IdArticle, IdFournisseur
Catégorie fournisseur : IdCatégorie, Intitulé
Correspond : IdCatégorie, IdFournisseur
Commande : IdCommande, Date commande, N° client
Reprend : IdArticle, IdCommande, IdCouleur, Quantité
Client : N°Client, Signalétique
Soit le MCD suivant :
PROJET (1, n) Développe (1, n) SERVICE IdProjet IdService Libellé Intitulé Nom Employé Nom Chef Nbre Heure Presté Adresse Chef Adresse Employé Salaire Employé
Régle : un projet est traité par un ou plusieurs employés.
Projet : IdProjet, libellé, nom employé, nombre heure presté, adresse employé, salaire employé
Service : IdService, intitulé, Nom chef, Adresse chef
Développe : IdProjet, IdService
38
Projet :
IdProjet Libelle projet Nom Employé Adresse Nbre heure Salaire
1 Informatisation secrétariat
Uccle Employé 1 Adresse 1 100 100€
Informatisation secrétariat
Uccle Employé 2 Adresse 2 20 150€
Service :
IdService Intitulé Nom chef Adresse
1 Gestion projet Employé 2 Adresse 2
2 Gestion réseau Employé 1 Adresse 1
Développe :
IdProjet IdService
1 1
1 2
CORRECTION
Projet :
IdProjet Libelle projet
1 Informatisation secrétariat Uccle
Employé :
IdEmployé Nom Employé Adresse Salaire
1 Employé 1 Adresse 1 100
2 Employé 2 Adresse 2 150
39
Travail :
IdEmploye IdProjet Nombre Heure Prestée
1 1 100
1 2 20
Développe :
IdProjet IdService
1 1
1 2
Service :
IdService Intitulé IdEmploye
1 Gestion projet 1
2 Gestion réseaux 2
40
CORRECTION DU MCD :
PROJET (1, n) Développe (1, n) SERVICE IdProjet IdService Libellé (1, n) Intitulé
(1,1)
EMPLOYE (1, n) IdEmploye Nom (0,1) Adresse Salaire
41
Les Entités – Les Attributs – Les Cardinalités
ETRE HUMAIN ENTITE
Le nom Le Prénom La date de naissance Lieu de naissance Le sexe L’adresse Etc…..
Les Attributs
Les types associés aux attributs
D Date
Ann Caractère de longueur nnn
BL Booléen (vrai / faux)
T Temps
DT Date Temps
N Nombre
S (Smallint) Entier Court
S (Integer) Entier
ETRE HUMAIN
Nom A32 32 Caractères
Prénom A25 25 Caractères
Date Naissance D Date
Lieu de Naissance A32 32 Caractères
Sexe BL Booléen
42
Les associations ou relations, ce sont des liaisons logiques entre les entités. Elles peuvent être de naturelle ou de nature dynamique. Par exemple une personne peut acheter un objet (action d’acheter) mais si l’on considère qu’une personne est propriétaire d’un objet, alors l’association entre l’objet et cette personne est surement factuelle.
Exemple :
ETRE HUMAIN ‐‐‐‐> est propriétaire ‐‐‐‐> APPARTEMENT
Nom A32 <‐‐‐‐ a comme proprio <‐‐‐‐ Adresse 1 A32
Prénom A25 Adresse 2 A32
Date Naissance D
Adresse 3 A32Lieu de Naissance A32 ‐‐‐‐> habite ‐‐‐‐> Code Postal A07Sexe BL <‐‐‐‐ est habité par <‐‐‐‐ Ville A32 Pays A32 Bâtiment A08
Escalier A08 ‐‐‐‐> vend ‐‐‐‐> Etage A03 <‐‐‐‐ est vendu par <‐‐‐‐ Porte A04
‐‐‐‐‐> Sens de lecture un être humain est propriétaire d’appartement
<‐‐‐‐‐‐ Sens de lecture un appartement à comme proprio un être humain
Les cardinalités ou « combien »
Considérons le cas de l’association « habite » et les deux entités « être humain » et « appartement » du schéma précédent, les cardinalités minimales et maximales sont :
1. « être humain » « appartement » 1 [minimum] et 1 [max]
2. « appartement » « être humain » 0[minimum] et n [maxi] 0 = aucun 1= 1 et 1 seul n = plusieurs
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3. Un être humain habite dans un appartement et un seul à la fois
4. Bien entendu tout être humain n’habite pas forcément dans un appartement, ce peut être dans une maison, à l’hôtel ou à la belle étoile. Ici nous avons convenu qu’un même être humain ne pouvait résider dans plusieurs appartements à la fois.
ETRE HUMAIN APPARTEMENT N°Sécu A13 N°Appart Nom A32 Adresse 1 A32Prénom A25 Adresse 2 A32
Date Naissance D
Adresse 3 A32Lieu de Naissance A32 (1,1) réside (0, n) Code Postal A07Sexe BL Ville A32 Pays A32
Bâtiment A08Escalier A08Etage A03Porte A04
On peut en déduire que c’est une relation de type (1, n). Pour déduire le type de relation, il suffit de récupérer les cardinalités maximales des deux côtés de l’association, sans tenir compte de leur valeur exacte :
(0,1)‐(n, n) type (n, n) (0,1)‐(0,1) type (1,1) (0,1)‐(0, n) type (1, n)
Des relations différentes entre mêmes entités peuvent posséder des cardinalités différentes, c’est même souvent le cas.
Les types : 1/1, 1/n, ou n/1 ou encore n/m 0/1, 0/n
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ETRE HUMAIN
APPARTEMENT N°Sécu A13 (0, n) loue (0, m) N°Appart !Nom A32 Adresse 1 A32Prénom A25 Adresse 2 A32
Date Naissance D
Adresse 3 A32Lieu de Naissance A32 (1,1) réside (0, n) Code Postal A07Sexe BL Ville A32 Pays A32 Bâtiment A08
Escalier A08 (0, n) possède (1, m) Etage A03 Porte A04
La relation « loue » est de type n :m car (0,n) et (0,m) La relation « réside » est de type 1 :n car (1,1) et (0,n) La relation « possède » est de type n :m car (0,n) et (1,m)
Clef d’une entité est un attribut qui permet de distinguer un élément de l’entité de manière unique et sans aucune ambiguïté par rapport à l’ensemble des autres éléments. Un attribut est une clef en le soulignant dans le schéma entité association. Si c’est une clef composée, alors plusieurs entités seront soulignées. Dans le cas de l’entité « appartement » tous les attributs sont utilisés pour composer (la clef. Il est plus judicieux de créer un nouvel attribut qui servira de clef à l’association de même pour l’entité « être humain ».
