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1 N° 58 du 18 mars au 1 er avril 2013 L a publicité fait partie de notre quotidien. Source d’information utile au consommateur et sup- port commercial, elle met en jeu un large panel d’acteurs : éco- nomiques, paysagistes, aména- geurs, associatifs, citoyens. Mais elle suscite aussi l’agacement par son caractère enva- hissant. Libre à chacun de la recevoir ou non : la pub à la télé vous gène ? Eteignez votre poste. Vous ne voulez pas de pub dans votre boîte aux lettres : mettez-y un auto- collant stop pub. Mais si les entrées de ville sont envahies de publicité, peut-on vous demander de changer de chemin ? Onet- le-Château a répondu « non ! ». Résolument engagée dans un processus de requalifica- tion et d’embellissement du paysage urbain, la Commune a décidé d’engager la bataille contre la pollution visuelle liée à l’affichage publicitaire. En s’appuyant sur la Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE). La Mairie et la Préfecture à la pointe du combat Nombre d’émetteurs de ce type de publi- cité se sont mis à la page, mais certains contestent encore la mesure. La perspective d’une astreinte à payer 200 euros par jour N°58 / QUINZAINE DU 18 MARS AU 1 ER AVRIL 2013 LES ENSEIGNES DE PUBLICITÉ SE FONDENT DANS LE PAYSAGE URBAIN Sur la centaine de panneaux publicitaires que comptaient Onet-le-Château, 90 viennent de tomber grâce à une démarche volontariste de la Mairie et de la Préfecture. Une première victoire dans la bataille menée contre la pollution visuelle de notre ville. LA TAXE SUR LA PUBLICITÉ EXTÉRIEURE EN APPLICATION © DR. La route d’Espalion débarrassée (bas) de la pollution visuelle occasionnée par la publicité. RÉUNIONS DE QUARTIER Échanger autour du mieux vivre et de la citoyenneté SALON DU VIN & DES VIGNERONS Un cru qui n’en finit pas de se bonifier SANTÉ Se préserver des difficultés d’audition P.3 P.5 P.7

N°58 / Quinzaine du 18 mars au 1er avril

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Les enseignes de publicité se fondent dans le paysage urbain

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1N° 58 du 18 mars au 1er avril 2013

La publicité fait partie de notre quotidien. Source d’information utile au consommateur et sup-port commercial, elle met en jeu un large panel d’acteurs : éco-nomiques, paysagistes, aména-

geurs, associatifs, citoyens. Mais elle suscite aussi l’agacement par son caractère enva-hissant. Libre à chacun de la recevoir ou non : la pub à la télé vous gène ? Eteignez votre poste. Vous ne voulez pas de pub dans votre boîte aux lettres : mettez-y un auto-collant stop pub. Mais si les entrées de ville sont envahies de publicité, peut-on vous demander de changer de chemin ? Onet-le-Château a répondu « non ! ». Résolument engagée dans un processus de requalifica-tion et d’embellissement du paysage urbain, la Commune a décidé d’engager la bataille contre la pollution visuelle liée à l’affichage publicitaire. En s’appuyant sur la Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE).

La Mairie et la Préfecture à la pointe du combatNombre d’émetteurs de ce type de publi-cité se sont mis à la page, mais certains contestent encore la mesure. La perspective d’une astreinte à payer 200 euros par jour

N°58 / Quinzaine du 18 mars au 1er avril 2013

Les enseignes de pubLicité se fondent dans Le paysage urbainSur la centaine de panneaux publicitaires que comptaient Onet-le-Château, 90 viennent de tomber grâce à une démarche volontariste de la Mairie et de la Préfecture. Une première victoire dans la bataille menée contre la pollution visuelle de notre ville.

La taxe sur La pubLicité extérieure en appLication

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La route d’Espalion débarrassée (bas) de la pollution visuelle occasionnée par la publicité.

