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florian-cadinot
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Etudiant en architecture à l'école de Normandie (Rouen). J'ai créé ce port folio dans le but de trouver un stage pendant mon année de césure entre mon M1 et mon M2.
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PORTFOLIO
CADINOTFlorian
ENSANormandie
Etudiant en architecure
SOMMAIRE
LOGEMENT INDIVIDUEL
LOGEMENT COLLECTIF
LOTISSEMENT HEUDEBOUVILLE 8
6
4
MUSEE D’ART CONTEMPORAIN AMIENS 10
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CURRICULUM VITAE 3
ENROULER LA VILLE
SCÉNOGRAPHIE
SCÉNOGRAPHIE
EXPÉRIMENTATION
VESTIAIRES HAC RUGBY
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CURRICULUM VITAECADINOT Florian15/05/1993ENSA Normandie06 73 58 84 [email protected] rue Condorcet93100 Montreuil10 rue des Maraîchers76133 Epouville
ÉTUDES SUIVIES ET DIPLÔMES
2014 : DEA, Diplôme d’Études en Architecture (grade de licence) Ecole Nationale Superieure de Normandie, Darnetal 76160
2011 : Baccalauréat Scientifique, mention Assez BienLycee Jean Prévost, Montivilliers 76290
EXPÉRIENCES PROFESSIONELLES ET STAGES
Septembre 2013 : Stage de Licence 2 dans l’agence Studio BDA (suivi de chantier, maquette,
26 rue Saint Jacques, Le Havre 76600
Juillet 2013 : Emploi saisonnier (manutention, entretien, peinture)Entreprise Philippe Lassarat, Le Havre 76600
Juillet et aout 2012 : Emploi saisonnier (plan d’entrepot, manutention, entretien, peinture)Entreprise Philippe Lassarat, Le Havre 76600
Fevrier 2012 : Stage Licence 1 en maison ossature bois et charpenteEntreprise Parmentier, Saint Romain de Colbosc 76430
Aout et Septembre 2011 : Emploi saisonnier (manutention, entretien, peinture)Entreprise Philippe Lassarat, Le Havre 76600
Aout 2010 : Emploi saisonnier (manutention, entretien, peinture)Entreprise Philippe Lassarat, Le Havre 76600
AUTRES INFORMATIONS
Implications Scolaire :
Langues : Français, anglais (lu, parlé, écrit) et espagnole (lu, parlé, écrit)
Logiciels : Adobe Indesign, Adobe Première Pro, Adobe Photoshop, Autocad, Photofiltre, Revit, Sketchup, Word.
Permis B : Juin 2012.
Loisirs : Voyages (Londres, Rome, Barcelone), randonnée, photo, footing, expositions, théâtre, lecture, peinture.
Élu au conseil de la vie lycéenne (échelle départementale) de 2009 à 2011.Représentant de promotion en 4ème année à l’ENSAN
réflexion salle d’attente, volumétrie de vestiaires, étude de certaines normes)
LOGEMENT INDIVIDUEL
4
PLAN Ech : 1/500e
COUPE AA’ Ech : 1/500e
COUPE CC’ Ech : 1/500e
ELEVATION SUD EST Ech : 1/500e
ELEVATION NORD OUEST Ech : 1/500e
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LOGEMENTS COLLECTIFS
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GericaultRue
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PLAN RDC Ech : 1/500e
PLAN R+1 Ech : 1/500e
ÉLÉVATION SUD Ech : 1/500e
COUPE Ech : 1/500e
PLAN Ech : 1/200e
LOGEMENT IDÉAL
COUPE Ech : 1/200e
COUPE Ech : 1/200e
T4 BAS
T4 HAUT / T2
T5 BAS
T5 HAUT / T1
T3
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LOTISSEMENT HEUDEBOUVILLE
8
TRACER DÉCOUPER
BÂTIR PLANTER
PLAN MASE Ech : 1/2000e
PLAN D’ASSEMBLAGE RDC Ech : 1/2000e
PLAN T4 /T3 Ech : 1/1000e PLAN T5 /T2 Ech : 1/1000e
ÉLÉVATION T4 /T3 Ech : 1/1000e ÉLÉVATION T4 /T3 Ech : 1/1000e
ÉLÉVATION OUEST : COMMERCES Ech : 1/1000e
ÉLÉVATION EST Ech : 1/1000e
ÉLÉVATION SUD Ech : 1/1000e
L’idée de ce lotissement était de re-créer du lien. Que ce soit intergé-nérationnel, entre voisin ou bien entre agriculture et urbanisation.Pour cela j’ai créé un réseau de lon-gères intégrées dans une trame de vergers, et donc recréer des parcs de vergers ouverts au public. Les loge-ments créés sont mityoens et mixés deux à deux pour développer le lien entre voisins. Un espace commun ser-vant d’espace d’accueil, salle de jeu et jardin d’hiver est créé entre les deux.