Etre humain numéro de sécu comme clef Appartement Numéro d’appartement comme clef.
La technique de la double clef. Une technique éprouvée consiste à introduire une double clef dans toutes les tables la clef « informatique » et une clef « utilisateur ». La clef informatique est l’index primaire de la table et doit posséder les caractéristiques suivantes :
1. Purement numérique (par exemple un entier long)
2. Unique bien entendu
3. Obligatoire
4. Sous mise à jour en cascade
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5. Avec intégrité référentielle
6. Générée automatiquement
7. Invisible pour l’utilisateur
La clef utilisateur doit être assez souple posséder les caractéristiques suivantes :
1. Index secondaire unique
2. Obligatoire
3. Utiliser un jeu de caractère
4. L’unité à une faible taille
Attributs d’associations, il arrive parfois que l’on soit obligé de munir d’attributs des associations considérons par exemple que nous voulons modéliser les relations existant entre les entités « client » « commande » et « article »
CLIENT (1, n) passe (1,1) COMMANDE N°Client N°Commande Entreprise Date commande Nom Acheteur Mode de paiement Prénom Date de paiement Téléphone Fax (1, n)
(0, n) ARTICLE RefProduit Catégorie Désignation PUHT Taux TVA Stock en cours
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Si on attribut l’attribut quantité à l’entité COMMANDE chaque ligne de la ligne de la commande se verra dotée de la même quantité.
La solution est de pourvoir l’association composée des attributs « quantité »et « réduction »
MCD Modèle Conceptuel des Données
MPD Modèle Physique des Données
MCD transformé en MPD
Règles N°1 : Toutes entités doit être représentée par une table Règles N°2 : Dans le cas d’entités reliées par des associations de type 1 :1 les tables doivent avoir la même table
Le modèle de liaison des données est le suivant :
CLIENT : N°Client, entreprise, nom acheteur, prénom, téléphone, fax
COMMANDE : N°Commande, date commande, mode de paiement, date paiement, N°Client
ARTICLE : RefProduit, catégorie, désignation, PUHT, Taux TVA, stock en cours
COMPOSEE : N°Commande, RefProduit, quantité, réduction
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Modélisations Conceptuel des traitements
1. Exemple. Dans une administration, les demandes de promotion sont traitées selon les règles de gestion suivantes: R1: Toute demande de promotion doit subir un examen préalable permettant de déterminer si elle est recevable ou non. R2: L'examen du dossier d'une demande recevable ne peut se faire qu'après rapport du supérieur hiérarchique. R3: Après examen du dossier, par l'autorité compétente, la promotion sera accordée ou refusée.
Examen préalable
recevable Non recevable
Dossier ouvertRejet
Rapport supérieur hiérarchique
Demande de promotion
ET
Examen du dossier
Avis favorable Avis défavorable
Promotion accordée Promotion refusée
Evénement externe générateur du processus
Pas d'attente
Opération
Règles d'émission des événements internes
Evénement interne résultat
Evénement interne intermédiaire. Attente du rapport(attente conceptuelle).
Evénement externe
Synchronisation marquant l'attente
Opération
Règles d'émission
Evénement interne résultat
Evénement résultat
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Le MCT exprime ce qu'il faut faire, mais n'indique pas qui doit le faire ni quand il faut le faire ni où (concepts organisationnel) ni comment il le faire (concepts opérationnel). 2. Concepts.
Evénement. Un événement est le compte rendu au SI du fait que quelque chose s'est produit dans l'univers extérieur ou dans le SI lui‐même. Un événement est externe s'il provient de l'univers extérieur du SI, il est interne s'il est produit par le SI. Un événement externe doit provoquer une réaction du SI sous la forme d'une opération. Un événement interne peut soit provoquer une nouvelle réaction du SI soit constituer un résultat pour l'univers extérieur.
Opération. Une opération est un ensemble d'actions ininterruptibles accomplies par le SI en réaction à un événement ou à une conjonction d'événements. Une opération produit en sortie de nouveaux événements.
Synchronisation. Une synchronisation d'une opération marque les événements qui doivent être arrivés avant de déclencher l'opération, selon une proposition logique (faite de ET et de OU) qui traduit les règles de gestion que doivent vérifier les événements contributifs pour déclencher les actions Processus. Dans le cas où le MCT est très compliqué, on a intérêt à le décomposer en processus. Un processus est un enchaînement d'opérations incluses dans un même domaine d'activités
3. Construction du MCT. Présentation. Nous allons étudier le processus « traitement des commandes clients » qui est en liaison avec les processus de « gestion de stock » et de « approvisionnement » non décrits. La situation actuelle est la suivante:
1. Les commandes des clients jugés non solvables sont refusées par le service commercial. 2. Les commandes acceptées sont confrontées (au magasin) à l'état du stock pour déterminer
quels sont les manquants et quelles sont les commandes disponibles. 3. En cas de manquants, (le service achats) devra prendre les dispositions pour réapprovisionner
le stock si ce n'est pas encore fait. 4. Dès la livraison du fournisseur, les commandes devenues disponibles sont traitées comme
celles qui l'étaient dès le départ. 5. Les commandes disponibles donnent lieu à la confection de bons de livraisons destinés aux
clients. 6. A la livraison, ceux‐ci peuvent refuser la marchandise, auquel cas il y a retour de
marchandise.
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MCT: exercices simples.
Exercice 1. Si vous aviez à refaire ce modèle, quelles améliorations liées à sa lisibilité apporteriez‐vous?
