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PORTFOLIO

ZOÉ DUCHAMPARCHITECTE DE+33 (0) 6 70 82 64 53zoe.duchamp@gmail.com

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CVZOÉ DUCHAMP06 70 82 64 53née le 08/07/1990 à Aubenas (07), Francezoe.duchamp@gmail.com

FORMATION2015 : Diplôme d’État d’Architecte, Mention Bien École Nationale Supérieure d’Architecture Paris-Malaquais (ENSAPM)2009 : Licence 1, Histoire de l’Art et Lettres Modernes, Université Lumière Lyon 22008 : Baccalauréat (scientifique, option anglais européenne et art plastique)

EXPÉRIENCES2015 : TamTam Architecture, Saint-Privat, France - CDD 3 mois : Architecte2015 : International Camping, Salavas, France - CDD 2 mois : Animatrice2015 : Projet de Fin d’Étude (et continuité en tant que professionelle) - Recherche-action avec les élus et les habitants pour le devenir d’une commune rurale, Lanas (07), France2015 : Mémoire de recherche, Logements sociaux en territoire rural isolé, contexte singulier pour penser l’innovation, ENSAPM2014 : Reichen & Robert Architecture, Paris, France - Stage de 2 mois : Architecte2014 : Academy of Arts, Hangzhou - Workshop Urbanisme évolution des zones rurales Chinoises2014 : Permis de construire - Réhabilitation maison individuelle, 91800 Brunoy2014 : Concours Fête des Lumières de Lyon - Conceptions installations lumineuses2013 : V-Project Construction, Genappe, Belgique - CDD de 4 mois : Conducteur travaux2013 : Art&Marges musée d’Art Contemporain, Bruxelles, Belgique - Scénographie d’exposition2013 : What Architecture, Londres, Angleterre - Stage de 2 mois : Architecte2012 : Lendager Architekter, Valby, Danemark - Stage de 6 mois : Architecte2012 : ACTION/S D’ÉCOLE/S - Co-écriture d’un livre en collaboration avec Ruby-Press Berlin2011 : Avec Le Temps Architecture, Ruoms, France - Stage de 3 mois : Architecte2011 : Bellastock, “La ville en un souffle”. Workshop - Chantier collaboratif d’1 semaine2010 : Fondation Emmaüs Avenir. Workshop - Chantier solidaire d’1 semaine2007 : Coho Couture, Atelier de stylisme, Bessas, France - Stage d’1 mois : Couturière

Loisirs : Capoeira, Randonnée, Musique, Danse, Peinture, Sculpture

COMPÉTENCESAutocad, Vector Works / Adobe Photoshop, Illustrator, Indesign / Sketchup Pro 8, RhinocérosLangues : Anglais courant - Allemand débutant Permis de conduire B

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SOMMAIREprojetsRECHERCHE-ACTION01. L.A.N.A.S., Lanas, Ardèche - France [Projet de fin d’Étude] Recherche-Action avec la population et les élus pour le devenir d’un village 02. NOMADS’ LAND, rue de Valenciennes, 10em arrondissement Paris - France Reflexion collective “vivre en Squat”

URBANISME03. ARCHIPELAGO CITY, Vallée de Heyang, Zhejiang - Chine Revitalisation d’une vallée rurale chinoise04. DÉFFRICHER LES BERGES, 94190 Villeneuve Saint Georges - France Requalification d’un espace public de nature en ville

ARCHITECTURE05. COMME À LA MAISON, MJC Boris Vian, Pontault-Combault - France Extension d’une Maison de la Jeunesse et de la Culture06. VILLAGE URBAIN, boulevard Davout, 20em arrondissement Paris - France Logements Collectifs07. ANDERS HJEM, Valby - Danemark Réhabilitation maison individuelle

DESIGN08. KØKKENHYLDE, Valby - Danemark Conception et réalisation d’un meuble en bois OSB

ÉCRITS09. “logements sociaux en territoire rural isolé, contexte singulier pour penser l’innovation” Mémoire de recherche master10. ACTION/S D’ÉCOLE/S, Paris - Berlin Co-écriture d’un livre sur les écoles d’Art et d’Architecture

WORKSHOP11. LIVABLE BEAUTY, Heyang Valley, Zhejiang - Chine Étude des villages ruraux Chinois avec la Academy of Arts de Hangzhou12. BELLASTOCK_LA VILLE EN UN SOUFFLE, Paris Festival d’architecture

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01L.A.N.A.SProjet de fin d’ÉtudeRecherche-Action avec les élus et les habitants pour le devenir d’une commune rurale

Professeurs encadrantsSebastien ThieryXavier Fabre

Ardèche - France - 2015

« Dans le respect de l’intérêt public qui s’attache à la qualité architecturale, je jure d’exercer ma pro-fession avec conscience et probité et d’observer les règles contenues dans la loi sur l’architecture et dans le code des devoirs professionnels ». À la fin de sa formation, l’architecte, prête ser-ment d’exercer sa profession avec honnêteté et d’observer les règles de la morale sociale. Sa soumission à une commande pourra pourtant le contraindre à s’éloigner de cette éthique. Formé pour être un intellectuel éclairé et conscient de toutes les dimensions que le projet architectural viendra influencer, il n’est souvent pas libre de

“Vous êtes conviés à une matinée d’échange.

