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11/12/2009
Analyse de la dynamique de développement du tissu urbain le
long de la route Liège-Tongres
BROTIN Nicolas, TROUCELIER Nicolas, MARTINS Guilherme
UNIVERSITE
DE LIEGE Morphologie urbaine et intégration paysagère
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 2
Sommaire
Introduction ................................................................................................................................. 3
I. Présentation de la zone d’étude ............................................................................................ 4
II. Analyse de la croissance dans la zone d’étude ........................................................................ 5
Réseaux et zones d’activités ................................................................................................................ 5
Croissance urbaine/périurbaine .......................................................................................................... 7
Typologies de croissance ..................................................................................................................... 9
III. Analyse détaillée des sous zones ......................................................................................... 13
Point 1 : Tongres ................................................................................................................................ 13
Point 2 : Diets-Heur / Vreren ............................................................................................................. 17
Point 3 : Wihogne / Paifve / Juprelle / Villers .................................................................................... 22
Point 4 : Lantin / Voroux-Lez-Liers / Rocourt / Liers ......................................................................... 27
Point 5 : Liège / Sainte Walburge ...................................................................................................... 34
Conclusion ................................................................................................................................. 41
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas
Introduction
L’objet de ce rapport est d’analyser la dynamique de développement du tissu urbain le long de la
route Liège-Tongres.
Nous allons étudier la dynamique du tissu urbain le long de cette voie depuis 1777. L’analyse, à
travers les époques, s’appui sur le
Epoque
1777
1880
1950-1954
1971
Aujourd’hui
Il s’agit d’expliquer le tissu urbain observé
développement : les principaux nœuds de croissance urbaine, les
croissance.
Dans une première partie, nous nous attacherons à analyser la croissance observée dans la zone
d’étude pour s’attarder plus en détails sur des tronçons de cette zone d’étude. Dans cette seconde
partie, nous nous intéresserons, en premier lieu, aux noyaux
croissance en détail : type de croissance et raisons de cette croissance. Nous étudierons également la
lisibilité des anciens noyaux villageois dans le tissu urbain actuel ainsi que les articulations observées
entre villages.
Route Liège-Tongres
• Communes traversées
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas
L’objet de ce rapport est d’analyser la dynamique de développement du tissu urbain le long de la
Nous allons étudier la dynamique du tissu urbain le long de cette voie depuis 1777. L’analyse, à
travers les époques, s’appui sur les documents cartographiques suivants :
Document cartographique
Ferraris
Vandermaelen
Cartes topographiques
Photographies aériennes
Google Earth
Il s’agit d’expliquer le tissu urbain observé aujourd’hui par le biais de l’analyse historique de son
: les principaux nœuds de croissance urbaine, les types de croissances et facteurs de
Dans une première partie, nous nous attacherons à analyser la croissance observée dans la zone
d’étude pour s’attarder plus en détails sur des tronçons de cette zone d’étude. Dans cette seconde
partie, nous nous intéresserons, en premier lieu, aux noyaux villageois pour analyser
: type de croissance et raisons de cette croissance. Nous étudierons également la
lisibilité des anciens noyaux villageois dans le tissu urbain actuel ainsi que les articulations observées
Processus analytique
Zone d'Etude
• Voiries
• Activités
• Croissance urbaine
Sous-
• Noyau villageois
• Croissance urbaine
• Lisibilité
• Résumé
3
L’objet de ce rapport est d’analyser la dynamique de développement du tissu urbain le long de la
Nous allons étudier la dynamique du tissu urbain le long de cette voie depuis 1777. L’analyse, à
Document cartographique
aujourd’hui par le biais de l’analyse historique de son
croissances et facteurs de
Dans une première partie, nous nous attacherons à analyser la croissance observée dans la zone
d’étude pour s’attarder plus en détails sur des tronçons de cette zone d’étude. Dans cette seconde
villageois pour analyser ensuite la
: type de croissance et raisons de cette croissance. Nous étudierons également la
lisibilité des anciens noyaux villageois dans le tissu urbain actuel ainsi que les articulations observées
-Zones
Noyau villageois
Croissance urbaine
Lisibilité
Résumé
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 4
I. Présentation de la zone d’étude
Délimitation de la zone d'étude
Nous avons délimité notre zone d’étude comme suit :
- Au Nord, le sud de Tongres
- Au Sud, le nord de Liège
- A l’Ouest et à l’Est, une bande de 1km de part et d’autre de la route.