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Livraison
Facture
Gestion du paiement
Paiement encaisser Livraison effectuée
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Exercice 2. Gestion des approvisionnements dans une société fabriquant du matériel électronique professionnel (radars, équipements d'aéroports).
Introduction.
La gestion des approvisionnements est un domaine de la gestion de production. Un autre sous‐ensemble de la gestion de production assistée par ordinateur (GPAO) est le calcul des besoins, qui détermine quoi fabriquer, à chaque niveau de la nomenclature des produits finis, et à quelle date, pour satisfaire un plan de production établi en commun avec les commerciaux et les responsables de fabrication de l'entreprise. C'est là qu'intervient la gestion des approvisionnements.
Processus d'approvisionnement.
A parti de demandes d'approvisionnement établies par le calcul des besoins, les acheteurs envoient des demandes de prix aux fournisseurs possibles pour les articles nouveaux ou d'approvisionnement exceptionnel (on se limitera à ces articles, laissant de côté les articles connus et à approvisionnement régulier). Les fournisseurs envoient des offres, «étudiées en détail et comparées par les acheteurs; ces derniers font un choix. Le service des achats établit un bon de commande à destination du fournisseur retenu. Une copie est remise au magasin en vue de la réception, une autre au service financier pour les alerter d'un paiement futur au fournisseur. Quand la livraison arrive, le magasinier contrôle quantitativement la marchandise. Un contrôle de qualité est également effectué. La livraison est renvoyée en bloc si l'un des contrôles est négatif. Les contrôles satisfaisants aboutissent à l'entrée en stock des articles. Le magasin établit un bon à payer au service financier. Quand le service financier reçoit la facture, il vérifie qu'il lui correspond le bon à payer et émet le chèque.
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Exercice 3. Demande de carte de crédit.
Le demandeur désirant obtenir une carte de banque doit en faire une demande auprès de la banque. La demande n'est pas prise en compte si le client n'est pas client de la banque. Chaque jour, la banque transmet les demandes de carte de ses clients au centre de gestion des cartes. Dès que la banque a reçu la carte en provenance du centre de gestion des cartes, elle adresse au client un avis de mise à disposition de la carte et un avis de prélèvement de cotisation annuelle. Chaque année, la banque adresse au client un avis de prélèvement de cotisation annuelle. Si au bout de 2 mois, la carte n'a pas été retirée, elle est détruite.
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Exercice 4. Gestion des prestations familiales.
Toute information en provenance d'un demandeur est prose en compte pour l'ouverture de son dossier d'allocation ou la modification de ce dossier. Toute information nouvelle entraîne le réexamen systématique des droits de l'allocataire. Un agent peut aussi décider du recalcule des droits à tout moment. Si les droits sont modifiés, un avis est adressé aux allocataires. Chaque année, l'organisme adresse aux allocataires une demande de ressources. Si au bout de deux mois, l'allocataire n'a pas fourni de réponse, ses droits sont suspendus. Les informations de ressources sont traitées comme les autres informations en provenance de l'allocataire, pour les révisions des droits. Chaque mois, les prestations sont versées aux allocataires par virement bancaire, sur la base des droits calculés.
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Exercice 5. Prise de commande, facturation et encaissement dans un magasin spécialisé en photographie, radio et télévision. Le client a la possibilité de demander toute information technique à un vendeur. S’il est décidé à acheter un appareil (appareil photo, caméra, télévision …) le vendeur vérifie sur son terminal que l’appareil souhaité est en stock. Si c’est le cas, il émet la facture, et va dans le dépôt contigu au comptoir chercher l’appareil. Pendant ce temps le client va payer à la caisse. La personne à la caisse peut refuser le règlement du client (carte bleue invalide,…) ; dans ce cas, elle conserve la facture et la remet au vendeur après l’heure de fermeture aux clients. Le vendeur replace l’article en stock l’article préparé et annule la facture à son terminal. Dans le cas normal, le client revient au comptoir du vendeur avec sa facture tamponnée « payé » à la caisse. Le vendeur remet l’appareil au client.
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Exercice 6. Tournoi annuel de Roland Garros. Le champ de l’étude se limite à la vente par correspondance des places avant le tournoi. Le 1er février de chaque année, la FFT tient à la disposition des spectateurs un imprimé d’inscription par jour de matchs et par spectateur. Les demandes d’inscription sont disponibles au siège de la fédération et remises aux demandeurs. L’amateur envoie sa demande, sur laquelle il a précisé le choix de la journée, le type de place, son numéro de licence (il faut être licencié à la FFT pour postuler une place) ; il joint à la lettre un chèque correspondant au prix de la place. L’administration de la FFT fait ses contrôles, en particulier vérifie le montant du chèque. Les inscriptions sont closes le 1er mars au matin, et tout courrier en retard est renvoyé. Pour les jours de tournoi peu demandés (ceux de la première semaine) les places sont envoyées aux demandeurs et leurs chèques encaissés. Pour les jours où la demande est plus nombreuse que le nombre de places disponibles, il y a un tirage au sort. Seuls les élus sont destinataires des places, les autres des voient renvoyer leur chèque et une lettre type d’excuse. Pour combattre le marché noir, la fédération accepte qu’une personne puisse renvoyer sa place à condition de s’y prendre au moins deux semaines avant le début du tournoi. Il lui est retranché 10% du prix du billet sur le montant remboursé. Passé ce délai, la demande de remboursement est refusée et le billet retourné.
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Exercice 7. Gestion des réparations dans un garage (hors de tenue du stock des pièces de rechange). Le client doit prendre rendez‐vous à l’avance. Le jour convenu, il présente sa voiture à la réception du garage et précise au chef d’atelier les révisions et réparations à faire. Le chef d’atelier en prend note sur une fiche suiveuse. Le véhicule est pris en charge par un mécanicien. S’il détecte des réparations complémentaires conséquentes à effectuer, le chef d’atelier prend contact par téléphone avec le client et demande son accord sur le complément de réparation (si le client refuse, la réparation notée initialement sur la fiche sera seule effectuée). Le mécanicien rédige un bon de sortie de pièces du magasin des pièces détachées. Il effectue les réparations et note sur la fiche suiveuse les heures passées. Le bon de sortie des pièces et la fiche suiveuse sont transmis au service facturation, qui établit la facture. Quand le client se présente pour retirer le véhicule, la caissière lui remet la facture et encaisse le paiement. La voiture est remise au client.
