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DES UTOPIES AU FIL DU TRAM PERMIS DE CONSTRUIRE www.faire-metropole-angers.org Pour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur : Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL crédits : Muriel Cupif, Clotilde Malon, Anne-Lise Gruet Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « Utopies Métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°1 : « Avrillé : porte métropolitaine ». * Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire ** wwww.faire-metropole-angers.org

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Des utopies au fil Du tram

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www.faire-metropole-angers.orgpour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

crédits : Muriel Cupif, Clotilde Malon, Anne-Lise Gruet

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°1 : « avrillé : porte métropolitaine ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

De par sa position en début de ligne de tramway, avrillé nord est confronté à cette image du péri-urbain caractérisé par son parking-relais, ses zones commerciales, ses lotissements pavillonnaires… la ville s’égrène dans l’espace rural ... le paysage agricole proche apparait comme élément constituant du territoire. il a une forme particulière en cartographie, que nous avons qualifié de détroit agricole : c’est un bras de terre agricole entre avrillé et montreuil-Juigné. Ce détroit agricole possède à la fois des qualités paysagères mais aussi nourricières. Or aujourd’hui en France, on « artificialise » plus de 60 000 hectares par an, essentiellement des terres agricoles. on a fait le choix de l’étalement urbain en oubliant que l’espace était une ressource non renouvelable, insoumis à la logique de croissance. Comment conserver les terres agricoles d’avrillé tout en valorisant son statut d’entrée de ville de la métropole d’angers ? le projet « aVrille norD : porte metropolitaine » consiste à la fois en un travail sur les mobilités (prolongement de la ligne de tramway, tracés de voies parallèles…) pour conforter la place d’avrillé dans la métropole ; mais aussi à conserver le détroit agricole, afin de tirer parti d’une situation stratégique de zone agricole aux portes de la ville pour valoriser l’agriculture périurbaine. Au final, il s’agira de créer, non pas deux territoires qui se tournent le dos (la ville VS la campagne) mais plutôt des liens dans une frange entre périurbain et agriculture.

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aVrillé norDporte métropolitaine

avrillé agora

le relaisboucherie

la frange agro-urbaine

crédits : Muriel Cupif, Clotilde Malon, Anne-Lise Gruet

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« avrillé agora » se situe entre l’avenue mandès france et la voie ferrée désafectée.

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s la place des nouveaux marchésavrillé agora

« aVrille aGora » se situe entre la nouvelle ligne de tramway et l’ancienne ligne de chemin de fer bientôt réhabilitée en voie de circulation douce.

« aVrille aGora », la place des nouveaux marchés, développe

un nouveau rapport au paysage, par sa position surélevée, surplombant le détroit agricole. elle réinterprète le principe de l’agora. C’est à la fois un lieu de commerce, d’échanges mais aussi de mise en débat.

Dans une position stratégique et connectée à la ligne de tramway, elle permet la diffusion des produits issus de filières courtes avec la mise en place d’un marché et la diffusion des idées grâce au forum agri-urbain. on allie également à ce programme de marché, des commerces de proximité et une supérette. ainsi, pratiques actuelles et nouvelles pratiques se mélangent, créant une déclinaison des modes de consommation.

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crédits : Anne-Lise Gruet

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préservons le détroit agricole et installons des nouvelles structures qui permettent l’entraide entre les différents agriculteurs. alors, construisons une Cuma (Coopérative d’utilisation du matériel agricole). il y aurait un garage, une grange servant au stockage des récoltes et plein d’autres espaces. L’enjeu est de densifier le territoire par des programmes agricoles.

sur ce site à la lisière des champs et des lotissements, une dent creuse de l’urbanisation se dessine. Ici, on propose de densifier l’espace par le végétal. En plantant un verger à disposition de tous les habitants du quartier et des promeneurs. C’est un lieu de rendez-vous ou de rencontres fortuites.Au cœur de ce verger seront construits deux bâtiments : une « ferme habitée » et un local associatif à destination des agriculteurs. Mais densifier la frange par l’habitat est également un enjeu de demain. Alors construisons un petit hameau, 3 logements au cœur du verger, profitant d’une situation privilégiée dans le jardin. A la fois connecté et déconnecté à la ville. est-ce un modèle péri-urbain/péri-agricole pour demain ?

la Grange Habitée et la Coopérative agricole

la frange agro-urbaineavrill

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crédits : Clotilde Malon

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« la BouCHerie relais » se situe le long de la route de laval, près de la Zone industrielle de la Croix-Cadeau. Ce projet s’inscrit dans la logique de conservation des terres agricoles entre avrillé et montreuil-Juigné. Quelles sont les solutions pour conserver ce détroit agricole ? en installant des ateliers de boucherie, on offre une alternative aux abattoirs industriels et on peut espérer l’implantation d’une filière courte de la viande. Les vaches élevées dans les fermes du détroit agricole avrillais seront ensuite amenées et transformées dans la « BouCHerie relais », puis en partie vendues sur les marchés alentours.

la ligne traversant le détroit agricole par son centre, coïncide topographiquement à une crête surplombant l’est du détroit. Cette crête est elle-même soulignée par la présence de la voie historique (route de laval) et la voie de chemin de fer désaffectée. Cette situation entre deux voies permet à la « BouCHerie relais » d’être reliée à la nouvelle place de marché (voir le projet aVrille aGora). Le projet se situe aussi à une place stratégique à l’intersection de la départementale 106 (rejoignant l’autoroute plus au sud) et de la route historique structurante d’avrillé, entrée de la ville d’angers. un parking relais couplé avec un nouveau terminus permettra d’augmenter la connexion entre les réseaux automobiles et le tramway.