Nous nous limitons au sud de Tongres, considérant que son développement suit des dynamiques
similaires dans toute sa périphérie. Notre zone d’étude est une bande de 2 km de large entre Liège et
Tongres. Elle englobe les villages en relation directe avec la route Liège-Tongres et les villages qui
leur sont liés. A l’Ouest, la limite est une bande de terrains agricoles qui marque une coupure nette
de l’urbanisation. A l’est, la limite coïncide avec la ligne de chemin de fer et l’autoroute.
Tongres
Liège
Diets-Heur
Vreren
Wihogne Pfaive
Juprelle Villers-Saint-
Simeon
Lantin
Rocourt
Vorouz-lez-
Liers
Liers
Sainte-
Walburge
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 5
II. Analyse de la croissance dans la zone d’étude
Réseaux et zones d’activités
En préalable à l’analyse de la croissance urbaine proprement dite, il apparaît nécessaire de
s’intéresser au développement du réseau viaire (routes, chemin de fer, etc.) et à l’implantation
d’activités dans notre zone d’étude. Ainsi les croissances observées pourront faire l’objet
d’explications plus satisfaisantes.
Réseau Viaire
Route principale
Route présente en 1900
Autoroute
Chemin de fer
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 6
La plupart des voies sont déjà présentes à l’époque de Ferraris. Quelques unes sont créées entre
1777 et 1880. Les autres créations de voirie auront lieu à partir des années 70 dans le cadre de la
création de lotissements et de pôles d’activités. La voirie peut constituer un pôle générateur, pôle à
partir duquel les constructions vont s’installer (cas d’un lotissement) ou bien être un pôle attracteur
(cas d’un village dont l’extension se fait en rejoignant un axe routier principal).Dans les années 60,
une autoroute est créée à l’Est de notre zone d’étude en lien avec la portion présente au sud de
notre zone d’étude. Cette portion d’autoroute est déjà présente en 1950.
On note également la présence de lignes de chemin de fer à partir de 1873. Une partie de ce
chemin de fer passant en plein cœur de Rocourt a été réaménagé en RAVel.
Zones d'activités dans la zone d'étude
Zone d’activités
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 7
On observe la création de zones d’activités entre 1950 et 1971 le long de la route Liège-Tongres,
au sud de Tongres et au nœud de Rocourt. La superficie de ces zones d’activités augmente encore de
1971 à aujourd’hui.
On observe, qu’au sud de Tongres, la zone d’activité nécessite de grandes surfaces de stockage et
est reliée au chemin de fer afin d’assurer une partie de son approvisionnement. Au nœud de
Rocourt, les activités sont plus commerçantes (hypermarchés, etc.). On trouve également des
structures liées aux loisirs (Kinépolis)
Croissance urbaine/périurbaine
Croissance dans la zone d'étude
Ferraris
Vandermaelen
1950
1971
Aujourd’hui
1900
Tongres
Vreren
Diets-Heur
Wihogne Pfaive
Juprelle Villers
Lantin
Liers
Voroux
Rocourt
Sainte Walburge
Liège
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 8
Pour l’étude de la croissance, nous avons relevé, époque par époque, les nouvelles constructions
en se servant des vues Google Earth comme fond de plan. Nous obtenons la carte ci-dessus. Afin de
pouvoir exploiter les données recueillies, il est nécessaire d’aller vers une simplification de cette
carte. Ainsi, nous obtenons la carte suivante :
Ferraris
Vandermaelen et 1900
1950
1971
Aujourd’hui
Tongres
Diets-Heur
Vreren
Wihogne
Pfaive
Villers
Juprelle
Rocourt
Liers
Liège
Sainte Walburge
Lantin
Voroux
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 9
Typologies de croissance
Au cours de notre étude, nous avons été amenés à distinguer 5 grands types de croissances
continues.
• Extension linéaire
Cette croissance est typique d’un noyau villageois qui s’étend le long de sa voie principale.
• Densification linaire (densification des noyaux villageois)
Cette croissance est observée dans les noyaux villageois peu denses à l’origine. Des habitations se
créent dans les espaces libres du bourg.
• Expansion
L’expansion fait référence à une croissance urbaine importante, souvent liée à la construction de
nouvelles voiries. Elle correspond à la construction de grandes zones de lotissement.
Bâti existant
Nouveau bâti
Sens de la croissance
Nouvelle voirie
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 10
• Fermeture d’ilot
Cette croissance fait référence à un noyau villageois peu dense installé sur une maille de voirie.