9
MUSÉE D’ART CONTEMPORAIN AMIENS
10
PLAN RDC Ech : 1/1000e
PLAN ETAGE 1 Ech : 1/1000e
COUPE Ech : 1/1000e
ÉlÉVATION EST Ech : 1/1000e
PRESENCE URBAINE Ech : 1/5000e
ESPACE PUBLIC Ech : 1/5000e
CIRCULATIONS Ech : 1/5000e
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Piétons
Voitures
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Espace public
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Parvis sud
Rupture de l’alignement
COUPE Ech : 1/1000e
Un musée d’art contemporain est un pro-gramme important pour une ville mais est aus-si très élitiste. Pour cela, j’ai créé de grands espaces publics en rez de chaussée, sous le musée à proprement parler et en redon-nant des éléments de programmes ouverts à tous (cinema/auditorium, restaurants et bureaux) ainsi qu’un grand parvis au sud en lien avec l’université bordant notre parcelle. La volonté est aussi de créer un signal mais pas à l’échelle de la ville car trop proche de la cathédrale. Plutôt à l’échelle de la rue, du quartier. C’est pourquoi le bâti-ment vient rompre l’alignement de la rue. Pour finir, le musée est très ouvert aux étages, qui accueillent d’ailleurs les espaces d’exposi-tions, pour permettre une transparence de ce qu’il s’y passe et attirer un maximum de public.
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ENROULER LA VILLE
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PLAN RDC Ech : 1/2000e
PLAN RDC HAUT / R+3 Ech : 1/2000e
COUPE Ech : 1/2000e
ÉLÉVATION SUD Ech : 1/2000e
ÉLÉVATION NORD Ech : 1/2000e
LONGER LES RAILS ENROULEMENT
IMBRICATION TRAVERSÉE
PLEIN VIDE
Le projet s’inscrit sur l’arrière de la gare de Rouen.Les éléments marquants du site sont la gare classée, le faisceau des rails créant un énorme gouffre dans la ville et donc une topographie importante.
Le bâtiment répond au faisceau en lui imposant un bâtiment haut et très long, l’encadrant et le définissant. Les limites est, ouest et nord sont définies par les rues que le projet épouse par-faitement. La proposition effectue un enroulement de sorte à répondre à la forte topographie et à régler l’accès aux quais. Cet enroulement créé un espace plus intime en son sein, recréant une échelle de quartier derrière le faisceau.
13
SCÉNOGRAPHIE
14
Les exercices avec les chaises consistaient à exprimer un sentiment ou un mouve-ment (à travers le domination, la rencontre, la fuite, la peur, la perte et la croyance). Ces exercices nous ont permis de commencer à appréhender l’espace, le lien entre tous les objets et éléments environnants, les rapports de lumière, de distance entre objets. Chaque donnée a son importance et est la clé pour faire appel à l’ima-ginaire du spectateur et faire passer l’émotion.