réunions de quartierÉchanger autour

du mieux vivre et de la citoyenneté

saLon du vin & des vignerons

Un cru qui n’en finit pas de se bonifier

santéSe préserver

des difficultés d’audition

p.3 p.5 p.7

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à la une

• « Adoptez un livre », chapitre II... • Le mer-credi 27 mars (17 h 30 à 20 h), le krill de La baleine accueille une bourse d’échange de livres. Cette manifestation est le « cha-pitre II » de l’opération Adoptez un livre initiée par la médiathèque à l’automne dernier. Cette opération consiste à pro-p o s e r a u x adhérents de l’établissement de garder un certain nombre d’ouvrages du fonds durant toute la durée des t ravaux de rénovation et d’extension dont il fait actuellement l’objet. Une fois la médiathèque revenue dans ses murs, lesdits ouvrages reviendront garnir ses rayonnages. S’il s’agit d’une mesure «  conservatoire  », c’est aussi l’occasion de proposer une animation originale et d’inciter à la lecture. Les personnes ayant « adopté  » des ouvrages au lance-ment de l’opération pourront profiter de cette bourse pour renouveler leur petite collection temporaire en échangeant les livres avec d’autres. À moins qu’ils ne souhaitent les restituer à la Médiathèque. Cette bourse s’adresse uniquement à ceux qui ont participé au « chapitre I » d’Adop-tez un livre.>> Rens. : 05 65 77 22 90.

2 Les nouvelles d’Onet-Le-Château

Les jeunes triathlètes de la section sportive du collège des Quatre-Saisons ont reçu récemment un équipement sportif fourni par le

magasin bio La Vie Claire, installé route d’Espalion.

La seule équipe en Midi-PyrénéesLe collège des Quatre-Saisons est à ce jour le seul établissement en région à compter une équipe de triathlon, redoutable et très exigeante discipline. Chaque année, la sec-tion recrute une quinzaine de jeunes de la sixième à la troisième. Tout comme leurs onze camarades de la classe à horaires

aménagés Musique, les jeunes athlètes bénéficient d’un emploi du temps adapté. Ils peuvent ainsi concilier les cours, les entraînements et la participation aux dif-

férents championnats UNSS de triathlon, duathlon et de run & bike. Une organisa-tion qui, conjuguée à leur volonté d’aller de l’avant, permet d’aligner les bons résultats. Quatre d’entre eux, Lorette, Camille, Lucien et Hugo, sont champions académiques de run & bike. Ils iront prochainement partici-per au duathlon et au run & bike de Mon-tignac, dans l’Hérault ; Avec pour objectif de représenter ensuite le collège lors des Championnats de France, programmés pour les 9 et 10 avril.

La Vie Claire est le principal sponsor de l’équipe. Ses gérants, Valérie et Sébastien

Soriano, ont remis à chaque jeune sportif un tee-shirt et un coupe-vent, lors d’une petite cérémonie à laquelle participaient également Frank Gérard, professeur d’EPS de l’établissement scolaire, Jacques Boudes, directeur départemen-tal de UNSS (Union nationale du sport scolaire), ainsi que le prin-cipal du collège, Alain Gros, qui avait endossé, noblesse oblige, une tenue sportive. « Notre parte-nariat avec la Vie Claire n’est pas le fruit du hasard. Nous souhai-tons familiariser les jeunes avec

les règles d’une bonne hygiène de vie, som-meil, récupération et alimentation adaptée. C’est un tout  », précisait Franck Gérard à cette occasion.

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pour manquement à la loi, imposée par la Préfecture, devrait néanmoins inciter tous les acteurs concernés à s’y conformer.

Cette mise au droit, du ressort des services de l’État, s’applique évidemment à l’en-semble des communes du département. En l’occurrence, c’est une coopération étroite entre la Ville et la Préfecture qui a donné l’impulsion. Pendant de longues semaines, la police municipale et les services admi-nistratifs ont répertorié l’ensemble des pan-neaux illégaux. Il a fallu les photographier, identifier leurs propriétaires, qu’ils soient locaux ou des nationaux. Grâce à ce travail, la Préfecture a pu adresser des injonctions dont on peut constater aujourd’hui les pre-miers effets.

La possibilité de s’adapterPour Fabrice Geniez, c’est une profonde satisfaction : « Nous ne sommes pas contre la publicité. Elle est nécessaire et peut même être utile. Mais elle doit être encadrée, res-

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Une équipe unique de triathlon en collège.

coLLège des quatre-saisons

La bonne tenue des éLèves sportifs

pectueuse de la ville et de ses habitants. Notre démarche ne fait pas l’unanimité chez les commerçants ou chez tous les entrepre-neurs. Certains comprennent mal qu’on taxe leur enseigne. C’est une réaction humaine, presqu’affective : ils ont l’impression qu’on taxe leur nom. Mais il leur suffit de s’adapter

à la règle : en dessous de 12 m2, ils sont exo-nérés. » Ces derniers temps, l’hôtel de ville a reçu de nombreux coups de téléphone d’opérateurs souhaitant connaître précisé-ment la règle afin, soit de réduire l’emprise d’une enseigne existante soit d’en poser une nouvelle tout à fait conforme.