Les nouvelles constructions viennent sur cette maille qui se ferme.
• Densification en cœur d’ilot
Cette croissance est l’étape suivante de la fermeture d’ilot. On ouvre de nouvelles voies en cœur
d’îlot pour le densifier.
Analyse de la croissance par époque
• De l’époque de Ferraris à 1950
On observe une extension urbaine qui suit le schéma suivant : on densifie les noyaux villageois
quand ils peuvent l’être puis on continue une extension linéaire le long des voies perpendiculaires à
la route Liège-Tongres. Les noyaux villageois ont tendance à se rapprocher les uns des autres.
• De 1950 à 1971
L’extension se poursuit et complète les espaces libres sur les voies urbanisées. On observe
l’implantation de construction le long de la route principale Liège-Tongres. La répartition du bâti est
beaucoup plus diffuse, phénomène à relier à l’accroissement de la mobilité depuis l’essor
automobile.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 11
• De 1971 à aujourd’hui
L’urbanisation s’accélère. La construction de maisons se poursuit le long de la route Liège-Tongres.
On observe également une densification à l’intérieur de mailles par la création de lotissements
pavillonnaires.
Certains villages ont fusionné du point de vue du tissu urbain, d’autres s’articulent fortement
entre eux.
De ces observations, on dégage, de notre zone d’étude, 5 sous zones qui ont un fonctionnement
qui leur est propre.
Point 1 : Tongres
Point 2 : Vreren et Diets-Heur
Point 3 : Wihogne / Paifve /
Juprelle et Villers
Point 5 : Sainte Walburge et
Liège
Point 4 : Lantin / Voroux-Lez-
Liers / Rocourt et Liers
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 12
Les séparations entre zones sont marquées par une rupture du tissu urbain à l’exception de la
dernière au nord de Liège. Malgré le passage de l’autoroute qui créée une rupture, on remarque que
le tissu urbain au sud de celle-ci est en relation directe avec le nœud de Rocourt et non pas avec la
croissance de Ste Walburge. Nous avons ainsi une zone qui correspond au développement de la
périphérie nord de Liège et de Ste Walburge et une autre avec le nœud de Rocourt qui ne se sont
rencontrés qu’actuellement.
D’une façon générale, l’accroissement du bâti de la zone d’étude a suivi la courbe d’évolution
suivante :
On peut découper cette croissance grâce à 3 grands bouleversements majeurs. Tout d’abord
l’arrivée de la ligne de chemin de fer reliant Tongres à Liège et dont une ramification traverse
Rocourt. C’est à cause de cette ramification que la zone de Rocourt subit une telle croissance à partir
de 1873 qui triple la quantité de bâti existante.
A partir des années 1950, le paysage urbain se modifie avec l’arrivée de l’autoroute, qui marque
surtout l’arrivée de la voiture dans le mode de vie de la population. A cette période toutes les villes
subissent une croissance importante à l’exception de Liège qui continue dans sa lancée. Les zones de
Tongres, Juprelle, Rocourt et Vreren double leur quantité de bâti.
A partir des années 1970, de nouveaux pôles d’activités et de nouvelles zones pavillonnaires
apparaissent faisant exploser la croissance des villes, notamment à Rocourt avec le centre
commercial et à Tongres avec le pôle industriel. Tandis que Juprelle, Liège et Vreren continue leur
croissance.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 13
III. Analyse détaillée des sous zones
Point 1 : Tongres
• Etude du noyau villageois
Le noyau de la ville est construit à l’intérieur des fortifications existantes de la ville formant ainsi
un noyau dense.
• Etude du développement de l’espace
De Ferraris jusqu’en 1900
Durant cette période, la ville de Tongres s’étend le long de la route principale avec un bâti très
dense. Cette urbanisation s’arrête lorsque la route principale change de direction, Le bâti continue
légèrement sur une route secondaire qui est le prolongement de la route principale.
Ferraris
Vandermaelen
1900
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 14
De 1900 à 1971
Durant cette période, on observe le même développement typique de l’extension périphérique
d’une ville moyenne. Les constructions se complètent sur le tronçon au sud de Tongres jusqu’en
1950 puis s’étendent au-delà du carrefour jusqu’en 1971. Cette dernière partie est moins densément
bâtie que précédemment.