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crédits : Muriel Cupif

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www.faire-metropole-angers.orgpour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

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its : Marie Guichoux, Nicolas Le Beulze, Estelle Gourvennec

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°2 : « avrillé centre-bourg ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

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Au fil du temps, Avrillé s’est développé en grignotant l’espace rural par la réalisation de constructions d’habitations individuelles. les pavillons structurent maintenant la commune. avrillé, la commune villageoise d’autrefois a laissé place à une atmosphère de périurbain et majoritairement occupé par une classe moyenne supérieure. recherche d’espace et de verdure? Désir pavillonnaire, volonté de s’isoler ? Vivre à la « campagne », mais avec les commodités de la « ville »? aujourd’hui, avrillé est une ville qui fonctionne par quartiers, à chaque fois centrés sur un équipement scolaire. la voiture est un moyen de déplacement jusqu’alors irremplaçable dans la mesure où une grande partie de la population travaille en dehors de la commune et fait ses courses dans des centres commerciaux loin de son habitation. l’ancien centre-bourg, happé par le résidentiel, a perdu sa grande fonction de centre. il faut alors imaginer autre chose. faire de l’arrivée du tramway un support de nouveaux potentiels: faire réseau, faire patrimoine, et faire paradoxe. il faut reconnecter les différentes composantes d’Avrillé, faire ré-émerger des strates historiques, densifier la ville existante et finalement l’accompagner pour maîtriser cette évolution.

Quand la rue mendès france sort de son litAVrILLé cEntrE-bOurg

crédits : Marie Guichoux, Nicolas Le Beulze, Estelle Gourvennec

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« l’e.Co-fabrique » se situe au niveau de l’ancienférailleur à avrillé.

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le nouveau marché du meuble et de l’artisanat numériquel’e.Co–fabrique

« e.cO – Fabrique » propose de réfléchir à la jonction entre un futur territoire et un centre ancien tout en y pérennisant une activité commerciale et artisanale. avrillé s’apprête à voir doubler son nombre d’habitant. les dernières activités sont progressivement rejetées à l’extérieur de la ville. Des nouveaux morceaux de territoire à vocation résidentielle émergent et drainent une nouvelle population.Dans le centre bourg, l’enjeu est de développer une stratégie

assurant la jonction entre territoire de demain et le centre ancien. il faut pérenniser l’activité commerciale sur l’axe historique, tout en permettant le développement de nouvelles formes de production et de commercialisation. À l’emplacement de l’ancienne zone d’activité des Violettes viendrait s’implanter le nouveau marché du meuble et de l’artisanat numérique. Ce projet est une alternative aux modes de production et de consommations relatives au réemploi des produits en fin de vie. Il s’agit ici de développer un nouveau concept de fabrication de mobilier basé sur des pratiques collectives et sur un système de récupération via des filiales de recyclage à l’échelle métropolitaine. Découpes numériques et nouvelles technologies se lient à de nouvelles pratiques et de nouveaux modes de vie.

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crédits : Estelle Gourvennec

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« Culture à quai » se situe entre l’avenue pierre mandes france et la rue albert schweitzer.

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activités culturelles, éducatives et associatives en rez de chausséeCultures à quai

Comment mettre en commun et valoriser les richesses culturelles et linguistiques du territoire angevin ?Depuis longtemps, la métropole angevine est une terre d’accueil. l’ouverture vers l’international prend différentes formes : jumelages entre villes, accueil de nombreux réfugiés et demandeurs d’asile, et grande diversité culturelle dans l’habitat social. D’autre part, l’augmentation significative de la population avrillaise d’ici quelques années engage la création de nouveaux équipements. Certains programmes tels que la crèche bilingue, la bibliothèque ou la vidéothèque ont vocation à rayonner autant dans le quartier que dans l’ensemble de la métropole. « Cultures à quai » propose de réhabiliter un quartier d’habitat social en réinvestissant les rez-de-chaussée en y intégrant activités culturelles, éducatives et associatives.

Ce projet se construit autour de la thématique du voyage avec la création d’un quai urbain. les rez-de-chaussée d’immeubles deviennent alors des valises. Ces écrins du quotidien sont investis par de multiples programmes quand nous partons en voyage.

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crédits : Marie Guichoux

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« la Chrysalide » est située à l’emplacement de l’ancienne école Jules ferry à avrillé.

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le Casino du coeur, le Cinéxtérieur & la Banque de Donner

la Chrysalide

Quand avrillé part en vrille... la Chrysalide c’est faire affaire de jour et s’égayer de nuit. se divertir : le Casino du cœur et le Cinéxtérieur : dans le but de dynamiser le centre-bourg, deux programmes voient le jour, pendant la nuit. le Cinéma de plein-air et le Casino du cœur. Deux programmes nocturnes pour amuser avrillais et angevins. faire affaire : la Banque de Donner. Ce programme de banque solidaire et d’économie locale propose trois actions : le fmi (financement de micro-Crédits internationaux) à destination des usagers du futur Quai des cultures, la bcE (booster le centre-ville Endormi) afin de protéger

les petits commerces du centre-bourg, l’i-tVa (investissement dans les travaux de Valorisation de l’artisanat) pour le projet d’artisanat numérique. faisons d’un espace brut un lieu où il fait bon se divertir...Cocon protecteur, le volume s’étire. D’un côté, il s’accroche au mail et de l’autre, il offre un grand amphithéâtre public. Lieu de spectacle, ouvert à tous, aux spectateurs du cinéxtérieur comme aux habitants et aux usagers du quartier. Finalement, ce projet s’installe comme un édifice remarquable. Plutôt imposant, il marque l’entrée du centre-bourg de manière radicale.

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crédits : Nicolas Le Beulze

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Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°3 : « Bois du roy : allée contre-allée ».