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Exercice 8. Gestion des abonnements d’un théâtre. Le champ de l’étude concerne la gestion des abonnements d’un théâtre et la vente des billets pour les clients sans abonnement. A partir du 1er juin de chaque année, le théâtre envoie à ses anciens abonnés ainsi qu’à des personnes d’un fichier acheté à une entreprise de mailing, des propositions d’abonnement pour la saison suivante à un prix privilégié. Les personnes qui décident de s’abonner renvoient le talon de la proposition accompagné d’un chèque. Celles qui répondent en retard (après le 15 septembre) se voient refuser l’abonnement. Celles qui ont répondu à temps reçoivent une liasse de billets « prévisionnels » pour six spectacles répartis sur l’année ainsi que le programme. Pour chaque spectacle les abonnés doivent confirmer par téléphone le jour précis de la représentation qu’ils ont choisie, et ceci au plus tard sept jours avant la date de la première représentation d’une pièce. Le jour « j », ils se présentent au théâtre au moins une demi‐heure avant le début du spectacle avec le billet prévisionnel du spectacle extrait de la liasse, paient un modique complément et peuvent alors entrer dans la salle avec un billet d’entrée définitif. S’ils arrivent trop tard, leur billet prévisionnel est perdu et la place correspondante récupérée pour d’éventuels spectateurs hors abonnement.
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Historique : De 1976 à 1978 centres techniques informatiques du ministère de l'industrie : Réflexion, choix des SSI, réalisation 1983 MERISE, Principes et outils TARDIEU, ROCHFELD, COLLETTI. Principes généraux : 1. Démarche par étapes 2. Découpage en niveaux Conceptuel
• Logique ou organisationnel • Physique ou opérationnel
3. Formalisme
• Schéma entité / relation • Schéma opération / événement
4. Outils complémentaires
• Diagramme de flux de données • Diagramme d'activité diagramme de contexte • Diagramme de décomposition • Diagramme de communication
LES ETAPES 1. Le schéma directeur
• Planification • Priorités
2. Conception globale
• Structure globale du projet • Choix d'architecture générale : décomposition • Interfaces entre modules
3. Conception détaillée
• Intégration des éléments fonctionnels • Spécification technique • Plan de qualification
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4. La réalisation
• Programmation • Tests techniques • Documentation technique
5. La validation
• Tests logiques • Procédures de mise en place
6. La mise en œuvre
• Documentation utilisateur • Implantation physique • Transfert de données • Formation
7. La maintenance
• Evolution • Correction d'anomalies
LES NIVEAUX L'organisation par niveaux Niveau conceptuel
• Modèle conceptuel de données (MCD) • Modèle conceptuel des traitements (MCT)
Niveau logique ou organisationnel
• Modèle logique des données (MLD) • Modèle logique des traitements (MLD)
Niveau physique ou opérationnel
• Modèle physique des données (MPD) • Modèle physique des traitements (MPT)
Recherche des invariants
• Modèle de données • Modèle de traitement
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Indépendance entre les données et les traitements MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES Concepts fondamentaux
• Entité • La propriété • L'identifiant de l'entité • L'association ou relation • L'identifiant de l'association • Collection et dimension
Les règles de vérification Les règles de normalisation Les contraintes fonctionnelles
• Les cardinalités • Les contraintes d'intégrité fonctionnelle (CIF)
Le processus de construction du modèle L'ENTITE Une entité est un objet du réel, concret ou abstrait dont on s'accorde à reconnaître une existence propre : doit présenter un intérêt pour la compréhension de la réalité. Exemples : Le stand numéro A‐8 situé au 3ième étage du bâtiment Océan L'exposant "Renault" Une entité est une classe d'individus ayant en commun un ensemble de propriétés. Représentation graphique :
Une entité sera désignée par un nom, son choix est important
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LES PROPRIETES Une propriété est une caractéristique que l'on perçoit sur une entité ou sur une association entre entités dans le réel. Une entité est perceptible à travers ses propriétés. Exemples : Le salon a lieu d'une date début à une date fin, dans un centre d'exposition. Un exposant a une raison sociale, une adresse, un correspondant, etc. .... Une propriété peut être simple Les mètres carrés d'un stand Le prix d'un produit Le mois Ou composée La date (jour, mois, année) l'adresse : nom, rue, numéro, code postal, ville. L'IDENTIFIANT Un identifiant est une propriété particulière telle qu'il n'existe pas deux occurrences de cette propriété pour lesquelles cette propriété puisse prendre la même valeur. 1. On est souvent amené à créer artificiellement les identifiants : Numéro de sécurité sociale Numéro d'immatriculation de voiture Numéro de stand Numéro d'exposant 2. La définition d'un identifiant résulte le plus souvent d'un choix de gestion. 3. Il peut y avoir plusieurs propriétés candidates au titre d'identifiant, dans la pratique on en choisira une seule. Une entité est complètement définie par : Un nom Un identifiant Une liste de propriétés Chaque fois que l'on veut définir une entité, on devra déterminer son identifiant.
