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Info-SERUM 2013 | num. 4, vol. 1
Journal du Symdicat des Employé(e)sde la Recherche de l’Université de Montréal
Info-SERUM 2013 | 1
INFO-SERUM
Lors de l’assemblée générale spéciale du SERUM-PSA qui s’est tenue le 28 août dernier, les membres ont voté en faveur de l’entente de principe à 92 %. La convention a été signée le 23 septembre 2013 en présence du recteur, du vice-recteur et de votre comité de négociation composé de France Filion, présidente du SERUM, Tania Rostane, responsable à la convention collective, Josée Tessier et Marie-Claude Labonté, membres de l’équipe de négociation, et Alain Lachapelle, négociateur représentant l’AFPC-Qc.Nous sommes très heureux de cette nouvelle convention collective et nous désirons vous en rappeler les grands points :
• Augmentation de salaire (PSG) rétroactive au 1er mai 2013;• Boni à la signature de 1,75 % pour ceux à l’emploi de l’UdeM avant ou depuis le 1er
mai 2011 et de 0,75 % pour ceux embauchés entre le 1er mai 2011 et le 1er mai 2012;• Garantie d’augmentation d’un échelon chaque année;• 23 jours de vacances après 1 an de service, 24 jours après 12 ans de service et 25
jours après 15 ans de service;• Congés parentaux payés à 90 % du salaire.
Le Comité de négociation est fier du travail accompli, malgré les embûches que nous avons connues en cours de route. La présence de l’arbitre lors des dernières rencontres syndicales patronales a eu un effet bénéfique et nous sommes convaincus que nous n’aurions pas obtenu cette entente de principe sans cette approche.
Il ne vous reste plus qu’à lire attentivement votre nouvelle convention collective pour en connaître tous les avantages et de vous assurer que votre nouveau contrat de travail soit respecté.
Bonne lecture!
Signature de la première convention collective SERUM-PSA
Le comité de négociation du SERUM et celle de l’Université lors de la signature de la convention collective des PSA.
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C h e r ( e ) s collègues,Nous voi-ci déjà à la rentrée automnale qui, je vous le souhaite, aura suivi
une saison estivale reposante autant qu’énergisante. Du côté syndical, plusieurs dossiers d’actualité sont à souligner. En premier lieu, notons l’entente de principe portant sur la première convention collective du groupe PSA et entérinée en assem-blée le 28 août dernier par plus de 92% des membres présents. Celle-ci a été signée et est entrée en vigueur le 23 septembre. Dans le même or-dre d’idée, les négociations pour une seconde convention collective, cette fois chez les PRO, occuperont activement le calendrier automnal.
Certains moments forts sont à prévoir et soyez assurés que nous vous aviserons pé- riodiquement du dérou-
lement des rencontres.
Aussi chez les PRO, le rembourse-ment des cotisations syndicales prélevées en surplus par l’Universi-té n’est toujours pas résolu; surpris? Bien sûr, le système SYNCHRO pointé comme le grand fautif a eu le dos large, mais sachez que ce pro-blème fût résolu il y a déjà plusieurs mois et n’est donc plus en cause. En fait, l’Université peut aujourd’hui aisément vous rembourser la qua-si-totalité de ces prélèvements er-ronés. Les montants individuels redevables, couvrant la période de juin 2010 à juin 2012, et se chif-frant souvent à plusieurs centaines de dollars, sont déjà connus depuis plusieurs mois; il ne manque que la volonté de payer. C’est donc main-tenant le moment d’agir et d’exiger le prompt remboursement des som-mes dues. D’ailleurs, le syndicat vous a fait parvenir un avis personnalisé vous indiquant le montant exact au-quel vous avez droit ainsi que les dé-marches utiles afin de demander les sommes dues.Finalement, je voudrais porter votre attention sur un volet politique au-quel participe le SERUM.