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: Jessica Jusseaume, Abdelbaki Abdelbaki, Fabien Herbreteau

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les quartiers Bois du roy et plateau mayenne se situent sur la commune d’avrillé. limitrophes de la commune d’Angers, ils font office de transition entre les deux villes.l’implantation de la ligne de tramway vient scinder la ville en deux et met en évidence l’opposition morphologique des deux quartiers tant en ce qui concerne la typologie bâtie, la trame viaire, paysagère que la population. Ce quartier “doux et paisible” opère sa transformation avec lenteur préservant ainsi son identité et sa nostalgie pour un passé campagnard ou l’on prenait le temps de vivre.Dans ce contexte, le projet vise à créer une contre allée, une alternative à la voie de tramway, desservant le quartier Bois du roy et permettant de relier avrillé à angers, par des modes de déplacement doux. une liaison entre les deux quartiers est ensuite envisagée par le prolongement de plusieurs lanières végétales du plateau mayenne, reliant les nombreuses entités végétales du site.La frange bâtie, se situant entre le tram et la contre allée piétonne, devient laboratoire d’urbanisme concerté qui contrecarre la politique d’extention urbaine lancée par la ville d’avrillé en proposant une densification de la ville sur la ville. le projet vise à conserver l’identité de ce quartier ou l’on prend le temps de vivre, un éloge de la lenteur, un contrepoint au développement et à la productivité de la ville.

allée contre-alléeBois Du roy

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crédits : Jessica Jusseaume, Abdelbaki Abdelbaki, Fabien Herbreteau

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pourquoi sommes-nous si pressés ? et si nous prenions le temps d’aller moins vite ? l’arrivée du tramway, la construction des zac plateau mayenne et Capucins prônent l’ère de la rapidité, de la performance et de l’efficacité. Le paysage s’en trouve considérablement métamorphosé. Cependant le quartier du Bois du roy semble vivre (subir ?) en retrait de ces changements et conserve sa tranquillité.

« sloW attituDe » propose de rééquilibrer lenteur et rapidité dans notre vie au quotidien. Cette nouvelle maison du quartier se compose de plusieurs locaux proposant des activités sur le thème de la lenteur pouvant se déployer sur la contre-allée. il s’agirait d’ une info-box visant à communiquer aux habitants les projets en cours sur le plateau mayenne (prendre le temps de s’informer et de comprendre le projet), des ateliers de la « lente heure » (locaux associatifs : centre de désintoxication de la vitesse, atelier de tai chi … ), savoir/faire, faire/savoir (ateliers vitrines destinés à des artisans travaillant sur le concept du « do it yourself » et voulant communiquer leurs savoirs au public). pour finir, une salle des fêtes et une salle de projections destinées aux habitants du quartier seront implantées pour consacrer un temps festif de partage et de rencontre.

« slow attitude » est implanté dans la rue des oiseaux dans le quartier Bois du roy à avrillé

une maison de quartier entre deux générationsslow attitudeavr

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« Habiter l’eau » vient se glisser discrètement au cœur d’un tissu de petites maisons pleines d’avenir. sur sa face émergée surgira l’auberge de la jeunesse avrillaise. Celle-ci, elle-même enveloppée par une multitude de jeux d’eau, de jets et de bassins, composants essentiels d’un espace « publicodynamique ». une jonction entre le tramway et la rue piétonne. en partie immergée, les plus curieux partiront à la découverte du hammam. un grand espace de détente et de rencontre où l’eau nous fait voyager à travers les cultures.

mais pourquoi habiter l’eau?

« Habiter l’eau » vise à offrir un lieu nouveau. un lieu de sérénité, de chuchotements, de confidences, d’échanges et de rencontres. mais aussi un univers magique, intemporel et teinté de mystère. un lieu où les esprits pourraient vagabonder librement ou se rencontrer. en somme, un lieu de bien-être pour les habitants du Bois du roy, d’aujourd’hui et de demain.

« ta ville ne sera une ville vraiment parfaite que le jour où elle aura un hammam »Habiter l’eauavr

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nne494e nuit de schéhérazade, les mille et une nuits

crédits : Abdelbaki Abdelbaki

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« les jardins des vents & des énergies » se situe proche de l’ancien aérodrome à angers

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Bois du roy a été le premier quartier à lier angers et avrillé. les pavillons ont vu passer des avions, des camions, des autos et même les gens qui étaient dedans. Bois du roy a toujours été le premier spectateur des changements technologiques et sociologiques du XXe siècle. aujourd’hui, même si les avions ne ronronnent plus, même si les camions et les autos sont enterrés, tout le monde regarde le tram passer en attendant ses futurs voisins de l’autre côté. en ce début de XXie siècle, interrogeons-nous sur les traces à sauvegarder de ce laissez-passer.

Bois du roy, spectateur privilégié du changement au XXe siècle devient acteur au XXie siècle.Placé entre la rue des Oiseaux et les châteaux d’eau, « Les jardins des vents et des énergies » permettront d’offrir une place privilégiée à l’expérimentation, à la découverte et à la vulgarisation des nouvelles technologies en matière de création d’énergie. les jardins des vents et des énergies viennent compléter un ensemble de jardins et parcs déjà bien présents sur la commune d’avrillé. la contre-allée, dispositif en marge d’une « frange d’intensité urbaine », permettra de rejoindre le centre-ville d’angers par une alternative au tramway.