L’urbanisation se fait également sur 2 autres axes qui rayonnent de la ville (l’un au sud-ouest,
l’autre au sud-est). Le principe d’urbanisation est le même. Il faut également noter, qu’en 1971, on
observe les premières zones d’activités construites au sud de l’extension de la ville.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
1950
Zone d’activités
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 15
De 1971 à aujourd’hui
L’extension de la ville s’est poursuivie au sud, sur des axes concentriques qui recoupent les axes
rayonnants depuis la ville. La construction est essentiellement pavillonnaire. La construction s’est
également poursuivie plus au sud de Tongres, sur la route Tongres-Liège. Elle tend à occuper les
espaces creux entre les habitations déjà construites en 1971.
La superficie de la zone d’activité au sud est triplée. Les activités exercées sur cette zone
nécessitent de grandes zones d’entrepôts. Cette extension de la zone d’activités s’est faite en
rapprochement d’une ligne de chemin de fer qui peut l’approvisionner.
Ferraris
Bâti existant
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Actuel
Zone d’activités
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 16
Anciennes fortifications
• Lisibilité
On remarque de manière très visible, l’ancienne emprise de la ville de Tongres, dont les
fortifications ont été transformées en boulevard urbain. Pour le reste, il n’y a plus aucune trace des
habitations qui se situaient le long de la route principale.
• Résumé
Epoque Evénements
majeurs Tendances Description
Ferraris à
1900 Extension
On construit au sud de Tongres de part et d’autre
de la route principale.
1900 à 1971 Arrivée de la
voiture Extension
On termine de réunir les villes entre elles et on
commence à urbaniser la route principale.
Actuellement Expansion On construit de nouvelles zones pavillonnaires et
de nouvelles zones industrielles.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 17
Point 2 : Diets-Heur / Vreren
• Etude des deux noyaux villageois
Diets-Heur
Linéaire simple
Le noyau villageois est constitué de 2 structures
linéaires simples: l’une le long de la route Tongres-
Liège, au carrefour avec une seconde route
perpendiculaire à la route principale, le long de
laquelle s’est développée la 2ème partie du
village. Cette dernière est construite le long d’un
Vreren
Linéaire simple
Le noyau villageois s’est implanté le long d’une
voie parallèle à la route Tongres-Liège
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 18
• Etude du développement de l’espace
De Ferraris jusqu’en 1900
Durant cette période, les villages, dont le noyau est déjà dense, s’étendent linéairement le long de
l’axe perpendiculaire à la route Tongres-Liège. Cette extension linéaire se fait le long d’une voie déjà
existante à l’époque de Ferraris. L’extension se fait ainsi car elle suit le la vallée du cours d’eau
traversant les villages. On remarque également que les noyaux villageois tendent à se rejoindre.
Ferraris
Vandermaelen
1900
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Vreren Diets-Heur
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 19
De 1900 à 1971
Durant cette période, l’extension villageoise s’est poursuivie le long du même axe perpendiculaire
à la route principale Tongres-Liège. L’urbanisation est plus importante pour Vreren que pour Diets-
Heur. L’urbanisation de Vreren se fait vers le Nord, stimulée par la présence de la ligne de chemin de
fer qui relie Tongres et Liège.
L’urbanisation va également s’effectuer le long de la route principale au sud des noyaux villageois
et sur un autre axe qui sort du noyau ancien de Vreren et qui rejoint la route principale. Cette
urbanisation est due au manque d’espace dans les noyaux villageois denses et à l’attraction générée
par la route principale depuis l’avènement de l’automobile. Ces deux axes d’urbanisation créent une
maille. On choisit de se diriger vers le sud en raison du relief contraignant présent u nord de Vreren
qui empêche la ville de se développer dans cette direction.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
1950
Zone d’activités
Vreren
Diets-Heur
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 20
De 1971 à aujourd’hui
La majorité de l’urbanisation s’opère par lotissement pavillonnaire à l’intérieur de la maille
précédemment citée. Entre les 2 axes qui la délimitent, on a créé de nouvelles voies pour
l’urbanisation. De plus on observe un phénomène de fermeture d’ilot dans la ville de Vreren.
Vreren Diets-Heur
Ferraris
Bâti existant
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Actuel
Zone d’activités
Zone
pavillonnaire
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 21
Fermes conservées
Diets-Heur
Ancienne emprise des bâtis de Ferraris
Vreren
• Lisibilité
Le noyau villageois de Diets-Heur est encore visible aujourd’hui, mais on ne peut pas parler à
proprement dit de centre-bourg du fait de l’organisation urbaine linéaire. Tandis qu’à Vreren, les
fermes ont été remplacées par des résidences pavillonnaires et au vu de la nouvelle zone
pavillonnaire, la ville ne possède plus de centre.