Suite à l’étude panquébécoise portant sur les réalités socio-économiques des professionnels de recherche, à laquelle le SERUM a participé, plu-sieurs rencontres avec des instan- ces décisionnelles sont maintenant à l’horaire où nous serons à même de présenter nos préoccupations et nos doléances. Des représentations seront ainsi faites devant les comi-tés directeurs du Fonds de la recher-che du Québec (FRQS, FRQNT et FRQSH) et éventuellement devant les hauts fonctionnaires du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MERST).Au nom de tous mes collègues au bureau du SERUM, je vous souhaite une excellente rentrée 2013. Con-sultez notre site internet et, surtout, n’hésitez pas à nous contacter pour toute question.
France Filion,Présidente SERUM
Le SERUM tient à souligner le travail de l’équipe de négociation de l’unité des
PSA, sans qui nous n’aurions pas de convention collective.
Merci!
De gauche à droite: France Filion, présiden-te du SERUM, Josée Tessier, membre du comité de négociation, Alain Lachapelle, négociateur de l’AFPC-Qc, Tania Rostane, Responsable aux conventions collectives et Marie-Claude Turmel,
Membre du comité de négociation.
Mot de la présidente
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Négociation d’une deuxième
convention collective.
Comme vous le savez probablement, le SERUM négocie présentement avec les représentants de l’UdeM pour le renou-vellement de la convention collective des professionnels. Suite à l’inévitable période de relâche estivale, nous entamons cet automne une nouvelle ronde de rencontres que nous espérons fructueuses.
Nous devons tous être vigilants et surtout conscients que notre pouvoir de négociation ne
tient qu’à la force des membres.
Bien que plusieurs articles de la nouvelle convention aient déjà été conclus, certains points en litige de première importance seront débattus au cours des mois à venir. Nous faisons appel à votre so- lidarité pour clairement démontrer votre présence à nos côtés et notre détermination collective quant à nos revendications. Bien sûr, vous serez régulièrement informés de l’avancement des travaux; soyons vigilants, mais surtout, soyons solidaires!
Une fois par semaine... Les douches oculaires doivent être vidangées et vérifiées au moins une fois par semaine. As-surez-vous qu’une personne soit responsable de cette tâche dans votre laboratoire. Il est impor- tant de vérifier les douches oculaires régulière-ment afin de s’assurer que l’eau qui s’y trouve soit propre et n’ait pas stagné dans le tuyau pendant plusieurs mois. De plus, la vidange permet de vérifier que le règlage de la tempéra-ture de l’eau est adéquate.
N’attendez pas qu’une urgence se manifeste
pour vérifier l’état de la douche oculaire!
Une nouvelle cotisation pour les PSA
Suite à la signature de la convention collective pour l’unité des PSA, la coti-sation syndicale temporaire de 6 $ prendra fin sous peu. L’assemblée générale du 28 août a adopté la résolu-tion suivante à la majorité:
Il est résolu que la cotisation syndicale soit de 1,6661 %.
Notez qu’il s’agit du même taux de co-tisation que celui de l’unité des profes-sionnels, ce qui permettra au SERUM de fonctionner pleinement pour veiller à l’application des 2 conventions col-lectives et de répondre à vos besoins.
Notez aussi que les règles de prélève-ment de l’Alliance de la fonction pub-lique du Canada (AFPC) prévoient que les cotisations doivent être prélevées sur le plus bas échelon de votre échelle de salaire de référence. C’est donc votre échelle de salaire qui va déterminer le montant exact qui vous sera prélevé et non votre salaire réel.