Amis, voisins, familles ... retrouvons nous pour partager sur l’avenir de notre village, dégageons ensemble les enjeux du développement de notre

commune, partageons nos expériences, nos témoignages ...

Autour de plusieurs thèmes :vivre ensemble, convivialité, accès aux services, mobilité, éducation,

loisir, agriculture, paysage (rivière, colline) ... réfléchissons ensemble aux possibles pour notre de lieu de vie.

Discutons de la vie au sein du village, proposez de nouveaux axes de réflexions”

Invitation au premier atelier de concertation organisé par Zoé Duchamp, en partenariat avec la mairie de Lanas - samedi 18 avril 2015

Premiere étape de la journée atelier 18 avril 2015, marche spontannée à travers différents lieux du village. Objectif : évoquer ce que l’on aime ou pas et trouver un consensus entre habitants sur les objectifs à atteindre pour chaque lieu.

Seconde étape de la journée atelier 18 avril 2015, sur une grande carte satellite du village, géolocaliser les points évoqués plus tôt. Création d’un document d’urbanisme collectif et participatif

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remettre en question la commande qu’il lui est impo-sée et ce même si celle-ci va à l’encontre de l’intérêt public.

L’État et ses représentants n’ont pas vocation à spécul-er et de ce fait, ils ont le pouvoir de prendre en main le projet architectural pour le réintégrer à un projet politique. À leurs côtés, l’architecte peut pleinement retrouver son rôle de penseur de la ville et encrer sa pratique dans une démarche démocratique, répon-dant aux attentes de ceux qui vivent la ville. Ce projet explore cette démarche d’architecte acteur public, au sein d’un village rural de 400 habitants de la Basse-

Vallée Ardéchoise, Lanas. Sur la base de réflexion sur l’histoire et le présent du village de Lanas, le projet tente de mettre en place une démarche par-ticipative de recherche-action pour imaginer col-lectivement le devenir du village.

Éxpérience endogène, le projet se construit au fil du temps et des différentes rencontres. Proces-sus lent, ce diplôme est l’objet d’une expérience réelle à laquelle les habitants ont pris part. Une fois le jury du diplôme passé, le projet continu aujourd’hui à travers une expérience profession-nelle indépendante.

ce que j’aime ce que je n’aime pas nos projets

Zone de la mairie 2zone d’accueil / de loisirsterrain de sport caché parking centralachat du terrain par la mairietoilettes et poubelles

Patrimoine des fayssesmagnifique travail des anciensplus d’activitéréhabilitation des faysses coopératives agricoles(élevage caprin, oliviers, vergers)interprofessionnalité

Plage de la MolleGR d’Aubenasancien portpatrimoine médiévalvégétation régule les cruesjournée bénévole de nettoyageaccueil des touristes sur l’eau

Rivièredestruction des aménagementspar la cruetrès beaux lieux de baignadela rivière relie les gens du village

Étangs de pêchelieu pour familles, enfantsaire de loisir (canoës, escaladerandonnée, pêche)espace en frichecamping sauvage anarchiquedéchets entreposésaménagements de rencontre

Zone de la mairiejeux d’enfantregroupement pédagogiqueesthétique parkinglieu de rencontre / halle

Terrain de l’enclosvégétation sauvagevitesse des voituresterrain de boulelieu de rencontre

Visuels compte rendu du travail collectif du 18 avril 2015Chaque lieu évoqué est représenté accompagné des propositions des habitants.Un certain nombre de thème émane de ces discussions. Ces thèmes représentent les différents aspects primordiaux, selon les habitants, pour la vie au sein de leur village.

Accueil touristiquemanque de lien avec le villagelien avec l’ancien GRferme du camping = promenade pédagogique

Activité du plateau des graspaysage d’exceptionaccueil de ruchesdéveloppement exploitationsagricoles

Terrain privé/jardin collectifouverture à tous pour jardinerpartenariat avec le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale)

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Comment un architecte peut aider une collectivi-té locale à définir les axes de développement d’un lieu? La première rencontre a révélé des intérêts divers chez les habit-ants du village de Lanas. Ces thèmes alimentent la suite de mon travail. Différentes actions sont imaginées afin de traiter chacun des problèmes exprimés ou de renforcer les qualités évoquées.