La loi distingue 3 types de dis-positifs :1° constituent les enseignes toute inscription, forme ou image apposée sur un im-meuble et relative à une activité qui s’y exerce ;3° constitue une préenseigne toute inscription, forme ou image indiquant la proximité d’un immeuble où s’exerce une activité déterminée.1° constitue une publicité, à

l’exclusion des précédentes, toute inscription, forme ou image, destinée à informer le public ou à attirer son atten-tion.

Au 1er janvier 2009, la taxe locale sur la publicité exté-rieure, votée par le Parlement en 2008, a remplacé la taxe sur les emplacements publicitaires fixes qui existait depuis 2004. Au 1er janvier 2014, une tarifi-cation uniforme s’imposera sur tout le territoire national.

Les enseignes sont exonérées en dessous de 12 m², taxées à 30 € au-delà puis à 60 €€à partir de 50 m². Les taux appli-qués aux publicités sont de 45 € le m² pour les dispositifs numériques et 15 €€pour les autres. A partir de 50 m², ils sont respectivement de 90 et 30 €. Les taux appliqués aux publicités sont de 45 € le m² pour les dispositifs numériques et 15 pour les autres. Au-delà de 50 m², ils sont respective-ment de 90 et de 30 €.

> > À savoir

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3N° 58 du 18 mars au 1er avril 2013

Onet change… Quatrième ville du département, mais aussi poumon économique de son bassin de vie le plus dynamique,

toujours attractive auprès de toutes les catégories de population, la cité devait néanmoins redimensionner son territoire sans

perdre ce qui fait son originalité, en premier lieu son paysage. C’est dans cette perspective qu’il faut lire

la disparition pure et simple ou, tout au moins, la réduction de l’emprise des enseigne publicitaires sur le territoire. Si la mise

en application de la Taxe locale sur la publicité extérieure, à l’initiative conjointe de la Commune et de la Préfecture, obéit

tout simplement à la loi, l’enjeu en est évidemment aussi de signer un espace de vie agréable et durable.

L’évolution vers la ville durable ne peut évidemment s’envisager sans l’existence d’une mixité d’usages. La mutation du site

des Balquières en est l’illustration. Sous l’impulsion directe de la Commune ou grâce aux partenariats qu’elle a noués avec les acteurs privés, l’ancienne plaine, disgraciée ici et là par

d’anciennes friches, se réurbanise véritablement et accueille conjointement des activités de service diversifiées, de l’habitat collectif et individuel, des équipements d’intérêt public (EHPAD

La Rossignole, bientôt le complexe de tennis). La dimension environnementale, paysagère, y est comprise comme

une composante à part entière de l’attractivité.La rédaction

échangerautour du mieux vivre et deLa citoyenneté

Chaque année depuis 2009, des réunions de quar-tiers sont organisées à l’initiative de la Municipalité. Le principe de cette démarche très volontariste est simple : permettre à chaque Castonétois de s’informer et de discuter et, côté élus communaux, recueillir les avis et positions des habitants sur les

réalisations et projets menés et connaître leurs attentes et difficultés au quotidien. Il s’agit de faire vivre activement la citoyenneté. Le budget 2013 et les grands projets…Six réunions sont programmées successivement, courant avril, pour les secteurs des Quatre-Saisons (le 3, salle des Fêtes), de Saint-Firmin/Balquières (le 4, salle des Fêtes), de Capelle (le 10, salle de Capelle), d’Onet-Village (le 11, château), des Costes-Rouges (le 17, gymnase), de La Roquette/Saint-Mayme (le 18, restaurant La Cascade). Il y sera notamment question du budget 2013, mais aussi des projets publics du complexe de tennis des Balquières, dont le chantier vient de démarrer, de la Médiathèque, dont la rénovation est en cours, ou encore de la nouvelle école du Stade. Les habitants pourront également s’enquérir de l’état du programme de rénovation des voiries, donner leur avis sur les nouveaux rythmes scolaires. Mais les élus seront également à l’écoute des projets ou améliorations qu’ils proposent pour le bien vivre au quotidien dans les quartiers. * Rens. : Mairie – 05 65 77 25 00.