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Mais, qui êtes-vous donc? Voilà déjà quelques mois, le Scientifique en chef du Québec, M. Rémi Quirion, a commandé une étude au syndicat des professionnelles et professionnels de l’Université Laval (SPPRUL) portant sur la réalité so-cio-économique des employés de la recherche publique au Québec. D’emblée, vous pouvez noter à quel point cette demande est intéressante et hautement signifi-cative puisqu’elle démontre clairement que les hauts dirigeants et décideurs de l’avenir de la recherche au Québec n’ont, somme toute, aucune idée de qui nous sommes! À cette demande, nos collègues du SPPRUL y ont plutôt vu l’occasion de proposer une étude élargie qui, cette fois-ci, engloberait les professionnels de tout le Québec, via leurs organisations syndicales respec-tives. L’idée, reçue avec enthousiasme par M. Quiri-on, est à la base de cette récente étude panquébécoise à laquelle nous avons participé, tout comme l’essentiel des universités francophones (Universités de Montréal, Laval, Sherbrooke, UQAM, UQTR, UQAR) de même que certains centres de recherche affiliés. Le volet francophone de cette étude, sous la direction du professeur Paul-André Lapointe de l’Université Laval, est maintenant complété. Elle sera suivie sous peu par le volet anglophone qui comprendra les uni-versités McGill, Concordia et Bishop. D’ailleurs, dès les représentations gouvernementales terminées, vous pourrez consulter ce document dans son intégralité sur le site internet du SERUM. Globalement, cette étude décrit les différents paramètres socio-économiques qui caractérisent l’emploi de professionnels de recherche en milieu public et dresse le portrait général des indi-vidus sondés tant au point de vue de la vie personnelle
(sexe, âge, milieu familial, éducation, etc..) que profes-sionnelle (ancienneté, salaire, responsabilités, champs de spécialisation, attentes professionnelles, etc..). Pour ne nommer ici que 2 faits saillants, citons d’une part la précarité d’emploi qui est partagée par nos collègues de toutes institutions, et le désengagement total des res-sources humaines face à leurs responsabilités à l’égard des employés de la recherche : Surpris ? Parions que le volet anglophone ne viendra que confirmer ces conclu-sions. Nous vous invitons fortement à consulter le do- cument dès qu’il sera disponible sur notre site; nous vous en aviserons. Nous espérons aussi faire un jour le même genre d’étude pour les PSA.
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L’implication syndicale. Le SERUM et l’Université en sont finalement arrivés à une en-tente qui a mené à l’adoption d’une première convention col-lective pour les PSA (personnel de soutien administratif) d’une durée de 3 ans. Maintenant, c’est du côté professionnel que s’or- iente l’équipe de négociation pour renouveler la convention col-lective des PRO. Tout ça pour dire ceci : le syndicat travaille pour vous afin que des conditions de travail et de respect soient mises en place. Mais n’oublions pas que c’est le devoir de chaque mem-bre d’être éveillé et d’y mettre du sien. Vous savez qu’une équi-pe de football qui n’a que 3 joueurs qui se démènent alors que les autres restent assis sur les côtés arrive difficilement au but.
Donc, que veut dire « implication »? C’est d’abord un regard franc et réaliste sur notre monde de travail. C’est de reconnaître le bon, mais aussi les lacunes qui rendent lourde et décourageante la vie au sein du groupe de travail. Votre implication est nécessaire en tant que membre de « l’équipe de football » si on veut s’assurer une situation de travail telle que régie par la convention conclue. J’ai donc quelques suggestions réalisables à vous proposer :
• Rencontrez vos collègues de travail appartenant à votre groupe syndical: identifiez-vous et développez une cohésion locale (petite rencontre sur l’heure du dîner?).
• Visitez le site web du SERUM (www.serum-afpc.org) et soyez à l’affût des nouvelles et enjeux qui s’y trouvent. (L’équipe du SERUM y travaille présentement afin de l’améliorer et le rendre plus convivial)
• Participez à la vie syndicale en devenant membre d’un comité ou en occupant un poste au Conseil Exécutif. Quelques opportunités s’offrent déjà à vous :
2 postes vacants au comité de Relations de travail pour les PSA,1 poste de secrétaire au Conseil exécutif,1 poste sur le comité des évaluations des emplois PSA
Si vous hésitez à vous engager parce que vous ne connaissez pas « l’ampleur » de la tâche, vous pouvez rapidement avoir des réponses en me contactant au 514-343-2156 ou en communiquant avec les agent(e)s du SERUM au 7455. Une fois informé(e), vous pourrez mieux décider de l’étendue de votre implication.Vous pouvez aussi tout simplement devenir délégué local de votre unité (lien entre vos collègues et les agents syndicaux) pour assurer un lien de communication plus étroit et plus efficace. C’est un rôle peu exigeant, mais combien important pour la cohésion du groupe.