01L.A.N.A.SRecherche-Actionvillage rural

ACTION N°1 : ce panneau étudie un lieu abordé avec émotion par les habitants de Lanas lors de la rencontre du 18 avril, les anciennes terrasses agricoles, dit “faysses”. Aujourd’hui à l’abandon, les villageois se demandent comment prévenir leur disparition? Cette première “ACTION” propose des pistes de revitalisation du lieu. La première étape (1) se présente sous forme de guide pratique “apprentissage de la réhabilitation des murs en pierre sèche”, afin d’encourager l’engagement des villageois dans la réfection physique de leur patrimoine historique, de les accompagner dans cette tâche.Par la suite, la seconde étape (2) propose un scénario de programmation pour le lieu. Y développer plusieurs activités assurerait de le “faire vivre” et donc son maintient. Ces programmes sont en lien avec les problématiques du village à savoir : donner une visibilité à la troupe de théâtre en résidence dans le village en créant un lieu de représentation plein air / réinterroger l’accueil des touristes (aujourd’hui dans des aires privées excentrées de la vie du village) en créant des cabanes autogérées par les villageois / requestionner la possibilité de cultiver à nouveau sur ces lieux sous forme de jardins partagés.

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Ainsi, cinq actions sont imaginées dans les lieux ex-plorés lors de la marche spontanée du 18 avril. Ces cinq actions représentent des pistes de réflexions pour le développement du village. Ces actions ne tendent pas à représenter des projets aboutis, finis, mais sont pensés comme un support pour prolonger le dialogue

ACTION N°2 : ce panneau évoque le problème du logement diffus au sein du village. Quelle alternative possible aujourd’hui au logement individuel privé qui mite les territoires ruraux? Le pavillon est régulièrement étudié pour s’isoler des habitations voisines par le biais d’une surface extérieure, consommatrice d’espace. À travers plusieurs idées, cette fiche propose aux Lanassiens des solutions physiques dans la création de maison pour permettre au noyau familial de maintenir une intimité tout en étant s’intégrant à un tissu d’habitations proches (1). La seconde phase envisage la combinaison de plusieurs de ces types de logements afin de créer un ilot dense sur un terrain aujourd’hui vacant au coeur du village (2). Cette opération est envisagée à travers le montage juridique de la coopérative d’habitants, alternative au logement collectif public. Sans prétendre proposer un plan type, ce panneau entame un dialogue sur les possibilités pour penser un urbanisme rural dense et adapté aux modes de vie contemporains des ruraux.

entre habitants. Elles sont présentées sous forme de panneaux et selon plusieurs phases. Chacune de ces phases doit pouvoir orienter tout habitant qui souhaiterait entreprendre un projet similaire, lui permettre d’être autonome dans le développe-ment d’un projet pour le village.

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01L.A.N.A.SRecherche-Actionvillage rural

La proposition de ces cinq actions marque la fin de mon diplôme à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Malaquais. Les élus municipaux et les habitants de Lanas ont su voir dans cette expérience le début d’un travail précieux pour le développement du village. Ainsi collectivement, nous décidons de poursuivre le travail amorcé. Dans le cadre d’une continuité du travail en tant que professionnelle, je m’entoure de nouveaux acteurs pertinents pour le développement du projet. Ainsi, j’intégre l’Atelier Bivouac, collectif de géographes, paysagistes et architectes dont la démarche s’apparente à la mienne. Leur

ACTION N°4 : Aménagement d’un lieu incontournable mais non aménagé, aujourd’hui : les berges de la rivière. La rivière Ardèche attire de nombreux touristes chaque été. Circulant à bord de canoës, les plages sont une opportunité pour accueillir une population touristique. Du fait de fortes crues annuelles, tout aménagement permanent est soit trop cher soit détruit. Cette notice propose la création de berges démontables réalisées à partir de matériaux récupérés. Un embarcadère pour accrocher les bateaux, des casiers pour stocker les affaires permettraient aux touristes de passage de s’arrêter pour découvrir le village.

ACTION N°5 : Aménager l’aire des étangs au sud du village et encourager les habitants à se retrouver autour d’activités de plein air. La réhabilitation d’une ancienne station de pompage, dote l’espace d’un lieu pour tous. Ainsi, les habitants du village peuvent se retrouver dans ce lieu (pensé comme autogéré), au carrefour de plusieurs sites de loisir plein air (voies d’escalade, chemins de randonnée, étangs de pêche, passage de canoës sur la rivière...).