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crédits : Fabien Herbreteau

Des utopies au fil Du tram

permis De Construire

www.faire-metropole-angers.orgpour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°4 : « terra Botanica : promenons-nous sur l’autoroute ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

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its : Eric Dugué, Maud Delarue, Florent Auclair-Tilly

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www.faire-metropole-angers.orgsite internet des travaux des étudiants

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

le recouvrement d’une portion de l’autoroute offre une surface non constructible. D’un point de vue paysager, il relie deux éléments majeurs: l’île saint aubin et l’étang st nicolas. il devient un élément végétal d’articulation du territoire au même titre que le projet Berges de maine ou la frange agricole d’avrillé nord.

a l’échelle d’angers, le projet cherche à reconnecter les cheminements et à les raccrocher à la ligne de tramway et aux parking-relais. il propose une grande traverse qui ménage plusieurs types de mobilités douces: à pied, à vélo et à cheval.

Cette nouvelle grande traverse métropolitaine reprend l’idée du « parkway ». un concept d’ «avenue promenade» développé au milieu du XiXe siècle. le “parWay” recoupe donc plusieurs enjeux: connecter les parcs, ne jamais interrompre la promenade, occasionner un trafic social et de loisirs, une voie de circulation pour tous, à chacun son cheminement, un parc linéaire et une promenade urbaine.

finalement, le parkway se composerait d’une autoroute à vélos et de chemins de lenteurs pédestres et équestres.

promenons-nous sur l’autorouteterra BotaniCa

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crédits : Eric Dugué, Maud Delarue, Florent Auclair-Tilly

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« Halt’itude » se situe sur le recouvrement de l’autoroute

a11, proche de la matp.

Colline-cantine et vestiaires auto-construitsHalt’itude

« Halt’ituDe » est à la croisée de quartiers très différents. L’idée est de profiter de ce lieu de passage afin d’y installer un programme où les gens des quartiers environnants s’arrêtent, fassent une pause... Voilà pourquoi le projet propose une cantine et des vestiaires : pour pouvoir se rencontrer autour d’un repas ou d’une pratique sportive. le projet s’inscrit dans la continuité du relief que nous créons sur le recouvrement de l’autoroute. la cantine et les vestiaires forment donc une nouvelle colline. Cela, dans l’idée d’habiter le sol et même dans le sol, à l’image du patrimoine troglodytique, très présent en anjou.

Le paysage vallonné qui prend place sur le recouvrement permet aussi de remettre le bâtiment de l’ancien aérodrome d’angers, dans son contexte originel, c’est-à-dire au milieu des champs. le projet s’efface dans le paysage et son relief pour mieux mettre en valeur le bâtiment d’origine.

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crédits : Eric Dugué

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« D’eaux en mouvement » se situe sur le recouvrement de l’autoroute a11

Parcours en zone filtrante et berlvédère sur château d’eauD’eaux en mouvementavr

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aujourd’hui de nouvelles solutions d’épuration des eaux usées apparaissent. utilisant le pouvoir d’épuration de certaines plantes, les stations de phyto-épuration sont également des réserves pour la biodiversité, des parcs urbains et des éléments marquants du paysage. L’enjeu du projet est de créer des bassins filtrants. Ils sont la continuité paysagère du recouvrement de l’autoroute et créent un paysage en cohésion avec le lieu. Les bassins filtrants du système de phyto-épuration sont une succession de bassins plantés, de bassins de rétention et de bassins de filtration. Le système utilise la pente naturelle du terrain. L’eau en sortie a une qualité d’« eau de baignade », ensuite stockée dans les châteaux d’eau.

Les châteaux d’eau gardent leur fonction de stockage, mais le toit est transformé en belvédère. Les collines viennent créer au pied des châteaux d’eau un relief. Le centre des eaux et biodiversités métropolitaines vient s’insérer au pied des châteaux d’eau. Ce centre se veut l’occasion d’un questionnement sur l’eau en ville et plus largement la biodiversité urbaine. De plus, les quatre châteaux d’eau situés stratégiquement entre ville actuelle et ville de demain sont l’opportunité de points de vue extraordinaires sur la ville en mutation.

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crédits : Florent Auclair-Tilly

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« le manège des mobilités » se situe au dessus de l’entrée est du recouvrement de l’a11

un centre équestre urbain

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« le manÈGe Des moBilités » vient se déployer à l’extrémité est du recouvrement de l’autoroute, en balcon sur cette dernière. il est à l’articulation de plusieurs quartiers. le projet se propose d’investir et de prendre en charge le recouvrement de l’autoroute A11 afin de donner une dimension publique dominante à cet espace. Jouant sur la mise en scène des mobilités et ayant pour enjeux d’assurer la continuité des chemins piétons, cyclistes et équestres.

« le manÈGe Des moBilités » c’est un centre équestre urbain, véritable relais équestre sur la parcway, pour partir à la découverte du paysage de l’étang saint-nicolas jusqu’à l’île saint-aubin dérivant dans le département tout entier grâce au chemin de grande randonnée. « le manÈGe Des moBilités » se compose d’une esplanade centrale pouvant accueillir des festivités temporaires autour desquelles se déploient les studios d’entraînement de danse, de gym, et de cirque. l’ensemble regardant les écuries en contrebas, le club-house, la carrière de dressage, le balcon sur l’autoroute, et le manège. Véritable lieu scénique polyvalent, il permet d’accueillir des représentations équestres, mais aussi des compagnies de cirque et d’autres folies en tous genres.

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crédits : Maud Delarue

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www.faire-metropole-angers.orgpour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°5 : « Verneau : vers nos savoir-faire ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

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its : Fedi Hallab, Michael Singler, Antoine Allain-Dupré

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

cité ouvrière florissante puis ghetto croulant sous le chômage, Verneau a une histoire sociale forte. Se débrouiller est de mise: se nourrir par le jardinage, se loger grâce à des habitats mobiles ou par l’auto construction, vivre par les petits boulots ou l’économie parallèle. une certaine précarité a toujours créé des liens très forts entre les différentes populations de Verneau (habitants des pavillons, de la cité, du terrain des gens du voyage).