Les conseillers municipaux iront à la rencontre des Castonétois, du 3 au 18 avril, dans le cadre des réunions de quartiers mises en place depuis 2009. Au programme : des échanges autour de la présentation du budget et des projets pour 2013… mais aussi des sujets de préoccupation de chacun au quotidien.

du 3 au 18 avriL, réunions de quartierannueLLes

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Une démarche volontaire pour la démocratie participative.

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actualité

4 Les nouvelles d’Onet-Le-Château

Depuis mai 2012, le site des Balquières héberge le centre commer-cial digne de ce nom d’Onet. La Porte de Rodez, regroupe en effet

un Géant Casino de dernière génération et quelque trente enseignes. Go Sport, La Foirfouille, Les halles de L’Aveyron, Maga-sin Vert, la quincaillerie Angles, bientôt

rejoints par un Quick, contribuent aussi à la variété, au volume… et à l’attractivité de la zone. La Poste y a également installé, en 2009, sa plateforme industrielle courrier, lieu de tran-sit des lettres et colis, à destination ou au départ de l’Aveyron.

Un territoire qui se peupleLa zone est également en mutation côté habi-

tat. Intéressante par son caractère paysager, elle devrait accueillir, très prochainement 34 nouveaux logements (5 T2 au T4) et 6 pavillons (T3 au T5) construits par Qua-lit’Immo, la résidence des Jardins d’Odes. Une réalisation de haute qualité environne-mentale (BBC) que la Ville soutient en lien à la fois avec sa volonté de promouvoir la mixité sociale et intergénérationnelle ainsi que l’exemplarité en matière de territoire

durable. Témoin aussi de cette volonté, l’EHPAD tout proche de la Rossignole, qui accueille aujourd’hui quelque quatre-vingts résidents, dont la qualité de service lui a valu les louanges du Guide de la dépen-dance de France Info, et dont le fonction-nement est assuré grâce à des technologies propres.

L’impulsion de l’équipement publicLa Commune s’est aussi engagée dans son aménagement concret. Les travaux du complexe de tennis ont débuté sur les 2 400  m2 de terrain occupés longtemps par les anciennes serres municipales. Le complexe ne comprendra pas moins de 6 terrains, dont 3 couverts et chauffés, un mini-tennis avec mur à balles, ainsi que les bâtiments nécessaires à la bonne vie du club (club-house, locaux administratifs). Si cette réalisation accompagne le dynamisme d’une association sportive, elle est surtout le prélude à la naissance, aux Balquières, d’une grande aire de nature, ludique et de loisirs, qui conforterait le lien du quartier à la nouvelle cité.

Pour exercer leurs missions au ser-vice de la population, les agents municipaux sont appelés, jour après jour, à évoluer sur l’en-

semble du territoire communal et parfois au-delà. Le parc de véhicules de la com-mune est dimensionné à la mesure de ses missions : 56 véhicules, allant des scooters de la police municipale au camion-nacelle pour l’entretien de l’éclairage public ou au camion frigorifique de la cuisine centrale. S’y ajoutent 6 tracteurs (engins de chan-tiers et matériel agricole), 4 remorques et 2 élévateurs.

14 véhicules GNVChargé de leur entretien, l’atelier Méca-nique, rattaché au service Bâtiments, est installé au cœur du Centre technique muni-cipal. Le chef mécano ne manque pas de travail, puisqu’outre ce matériel roulant,

il veille sur l’ensemble du matériel tech-nique, notamment celui, très fourni et spé-cifique, des espaces verts. Un exemple de la rigueur avec laquelle ce patrimoine des Castonétois est entretenu : les 6 minibus de ville. En service depuis 6 ans, confiés à des chauffeurs multiples et avec une moyenne

de 150 000 km au compteur, leurs moteurs ronronnent comme au premier jour. C’est aussi le signe d’un usage respectueux par les associations. Du reste, l’agent en charge de tous les contrôles techniques s’assure régulièrement, et avec vigilance, de leur bon état de fonctionnement.

