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~tectiQn r s ache Diagnostics presente une gamme de
tests simples et rapides pour les toxico-
manies et I’abus d’alcool.
Le OnTrak TesTcup, present& en recipient
plastique & couvercle hermbtique, dbtecte en
5 min la presence de l’un des produits
suivants : amphktamine, cocgine, morphine,
PCP, THC, barbituriques, benzodiazepines
directement a partlr d’un echantillon d’urine.
C’est un systeme dont la rbalisation et la lectu-
re sont extr&mement simplifi8s.
Le OnTrak TesTik est un tube contenant un
r8actlf. On le plonge dans un &chantillon d’uri-
ne selon ce qu’on recherche : morphine,
amphetamine, coca’l’ne, PCP, THC.
L’Adulta Check 4 est un test en bandelettes
qui permet de savoir si un echantillon d’urine a
BtB volontairement aIt& pour faire Bchec g un
depistage de drogue.
Le OnSite Atcohol Test est un test raplde de la
taille d’une carte de credit detectant la pr&ence
d’alcool dans la salive ou les urines en 2 min,
avec cut-off de 0, 02%. II s’agit d’un test quali-
tatif : s’il est positif, un test quantitatif doit Btre
effect&. (32 7 -5)
n concept original de processeur d pa&u/es magn&ques sur microplaques, le King-
Fisher, est prksentk par Labsystems. /I s’agit d’un dispositif destine 2 rkaliser la puri-
fication et /a concentration rapides et efficaces d’acides nuckiques ou de proteines et per-
mettant d’envisager /‘automat/sat/on des mkthodes manuelles, aussi bien en biologic mold-
culaire qu’en laboratoire d’analyses b/o/ogiques.
L’appareil, de la tail/e d’un petit four d micro-ondes, peut traiter jusqu’8 24 dchant/llons en
IO d 30 min, en Bpargnant le temps habituellement passe ti /a preparation et au pipettage
de 1’8chantillon.
Le processus est adapt6 g la microplaque. Les particules magnCtiques se m&lent aux
acides nucl&ques, aux prot&nes ou aux cellules de I’dchantillon, qui se lient aux particules
coatkes avec des antrcorps. AprCs recueil et lavage, /es particules sont p/a&es dans /es
pults des microplaques oci se dkoule I’analyse.
Ouatre kits sont d@jd disponibles pour /a purification d’ARNm et d’ADN. /I est possible de
coater /es particules avec /es anticorps de son choix.
(32 l-6)
ie : la r
ux Journbes parisiennes d’allergie JPA 2000, bio-
M&ieux a p&en% I’adaptation des extraits aller-
gbnlques Stallergenes en tests unitaires sur son auto-
mate Vidas (allergic respiratoire Vidas Stallerlest, IgE
specifiques Vidas Stallergy).
Cette rencontre entre un specialiste du diagnostic
allergologique et un leader des systemes de biologie
permet de proposer I’automatisation du diagnostic in
vitro des allergies ti partir d’extraits allerg&niques stan-
dardises IR (indice de &activG), Btalonn& par rapport
CBne t allergW fix6 Substratfluores-...
Cartouche Sub&at fluorescent
Paroi intbrieure du cbne
. .A
Echantillon du patient Diluant
LL./.-Tampon / de lavage /
‘1,’
\i Anti-IgE marquee1 B la phosphatase alcaline
! \\\i\ AllergBne
de I’analyse jusqu’a I’Bditlon du r&&at selon la technique ELFA (enzy- B. des standards internationaux et dont I’activite biologique consranre a
BtB contr&e. me linked fluorescent assay), qui permet une lecture flnale en
fluorescence a 405 nm, le resultat &ant obtenu en 90 min. Le recherche des allergenes maleurs est pns en charge par I’automate (327-7)
1&3ransrnission des feuilles de soins : b,emes : coDts forma_
du PC au ~in~tel tion, confidentialitk, pira-
tage, r virus ~a.
MI Cditrans (Arcueil) prksente la premiere solu- Cette solution est propoke & un prix de
tion homologke par le G/E Sdsam-Vita/e pour 6 400 F TTC, et 9.5 F par mois pour /a maintenance.
/a tC/Ctransmksion des feuilles de soins electro- L’appareil est un Magis Club, le haut de gamme des
niques (FSE) par les professionnels de sat& Non Minitels de France T&kom. Se/on MBditrans, 70 pro-
seulement cette solution devrait relancer I’utilisation du fessions de santk sont concernees par cette offre.
Minitel en France, mais e//e apporte en outre /‘avanta-
ge d’un moindre cofit par rapport d /‘obligation d’une
informatisation des professions de sank5 et de ses pro- (32 7 -8)
Pour de plus amp/es renseignements, contactez /a Revue en rappelant la rtSf&ence
82 Revue Franpse des labotatoires, marshrll 2000, N” 321