Il est temps de désenclaver ces savoir-faire en officialisant les pratiques d’auto-construction, d’activités de récupération/ transformation de matériaux et objets, de métiers artisanaux oubliés, d’échanges de savoirs, de troc. il est temps de valoriser la culture populaire, l’entraide, le bénévolat, les activités non lucratives, l’éducation populaire.

Vers nos savoir-faireVerneau

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crédits : Fedi Hallab, Michael Singler, Antoine Allain-Dupré

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«le Bassin de fabrique» se situe entre la rue yvette et

la rue renée

Depuis toujours, les villes se sont lancées le défi de construire ce qui les dépasse. Hier, saint-nazaire voyait les cabines du « Queen mary » dépasser ses propres immeubles. mais aujourd’hui le monde a bien changé, on ne fabrique plus pour partir mais on doit partir pour fabriquer. il est temps de réintégrer les sorties de la ville à la ville. alors, nous construirons une cale. non pas pour fabriquer des paquebots à l’avenir incertain mais pour les accueillir. ainsi, chacune des pièces qu’ils transportent sera transformée, chaque boulon deviendra tire-bouchon, robinet ou bouton de jean’s.

nous voici au « bASSIn DE FAbrIQuE ». La flotte de wagons balais conduite par les cheminots d’IrIgO part pour un tour de métropole sur « la route des machines », sur « la route des meubles », et sur « la route des fringues ».

«le Bassin De faBriQue» s’organise autour d’une grande cale et de ses quais. ils accueillent le tram fret via sa sortie de piste. la cale vient prolonger la rue d’yvette jusqu’à la Grande place ludique.sur les quais, on trouvera des programmes d’habitat, tandis que sous les quais on trouvera les trois programmes majeurs : «le sentier de la fripe», « le Bric-à-brac ménager » et «la meublerie en délire».Enfin cette grande cale, sera traversée et redécoupée par la rue de la gaîté.

De la bibliothèque de fringues aux ateliers palettes

le Bassin de fabriqueavrill

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crédits : Antoine Allain-Dupré

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«le terrain mécanique» se situe sur l’actuel chantier du

centre aqua-ludique.

Le terrain mécanique

La population est de plus en plus mobile et la mobilité a un coût. un coût écologique, financier, et social : finissons-en avec le « 1 voiture=1 personne ». les différents réseaux de transport méritent de s’hybrider dans un même lieu, pour que nous les consommions de manière plus intelligente. le passage de la voiture au vélo doit être plus facile et la possibilité de partager sa voiture doit être offerte. mettons les garagistes, bricoleurs du dimanche et énergéticiens dans la même cour pour que puisse naître l’innovation en matière de déplacements. D’autres formes de transports seront imaginées avec d’autres formes de travail : mêlons les compétences, et revalorisons les savoir-faire en laissant place à tout un chacun de mettre les mains à la pâte.

+ d’ ateliers + de partage de véhicules + d’entreprises mobiles

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Ateliers

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Piste GaragesSortie

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Laveriemétropolitaine

Centreéquestre

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Garagesamateurs

RelaisParking

Logements

Point récup’

Point récup’

Atelier vélo

Atelier véloLocal PME : petites et mobiles entreprises

Local PME : petites et mobiles entreprisesLocal PME : petites et mobiles entreprises

Garage associatif

Garage associatif

Autopartage et loc-éléc

Autopartage et loc-éléc

crédits : Fedi Hallab

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l’école des monde est situé au croisement de la rue Henri peluau et de la rue du Général lizé

le projet « l’eCole Des monDes » s’installe à l’entrée du « Chemin de la Gaîté » aujourd’hui nommé rue Henri peluau. en principe, les premiers immeubles de la rue feront partie de la première phase de démolition du quartier. Mais pourquoi détruire tous ces bâtiments ? pourquoi détruire toute une histoire, et tout un patrimoine? pourquoi ne pas faire avec ce qui existe déjà?

« l’eCole Des monDes » s’insèrera dans les immeubles en partie vidés de ses occupants. elle pourrait commencer tout de suite et avec ceux qui y habitent encore. le projet « eCole Des monDes » est une école pour les grands en rez-de-chaussée et des habitations auto-reconstruites dans les niveaux supérieurs. en bas, c’est un lieu ouvert à tous. un lieu où l’on valorise les différences. un espace vivant dans un quartier quasi désert. l’école propose de la formation continue ainsi que de l’échange de savoir-faire internationaux et artisanaux autour de trois thématiques : l’art de la cuisine, l’art de la parole et l’art de vivre. en haut, c’est un projet d’auto-reconstruction. C’est-à-dire qu’en l’échange d’une faible somme, tous les bricoleurs et amoureux des lieux peuvent bricoler par eux-mêmes leurs appartements et accéder enfin à la propriété. il est encore temps que le nouveau Verneau renaisse de ses propres racines.

les arts de vivre, de la parole et de la tablel’école des mondesavr

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crédits : Michael Singler

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°6 : « Hauts lieux de saint-aubin ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

crédits : Amélie Lacire, Camille Pouvreau, Aurélie Cochet, Hélène Sallé

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

le quartier des Hauts de saint aubin, dernière réserve foncière d’angers, est en pleine évolution. il se situe dans un entre deux entre la lisière nord de la ville et la saignée de l’autoroute.Cette future zone d’aménagement desservie par le tramway sera un nouveau et nécessaire pôle d’équilibre de la cité angevine.