C’est aussi ici que l’on prend soin des véhi-cules au gaz naturel de ville (GNV) dont la commune a été la toute première, en Midi-Pyrénées, à s’équiper. 14 sont aujourd’hui en service et s’alimentent à la station de compression mise en service dès 2006. Un dispositif qui a permis de réduire signifi-cativement (25 %) les émissions de gaz à effet de serre produites par rapport aux véhicules à essence. Exemplarité environ-nementale oblige, l’atelier n’utilise plus que de l’huile de graissage végétale et des net-toyants écologiques.

Les baLquières

ateLier mécanique

un site où La nouveLLe cité tisse son étoffe

ça rouLe pour Les services municipaux

Intéressant les grandes enseignes implantées sur la zone commerciale, privilégiée par les promoteurs immobiliers qui ont choisi d’implanter leurs constructions dernières générations, siège de nouveaux équipements public édifiés par la Commune, la plaine des Balquières illustre la nouvelle dynamique urbaine d’Onet.

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Le chantier du complexe de tennis.

Un atelier à la page de l’environnement.

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5N° 58 du 18 mars au 1er avril 2013

À l’invitation du parti socialiste aveyronnais, le député européen José Bové partici-pera à un débat public organisé le jeudi 21 mars (20 h 30) à La Baleine. Ce débat portera sur l’évolution de la Politique agricole commune (PAC) européenne 2014-2019 et ses enjeux pour le monde agricole. Éric Andrieu, député européen élu sous l’étiquette PS sera également de la partie. L’accès est gratuit et ouvert à tous (dans la limite des places dispo-nibles).* Rens. : Parti socialiste, 12 bis boulevard de la République, Rodez – 05 65 42 77 77

«  Je voulais qu’on m’appelle Édith  », tel est le titre du spectacle programmé à La Baleine le mercredi 20 mars (20 h 30)

en hommage à la célèbre artiste, disparue il y a cinquante ans. Ce spectacle est donné par la cas-tonétoise Chris-tine Demichelis, férue du réper-toire de La môme, qu’elle interprète

régulièrement, et Dominique Laurens, alias Miqueto, du Strapontin des Masti-gophores, troupe de théâtre bien connue des Castonétois.* Rens. : MJC d’Onet – 05 65 77 16 00.

La billetterie pour le festival de théâtre amateur « acte I, scène V », qui se dérou-lera du mercredi 29 mai au dimanche 2  juin à La Baleine est ouverte. Durant cinq jours, vous pourrez venir décou-vrir la richesse des pratiques théâtrales de troupes d’amateurs. La carte Culture donne droit à une réduction sur les tarifs courants, déjà modiques : 5 euros le spec-tacle et 20 euros le pass festival (tous spectacles) pour les non-titulaires de la carte ; 3 euros et 10 euros pour les titu-laires.* Rens. : billetterie de La Baleine – 05 65 77 68 00.

Coup d’envoi le vendredi 22 mars avec la « soirée casse-croûte ». Le principe : chaque participant peut composer un menu en «  livre service  » auprès des stands de produits

de bouche variés présents sur le Salon, moyen-nant l’acquisition de tickets au prix unitaire, modeste, de 1,50 euros. Et donner encore plus de goût à la chose en l’accompagnant d’un vin original, toutes couleurs, produit par un viticul-teur indépendant. Cette mise en bouche ini-tiale est gratuite. Elle introduit, comme le veut la tradition, la visite de la « cave » qu’hébergera, tout au long du week-end, la salle des Fêtes.

Une sélection des productions indépendantesIci, pas de marque unique, mais une riche sélection des meilleurs crus indépendants repérés par quatre experts réunis sous l’ap-pellation Les cavistes ruthénois. En l’occur-rence Marius Cayssials, de la cave du même prénom ; Ghislaine Laurens, spécialiste du vin et du bon mot qui préside aux destinées d’Alambic et vieilles bouteilles ; Pierre Bon-nefous, maître de chai de la Cave ruthène et Alain Falguières, dont la compétence œno-logique est loin de se limiter au périmètre qu’annonce l’avenue de Bordeaux.

Voilà neuf ans maintenant qu’ils ont décidé de faire cause commune pour la promotion du goût, de la qualité, des métiers qui les font naître : celui du vigneron, d’abord ; le leur, ensuite. Avec un beau succès puisque,

chaque année, plusieurs dizaines de producteurs, repré-sentatifs de la diversité des terroirs de France (et même, cette année, d’Italie, du Por-tugal ou encore… d’Écosse), leur confient leur savoir-faire où viennent eux-mêmes le faire partager aux nombreux aficionados qui franchissent la porte de la « cave castonétoise ». Authenticité, convivialité… se conjuguent avec pédagogie technique.