ACTION N°3 : ce panneau évoque la question de la mobilité telle qu’elle est généralement pratiquée en zone rural. Il propose une alternative à la voiture et étudie les itinéraires piétons pertinents pour les habitants du village. Lanas dispose d’une des 3 classes du regroupement pédagogique avec les communes voisines Vogüé/Saint-Maurice-d’Arèche/Lanas. La question du transport scolaire entre les 3 écoles et la consommation d’essence du bus ouvre le débat sur la pertinence d’une école sur 3 sites. Repenser les mobilités piétonnes serait un moyen de préserver ce lieu éducatif nécessaire pour lier les gens du village. Une voie douce est dessinée entre les 3 sites (1). Cette voie est raccordée à la piste cyclable en projet qui relie le sud du département aux communes du nord de la Communauté de Commune (2). Le carrefour entre ces deux chemins est souligné par une station repère, une installation qui offre un point de vu sur le village de Lanas et invite les promeneurs à emprunter le nouveau chemin des écoles et découvrir le village (3).

ACTION N°4 -

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démarche est d’accompagner les collectivités pub-liques sur des projets urbains, de paysage, et d’espace public, saisissant le temps du projet pour s’installer en résidence in situ, se rendre complice du terrain et disponible pour créer des temps de rencontres avec les acteurs du territoire. Sa démarche vise à faire valoir le “regard habitant”, les interactions avec les structures locales et les ressources en présence.Ainsi, depuis juillet 2015, d’autres ateliers furent or-ganisés. Le travail s’est concentré sur un espace va-

cant du coeur du village, dont la population désire en faire un parc public. Des chantiers participatifs seront organisés courant 2016 pour bâtir des amé-nagements au sein du parc. L’intervalle de temps est consacré au montage de dossiers de subventions au contact des partenaires potentiels, à l’organisation des futurs chantiers, à la communication du projet...Processus endogène, ce projet tente de faire in fine, de l’acte d’aménager, une expérience collective, en-gagée et conviviale.

Invitation au second atelier de concertation

organisé par Zoé Duchamp, Pierre Simonin et Alexandre Malfait pour l’Atelier Bivouac, en partenariat avec la mairie de Lanas

dimanche 2 aoüt 2015

“prenons en main l’aménagement du nouveau jardin pour tous de Lanas. Projetons et décidons ensemble ce que sera le Parc de l’Enclos”

Cet atelier a permis de prendre conscience des différences de besoins et envies dans l’espace public de chacun selon l’âge et la situation et de s’accorder in fine collectivement sur une cohabitation de ces usages dans l’aménagement de la place.

En jeu de rôle et par groupes, les habitants s’imaginent à la place d’une catégorie de population du village dont ils ne font pas partis et proposent des aménagements qui leur seraient adaptés.

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02 Studio de projet : Qu’est ce qu’un habitat durable? Dans notre monde en mouvement, où beaucoup vivent en villes, ne serons nous pas tous nomade demain? À travers le mode de vie des habitants du squat du 2 rue de Valenciennes dans le 10e arrondissement de Paris, je ré-fléchis à cette problématique d’habiter le temporaire. Dans cette situation où l’architecture, faute de pouvoir être inves-ti, ne peut être qu’un abri, les objets deviennent ce vecteur d’appropriation au lieu et accompagnent les usages.

Reflexion sur ces objets qui, en réponse aux problèmes quotidiens, permettraient d’adoucir les conditions de vie.

NOMADES’ LANDVivre en Squat Habiter le temporaireProjet d’école Master 1 “Vraiment Du-rable ?” proposé par Valéry DIDELONrue de Valenciennes, 75010 Paris

septembre 2013 - janvier 2014

Jeudi NoirJeudi Noir

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“On se retrouve, pour l’AÏD, les anniversaires. Et là on se

regroupe tous ensemble”

“Quand on ouvre notre porte on tombe sur les affaires

des autres dans le couloir et tout le monde peut voir chez nous”

Mme Saadie, 43 ans

“Il y a de l’eau dans les sanitaires, un sanitaire par

étage. Nous on préfère faire à manger dans le logement, en famille. Mais on doit aller chercher l’eau dans des bassines, dans les toilettes. On fait des aller-retour...toute

la journée”.Ladji Traoré, 32 ans

“Ah oui, on se connait tous! Les enfants font la sieste en haut, ils jouent ensemble. Nous les mamans

pendant ce temps là on discute, on regarde la télé”

“Ce que l’on aimerait? Un logement ! - mais qu’est ce qui fait essentiellement que cette pièce

n’est pas votre logement?-on n’a pas de place...pas de place pour ranger nos affaires, le linge est étendu partout, tout est par terre, on a pas de pièces

chacun pour nous...”Mme Traoré, 29 ans

Au sein du squat, deux groupescohabitent :- les 12 jeunes du groupe de squateurs politisés “Jeudi Noir”, - les 16 familles (dont 23 enfants) immigrées et relogées par le collectif Droit Au Loge-ment - le DAL.

Cette étude se base sur la rencontre avec ces familles, entre solidarité et tracas quotidiens dus à la difficulté d’organiser un environne-ment, dans un contexte si particulier.