Le travail du semestre a porté sur la scé-nographie de Don Juan de Molière. Nous avons commencé par peindre l’énergie de cer-taines scènes ou les intéractions entre les person-nages. Puis nous avons dû travailler la matière en fonction de notre analyse de l’oeuvre, ce que l’on en comprenait et le message que l’on voulait faire passer.Cela nous a permis de nous replonger dans une ré-flexion créative, faire l’expérience avec nos mains, notre corps et des matériaux pour appréhender la pièce, l’énergie, les relations, les atmosphères, les messages qui sont sous-jacents à cette pièce et com-ment nous nous l’approrions. Comment nous arri-vons à matérialiser nos impressions et sentiments.
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Avec le travail sur la peinture et les matériaux j’ai compris que pour moi, Don Juan n’était si malhonnête que ça. Au contraire, il est le seul à rester fidèle à lui même tout au long de la pièce et à jouer franc jeu. Tous les autres personnages qui nous ressemblent bien plus que Don Juan changent leur discours comme cela les arrange. Il y donc aussi une idée d’assimilation entres les personnages secondaires et le public.J’ai donc cherché un moyen de faire passer cette idée chez le spectateur.
En réponse, j’ai essayé de créer deux zones, une un peu lointaine et une très proche du public. Sorte de prison au début très brutal au premier plan et très proche du public. Alors qu’une masse nuageuse et agréable englobe le fond de l’espace de la scène. Mais ceci n’était pas assez percutant. On ne sentait pas assez l’enfermement de la masse légère et libre.
La scénographie finalement proposée est beaucoup plus sèche. Il y avait une vraie tension entre la masse légère et cette grille qui venait la contenir et l’enfermer. Le jeu de lumière permettait de rendre cela encore plus évo-quant comme un symbole de vie derrière des barreaux, un coeur essouflé qui ne parvenait plus à assurer son rôle et qui se comprimait.Cependant, avec cette proposition on perdait le côté très proche du public et imposant à lui. Je pense que la masse nuageuse était peut être un peu trop petite et que la grille et elle aurait dû occuper plus l’espace.
SCÉNOGRAPHIE
16
BAROQUE : Oeuvres très esthétiques mais toujours dans un but religieu. Cela est proche d’une propa-gande envers la religion pour ramener les fidèles.
Aujourd’hui la mécanique est remplacée par les nouvelles technologies. Elle est aussi pour moi une sorte d’accumulation, une chose très répétitive.
L’idée est donc de créer une sorte de propagande très stylisée.A l’époque du baroque la destination de la propagande était la religion. Aujourd’hui, en lien avec tous les évènements qui ont pu se passer en 2015. Le message pour moi doit être une ôde à la tolérance pour amener les gens à se respecter et à s’accepter les uns et les autres. Il s’agit de contrer les appels à la haine.
Le moyen de faire passer ce message est la mécanique. Donc la répétition, la profusion et les nouvelles technologies. J’ai donc décidé de créer des écrans artificiels (TV, telephone et ordi-nateur) dorés où des messages sont écris en noir dessus. Les nouveaux outils de commu-nication sont stylisés pour permettre un impacte plus fort et aussi pour prendre conscience des messages perçus par ces écrans dans la vie de tous les jours.
Les messages sont des injonctions : AIMEZ-VOUS, CONFRONTEZ-VOUS, ÉCOUTEZ-VOUS, UNISSEZ-VOUS, LIBÉREZ-VOUS, EXPRIMEZ-VOUS, TOLÉREZ-VOUS, ENTRAIDEZ-VOUS, EMBRASSEZ-VOUS, PARLEZ-VOUS, RASSEMBLEZ VOUS ET ACCEPTEZ-VOUS
La proposition se compose de 26 modules plus ou moins grands et répartis dans la rue, créant une profusion d’écrans et d’appels à la tolérance.