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EXEMPLE
L'exposant "Renault" qui a reçu le numéro 021 présent comme fabricant de moteurs
L'ASSOCIATION (OU LA RELATION) Une association (ou relation) est perçue dans le réel entre des individus Une association définit une relation entre une ou plusieurs entités Exemple : L'exposant Renault expose sur le stand A‐8 Représentation graphique :
Une association n'a pas d'existence propre, elle dépend des entités qu'elle regroupe Une association peut être porteuse de propriétés Pour désigner une occurrence de l'association, il faut désigner les occurrences des entités qui la composent Une occurrence de l'association correspond à une et une seule occurrence de chacune des entités qui la composent
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Une association peut être binaire Exemple : "expose sur" entre exposant et stand Une association peut être ternaire
Exemple : l'association exposant, stand, salon Une association peut être n ‐ aire Le choix d'une association est lié à l'intérêt du concepteur Stand peut être vu : soit comme une association entre exposant et salon.
soit comme une entité liée à l'exposant et au salon par des relations Une association peut être réflexive
Plusieurs relations peuvent exister entre deux entités
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Si une association a deux pattes (pas de symétrie) : préciser la signification de chaque patte
IDENTIFIANT DE L'ASSOCIATION L'identifiant de l'association est obtenu par concaténation des identifiants des entités qui la composent Exemple : pour l'association Exposant‐Stand l'identifiant de l'association "expose sur" est : numéro exposant/ numéro de stand Exemple : pour l'association Exposant‐Stand‐Salon l'identifiant de l'association "expose sur" est : numéro d'exposant / numéro de stand / code salon Exemple : pour l'association réflexive "filiale de" l'identifiant de l'association est : numéro d'exposant / numéro d'exposant
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OCCURRENCES DE L'ASSOCIATION A chaque occurrence d'une relation ou association correspond une et une seule occurrence des entités qui la composent :
LES RÈGLES DE VÉRIFICATION Règle 1 Une propriété ne peut qualifier qu'une seule entité ou qu'une seule association Exemple : le numéro de Stand ne peut pas être à la fois une propriété de l'entitéExposant et de l'association Stand. Règle 2 Toute entité doit être dotée d'un identifiant donc au minimum d'une propriété Règle 3 Pour une occurrence d'une entité chaque propriété prend une valeur et une seule.
Si un exposant peut avoir plusieurs marques, "marque" ne peut être une propriété d'exposant. On doit créer l'entité "marque" Règle 4 Pour les associations comme pour les entités une propriété ne doit prendre qu'une valeur pour une occurrence de l'association. Exemple : un exposant peut exposer à plusieurs salons sur le même stand. la propriété salon ne peut être une propriété de l'association "expose sur"
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Règle 5 Pour chaque occurrence de l'entité ou de l'association, il faut au minimum et au maximum une valeur à terme pour chaque propriété Exemple : la notion de filiale n'a pas de sens pour tous les exposants, donc filiale ne peut être une propriété d'exposant Règle 6 Une propriété dépendant de plus d'une entité (2 ou plus) ne peut qualifier qu'une association entre les entités correspondantes Exemple : la propriété numéro de stand qui peut qualifier l'entité Exposant et l'entité Salon est une propriété de l'association entre Exposant et Salon. Règle 7 Pour chaque occurrence d'une association toutes les entités qui participent à la relation doivent être définies
Exemple : la marque ne participe pas à toutes les relations Stand, certains exposants ont une marque d'autres non LES RÈGLES DE NORMALISATION Règle 1 Chaque propriété d'une entité doit dépendre de l'identifiant et de tout l'identifiant de cette entité Règle 2 Si une propriété dépend de l'identifiant de l'entité qu'elle qualifie mais aussi d'une autre propriété de cette entité cela signifie qu'il y a une entité imbriquée Règle 3 Toutes les entités d'une association doivent être nécessaires pour définir chaque propriété de l'association Règle 4 Une propriété d'association doit avoir un sens pour toutes les pattes de la relation.
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LES CARDINALITES Cardinalité d'une entité dans une association : le nombre minimum et maximum d'occurrences de l'association pouvant exister pour une occurrence d'entité. Cardinalité 1‐1 : Une occurrence d'entité participe une fois et une seule à une association Toutes les occurrences d'entités participent à une association Cardinalité 0‐1 : Une occurrence d'entité participe au plus une fois à une association Une occurrence d'entité peut ne pas participer à une association Cardinalité 0‐N : Une occurrence d'entité peut participer à plusieurs associations. Une occurrence d'entité peut ne pas participer à une association Cardinalité 1‐N : Une occurrence d'entité peut participer à plusieurs associations. Toutes les occurrences d'entités participent à une association La dépendance fonctionnelle que l'on appelle contrainte d'intégrité fonctionnelle ou CIF est un cas particulier de relation binaire non porteuse de données et ayant des cardinalices de type ( 1‐1, 0‐N ) ou ( 1‐1, 1‐N ) Les contraintes d'intégrité fonctionnelles permettent de simplifier les associations n—aires CONSTRUCTION DU MODELE : Interviews Documents Acteurs Flux Inventaire des propriétés Épuration des synonymes et des polysémies Constitution du dictionnaire de données Recherche des entités Rattacher les propriétés Placer les relations Déterminer les cardinalités Vérifier le modèle Normaliser le modèle Décomposer le modèle
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ETAPES DE LA CONCEPTION Les étapes : 1. Recueillir les informations Les documents Les contraintes sur les données 2. Constituer le dictionnaire des données 3. Établir le modèle Repérer les entités Attribuer à chaque entité un identifiant, s'il n'existe pas le créer, et compléter le dictionnaire des données Placer les propriétés dans les entités Placer les relations 4. Valider 5. Transformer le modèle en schéma relationnel DICTIONNAIRE DES DONNÉES 1. Établir la liste des données figurant sur les documents existants Attention aux synonymes : deux mots différents peuvent exprimer la même propriété (TVA et Taxe) vendeur d'un grossiste parle d'articles et l'employé des stocks parle de pièces Attention aux polysèmes : même terme, sens différents 2. Éliminer, dans un premier, temps les données calculées Exemple : "Quantité en stock" Calculée si historique des entrées‐sorties de stock non calculée si données permettant d'effectuer ce calcul non mémorisée 3. Éclater les entités composées en propriétés élémentaires : Prénoms en Prénom 1, Prénom 2 Prénom 3 ETABLIR LE MODELE 1. Repérer les entités en répondant aux questions : Que gère‐t‐on? Quels sont les objets de gestion essentiels de la réalité observée ? 2. Attribuer à chaque entité un identifiant S'il n'existe pas, le créer et compléter le dictionnaire de données.