Paroles d’habitantsde la rue au logement

“Avec le DAL on doit faire des actions, pour que la mairie nous trouve un vrai logement. Pour

qu’elle rachète ce lieu et qu’elle en fasse des logements sociaux. Ce mois ci on fait un campement sur la place de la

République pour se montrer, pour faire pression. -oui c’est pas facile d’aller au boulot le matin à 6h quand on

a dormis dehors toute la nuit!”Campement de la République, oct-dec 2013

Le logement

Les couloirs

La cour

La rue

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Mon travail s’interesse ainsi aux deux temps de la vie dans le squat : au temps de la médiatisation où il faut se rendre visible (comme lors du Campement place de la République en octobre 2013) et au temps au sein de l’habitat dans la recherche d’une intimité.02

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NOMADES’ LANDVivre en Squat Habiter le temporaire

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prix

poulie à manille

polypropylène

mousqueton

≈ 20€

≈ 30€

≈ 10€

Les AccrochesS y s t è m e d’accroche : poulie. Lien entre les deux bâtiments au dessus de la cour.

Corde doublée. Accroche du linge sur la corde inférieure et coullisage en rame-nant la corde supéri-eure vers soi.

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2 S y s t è m e d’accroche : mous-queton. Pour l’accroche d’une couverture au dessus de la cour.

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La CabanePanneaux de particules de bois OSB.

Tasseau de bois de section rec-tangulaire.

Sol étenchéité monocouche, caoutchouc.

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Crochet et cable métallique acier galvanisé.

Une fois le cable passé à travers le matelas, l’attache est maintenue grace à un écrou de serrage.

Le cable passe à travers le matelas par l’ori�ce révélé sous le bouton du matelas.

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Le Tunnel

“se rendre visible”Et si leur façon de vivre était la seule communication necessaire? Dès l’entrée, un couloir de matelas invite le passant à entrer dans le lieu : “ce lieu était vacant, aujourd’hui des gens y vivent ensemble!”

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quantitéprix

fut à bonde PVC

récipient

tuyau + mitigeur

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La Fontaine

Bidon de récupérations d’eau en PVC.

Evier récupéré.

Sysème d’irrigation de l’eau: un tuyau relié à une pompe ma-nuelle à levier. Le tuyau est relié au bidon d’eau par une entrée à vis et soutenu à l’arrivée par un portant en bois.

On introduit de l’eau propre dans le premier bidon par le tuyau. L’eau est pompée grace à la pompe à levier, jusqu’à la sortie. Elle s’écoule par un trou dans l’évier jusque dans le second bidon resté vide. L’eau sale peut ensuite être écoulée grace au tuyau dans les sanitaires de chaques étages.

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Ossatures métalliques en acier galvanisé, récupérées égale-ment des anciennes cloisons.

Plaque de placo platres, réutili-sation des anciennes cloisons de bureaux inutiles. Les plaques sont fixées à l’ossature par des vis autoforeuses.

Emplacement isolation, compo-sée de vêtements récupérés par les dons au free market.

Portes, récupérées, de petites sections.

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quantitélongueursectionmm

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Le Lit

Bâtiment 1, entrée 2 rue de Valenciennes, 3em étage, familles Tourré et Traoré

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serre cable

acier galvanisé

polypropylène 18 mm

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2,40 €

30 € / 7m

15 € / 50m

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matériaux prix /longueur

Accroche mousqueton. Cable métallique acier galvanisé.

Corde en polypropylène.

Serre cable en acier

Ce système d’obstruction est totale-ment modulable. Chaque corde peut être enlevé, poussé, voir atta-chée avec d’autres en rideau.

Les Paravants

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“créer son habitat”Tout comme dans un projet classique d’architecture de logement collectif, les frontières et les paliers d’intimité sont un des problèmes à penser avec délicatesse.

Détourner les matériaux présents pour résoudre les problèmes

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02NOMADES’ LANDVivre en Squat Habiter le temporaire

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Dans cette ville où 5% du bâti est laissé vacant et où le quota de logements

sociaux n’est jamais atteint, quel peut être le rôle de l’architecte?

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03 Ce projet est réalisé en collaboration avec les étudiants architectes de l’Academy of Arts de Hangzhou et encadrés par leurs professeurs Wang Shu et Zhuo Min. Représentant un des défis majeurs en Chine, le projet s’attelle à la préservation des villages ruraux, derniers témoins d’une culture vivante et bâtie chinoise, aujourd’hui profondément bouleversée par l’expansion démesurée des villes. Comment permettre un mode de vie durable dans ces campagnes sans y forcer le maintient des modes de vie archaïque ? Sur le principe de la ville-archipel dont le métabolisme permet son autogestion, la campagne s’affranchit de la ville et assume ses propres codes.