Cet espace de potentialités, s’apprête à accueillir un vaste programme de logements et d’équipements d’ici à l’horizon 2030. cette longue échelle de temps permettra d’investir le territoire alternativement, en re-tramant des pratiques qui existent déjà, et en créant d’éventuels usages d’urgence qui composeront une autre fabrication de l’espace.

il faut donc investir un territoire entre deux temporalités. HaBiter l’espace avant l’HaBitant. le chemin des chalets sera renforcé pour qu’il devienne l’axe structurant du projet. un deuxième axe sera créé. C’est “le chemin de traverse” viendra relier des projets majeurs tels que l’école, le centre aqualudique et le gymnase. par la suite, les projets qui seront développés accompagneront les temps du chantier, puis s’intègreront à la ZaC une fois celle-ci sera construite.

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crédits : Amélie Lacire, Camille Pouvreau, Aurélie Cochet, Hélène Sallé

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«le temps du chantier» se situe au centre du projet de la Zac Capucins, au niveau des jar-

dins familiaux.

une ferme qui se fragmente dans le tempsle temps du chantieravr

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les Capucins est un territoire à la fois en devenir et en chantier. celui-ci pourrait durer jusqu’à 2030. Alors que faire en attendant ? Depuis longtemps, les Capucins est une terre maraîchère. aujourd’hui, celle-ci comporte 4 hectares de jardins familiaux qui seront redéployés demain sur 5 sites différents. L’enjeu, c’est d’investir cette terre entre aujourd’hui et 2030, d’habiter l’espace avant l’habitant. il ne s’agit pas de s’opposer au projet mais bien de l’accompagner, d’enrichir ce qui est déjà prévu en s’insérant dans ses interstices pour inventer des alternatives

pérennes.Alors proposons de nouveaux usages ou accentuons des usages existants afin d’habiter Les capucins dès aujourd’hui. « le temps Du CHantier » s’implante « au pied » des terres cultivées. Chacun construit son petit module ou cabane de jardin qui se dé-fragmentera pendant le temps du chantier. tout le projet s’organise ainsi autour d’une ferme de quartier. a l’intérieur, on y trouve une maison de quartier, un accueil de loisirs sans Hébergement (alsH), un local jeune, des locaux associatifs, des salles rythmiques et une salle de réunion en association avec une ferme proposant cultures, élevage de petits animaux et cueillettes autour d’un café/salon. finalement, habiter les jardins durant les temps de [champs]tier est une alternative sociale et paysagère du futur projet des Capucins.

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crédits : Camille Pouvreau

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« le centre ciné-ludique » se situe le long de l’autoroute, à proximité du chemin des chalets.

Du giga-ciné au mini-cinéun centre ciné-ludiqueavr

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aujourd’hui, lorsque l’on sort de l’autoroute, l’entrée du quartier des Capucins ne se fait pas réellement sentir. la vue de terrains vagues, du parking relais, d’un mur d’enceinte autour du terrain d’accueil des gens du voyage fait penser à un territoire en attente, sans réelle vie de quartier.

pourtant, différentes populations, différentes cultures se rencontrent entre Capucins et Verneau. mais elles ne peuvent pas s’y rassembler. Cette entrée de ville, au croisement de ces différents quartiers est un point majeur. il faut la redéfinir. L’enjeu est de créer un espace de lien, de pause, un lieu de “Melting’ pot” où se croisent populations anciennes et nouvelles. un espace de loisirs, de vie à toutes heures de la journée, pour les automobilistes comme pour les piétons. Alors construisons un centre ciné-ludique. Il y aurait des projections de films et des retransmissions d’évènements, du grand cinéma extérieur au micro cinéma intérieur : un ciné-drive, un ciné-salon (cinéma dans un canapé), un ciné-café (cinéma autour d’un verre) et un ciné-coursive (petits écrans incrustés dans une paroi pour des visionnages personnels).

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crédits : Amélie Lacire

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le « balcon sur le paysage » se situe sur l’actuel terrain de foot, à proximité du terrain des

gens du voyage

un belvédère multi-usageun balcon sur le paysageavr

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le plateau des Capucins, vaste espace reconquis sur l’une des dernières emprises foncières de la ville d’angers a cette particularité de se tenir sur un site à la géographie marquée et marquante. C’est un plateau en surplomb de quarante mètres au-dessus de la maine. Cette position élevée offre des belvédères sur le paysage alentour, que constitue l’espace remarquable qu’est l’île saint-aubin.

le plateau des Capucins, le tramway et toutes les infrastructures inhérentes au développement du lieu constituent une nouvelle polarité de la ville. a la frontière de deux communes mais devenant un quartier fort de sa propre identité, ce territoire est à l’interface de la ville et de la campagne. la ville, dont on a repoussé les limites en frange de plateau comme une limite ultime. la volonté de reconquête d’un grand paysage va se concrétiser via une promenade longeant le bord du plateau qui redonnera un regard sur l’île voisine. Cette limite nord appelée « frange boisée » accueillera des espaces de divagation (Gilles Clément) dans lesquels des éléments se compileront pour mettre en jeu le grand paysage : les stades qui sont déjà en place, un belvédère promenade tourné au nord vers le l’île saint-aubin et au-delà, des tribunes, des commodités sportives, une buvette, l’ensemble générant un espace de détente et de déambulation.

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crédits : Aurélie Cochet

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

www.faire-metropole-angers.orgsite internet des travaux des étudiants

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Des utopies au fil Du tram

la place des Capucins se trouve à proximité de la station

Haut de saint aubin

Comment construit-on un quartier aujourd’hui ? la construction d’un quartier commence d’abord par celle des bâtiments. Puis on fabrique des espaces publics. Mais quelles en sont les conséquences ? a ce jour, la ZaC des Capucins n’offre guère d’espaces de loisirs, de détente, ni même de lieux de rencontre mettant en relation ce qui existe aujourd’hui et ce qui existera demain. les opérations commencées

çà et là ne sont pas connectées. le quartier ne paraît pas être « vivant ». pourtant, des interventions ponctuelles et des jeux improvisés dans les zones de chantier, révèlent ce potentiel. alors inversons cette tendance. Construisons d’abord des espaces publics avant de construire des bâtiments pour qu’eux-mêmes deviennent générateurs d’espace public. le projet « plaCe Des CapuCins », c’est construire tout de suite une place, un réel centre de quartier autour duquel s’accrocheront les bâtiments. mais quelle dimension donner à une place centrale dans un territoire en perpétuelle évolution. « plaCe Des CapuCins » évoluera avec le nombre d’habitants du quartier et tous les programmes qui viendront s’y greffer. ainsi, la ZaC box, le marché couvert et le restaurant administratif sont les prémices d’un micro centre, un lieu de vie en devenir.