Je termine en vous invitant à réfléchir au fait que si , au Québec, nous avons des conditions de travail enviables, ceci est le fruit d’efforts syndicaux échelonnés sur des décennies de négos et de revendications des travailleurs qui nous ont précédés. La complaisance est agréable, mais très dangereuse. Heureusement, nous sommes loin des vio-lences et des conflits des années 50, mais restons productifs et fiables tout en étant vigilants pour nos droits.
Normand RoyResponsable des délégué(e)[email protected]
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Remboursement des cotisations
Comme vous le savez pertinemment, l’Uni-versité a, par le passé, opéré des prélèvements de cotisations syndi-cales excédentaires sur votre paie. Échelonnées sur une période de plu-sieurs mois, les sommes
ainsi accumulées sont toujours en attente de versement. Au printemps dernier, le Syndicat et l’Université en sont finalement venus à une entente sur les montants dus. Pourtant, l’institution persiste à repousser les échéan-ciers du règlement! Le Syndicat peut bien multiplier les rencontres et négociations avec l’Université, rien n’y fait.
La meilleure stratégie pour assurer un déblocage à cette situation reste votre intervention directe; la
balle est dans votre camp!
En septembre dernier, le SERUM vous a informé, par courriel, de votre cotisation excédentaire personnelle jusqu’en juin 2012. Faites valoir votre droit à un rem-boursement rapide et contactez directement les per-sonnes responsables de votre dossier à la direction des ressources humaines. Pourquoi une telle attente alors que tout est résolu? Plus nous serons nombreux à exiger des réponses, plus rapide sera le remboursement. Voici les coordonnées des personnes responsables; n’hésitez pas à les contacter.
Demandez-leur des comptes, ils travaillent pour vous!
M. Pierre Lemieux, directeur général, Tél. : 514 343-6441 poste 7788 [email protected]
M. Guy Bélanger, Directeur Services RH et Santé au travail, Tél. : 514 343-6441 poste 1022 [email protected]
L’étude sur les professionnels de la recherche fut l’occa-sion de rencontrer le Scientifique en chef du Québec, M. Rémi Quirion, et d’échanger sur les problématiques rencontrées par nos membres. À cette rencontre étaient présents des représentants des différents syndicats pro-fessionnels (SERUM, SPPRUL, CSQ, FPPU), de même que le directeur du Fonds de la Recherche du Qué-bec (FRQ) M. Rémi Quirion, son collègue respons-able du volet santé, le Dr Renaldo Batista (FRQS) ain-si que M. Lapointe et M. Baya Chatti, responsable de l’étude et associé de recherche, respectivement. Cette rencontre fort cordiale nous a permis de présenter d’une part les résultats du volet francophone de l’étude portant sur les réalités socio-économiques des pro-fessionnels de la recherche, et d’autre part nos préoc-cupations et revendications quant aux besoins de nos membres. Soulignons ici que c’est la première fois que nous pouvons enfin faire savoir nos doléances à cette instance influente au niveau gouvernemental.
D’autres rencontres sont maintenant prévues à l’agenda. Au cours des semaines à venir, des représentants syndi-caux des diverses universités, dont le SERUM, rencon-treront les membres des Conseils d’administration de chacun des fonds subventionnaires québécois (Nature et technologies, Santé, Société et culture) dans le but de sensibiliser ceux-ci aux problématiques que vivent les professionnels de recherche, d’entendre nos revendica-tions et de trouver des pistes de solutions pour l’avenir.
Rencontre avec le Scientifique en chef du Québec, M. Rémi Quirion.
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Un travail, c’est rémunéré!La plupart d’entre nous adorons notre travail. Nous prenons à cœur nos projets et œuvrons au sein d’équi-pes stimulantes et motivantes. Toutefois, ces considéra-tions n’impliquent pas que celui-ci doit s’effectuer gra-tuitement.
Au Québec, la loi sur les normes du travail oblige l’em-ployeur à rémunérer un salarié travaillant plus de 40 heures par semaine à 150 % de son taux de rémunéra-tion régulier. C’est cette norme qui s’applique aux pro-fessionnels de la recherche. Pour le personnel de soutien et d’administration, la convention collective prévoit que la rémunération à temps et demi commence à partir de 35 heures de travail hebdomadaire, ou l’horaire de tra-vail régulier si celui-ci est de plus de 35 heures.