LA VILLE ARCHIPELRevitalisation d’une vallée rurale chinoiseProjet d’école Master 1 proposé par Bruno-Jean HUBERTVallée de Heyang, province du Zhejiang, Chine

février 2014 - juin 2014

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Au sein de la vallée de Heyang dans la province du Zhejiang, le projet propose une réflexion sur la transformation progressive des paysages et des modes de vie qui s’y encre. La situation existante à savoir : la destruction des maisons traditionnelles (les maisons à cours carrées : si-heyuan 1) et l’auto-construction de nouvelles résidences à étage en par-paings non adaptées aux conditions climatiques (2), ne peut perdurer. Notre étude projette une transfor-mation influencée par l’intervention de nouveaux acteurs dans la vallée; la campagne devient le théâtre de nouveaux intérêts. La première phase s’initie par l’arrivée d’étudiants qui puise leur formation dans l’observation des techniques de construction ances-trales et réhabilitent des maisons traditionnelles. La

restauration du patrimoine permet aux si-heyuan de se doter de nouvelles fonctions : learning center, guest-house... La mise en valeur du paysage naturel et bâti réaffirme le potentiel touristique de la vallée (PHASE 2). L’arrivée de ces populations étudiante ou touristique contribue à renforcer l’économie locale, l’accroissement du nombre d’habitants génère de nou-velles demandes, la production agricole s’intensifie. Pour ne pas altérer les richesses du paysage naturel, un nouveau système de circulation est proposé, par voie d’eau pour le transport de marchandise et par transport collectif (tram) pour les habitants. Les voitures sont stationnées dans le village de Heyang, premier village à l’entrée de la vallée (PHASE 3). Enfin, l’accroissement de la population dans cette

Vallée de HeyangCarte de la vallée une fois le processus de transformation abouti

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03vallée provoque un changement dans les modes d’habiter et dans la production de l’habitat (PHASE 4). Ce projet propose une densification du bâti existant et réinterprète les nouvelles constructions spontanées faites de parpaings réalisées sur plusieurs étages (2). Aujourd’hui aux dimensions démesurées (approchant 300m2 répartis sur 4 étages pour une famille d’environ 3 personnes), le projet propose

de faire fi du système individuel consommateur d’espace de ces nouvelles constructions spontanées et d’adapter l’habitat existant vers du logement collectif. La maison à étage d’aujourd’hui est désossée, seul reste une forêt de système poteau-poutre béton. D’autres poteaux sont ajoutés (4) et l’ensemble est mis en réseau grace à de nouveaux planchers unifiant. Sur ces grands planchers un nouveau parcellaire

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Mayan CunL’expérience de transformation du bâti béton est testée au sein du Village de Mayan au nord de la vallée

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NEW URBAN METABOLISM / ARCHIPELAGO CITYGrégoire BIGNIER & Bruno-Jean HUBERT

Zoé DUCHAMP / Caroline JOUSSET / Katia NAOURI

ARCHIPELAGO CITYWHAT PROJECT / DETAILS 1/50

ARCHITECTURAL PROJECTIntervene on concrete construction with local ressources

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divise la surface des planchers (3). Chaque famille propriétaire de sa parcelle dans l’immeuble est garante de la viabilisation de son habitat. Ainsi, à partir des matériaux locaux - terre, bois, pierre - et de techniques de construction viable chaque famille délimite son habitat privé au sein du collectif.Un nouveau système collectif est proposé pour les villages ruraux comme ici à Mayan Cun, le

village le plus au nord de la vallée de Heyang. Ce projet propose un système qui parvient à s’instruire des pratiques existantes spontanées, qu’aucune planification ne pourra empêcher. Plutôt qu’un nouveau système, ce projet propose l’accompagnement d’une régénération du système existant sur lui même, vers une situation plussoutenable.

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NEW URBAN METABOLISM / ARCHIPELAGO CITYGrégoire BIGNIER & Bruno-Jean HUBERT

Zoé DUCHAMP / Caroline JOUSSET / Katia NAOURI

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ARCHITECTURAL PROJECTIntervene on concrete construction with local ressources

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Nouveau Logement CollectifTrois habitats délimités par des murs de bois - torchis - briques et d’isolant paille.

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Photos, Maquette Détail fonctionnement des nouveaux logements collectifs

Illustration Transformation de la ville de Mayan Cun

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04DÉFFRICHER LES BERGESProjet d’école Licence 3 proposé par Thierry ROZEVilleneuve-Saint-Georges (94)

septembre 2011 - janvier 2012

La ville de Villeneuve Saint Georges révèle de fortes difficultés liées : au bruit (couloir de vol aérien), à l’implantation des programmes (la ville est scindée en deux par une voie rapide et des voies de chemin de fer TGV), aux problèmes de gouvernance qui ont mené à placer la ville en redressement économique, à la répartition de la population selon ses origines sociales et natales au sein de la ville menant à une ségrégation des diffé-rents groupes et créant une forte discrimination.