• Résumé
Epoque Evénements
majeurs Tendances Description
Ferraris à
1900
Densification des
noyaux et
extension
Réunification des habitations à l’intérieur même
des noyaux villageois et début de réunification
des noyaux villageois.
1900 à 1971 Arrivée de la
voiture
Densification et
extension
On termine de réunir les villes entre elles et on
commence à urbaniser la route principale.
Actuellement Fermeture d’ilot
et expansion
On ferme les voies à l’intérieur des villes et on
créé de nouvelles zones pavillonnaires proches
de la route principale.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 22
Point 3 : Wihogne / Paifve / Juprelle / Villers
• Etudes des quatre noyaux villageois
Paifve
Linéaire simple
Wihogne
Croisement axial
Juprelle
Linéaire ramifié
Villers Linéaire ramifié
Cette configuration rend le village
extrêmement resserré sur lui-même avec une
densité du bâti importante.
Dans ce village les groupes d’habitations sont
assez éloigné les uns des autres formant ainsi deux
centres plutôt qu’un unique. Cet éloignement est
caractéristique des évolutions linéaires.
Il apparait un développement assez régulier le
long de l’axe central sans apparition de centre.
Nous sommes en présence d’un linéaire ramifié
basique avec tout de même une présence de bâti
plus importante au niveau du carrefour qui
s’explique par la présence de l’église à ce niveau
ci.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 23
• Etude du développement de l’espace
De Ferraris jusqu’en 1900
On assiste durant cette période à une densification
urbaine au sein des quatre noyaux villageois précédents.
Cette densification s’effectue le long des voies existantes à
l’époque de Ferraris.
On a tendance à regrouper les habitations des noyaux
villageois, c’est pour cela que la densification est surtout
présente dans les villes de Juprelle et de Paifve. En effet
nous avons expliqués précédemment qu’il s’agissait de villes
s’étant développées linéairement et avec des habitations
assez espacées les unes des autres, d’où une quantité plus
importante de constructions pour relier les habitations
existantes.
Ferraris
Vandermaelen
1900 Paifve
Wihogne
Villers Juprelle
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Ville de Juprelle
Jointure
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 24
De 1900 à 1971
A cette époque, il y a une volonté de réunir les différents noyaux villageois entre eux. Cela
commence surtout en 1950 où l’on remarque un étalement urbain assez dense le long de la voie
urbaine reliant Juprelle à Paifve. On observe un phénomène similaire pour la ville de Wihogne qui
subit un étalement urbain en direction de la voie principale, pôle attracteur et qui est en même
temps la seule voie menant vers Paifve. Cet étalement va se poursuivre de manière plus importante
en 1971. Cette fois ci Wihogne a réussi à rejoindre Paifve.
De plus de 1950 à 1971 on commence à urbaniser la route
principale au niveau des intersections avec les voies
perpendiculaires principales des villes, ce sont pour la plupart des
commerces qui avec l’avènement de l’automobile se positionnent
sur les voies les plus fréquentées pour être visibles.
En parallèle de l’étalement urbain qui se poursuit, la liaison
entre les habitations à l’intérieur des noyaux urbain continue mais
de manière moins importante que pour l’unification des villes.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
1950
Zone d’activités
Juprelle
Villers
Paifve
Wihogne
Intersection de Juprelle avec la
route principale
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 25
Fermeture d’ilot à Juprelle
De 1971 à aujourd’hui
Actuellement la route principale est à peu prés totalement urbanisée, créant ainsi une nouvelle
liaison entre Juprelle et Wihogne/Paifve. On constate bien la progression de l’urbanisation qui est
partie des deux carrefours. Ce nouveau bâti n’est pas constitué de commerces comme c’était le cas
en 1971 mais de résidences pavillonnaires, les commerces étant désormais dans de grandes zones
commerciales comme nous le verrons dans la zone suivante. Cet étalement est stoppé au sud par la
petite voie qui coupe la route principale et qui fait office de barrière naturelle à l’extension.
De plus tous les ilots sont presque fermés le long des voies avec des
résidences pavillonnaires. Etant donné la taille important des ilots qui
sont présents, la place ne manque pas, c’est pourquoi l’on assiste peu
au phénomène de construction à l’intérieur même des ilots et donc très
peu de nouvelles voies.