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3. Placer les propriétés dans les entités en vérifiant :
• qu'à une valeur prise par l'identifiant ne correspond qu'une valeur de la propriété (règle d'énumération)
• que la propriété ne dépend pas d'une autre propriété d’entité (règle de dépendance directe)
• que cette propriété n'a pas déjà été attribuée à une autre entité (une propriété se trouve à un seul endroit du modèle)
4. Placer les dépendances fonctionnelles entre entités 5. Placer les autres relations en vérifiant :
• qu'à chaque occurrence d'une relation ne correspond qu'une et une seule occurrence de chacune des entités participant à la relation
• qu'une propriété de relation qualifie complètement l'association des entités liées par la relation (règle de pleine dépendance)
• que dès leur création toutes les occurrences de la relation sont complètes
EXEMPLE : BIBLIOTHEQUE La Bibliothèque Municipale de Paramé a été créée il y 109 ans et est toujours gérée selon le même principe : Le directeur est chargé de la gestion de la bibliothèque et de l'achat des nouveaux livres. Avant d'acheter un livre, le directeur consulte les indices des ventes parus dans différents magazines et la liste des suggestions d'achat des abonnés, ainsi que les fréquences d'emprunt de chaque ouvrage. Un employé est en charge de la création des cartes d'abonnement, des demandes de prêt et des restitutions. Pour chaque demande de prêt, il vérifie que le demandeur est bien inscrit et à jour de sa cotisation, ainsi que l'ouvrage demandé n'est pas sorti. Si un ouvrage n'est pas disponible, il est possible pour l'emprunteur de le réserver, il ne peut réserver qu'un seul livre à la fois. Dans ce cas, l'employé note le nom du livre et celui du demandeur. L'employé vérifie les exemplaires à leur retour. Si ceux‐ci sont en mauvais état, l'emprunteur doit le rembourser sous peine de radiation. Un bibliothécaire est en charge de guider et de conseiller les lecteurs dans leur choix. Il est aussi chargé du stockage des livres dans les rayons. Chaque exemplaire à un code d'identification (ISBN).
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Remarques : Ce texte, qui est la synthèse d'observations et d'entrevues, contient un certain nombre d'ambiguïté et peut‐être incomplet. Résultats attendues : 1. Gestion des exemplaires non restitués 2. Listes des ouvrages les plus lus 3. Accès à un exemplaire à partir du titre et du nom de l'auteur 4. Gestion des livres disponibles PASSAGE AU LOGIQUE Modèle logique ≡ modèle relationnel → passage du modèle Entité/Relation au modèle relationnel Analogies entre modèle relationnel et notions classiques de fichier :
Une relation est un fichier à structure fixe où : tous les tuples sont de même taille (enregistrement de longueur fixe) tous les tuples ont la même liste d'attributs (le nombre de rubriques est identique pour tous les enregistrements) chaque attribut a une taille identique dans tous les tuples (la longueur de chaque rubrique est fixe pour tous les enregistrements) Clé d'une relation Toute relation doit posséder un ou plusieurs attributs qui identifie(nt) sans ambiguïté un tuple, cet(s) attribut(s) est appelé "clé de la relation" Dépendance fonctionnelle Une propriété A est en dépendance fonctionnelle avec la propriété B si à une valeur de la propriété A ne correspond qu'une et une seule valeur de la propriété B Première forme normale (1FN) correspond à la règle d'énumération : Tous les attributs contiennent une valeur atomique
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Deuxième forme normale (2FN) correspond à la règle de pleine dépendance : Tout attribut n'appartenant pas à la clé ne dépend pas (fonctionnellement) d'une partie de la clé Troisième forme normale (3FN) correspond à la règle de dépendance directe : Tout attribut n'appartenant pas à la clé ne dépend pas d'un attribut non‐clé EXEMPLES 1NF : Attribut prénoms n'est pas en première forme normale : chaque prénom distingué par un attribut prénom1, prénom2, prénom3... 2NF : Relation Rl (Fournisseur, Article, Adresse, Prix) avec "Fournisseur, Article", la clé de la relation et des attributs : Adresse, Prix relation 1NF, mais pas 2NF → décomposi on : R2(Fournisseur, Adresse) et R3 (Fournisseur, Article, Prix) 3NF : Relation R1 (Numéro‐véhicule, Marque, Type du véhicule, Puissance, Couleur) Dépendances fonctionnelles : Numéro‐véhicule → Type du véhicule, Couleur Type du véhicule → Marque, Puissance Type du véhicule clé pour Marque et Puissance → décomposi on : R2 (Type du véhicule, Puissance, Marque) R3 (Numéro‐véhicule, Couleur, Type du véhicule)
PASSAGE DU MODELE ENTITE/RELATION AU MODELE RELATIONNEL Si règles de construction et de validation du modèle Entité/Relation sont respectées → modèle Entité/Relation en troisième forme normale :
• les propriétés sont sous forme élémentaire • à toute valeur prise par l'identifiant ne correspond qu'une valeur de chaque
propriété
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• chaque propriété d'une relation dépend de la totalité des entités qu'elle relie toutes les propriétés dépendent directement de l'identifiant
Ordre d'application des règles de transformation du modèle Entité/Relation au modèle relationnel : 1. transformer toutes les dépendances fonctionnelles 2. transformer toutes les relations (n, n) 3. transformer en relations les entités (les entités sans propriétés peuvent être supprimées)
PASSAGE DU MODELE ENTITE/RELATION AU MODELE RELATIONNEL Dépendances fonctionnelles : relations (l, l / l, n) Relation hiérarchique (père‐fils, A représenté le fils et l'entité B le père) :
Relations (n / n) : (1, n / 1, n) (1, n / 0, n) (0, n / 0, n)
Relations (0, 1 / 0, n), (0, 1 /1, n) ou (0, 1 / 0, 1)
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→ se ramener soit au cas dépendance fonc onnelle, soit au cas rela on (n / n) :
OBJECTIFS ET CONTRAINTES Manipulation des données et exécution des tâches traduisent des objectifs ou des contraintes de l'entreprise dégager les règles : Règles de gestion
• associées au niveau conceptuel • décrivent donc le "quoi" de l'entreprise
Règles d'organisation
• associées au niveau organisationnel • décrivent le "où", le "qui" et le "quand"
Règles techniques
• associées au niveau opérationnel • décrivent le "comment"
LES RÈGLES DE GESTION expriment d'une façon : Dynamique en dictant les actions qui doivent être accomplies Statique en détaillant la réglementation jointe à ces actions origine soit Externe à l'entreprise : lois, règlements ... Interne à l'entreprise : règlements intérieurs, choix de gestion ...