Carte projectuelle des programmescarte des aménagements projetés sur l’espace

Cartes d’étude historiquedéveloppement historique de la commune

Carte des typologies des zones urbainescarte de l’étude des typologies de l’espace

23

Ce travail propose d’explorer l’identité paysagère de la ville qui s’est aujourd’hui transformée en annexe de la mégalopole parisienne. Il tente de réexprimer les qualités du lieu afin de révéler son potentiel ludique et d’amener la population à reconsidérer son lieu de résidence comme lieu de loisir et d’échange. Ce projet, ne pouvant faire fi des difficultés financières de la ville, souhaite construire à partir des potentialités de Vil-leneuve-Saint-Georges, révéler ses atouts et non pas en créer. Les berges de la rivière Yerres représente un

atout majeur, aujourd’hui laissées à l’abandon et oc-cupées par la végétation. Une promenade sur l’eau et par des chemins (1) (2) invite à rejoindre, dès le cen-tre ville engorgé, des lieux paisibles aujourd’hui peu fréquentés. La promenade sillonne le bord des berges et révèle différents lieux de la ville, (château du XVIIe siècle, forêt de chêne, étangs ...). Tout au long du par-cours, des zones de repos, d’aires de jeu sont réalisées, des cabanes d’embarcadères pour des barques (3) en-couragent de nouvelles façons d’appréhender la ville.

3

2

1

Gustave Caillebotte, Périssoires sur l’Yerres (1877)

24

05 Ce projet est la réhabilitation de la MJC de Pontault-Combault. L’espace du bâtiment, construit en 1977, pose aujourd’hui des problèmes fonctionnels, d’usage, mais également ne correspond plus à la place qu’une MJC occupe aujourd’hui dans son environnement. Après l’analyse de la ville et de la répartition de ses programmes socio-culturels et éducatifs (1), le projet de “Comme à la Maison” propose une extension dont les formes dialoguent avec les codes des pavillons qui l’avoisinent. Orientée vers la forêt (qui accueille le con-servatoire de musique, la médiathèque...), l’extension ouvre le bâtiment à son environnement.

COMME À LA MAISON Extension Maison des Jeunes et de la Culture Boris VianProjet d’école Master 2, proposé par Catherine CLARISSENicole CONCORDETMJC Boris Vian, Pontault Combault (77)

septembre 2014 - janvier 2015

1

25

terrasse extérieure

terrasse extérieure

Vue sur le bois

Vue sur le jardinet la ville

Vue sur le hall

Vue sur la ville

Administration

Musique

Accueil

Salle de cours

Technique sport

Sport

Sport

Cuisine Terrasse

AccueilSpectacle

Terrasse

Terrasse

Salle polyvalente

TechniqueSpectacle

Circulation technique

- accès salle de spectacle -

Circulationprincipale

- accès salle de spectacle -

Circulation principale

- accès 1er étage -

Circulation technique

- accès salle de spectacle -

Circulationprincipale

- accès salle de spectacle -

Circulation principale

- accès 1er étage -

murs anciensmurs nouveaux

2

9

3 6

4 7

5 8

1

1000

1. équipements socio-culturel éducatifs2. plan masse, échelle 1/1000e3. existant (rouge) /extension (gris)4. programme RDC5. programme R+16. liens visuels7. circulation verticale RDC8. circulation verticale R+19. accès et connexions

26

RéunionRepas

Stockage

Animateurs

ClassePetite enfance

BarAccueil

Cuisine

Réserves

Profs

Stockages

Stockages

Poubelles

Attente cours

Vestiaires

Vestiaires

Studiomusique

Studiomusique

Salle de Danse

Dojo

Abris vélos

Direction

A

A

B B

1250

Plan RDCéchelle 1/250e

Coupe-élévation BBéchelle 1/250e05

27

1250

Coupe-élévation AAéchelle 1/250e

Plan R+1échelle 1/250e

MJC Boris Vian,Pontault Combault

Plan R+11/100e

Loges

Bibliothèque

Salle de spectacle

Terrasseextérieure

Salle d’Arts Plastiques

Vide sur Salle de Danse

Vide sur le Dojo

Vide surAccueil

Terrasse extérieure

28

a

b

coupe 1chevrons

coupe 2

1

2

4

3

6

5

8

7

triple arbalétrier

pannes

triple poteaux ossature bois

double poutres ossature bois

dalle de plancher

solives

isolation

Le hall d’accueil

2

intérieur intérieurexterieur

intérieur exterieur

exterieur

intérieurexterieur

6 6

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a

a

a

b

b

b

coupe 1chevrons

coupe 2

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5

4 4

3 3

1

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triple arbalétrier

pannes

triple poteaux ossature bois

double poutres ossature bois

dalle de plancher

solives

isolation

Détails techniques - 1/50e

Le hall d’accueil

MJC Boris Vian, Pontault Combault

Duchamp Zoé - Naouri Katia

Comme à la maison !