Un concours de dégustationPour cette IXe édition, et preuve

sans doute que la «  leçon de choses » com-mence à porter ses fruits, un concours de dégustation est organisé le dimanche en mati-née. Les goûteurs, en équipe de 4, devront retrouver la trace de 8 crus et répondre à un quizz. En espérant n’avoir pas gaiement égaré leurs sens lors de la soirée de gala de la veille, dans les arômes d’une cinquan-taine de grands crus et du menu savamment concocté par un traiteur.

FeStival de thÉâtre amateUr : billetterie oUverte

Spectacle-hommage à piaF

JoSÉ bovÉ eN dÉbatSUr la pac

ixe édition du saLon du vin et des vignerons, du 22 au 24 mars

un cru qui n’en finitpas de se bonifierC’est les 22,23 et 24 mars prochains que se tient, à la salle des Fêtes, le désor-mais traditionnel Salon du vin. Un rendez-vous très attendu par les amateurs de dive bouteille. Et qui s’affirme comme un cru qui n’en finit pas de se bonifier.

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Une affaire de passionnés.

• au programmeVendredi 22 : ouverture de 17 à 22 h ; soirée casse-croûte. Samedi 23 : ouverture de 10 à 18 h ; soirée de gala. Dimanche 24 : ouverture de 10 à 18 h ; concours de dégus-tation de 9 h 30 à 12 h.• les tarifsEntrée générale à 3 euros; verre consigné à 3 euros ; soirée casse-croûte à 15 euros (vin gratuit) ; concours de dégustation à 25 euros/personne. Les inscriptions sont reçues chez les cavistes Alam-bic et Vieilles bouteilles/0 565 673 344, Cave ruthène/0 565 680 820, Vins Fal-guières/0 565 670 269, Cave de Marius/ 05 65 42 52 97.• minibus de sécuritéLa Ville met à la disposition des participants à la soirée de gala ses minibus qui pourront les ramener à leur domicile. Ne pas oublier, toutefois, de les réserver.

> > À savoir

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NaissancesDzemailj Shadija / Ipek Damla-ayla / Laplace-Treyture Jade / Louro Tiago / Luporsi anaïs / Saiedzada Mélica / Trabelssi Hind / Yachir anir

décèsCrouzet Sylvette veuve Chemardin / Lacan Raymonde veuve Cristol / Palleja isabelle épouse Caubel / Lanes arlette épouse Guiet

carNet

Éditeur : PAC Communication, place des Maçons, Rodez.directeur de publication : Pierre Censi / RCS : Rodez A 378 321 608 00077 tél. : 05 65 68 04 10/[email protected]

conception éditoriale : Agence Lexies impression : Hérail imprimeuriSSN : 2114-3048 dépôt légal : mars 2013 tirage : 5 500 exemplaires

aU meNUdeS caNtiNeS ScolaireSlundi 18 : Chou rouge bio aux pomme granny/saucisse de l’aveyron au four ou saucisse de volaille/poêlée aux brocolis/petit suisse aux fruits/flan pâtissier

mardi 19 : Potage de légumes frais/truffade aux lardons (ou dés de volaille)/Saint-Moret/poire

mercredi 20 : Salade de riz au thon/pizza au fromage/salade verte/yaourt vanille bio/orange

jeudi 21 : Champignons crus à la crème/steak hâché de veau/penne bio/conte/pomme cuite et gelée de groseilles

vendredi 22 : Taboulé oriental/cube de saumon à l’oseille (éco-label pêche durable)/julienne de légumes/tomme des Pyrénées/Cocktail de fruits

du

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au 2

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lundi 25 : Saucisson sec et beurre/œufs bio florentine au gratin/crème dorée au caramel/cigarette russe

mardi 26 : Duo de courgette et carottes râpées bio/sauté de lapin à la moutarde/pomme de terre boulangère/yaourt nature bio/pomme chanteclerc

mercredi 27 : Laitue vinaigrette/filet de hoki pané/coquillettes bio au beurre/chanteneige/mousse au chocolat

jeudi 28 : Mélange arlequin (riz, tomate, poivrons)/galette de blé noir garnie (dinde/fromage)/salade verte/coulommiers/salade de fruits frais

vendredi 29 : Chou blanc vinaigrette et câpres/sauté de porc sauce tomate/gnocchis/fromage blanc sucre/pâte de fruit

du

25

au 2

9 m

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NUmÉroS d’UrgeNce & ServiceS pUblicS