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La règle de gestion est la traduction conceptuelle des objectifs choisis et des contraintes acceptées par l’entreprise liée aux traitements → règle d'action liée aux données → règle de calcul Règle d'action décrit les actions à accomplir : "Un inventaire doit être dressé périodiquement" "Tout produit livré sera entré en stock" "Un contrôle de la gestion des échelons déconcentrés sera mis en place" "La Centrale d'achats sera libre d'imposer des jours de commande" Règle de calcul décrit la façon dont doivent s'accomplir les actions : "La valeur de stockage d'un produit est calculée par la formule du prix moyen pondéré" "Le salaire de base est égal à l'indice multiplié par la valeur du point" Exemples de règles de gestion : DATE Propriétés : Année Mois Jour Fonctions : Format numérique Format texte Afficher ( pays; format) Comparer ( date1 : date2) Soustraire ( date1 ‐ date2) Ajouter ( date1 + jour ) Règles de gestion : 1‐ Le mois est un nombre de 1 à 12 2‐ le jour est un nombre de 1 à 31 3‐ Une année à 365 jours sauf si elle est bissextile PAYS Propriétés : Nom Ancien nom Code téléphone Code voiture Code INSEE Date de création Fonctions : Créer un pays Afficher un pays
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Liste des pays Mise à jour Règles de gestion : 1‐ Un pays créé ne peut être détruit 2‐ Si un pays change de nom le code est conservé, l’ancien nom est enregistré : Burkina‐Faso, ex‐Haute‐Volta 3‐ Si un pays est transformé en plusieurs pays, de nouveaux codes sont créés, l’ancien nom est mentionné : Slovaquie, ex‐Tchécoslovaquie ou Ukraine, ex‐URSS CEI, ex‐URSS LES RÈGLES D'ORGANISATION traduisent l'organisation mise en place dans l'entreprise afin d'atteindre les objectifs fixés résultent des objectifs de contraintes externes : obligation de créer un poste de travail de comptable, Exemples "L'état des stocks sera suivi par une gestion informatisée confiée au magasinier" découle d'une règle de gestion imposant la tenue d'un stock logique "L'enregistrement des livraisons sera fait en fin de journée" découle d'une habitude de travail "Les commandes à la Centrale d'achats ne pourront être passées que le mardi et le jeudi" traduction en termes d'organisation d'une règle de gestion LES RÈGLES TECHNIQUES expriment les conditions techniques de mise en œuvre des tâches traduisent les solutions techniques mises en œuvre, compatibles avec l'organisation conçue, et visant à atteindre les objectifs Exemples "La capacité des mémoires auxiliaires sera d'au moins 30 milliards d'octets" "Les performances de l'imprimante permettront une édition totale de la paie en moins d'une heure" "Le système d'exploitation permettra un travail multipostes" conséquences d'une règle d'organisation telle que : "Plusieurs postes de travail pourront simultanément consulter l'état des stocks"
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RECENSEMENT DES RÈGLES → fiches descrip ves : en langage courant : lisible mais peu précise et lourde Exemple : "Une commande doit toujours être valorisée." par formule de type mathématique : précise mais obligeant à définir des noms symboliques de données (adaptée aux règles de calcul) Exemple : (PS)t = [(PS)t‐l X Qt‐l + (PA)t X Qt]/(Qt‐l + Qt) (exprime que le prix de stockage (PS)t est égal à la moyenne entre l'ancien prix destockage PS)t‐l et le prix d'achat (PA )t pondérés par les quantités Qt‐1 et Qt par pseudo‐code : permet d'exprimer en les décomposant des règles complexes par autres moyens de description : tables de décision… RECENSEMENT DES TACHES Chaque tâche comprend un descriptif des éléments suivants : ‐ libellé de la tâche choisi pour l'identifier de manière unique et non ambiguë ‐ conditions de déclenchement expriment les événements et leur origine ‐ résultats produits finalité de la tâche ‐ fréquence de la tâche valeur moyenne ou histogrammes ‐ durée de la tâche valeur moyenne ou histogrammes ‐ règles associées règles référencées précédemment régissant cette tâche ‐ commentaires exemple : difficultés exprimées à l'interview dans l'exécution de la tâche
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RECENSEMENT DES DONNÉES Dresser les listes de données identifiées → fiche descrip ve comprenant : nom de la donnée nom choisi selon habitudes de l'entreprise définition libellée en compréhension structure alphabétique, numérique, alphanumérique, booléenne type calculée (règle de calcul), en série (juxtaposition de plusieurs données), élémentaire quantification estimation du nombre de valeurs différentes que la donnée est susceptible de prendre exemples de valeurs illustrant la définition commentaires référence à des règles de calcul, existence d'autres données ayant des définitions voisines, contrôles de vraisemblance... niveau conceptuelle, organisationnelle, physique date de création RECENSEMENT DES DONNÉES Exemple :
DOMAINES D’ACTIVITÉ Idée : regrouper des actions présentant entre elles une certaine cohésion, autant par le but qu'elles visent à atteindre que par les règles et les données qu'elles manipulent, de façon à réaliser un découpage du champ de l'étude
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Exemple : gestion d'une petite entreprise de restauration → 4 domaines : gestion des stocks de marchandises suivi de l'activité de restauration gestion et paie du personnel comptabilité. Un domaine d'activité est : une partie du champ de l'étude à laquelle on peut associer un ou plusieurs objectifs précis : opérationnels : automatiser la paie, tenir une comptabilité générale, gérer les stocks, fonctionnels : prévision, suivi, contrôle, planification, ... décrit par un ensemble d'actions, de règles de gestion et de données Isoler un domaine d'activité : regrouper des actions cohérentes entre elles Exemple : production, contrôle budgétaire, relations humaines... associer à ces actions un ensemble de règles de gestion. associer à ces actions un ensemble de données Exemple : financières, en personnel, en matières premières... Exemple : la comptabilité est un domaine : contrôle, mesure, obligation légale règles de gestion : les règles comptables MODELISER LES TRAITEMENTS Un événement est un message adressé ou reçu par le système d'information Un message peut être porteur d'information externe ou interne Les événements peuvent être synchronisés pour déclencher une opération Une opération (ou traitement) produit en sortie des messages consiste en une suite non‐interruptible d'actions élémentaires Une action élémentaire correspond soit à une recherche dans la base d'information mise à jour de la base d'information insertions ou suppressions d'occurrences d'entité ou de relation changement de valeur de propriétés