Il est intéressant de voir que les noyaux urbains sont présents aux
quatre coins de cette zone. L’étalement s’est donc effectué en direction
de la route principale (selon des axes perpendiculaires et parallèles),
plus attirante pour la population que les champs environnants avec
ce besoin sans cesse d’accès à la mobilité.
Ferraris
Bâti existant
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Actuel
Zone d’activités
Juprelle
Villers
Paifve
Wihogne
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 26
Centre de Villers Centre de Wihogne
Grandes fermes
conservées
Fermes conservées
Bâtiment détruit
pour créer une place
publique
• Lisibilité
Il n’y pas eu de nouvelles voies créées, les voies actuelles sont celles datant de l’époque de
Ferraris et de VDM. Les noyaux villageois de Wihogne et de Villers sont devenus les centres des
nouvelles villes et dont les grosses fermes agricoles ont été conservées et réhabilités. La disparition
de certaines maisons a eu pour conséquence la création de places publiques renforçant l’impression
de « cœur de village ». Les petites fermes ont été quand-à-elles transformées en pavillons.
Pour Juprelle la majorité des fermes a été conservée, mais elles se retrouvent désormais à l’écart
dans l’évolution de la ville et ne constituent donc pas proprement dit des centres. On retrouve la
même configuration à Paifve où la totalité des fermes a été conservée mais se retrouvent le long
d’une route perpendiculaire à la voie principale et donc non intégrés au processus de développement
urbain.
• Résumé
Epoque Evénements
majeurs Tendances Description
Ferraris à
1900
Densification des
noyaux
Réunification des habitations à l’intérieur même
des noyaux villageois pour créer des villes
cohérentes.
1900 à 1971 Arrivée de la
voiture Extension
Réunification des noyaux villageois entre eux
avec un bâti qui se développe le long des axes
reliant les noyaux entre eux.
Actuellement Fermeture d’ilot
et extension
Fermeture des ilots dans les villes et le long des
axes reliant les noyaux.
Etalement urbain le long de la route principale.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 27
Point 4 : Lantin / Voroux-Lez-Liers / Rocourt / Liers
• Etudes des quatre noyaux villageois
Lantin
Linéaire ramifié
Voroux-Lez-Liers
Linéaire simple
Rocourt
Linéaire ramifié
Liers
Linéaire ramifié
C’est un développement compact le long de la
voie principale mais également sur les voies
ramifiées. C’est déjà un noyau solide à cette
époque.
On constate un développement linéaire, mais
ce développement s’effectue irrégulièrement. En
effet le cœur du village est au nord et quelques
parcelles se disposent aléatoirement au sud.
C’est un développement linéaire qui présente
néanmoins un regroupement d’habitat à
l’intersection d’une des ramifications faisant d’elle
un petit centre.
Voroux subit un développement linéaire simple
avec des groupes d’habitations peu espacés
formant des blocs compacts.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 28
• Etude du développement de l’espace
De Ferraris à 1900
On constate pour les villes de Lantin, Voroux et Liers une densification urbaine. On va avoir
tendance, de la même manière que pour le point précédent, à rejoindre les habitations appartenant
à un même noyau villageois afin de créer une ville plus forte. Cette densification se fait également
sur les routes existantes à l’époque de Ferraris. On remarque également que la ville de Liers se
développe vers le nord avec l’apparition de la voie de chemin de fer en 1873. Cette ligne de chemin
de fer permet aux usagers d’aller d’un coté vers Liège et de l’autre coté vers Tongres reliant ainsi les
deux extrémités de notre zone d’étude.
Il y a une exception pour la ville de Rocourt. Etant donné que les habitations sont compactes le
long de la voie, la densification n’est pas possible, c’est pour cela que l’on observe un étalement
urbain sur la voie menant vers la route principale où un petit groupe d’habitations est présent. Cet
étalement va se poursuivre le long de la route principale en direction de Liège.
Ferraris
Vandermaelen
1900
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Voie de chemin de
fer
Gare ferroviaire
Lantin
Liers
Rocour
t
Voroux
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 29
De 1900 à 1950
Ferraris
Bâti existant
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen 1950
Zone d’activités
Voie de chemin de fer
Nouvelle
autoroute
Voroux
Liers
Rocourt
Lantin
Gare ferroviaire
Nouvelle gare
ferroviaire
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 30
Nouvelle gare
ferroviaire
Apparition de pole
d’activités à proximité de la
gare
Liaison forte entre Rocourt,
Voroux et Liers
Durant cette période, on constate un
étalement urbain important. Les villes de
Rocourt, Voroux et Liers se rejoignent en
urbanisant les voies qui les reliaient. On a arrêté
de construire sur la route principale pour
rejoindre Liège et on continue la densification au
nord de le Liers à proximité de la gare.