Police nationale : 17Police municipale : 05 65 77 16 08samu : 15Centre hospitalier de rodez : 05 65 55 12 12secours incendie : 18Centre de secours principal de rodez : 05 65 77 66 00COdis : 05 65 77 12 18sans-abri en détresse : 115urgence sécurité gaz : GRDF - 0 800 47 33 33raccordements : électricité (erDF/0 810 203 835) ; gaz naturel (GrDF/0 810 224 000) : liste des fournisseurs présents sur la commune disponible sur le site www.cre.fraéroport rodez-aveyron : 05 65 42 20 30Gare sNCF : 05 65 77 33 30Pôle multimodal Octobus : 05 65 42 55 75Ca du Grand rodez : 05 65 73 83 00Conseil général : 05 65 75 83 00Préfecture de l’aveyron : 05 65 75 71 71mairie d’Onet : 0 5 65 77 25 00la Baleine : 05 65 77 68 00

médiathèque : 05 65 77 22 90Cyberbase : 05 65 77 22 8 - [email protected] : 05 65 77 16 00Piscine Paul-Géraldini : 05 65 42 96 01CCas : 05 65 77 22 88ram : 05 65 77 11 32 ou 06 73 51 38 23maison des bouts de choux : 05 65 77 22 80accueil de loisir Pierre-Puel : 05 65 42 25 93 - 07 86 27 06 52Jardin d’enfants : 05 65 77 22 87Centre social : 05 65 77 11 30ludothèque : 05 65 77 11 42maison de retraite : 05 65 62 98 30Épicerie sociale : 05 65 77 22 88

la baleiNe iNFormeLes personnes ayant acheté une place pour les spectacles Le sacre du prin-temps (prévu pour le 31 mars) Don Juan (prévu pour le 29 juin), dont la représenta-tion a du être annulée, peuvent demander le remboursement de leur billet. Pour ce faire, elles sont invitées à se présenter, avant le 31 mars, à la billetterie (horaire d’ouverture du mardi au vendredi de 10 h à 18 h et le samedi de 10 h à 16 h) munies de leur(s) billet(s) et d’un relevé d’iden-tité bancaire. elles peuvent également contacter le 05 65 77 68 00.

ServiceS

animation

• Repas > Organisé par la Bonne entente > 19/03 > salle des Fêtes – 05 65 78 47 58

• Carnaval > Organisé par l ’école des Narcisses > 20/03 > école des Narcisses – 05 65 67 03 23

• Débat > La PAC en débat, avec José Bové et Eric Andrieu, organisé par la fédération dépar-tementale du PS > 21/03 La Ba-leine – 05 65 42 77 77

• Salon du vin et des vigne-rons > IXe édition du salon orga-nisé par les Cavistes ruthénois, avec découverte des vins, anima-tions > 22 au 24 03 salle des Fêtes

> 05 65 37 33 44, 05 65 68 02 20, 05 65 67 02 29, 05 65 42 52 97

• Le compostage > Animation proposée par le Centre social > Centre social – 05 65 77 11 30

cuLture

musique > Concert hom-mage à Edith Piaf, par Chris-tine Demichelis et Dominique Laurens > 20/03 > La Baleine – 05 65 77 16 00

Conférence > De la pein-ture comme objet à la peinture comme ambiance, organisée par le musée Soulages et animée par Yves Michaud > 21/03 > Krill de La Baleine – 05 65 77 22 90

Café impro théâtre > 22/03 > Krill de La Baleine – 05 65 77 68 00

musique > Concert sympho-nique de l’Orchestre national du Capitole, sous la direction de Joseph Swensen > 29/03 > La Baleine – 05 65 77 68 00

Théâtre > La Mélancolie des Barbares, pièce jouée par la compagnie Tabula Rasa > 08 et 09/04 > la Baleine – 05 65 77 68 00

Arts visuels > Exposition auto-portraits d’Antonin Artaud, orga-nisée par la MJC et l’association Antonin Artaud > jusqu’au 30/03 > MJC – 05 65 77 16 00

