I-RANSLATED ABSTRACTS OF ARTICLES IN NUTRITION, VOL. 13, NO. 1

NmRrmN P -E PR&l?RATOIRE CHEZ DES PA’llWl-S SlMWMENrW fht de la question : La nutrition mm&ale p&p&moire @PP) pem 8tre int&e&& chez dea patients st%remem d&n&is devant subif um? intervention chinugicale majeure. Cepeudam, la r6ponse A la NPP n’a pns Bt6 64udi6e en d&nil. Une augrwmation du compartiment hydrique extracellulsrire peut *appaf&e chez certaim patients majoraut I’hypoalbumimMe et entmmant des cornplicatious postop6ratoires. But du trartil : l?valwr la mueuce d’app&ion et les facteurs favaisaut &la~utiond’eeuetdesodiumaucoursdelaNPPainsiquesonimpact sur les complications respiratoifes postop6ratoims. Patients et m&odes : Quarante. et uu patients pr&emam un caucer gastm-intestinal et une d&m&ion s&An? (perte de poids > 15% et/au albumin6mie < 35gIl) ont &6 f6partis par raudomisation enhe deux gmupes soumis A une Npp isocaknique, isoazot& pendant 10 jours. Le groupe NPP stam&d (SG, n = 19) recevait 70% de rapport &@ique wn *que sous forme de glucose, 45 ml d&u/kg/j et 140 mE@ de NaCl/k@j; le groupe NPP modifid (MG, n = 22) recevait 70% de I’apport caknique sous timne de lipides, 30 ml d’eau/kg/j et pas de sodium. Les variations de poids, de diu&ae, de lMbumiu&ie et de la balauce hydrc&ctmlytique ainsi que les complications p0stoptht0ires 0m 6~6 &W&S. RCsultats : A la fin de la NF’P, le groupe SG pr6sentait une prise de poids (0.8 vs -15 kg; p = O,OC@l), une Huction de l’albumin&nie (-0,7 vs 2,3 gk p = 0,006), ainsi qu’une augmentation de la diu&se (1230 vs 959 ml/j; p = 0,003) et de la balance du sodium (40 vs -27 mEq/j; p = 0,001). Les variations de poids 6taient corr&es au bilan de l’eau (3 = 0.46, p= 0,001) et du sodium (6 = 0,62, p= 0.0001). Quel que soit le groupe, une +onse inappFopri6e A la NPP, que ce soit extension ou d&#tion du secteur hydrique exhacellulaire, &it associ& A une *me accnte de complications pldmouaires postop&atoires. Conclusions : Au cows de la NPP, l’exteusion du secteur hydrique extracellulaire, app&i& par la perte de poids et la &&tion de I’aibumi&uie, et l’exch d’apports hydro6Mrolytiques sent des facteurs importsnts du d#doppemem des complications respiratoires postop&atoires.

EFFETE DES ACIDES GRAS RXY-INSA& n-3 ET n-6 SUR LES EraXMoiDES PL4sMAlTQuES ET LE.8 ENZYMES ANn-oxYD~ H&~~QUFS~.LEI~ATS~U~N~?RTI~~NPARENTERALETOTALE. Leseffetssurles ei cosanoldes plasmatiques d’une nutrition we totale (NW) emichie en acidea gras poly-insatu& n-3 et n-6 om &6 6tudi6s chez le rat. Lea animaux om 6t6 r6partis en trois groupes : un groupe conMe (n = 6) recevam uue alimemation sta&rd et une perfusion de NaCl et deux ~e~~(n=lletn=13)recevantpendent7jaDsune~ apportant 30 WlOO g dont 40% sous fonue de lipides. Les &lauges de ~aedi~ententrelesdeuxgroupesqueparla~edeslipides: &u&ion d’huile de safflo~ ou &u&ion d’huile de poisson. A la fin de la p6riode exp&imentale, la 6-&o prostaglaudine Flu. le thmmboxaue B2, le temps de saignement, les produits de pe~~xydation lipidique et les enzymes anti-oxydautes h6patiques om 6tt? mesu&. Les &sultats momrem, dans le groupe huile de poisson, des conceubations plus fkibles de thromboxane B2 ~~auxdeuxautresgmupesetdeprostaglandineFlaparrapportau groupe huile de s&l-. Le temps de saignement n’&it pas diff&ent emre les groupes. En ce qui co- la peroxydation lipid@ h@atique, les mm de malo&ald&yde n@aient pas plus &v&s daus le groupe huile de poisson alors que les activit& superoxyde dismutase et glulathiou peroxydese&iemdiIIliIW&dansCegroupe.CeS&ultatssIlgg&WqU’rme NPT A base d’huile de p&son entraEne uue moimhe accumuMon des prod&s de pemxydation lipidique dam le ibie des rats et permearait de pr&nir I’ag@ation plaqumtaim.

U’lILISATfON DE L’m BIPHOKMQLJE RXJR L’l&‘ALUATlON DELAaoMposmoN ~~R~~RBLLECHEZLRSPAIYBIV~J~IRRH~~Q~E~. On dispose de peu de donates quau! A la composition corporelle des patients cirrhmiques. Un obstacle A cette d&rmination est la tendPnce A la r6temiou de fluideschezces~~~conduisantAdesmodifications&In~~tissulaire et du de@ d’hydrahuion de la masse maigre. Ie tit que les techuiques cla&queademesuredelacompositioncorporellesupposemquecea pammAWs som des constames conduit A une areur dam l’estimation des dift&ents sectems. I/utilisatiou de mod&lea multipamn&ques A pptir de deux ou plusieurs m&&odes de mesure, en m n&a&ant plus de wmid&er ces pam&rea connue coustams, mt, sans perte de @ision, d’augmentar l’exactitude de ces d&miuatious. L’absorption&rie biphotonique penuet de mesurer la masse min&ale osseuse,lamassegrssseet Is masse maigre.. Chez le sujet sain, il existe une borne correspondPace entre les r&dtats obtenus par cette technique et ceux fournis ~#lr les techniques ditea de r&&nce. Toutefois, on ue conuai’t pas I’intlueuce de mod&atious du dB~d’hydratation~Lamesuredelamassemaigreenabsorptiomehie biphotonique. pour 6value~ I’intMt de cette tzchnique chez lea patients pr&entam des pathologies h6patiques chroniques, il est done aecessaile de met&e au point uu mcdAle mult@an&@e int@am les doti d’abwrptio&rie, ce qui pem&tra par la suite de co&router lea Stats A m de Is seule absorptiom&ie.