L’apparition de la nouvelle gare ferroviaire sur la voie traversant la route principale bouleverse la
croissance urbaine de Rocourt. En effet on va construire à proximité de celle-ci pour des raisons
commerciales et industrielles car le train est à l’époque le moyen le plus rapide de transporter les
marchandises. Rocourt commence à devenir une ville d’une grande importance le long de cette route
principale avec deux pôles bien différents : l’habitat et l’industrie.
La ville de Lantin reste à l’écart de la croissance globale du lieu. On assiste plutôt à la densification
du noyau villageois présente dans les années 1900. Quelques habitations apparaissent mais le noyau
villageois de l’époque de Ferraris est encore fort présent. Ce manque de croissance peut s’expliquer
par le fait que Lantin ne possédait pas de voie la reliant à Voroux ou à Rocourt ni même de manière
directe à la voie principale.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 31
De 1950 à 1971
En ce qui concerne Rocourt, Liers et Voroux, l’extension urbaine qui était présente jusqu’en 1950
s’est stoppée et on assiste plutôt à une expansion et une densification importante.
De nouvelles zones pavillonnaires sont créées au nord de Liers toujours dans la continuité de
l’attraction du la gare ferroviaire. Cette croissance est limitée d’une part au nord par le chemin de fer
et à l’est par un dénivelé naturel.
Rocourt subit une densification forte à l’intérieur des ilots. Ce sont des résidences pavillonnaires à
proximité de la gare ferroviaire et une expansion d’industries et de commerces.
On densifie essentiellement les voies menant d’une ville à une autre ainsi que le nord de la route
principale vers Tongres, le sud étant déjà bien développé. On y construit des commerces toujours
dans l’optique de l’arrivée de la voiture, avec des emplacements visibles car les gens se déplacent le
long des routes principales.
Une fois de plus Lantin se distingue car elle ne subit que maintenant son extension urbaine au sud,
composées de résidences pavillonnaires. Mais elle commence à suivre le mouvement des villes
voisines en commençant une expansion avec deux nouvelles zones pavillonnaires en direction de la
route principale et donc des autres villes.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Voie de chemin de
fer
Nouvelle
autoroute
Zone d’activités
Lantin
Liers
Voroux
Rocourt
Zone
pavillonnaire
Zone
pavillonnair
e
Nouveau centre
d’activité
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 32
De 1971 à aujourd’hui
Il y a eu une grande expansion urbaine à l’Est de la route principale et au sud de Rocourt, aussi
bien industrielle que pavillonnaire. La voie de chemin de fer étant désormais inutilisable, elle a été
transformée en RAVel et des habitations sont venues s’installer autour.
La densification au nord long de la route principale continue, mais il ne s’agit pas des commerces,
mais bel et bien des résidences pavillonnaires. De nos jours les commerces se situent dans de
grandes zones commerciales qui drainent une quantité de personnes impressionnante. D’une
manière différente, la densification au sud est surtout faite avec des zones d’activités pouvant
accueillir toutes les personnes venant de l’autoroute.
Liers, Voroux et le nord de Rocourt subissent une densification urbaine et une fermeture d’ilots.
Lantin suit enfin le mouvement de ses villes voisines. Elle subit de manière logique une densification
urbaine le long des voies qui ont subi précédemment une extension urbaine. De plus elle continue
son expansion fusionnant les deux anciennes pavillonnaires pour n’en former qu’une seule,
s’arrêtant à la nouvelle zone industrielle, ceci permet ainsi de relier Lantin aux autres villes pour la
première fois.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Voie de chemin de
fer
Nouvelle
autoroute
Zone d’activités
Rocourt
Voroux
Liers
Lantin
Nouvelle zone
pavillonnaire
Fusion des zones
pavillonnaires
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 33
Centre de Lantin
Ancienne emprise des bâtiments
de Ferraris à Rocourt
Fermes conservées
• Lisibilité
Pour Lantin, Voroux, les fermes de l’époque de Ferraris
ont été conservées et sont de plus devenues le centre-
bourg.