Quand l’espace public génère le quartierla place des capucinsavr

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crédits : Hélène Sallé

Des utopies au fil Du tram

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www.faire-metropole-angers.orgpour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°7 : « Habitons, parcourons le CHu ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

crédits : Marion Humeau, Kévin Mahé, Marine Guignebert

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

De 1900 à 1950, le quartier des capucins fonctionnait comme un village. Il était partagé en autant de fonctions que de besoins (produire/consommer/habiter…). Ce système économique permettait de créer une dépendance entre chaque partie. ainsi les hommes, les biens, la production, les services circulaient et rassemblaient différentes populations pour former un tout : les maraîchers vendaient leurs produits au marché de ste thérèse, les commerçants de la reculée montaient sur le plateau aux saisons des moissons, les ouvriers et cultivateurs descendaient laver leur linge dans les bateaux-lavoirs des berges de maine. aujourd’hui, on constate que « le grand quartier » n’existe plus. il est morcelé et forme de multiples entités autonomes. les ressources et besoins qui étaient autrefois répartis sur l’ensemble du territoire se sont subdivisés. les habitants n’ont plus besoin de parcourir le quartier pour répondre à leurs besoins puisque les commerces ou écoles sont à proximité. La notion de distance est modifiée, le concept de quartier s’est rétréci. Comment retrouver des liens entre les Hauts de st aubin ? le CHu est un élément majeur de la ville qui demeure dans le quartier. il offre plein de potentialités. Alors utilisons-le et habitons-le afin qu’il devienne un maillon incontournable connectant les différents sous-quartiers des Capucins entre eux.

CHuHabitons, parcourons leavr

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crédits : Marion Humeau, Kévin Mahé, Marine Guignebert

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

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l’échapée hospitalière se trouve rue de monteclaire, reliant les hauts de saint-aubin à la reculée

Qualifier et révéler : un nouveau parcours jusqu’à la Maine

l’échapée hospitalière

aujourd’hui la rue de montéclaire est une simple voie urbaine qui relie les quartiers des «Hauts de saint-aubin» à celui de la reculée. mais demain cet axe historique desservira les nouveaux quartiers d’habitats sur les Berges de maine. mais comment faire une voie qui desserve ces quartiers sans “dé-servir” notre hôpital?

faisons une “eCHapee Hospitaliere”. Cette intervention révélera la traversée comme un moment singulier : une brèche dans le CHu où la vie quotidienne reprend son cours, dévoilant ainsi les paysages et le patrimoine ordinaire oublié. l’enjeu c’est d’apaiser un lieu sous pression, envahi par l’inquiétude, pour susciter l’espace d’un instant l’espoir et le rêve. l’intervention s’immisce dans un moment singulier, sur un parcours structuré assemblant les sous espaces comme les pièces d’un puzzle. on traversera “le grand salon de musique”, “les jardins de pensées”, “la scène extérieure” et le “couloir d‘écoute”. Certains espaces seront plus ouverts, pour favoriser la rencontre et le regroupement, d’autres au contraire proposeront des usages plus intimes: la pause, l’attente, la contemplation. Ce moment à part participera à la “bien traitance” des malades mais aussi du personnel soignant amené à présent à croiser des habitants du quartier au sein de leurs murs.

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crédits : Marine Guignebert

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le corso hospitalier est une traversée du Chu parallèle à

la rue des oliviers

le projet “Corso Hospitalier” propose de désenclaver l’hôpital en s’appuyant sur ses deux grands axes afin de relier deux grands paysages : l’île de st aubin et l’étang de saint- nicolas. aujourd’hui les patients et visiteurs doivent passer une succession de barrières et espaces réglementés le plus souvent non-adaptés au piéton.

mais demain, citadins et patients se verront dédier une véritable entrée dans l’hôpital. Du sud vers le nord, ils traverseront le jardin botanique et la nouvelle herbothèque. Celle-ci poussera hors les murs : les expérimentations médicales de la faculté de pharmacie, les rendant publiques. ainsi dépassant l’herbothèque, suivant le corso, nous arriverons au point central : l’accueil orientera le patient. Cet élément architectural ramassé créera un repère fort, une signalétique.plus au nord nous retrouverons le nouvel espace “atout faire”. il allie démarches administratives et promenade commerciale. un lieu pour prendre une pause, un repas, choisir des fleurs, ou bouquiner. Et pour ceux qui feraient leurs démarches administratives de sortie, un point de vue sur le paysage environnant leur est offert.

pour la continuité urbaine de la ville à l’hôpital

le corso hospitalieravrill

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crédits : Marion Humeau

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Cette exposition a été réalisée par des étudiants de l’école d’Architecture de Nantes avec le CAUE 49 et le soutien de la SARA et de la SODEMEL

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: Adélaïde Piveteau, Elodie Audibert, Esther Fortun