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Les changements d'état de la base d'information (ou transitions) sont régis par des règles de traitement (ou de transition) par des contraintes dynamiques Le MCD ne peut rendre compte de toutes les règles : le MCD décrit les aspects statiques que la base d'information doit toujours respecter le MCD ne peut pas rendre compte des transitions entre les états successifs de la base Les règles de traitement figurent dans le modèle conceptuel de traitement (MCT) Le MCT décrit les règles de transition et exprime des contraintes dynamiques Le MCT exprime le découpage entre organisationnel et conceptuel (attentes conceptuelles) risque principal → reproduire le système de traitement existant : automatiser les tâches manuelles Le MCT permet de valider le modèle de données vérifier si les messages entrants dans chaque traitement permettent de mettre à jour correctement la base vérifier si le MCD possède les propriétés de produire ces messages MODELISER LES TRAITEMENTS 1. Identifier les règles de traitement 2. Faire l'inventaire des événements‐messages 3. Construire le diagramme des messages échangés par l'organisation avec l'extérieur échangés par un domaine de l'organisation échangés par un processus du domaine 4. Ordonner les messages 5. Identifier les opérations 6. Détailler chaque opération exprimer les règles de traitement de l'opération vérifier la pertinence du découpage en opérations les attentes conceptuelles vérifier que dans une même opération toutes les actions appartiennent à un même processus identifier les coopérations de processus spécifier les synchronisations vérifier que le MCT est bien formé 7. Préciser le contenu des messages 8. Valider le MCD avec le MCT messages entrants, sous‐modèle en mise à jour messages sortants, sous‐modèle en consultation .
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EXEMPLE Le système d'information d'une central d'achat Les principes de gestion clients sont : Lors de l'arrivée d'une commande, le service commercial vérifie l'état du compte client Si celui‐ci est débiteur, le client est prévenu que la commande ne peut être prise en compte Sinon, une confirmation de commande est émise indiquant le taux de remise accordé Le taux de remise accordé pour un article dépend à la fois du client et de la famille à laquelle appartient l'article Un ordre de préparation est transmis au service planning qui a pour charge de planifier la livraison de la commande Le délai de livraison moyen est d'un mois Le mois écoulé, le magasin procède à la préparation de la commande puis déclenche la livraison (peut être partielle) A chaque livraison un bon (de livraison) est émis indiquant les quantités livrées de chaque article Les factures ne sont émises qu'une fois la totalité de la commande honorée EXEMPLE MCD :Gestion des Commandes ‐ Facturation
EXEMPLE Le MCD représente certaine règles de gestion : taux de remise sont fonction du client et du type de produit acheté. De la une seule facture par confirmation de commande livraisons partielles : cardinalité (0, n) de CONFIRMATION COMMANDE vers BON LIVRAISON Règles de traitement :
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Règle 1 : Une commande est prise en compte si le compte client est solvable Règle 2 : Dès que le stock mini est atteint, une demande de réapprovisionnement est faite Règle 3 : Le délai de préparation d'une commande est d'un mois Règle 4 : La facturation est faite une fois la commande entièrement livrée MESSAGES‐EVENEMENTS
DOMAINES
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DOMAINES
DIAGRAMME DES MESSAGES
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IDENTIFICATION DES OPERATIONS
OPERATION DETAILLEE Domaine : Servir Client Processus : Gérer Client Opération : Confirmation Commande
MCT : Gestion des Commandes
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CODE Opération : Confirmation Commande Rechercher Commande (N° client, Date réception, n*{(N° article, Qté commandée)}) Rechercher Client (N° client) Si solvable alors Générer N° confirmation Insérer Confirmation Commande Pour tout N° article faire Rechercher Article (N° article) Insérer Demande de préparation Article (N° article, Qté commandée) Mise à jour Article (Stock = Stock ‐ Qté commandée) Si Stock ‐ Qté commandée < stock mini alors Insérer Rupture (Article) Finsi Fait sinon Insérer refus Finsi
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CLIENT IdClient NomClient
1 Arcelor
REVISEUR IdReviseur NomReviseur
1 Dupont
STAGIAIRE IdStagiaire NomStagiaire Coefficient
1 Denis 2
2 Dubois 1
3 Ducobu 0.5
TYPE PRESTATION
IdType Intitule TarifHoraire
A Nuit W‐E 60
B 18h – 20h 50
C Normal 40
TRAVAILLE IdDossier IdStagiaire IdType NbreHeure
1 1 A 4
1 1 B 10
1 1 C 20
DOSSIER IdDossier NomDossier NbreHeure TarifHoraire IdClient IdReviseur
1 Gestion chaudière
100 100 1 1
DOSSIER : IdDossier 1 NomDossier Gestion Chaudière CLIENT : IdClient 1 NomClient Arcelor REVISEUR : IdReviseur 1 NomRevisuer Dupont
REQUETE SQL : SELECT IdDossier, NoDossier, IdClient, NomClient, IdReviseur, NomReviseur, NbreHeure, TarifHoraire, FROM DOSSIER d, CLIENT c, REVISEUR r, WHERE d.IdCLient = d.IdClient AND d.IdReviseur = r.IdReviseur AND IdDossier = 1 ;
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