Arts visuels > Exposition Laure Devenelle > jusqu’au 08/04 > Krill

de La Baleine – 05 65 77 68 00

sports

• Randonnée > Organisée par l’UCR > 23/03 – 05 65 44 17 84

• Football > Onet football 2/Beauzelle AC > 23/03 > stade Georges-Vignes – 05 65 62 49 94

• Football > Onet football 2/Espalion US > 30/03 > stade Georges-Vignes – 05 65 62 49 94

• Handball > ROC HB 2/Car-maux-Vers > 30/03 > salle des Glycines – 05 65 42 15 28

• Volley > Costes-Rouges 1/Vil-lefranche-de-Panat > entre le 25 et le 30 03 > gymnase des Albatros > 06 82 29 45 29

ag

eN

da

le caleNdrier deS rÉUNioNS de qUartier 2013> mercredi 03 avril : secteur Quatre-Saisons (salle des Fêtes)> Jeudi 04 avril : secteur Saint-Firmin/Balquières (salle des Fêtes)> mercredi 10 avril : secteur Capelle (salle de Capelle)> Jeudi 11 avril : secteur Onet-Village (château)> mercredi 17 avril : secteur Costes-Rouges (gymnase)> Jeudi 18 avril : secteur La Roquette/Saint-Mayme (restaurant La Cascade)

Rappelons que ces réunions sont ouvertes à tous les habitants.Rens. : Mairie/05 65 77 25 00.

deuxième quinzaine février 2013

6 Les nouvelles d’Onet-Le-Château

pratiqueonet

Page 7: N°58 / Quinzaine du 18 mars au 1er avril

magazine

7N° 58 du 18 mars au 1er avril 2013

ne pas rester sourd auxdifficuLtés d’audition

santé

Demander un test d’audition à un audioprothésiste est très simple. Et c’est gratuit. Il ne faut donc pas hésiter si l’on a des doutes sur sa capacité à bien entendre, si l’on ne perçoit plus les sons aigus, si son entourage fait remarquer que l’on monte régulièrement le son de la télé ou si l’on fait

répéter. Un test auditif de quelques minutes permet de détecter s’il y a une défaillance. Dans ce cas, il conviendra alors d’aller consulter un médecin ORL qui déterminera la cause et prescrira un appareillage.

Risque majeur : l’exposition prolongée au bruit« Quand une surdité est détectée, il ne faut pas tarder à se faire appareiller, insiste Anna Baranski, audioprothésiste de l’UDSMA. Si on attend, le retour à une audition normale sera plus long, on peut perdre la mémoire des sons et la capacité de compréhension. On prend également le risque de perdre confiance en soi, de s’isoler et, à la fin, de se désocialiser complètement. Ne pas traiter la surdité peut avoir de graves conséquences. »

Grâce aux progrès des technologies, les appareils auditifs ont beaucoup évolué. La miniaturisation leur confère une discrétion absolue, ils sont adaptés à tous les degrés de surdité, sont devenus

confortables et même compatibles avec les téléphones et autres appareils de télécommunication. « On ne relève que 5 % de cas d’intolérance aux appareils ; il n’y a aujourd’hui vraiment plus aucune bonne raison de refuser de porter une prothèse auditive », résume Anna Baranski.

La première des causes naturelles de perte de l’audition est le vieillissement. Il est donc conseillé de se faire contrôler vers l’âge de soixante ans. D’autres causes extérieures peuvent également favoriser la surdité : un traumatisme, une anesthésie, certains trai-tements médicamenteux, une naissance prématurée, des otites mal soignées, des antécédents familiaux… Mais la première des causes exogènes est une exposition prolongée au bruit. « Et c’est un danger qui guette particulièrement les jeunes qui font un usage immodéré des baladeurs, qui vont à des concerts sans pro-tection, souligne Anna Baranski. C’est un public que nous allons voir arriver en grand nombre chez les audioprothésistes. »

Une journée nationale de l’auditionTous les ans, au mois de mars, a lieu une journée nationale de l’audition, mais c’est toute l’année que les professionnels accueillent gratuitement le public pour faire passer des tests de détection. L’UDSMA-Mutualité française compte plusieurs centres d’audition dans le département.

Négliger de traiter des problèmes d’audition peut avoir de graves conséquences. Jusqu’à la dépression et la désocialisation.

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Anna Baranski, audioprothésiste au centre d’audition de Rodez-Bourran.

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