Février 2012, nous voilà débarqués à Angers. Nous sommes 25 étudiants suivant l’enseignement « utopies métropolitaines » à l’école d’architecture de Nantes. Le CAUE49* nous a demandé de réfléchir et de faire des propositions de projets le long d’un territoire en pleine mutation : un an auparavant, la ligne A du tramway y est apparue. Pour commencer nous nous sommes réparties en huit groupes pour étudier 8 territoires le long de la ligne de tramway. Sept sont situés au nord de la ligne de tram (d’Avrillé jusqu’au CHU), un huitième se situe à la Roseraie au sud de la métropole angevine. L’étude de ces territoires à différentes échelles nous a conduit à construire des hypothèses de projets. Ces hypothèses se devaient d’être des utopies réalistes. Utopie car les formes, les fonctions ou les usages des projets sont inattendus voire surprenants. Réaliste car les projets devaient aussi tenir compte de l’habituel et de l’ordinaire. Pour nourrir ces projets, nous avons parcouru le territoire afin d’en tirer des photos, des récits et des témoignages visible sur notre site internet**. Les panneaux suivants présentent un aperçu des travaux du groupe n°... : « plklx cjgf fjfjbd dgxbfbhfxbb ».

* Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement du Maine-et-Loire** wwww.faire-metropole-angers.org

pour en apprendre plus sur ces travaux, rendez-vous sur :

www.faire-metropole-angers.org

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située en bout de ligne, la roseraie est à la fois une entrée et une sortie d’angers. Compte tenu de son poids démographique, de la présence d’équipements majeurs et d’un maillage complet de flux, la roseraie dispose d’atouts indéniables qui ont justifié le passage du tramway.

entre maine et loire, la roseraie se caractérise par sa dimension paysagère : un tissu urbain dense aux portes des étendues horticoles. De plus, elle est une charnière fondamentale du réseau de transport.

tous ces aspects témoignent des potentialités du site : un quartier-bordure qui dispose de tous les atouts pour devenir un quartier DEVAnturE. un quartier apte à faire métropole en diversifiant son offre en matière d’habitat, en créant des espaces publics représentatifs et structurants confortant les commerces existants, et en exploitant ses propres ressources comme la culture horticole.

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crédits : Adélaïde Piveteau, Elodie Audibert, Esther Fortun

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Ce projet se situe proche de la station Bamako, près du centre

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Quand le tramway révèle point de vente et lieux de vieBamakocôté pile et côté faceavr

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aujourd’hui le Centre Commercial de l’esplanade est un point attractif dans la ville. C’est une charnière entre le centre-ville et le quartier de la roseraie. Mais il pâtit d’une image peu qualitative, vieillissante et tourne le dos au tram. alors comment le restructurer ? Comment faire en sorte que le Centre Commercial de l’esplanade devienne un réel quartier de ville et un lieu qui attire ? mais d’abord, qu’est-ce qu’un quartier de ville qui attire? C’est un lieu d’attraction, un lieu d’échange, un lieu à multiples fonctions: commerces, services, moyens de transports, habitats… en somme, un petit centre.

alors érigeons le Bamako de demain pour qu’il devienne à la fois un centre et un quartier.ajoutons des habitations et incluons de nouveaux habitants. construisons des logements pour les demandeurs d’Asile afin de pallier au manque de structures d’hébergement dans la partie sud de la ville. bâtissons des bureaux et partageons des jardins sur les toits pour accroître le caractère cosmopolite du quartier. montons une grande halle végétalisée pour abriter notre marché. et développons une place des petits négoces afin d’offrir une alternative au centre commercial.

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crédits : Adélaïde Piveteau

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Ce projet se situe au croisement du boulevard albert Blonchain et de la rue du petit Damiette

pour une diffusion du monde horticoleA fleur de tramavr

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le végétal est essentiel à l’attractivité économique d’angers. notre ville est le premier site horticole de france. mais pour la plupart d’entre nous, ce secteur nous est encore étranger. le quartier de la roseraie est à une place charnière entre les terres horticoles et la ville.pour des raisons économiques et sociales, mais aussi pour donner à notre quartier un caractère heureux, faisons le nécessaire pour que “la roseraie” devienne une roseraie. Alors lançons un marché aux fleurs métropolitain.

conservons et transmettons un savoir-faire local. Fabriquons un lieu d’échange de fleurs qui se métamorphoserait en fonction des saisons. on déambulerait entre pépinières hydroponiques, serres tropicales, serre des tulipes et des lisianthus. et sur ces lieux, on verrait germer un large espace public. en journée, terrasses des restaurants et de cafés seraient remplies par les travailleurs. la nuit, les habitants les animeraient et les illumineraient de 1000 couleurs façon pétales.

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crédits : Elodie Audibert

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Ce projet se situe à proximité de la Clinique de l’anjou

Des logements complémentaires à la cliniqueHospitalité

a proximité des grands axes de circulations, la clinique est à la fois une entrée et une sortie de ville. alors pourquoi ne pas prolonger la ligne de tramway afin que l’arrêt “clinique” devienne un pôle majeur? mais comment faire pour que cette clinique devienne un véritable quartier de ville? il faut réinventer l’habitat du milieu médical. force est de constater que pour beaucoup d’entre nous,

un séjour à l’hôpital ou en clinique n’est pas associé à quelque chose d’agréable ou de confortable. l’anxiété induite par les questions de santé ne peut être qu’exacerbée par l’ambiance froide et aseptisée des couloirs d’hôpitaux. alors proposons de nouveaux types de logements, pensés en fonction de la durée de séjour des patients. pourquoi n’est-il pas possible d’effectuer des séjours à court, moyen ou long terme en dehors des murs de la Clinique tout en y étant à quelques mètres ? Que l’on vienne pour une visite de routine ou pour une opération lourde, on devrait pouvoir dorénavant attendre dans une chambre ou un studio en dehors des couloirs de la clinique.Alors bâtissons des logements médicaux, reliant le pôle clinique au quartier résidentiel de la roseraie.

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