Plus nombreux nous serons à demander la reconnaissance des
heures supplémentaires, plus cette perception de l’obligation de faire du travail non rémunéré en recherche
disparaîtra.
C’est à nous de faire changer les choses!
Lorsque nous ne demandons pas la juste rétribution de notre travail, nous contribuons à perpétuer la percep-tion que les employés de la recherche valent moins que les autres salariés, et c’est une grave erreur; la précarité de nos emplois n’est pas synonyme de bénévolat!
Aussi, si vous évaluez que les tâches demandées excè-dent l’horaire normal (35 / 40hrs/sem), vous devez avis-er votre gestionnaire de la situation de sorte à prendre en compte cet excédent de travail.
Bien que les situations budgétaires soient parfois dif-ficiles, sachez que nous pouvons reprendre en temps équivalent (x1.5) la valeur de notre temps supplémen-taire accumulé : ainsi, il n’en coûte pas plus cher aux ges-tionnaires.
Si vous rencontrez des difficultés pour la réclamation de vos heures travaillées, n’hésitez pas à contacter le SERUM.
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L’une des priorités du comité de santé et sécurité au travail (SST) du SERUM est de procéder à des ins- pections de vos milieux de travail. Certains d’entre vous ont déjà eu la visite de l’équipe d’inspection cons- tituée de membres de la direction de l’UdeM et de représentants du SERUM. C’est toujours un plaisir de vous rencontrer et d’être sensibilisé à vos environnements de travail.
Plusieurs problématiques ont été recensées lors de ces visites, en voici quelques exemples : faire faire la rénovation de salles de toi-lettes, améliorer l’entretien ménager de façon significative à l’UdeM, procéder à des évaluations er-gonomiques des postes de travail, améliorer les systèmes de chauffage et de climatisation, acquérir ou mettre à jour des trousses de pre-miers secours, inspecter les dou- ches d’urgence des laboratoires… Nous faisons tout en notre pouvoir pour que les diverses situations soient réglées dans des délais raison-nables, mais certaines perdurent. Les problèmes simples sont réglés dans les jours suivant notre visite voire le jour même, et les urgences
sont habituellement adressées sur le champ. Toutefois, les enjeux entou-rant la prévention et la correction de situations moins urgentes sont difficiles à résoudre. Plusieurs an-gles d’approche avec les instances de l’UdeM ont été tentés afin de faire accélérer ou activer des pro-cessus de résolution, mais jusqu’à mainte-nant peu de résultats ont été obtenus. Afin d’aider les membres à faire par- tie intégrante des inspections, vos représentantes en SST travaillent à amélio- rer la façon de procéder aux visites d’inspection : en plus de vous avertir de notre venue, un dépliant infor-matif vous sera remis sur les inspec-tions du comité paritaire de santé et sécurité SERUM et l’Université et le rapport d’inspection de votre milieu de travail vous seront envoyés. Bien que le comité tente de faire des sui- vis rapprochés à la suite d’une ins- pection, il ne peut pas tout surveiller et votre participation est nécessaire au bon déroulement du processus.
Aussi, il est important que vous vous impliquiez dans le maintien d’un environnement de travail sécu-ritaire puisque vos collègues impli-qués au sein du comité de santé et sécurité ne peuvent être au fait de ce
qui se passe sur l’ensemble du cam-pus. N’hésitez pas à contacter le SERUM pour toutes questions ou problématiques que vous rencontrez.
Soyez proactifs afin de maintenir un espace de travail sécuritaire et convenable pour
tous.
Les rédacteurs et rédactrices de l’info-SERUM sont: Pierre Bissonnette, France Filion, Normand Roy, Josée Tessier, Michèle Paré, Annie Landry Révision des textes: Line Garneau
Pour joindre le SERUM COURRIEL: [email protected] INTERNET: serum-afpc.org TÉLÉPHONE: 514-343-7455
ADRESSE: Syndicat des employé(e)s de la recherche de l’Université de Montréal (SERUM), Pavillon 3744 rue Jean-Brillant, bureau 390-12, Montréal, Qc
Le comité de santé et sécurité au travail : toujours en action!