Pour Liers et Rocourt, toute trace de l’époque de
Ferraris a disparue. Il reste à Liers une grande ferme
mais l’ancien emplacement des habitations de l’époque
de Ferraris reste encore aujourd’hui le centre-bourg de
la ville, tandis que Rocourt ne possède plus de centre.
• Résumé
Epoque Evénements
majeurs Rocourt, Liers et Voroux Lantin
Tendance Description Tendance Description
Ferraris à
1900
1873 : Chemin
de fer au nord
Densification
urbaine
On relie les habitations
au sein d’un même
noyau villageois.
Densification
urbaine
On relie les habitations
au sein d’un même
noyau villageois.
1900 à 1950
Création de la
voie ferrée
traversant la
route principale
Extension
linéaire
On relie les noyaux
villageois entre eux et
on créer des industries
et habitations le long de
la nouvelle voie ferrée.
Densification
urbaine
On continue la
densification.
1950 à 1971 Arrivée de la
voiture
Expansion et
densification
On densifie l’habitat le
long des voies reliant les
villes et on commence à
créer des zones
pavillonnaires et des
pôles industriels.
Extension
linéaire et
expansion
On étend l’habitat au
sud sur les voies
existantes et par de
nouvelles zones
pavillonnaires.
1971 à
aujourd’hui
Expansion et
fermeture
d’ilot
On ferme les ilots
existant, on continue
l’expansion résidentielle
et industrielle.
Expansion et
densification
On densifie le long des
anciennes voies en
extension et on
poursuit l’expansion
résidentielle.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 34
Point 5 : Liège / Sainte Walburge
• Etudes du noyau villageois de Sainte Walburge
Sainte Walburge
Linéaire simple
C’est un développement compact le long de la voie.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 35
De Ferraris à VDM
La ville de Sainte Walburge subit une extension urbaine importante au nord le long de la route
principale dans la direction de Rocourt.
Ferraris
Vandermaelen
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 36
De VDM à 1900
La zone subit de manière très visible une expansion et extension urbaine reliant Sainte Walburge à
Liège. C’est une croissance assez rare à cette époque qui peut s’expliquer du fait de l’importance de
la ville de Liège qui souhaite étendre sa périphérie au nord.
C’est un développement le long d’axes parallèles à la route principale.
Ferraris
Bâti existant
1900
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 37
De 1900 à 1950
Etant donné la vitesse et l’expansion importante de cette zone durant la période précédente,
l’expansion s’est stoppée et on assiste naturellement à une densification des voies.
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 38
De 1950 à 1971
Pendant cette période, on continue la densification de l’époque précédente en refermant les ilots,
cette fermeture n’avait pas eu lieu avant du fait de la surface importante. A cette époque, on
commence à manquer de place et on peut observer quelques constructions à l’intérieur des ilots.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Zone d’activités
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 39
De 1971 à Aujourd’hui
On constate un manque de place évident, du fait de la multitude
des constructions à l’intérieur d’ilot.
Ferraris
Bâti existant
1971
Route principale
Routes Ferraris et
Vandermaelen
Zone d’activités
Construction en cœur d’ilot
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 40
• Lisibilité
Le bâti de Ferraris s’est totalement fondu dans l’urbanisation
• Résumé
Epoque Evénements
majeurs Tendances
Ferraris à VDM Extension linéaire
De VDM à 1900 Expansion urbaine
De 1900 à 1950 Densification urbaine
De 1950 à 1971 Arrivée de l’automobile Fermeture des ilots
De 1971 à aujourd’hui Construction à l’intérieur d’ilot
Ancienne emprise de Ste Walburge
BROTIN Nicolas, MARTINS Guilherme, TROUCELIER Nicolas 41
Conclusion
Toutes les villes subissent le même type de croissance, à savoir une densification des noyaux
villageois, puis une extension du noyau en direction des autres noyaux. Ces axes subiront par la suite
une plus forte densification.
Certains facteurs viennent moduler la suite de cette croissance, comme l’apparition de la voie de
chemin de fer attirant des industries à proximité ou encore l’arrivée de l’automobile. Cette dernière
constitue un évènement majeur, l’accroissement de mobilité favorise une implantation en dehors
des noyaux villageois sous la forme de lotissements.
L’arrivée de l’automobile et des moyens modernes de construction amoindrissent l’influence des
facteurs d’influence comme le relief, la proximité d’un village voisin, etc. Les facteurs de croissance
comme les routes, parallèlement au développement qu’ils génèrent, déstructurent le tissu urbain
ancien.