MÉCANIQUE :
PRODUCTION :
Le but de ce semestre était de concevoir une scénographie pour le festival Vivacité à Sotteville-Lés-Rouens dont le thème pour juin 2015 était le baroque mécanique. Une première phase consistait à imaginer une scénographie par binôme puis après la sélection de un ou deux projets suivait la phase de fabrication.
PHASE 1
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Projets séléctionnés :
Cadres baroque en bois imaginés par Laure Wipf et Louise Rosan et éléments urbains emballés de tis-su imaginé par Mathilde Bonte et Bettina Stitou.
PHASE 2
Lors de cette phase, les équipes non selestionnées ont fabriqués les objets imaginés par celles sélectionnées.
Le but de cette phase était de nous rapprocher des méthodes de chantier et du travail des matériaux. Nous avons donc pu travailler en hiérarchie, réflé-chir à comment fabriquer les objets avec les chefs d’équipes, comment augmenter la rentabilité ain-si que le productivité, discuter avec eux de ce qu’ils envisageaient et leur soumettre des conseils, travail-ler avec eux lors de la fabrication, découvrir de nou-veaux outils et de nouvelles techniques pour travail-ler les matériaux ainsi que de travailelr à l’échelle 1/1.
Cela nous a aussi fait prendre conscience de l’importance de l’objet dans l’espace public et de chaque détail. Comment l’objet intéragit-il avec la rue ? Avec les bâtiments autour ? Avec la lumière ? Quelle atmosphère cela donne-t’il ?
EXPÉRIMENTATION
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Il s’agissait d’un workshop dans le cadre du sémi-naire de S07. L’objectif était par équipe de six d’ima-giner un prototype à l’échelle 1/10e d’une folie en bois de cagette d’épaisseur 2mm pouvant accueillir deux personnes en utilisant des bandelettes de pa-pier puis de passer à l’échelle 1/1. Nous avons choisi suite à l’exercie avec le papier de nous diviser en trois binômes pour que chacun des binômes fabrique un voile censé être autoportant ou supporter les autres.
Notre idée avec ma collègue était de créer une coque tressée à partir d’un arc de cercle posé au sol et un en hauteur venant clôre le voile. Suite à ces deux arcs de cercle, l’idée était de rayonner à partir de trois points, le centre de l’arc de cercle au sol et les deux extrémités. Cette solution nous apportait une cer-taine stabilité ent ressant de manière assez serrée.
A cause des conditions climatiques (pluies in-tenses, froid, gel...), notre prototype s’est écra-sé et nous avons dû refermer l’arc de cercle au sol pour que notre coque soit autoportante.Pour finir les trois coques ont été assemblées mais ne pouvaient reformer qu’une seule folie car les voiles étaient trop lourds et trop indépendants.
19
VESTIAIRES HAC RUGBYUne des missions lors de mon stage dans l’agence Studio BDA a été de retravailler un projet de ves-tiaire pour le HAC Rugby. L’objectif a été de dé-velopper une volumétrie contemporaine mais qui puisse dans l’esprit des joueurs reprendre la volu-métrie du bâtiment existant voué à la démolition et qui est important dans l’histoire du club (vestiaires et buvette historique). Mon but a été de devélop-per un bâtiment qui offre deux types de volumé-trie. La première a été une volumétrie haute et avec un toit à double pente pour les vestiaires puisque le rugby n’est rien sans ses joueurs et leur esprit d’équipe. Ils s’agissait de montrer l’importance que les joueurs représentent. Puis des volumétries basses qui comprenent les toilettes, l’infirmerie, les locaux techniques, les douches et entrées des ves-tiaires et une salle de musculation. Cette deuxième volumétrie qui vient saccader et s’alterner avec les toits à double pente créé un effet très contempo-rain en gardant l’esprit de l’ancien batiment. J’ai pour finir décidé de mettre une casquette en bé-ton sur une partie du batiment pour redonner une certaine unité pour la partie destiné uniquement aux joueurs et créant ainsi un abrit pour ceux-ci.