2

intérieur intérieurexterieur

intérieur exterieur

exterieur

intérieurexterieur

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a

a

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coupe 1chevrons

coupe 2

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triple arbalétrier

pannes

triple poteaux ossature bois

double poutres ossature bois

dalle de plancher

solives

isolation

Détails techniques - 1/50e

Le hall d’accueil

MJC Boris Vian, Pontault Combault

Duchamp Zoé - Naouri Katia

Comme à la maison !

2

intérieur intérieurexterieur

intérieur exterieur

exterieur

intérieurexterieur

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a

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coupe 1chevrons

coupe 2

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triple arbalétrier

pannes

triple poteaux ossature bois

double poutres ossature bois

dalle de plancher

solives

isolation

Détails techniques - 1/50e

Le hall d’accueil

MJC Boris Vian, Pontault Combault

Duchamp Zoé - Naouri Katia

Comme à la maison !

05

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a

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coupe 1chevrons

coupe 2

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triple arbalétrier

pannes

triple poteaux ossature bois

double poutres ossature bois

dalle de plancher

solives

isolation

Le hall d’accueil

Illustration ENTRÉE, espace lien entre l’ancien bâtiment et l’extension

Détail constructifsdétails structure bois chêne,

toit et planchers

Photos, Maquetteéchelle 1/50e

30

boulevard Davout

rue Renaldo Hahn

06VILLAGE URBAINVivre ensembleCréer un chez-soiProjet d’école Licence 2 proposé par François MAGENDIEboulevard Davout, 75020 Paris

février 2011 - juin 2011

La ville est trop grande pour s’y identifier et le logement trop petit pour s’y projeter. L’immeuble peut il être cette échelle intermédiaire du “chez soi” ?

PROGRAMME :10 logements collectifs de typologies différentes + 1 maison de ville.

Coursive extérieure : on passe devant chez les uns et autres comme dans la rue d’un village, on partage son jardin et on gère des espaces collectifs. On vit ensemble et on le sait.

1

1

1

1

1

31

4

4

5

5

8

75

6

2

5

3

4

4

51 HABITANTSPARCELLE : 12m x 36m : 432 m²SURFACE BÂTIE : 339 m² ESPACE JARDIN : 136 m²

LOGEMENTS COLLECTIFS :SURFACE HABITABLE : 1270 m²SURFACE PROGRAMME COLLECTIF : 78 m²MAISON DE VILLE :SURFACE HABITABLE : 82,5 m²

1. programme libre pour tous les habitants de l’immeuble (travail, atelier d’art, projection, rendez-vous, laverie ...)2. jardin partagé pour tous les habitants de l’ilôt3. plante grimpante du jardin4. coursives extérieures abritées5. structure porteuse bois-acier6. maison de ville en R+27. baie vitrée sur l’espace additionnel8. porte mobile sur les pièces

32

185.000

4.50

185.0006.00

1.80

1.50

12 m

36 m

4.20

12,5 m² 12,5 m²

12,5 m²

6 m²

30 m² 10 m² 15 m²

30 m² 11 m²

3,6 m²

9,5 m² 13 m² 19 m² 6 m² 12,5 m² 17,5 m²

10,5 m² 11 m²

4 m²

4 m²

Au sein de l’appartement, l’agencement fonctionne en système modulaire. Choisir pour s’approprier.

Un espace en plus de 1,80 m de largeur permet :- soit des pièces plus grandes une fois les portes des pièces ouvertes- soit une pièce en plus06Vivre ensemble

Créer un chez-soi

Trame poteaux poutres de 6m x 6 mTROIS typologies d’appartement : SALON + 1 à 3 CHAMBRES + ESPACE 1,80 m 1. T4 ½ : 106 m² , 4 personnes 2. T2 ½ : 36,5 m² , 1 à 2 personnes 3. T3 ½ : 106 m² , 4 personnes

1 2 3

2001

33

1 2 3

R+3

R+2

R+1

RDC

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06Vivre ensembleCréer un chez-soi

HIVERa.baie vitrée capte la chaleur.b.porte fermée pour garder la chaleur dans la pièce en hiver.c.second jour passe par la fenêtre dans la porte.

d.façade nord fermée et isolée (17cm).

ÉTÉe.baie vitrée et porte de la pièce ouverte.f.plante grimpante filtrant la chaleur.

35Un espace en plus de 1,80 m de largeur permet :- soit des pièces plus grandes une fois les portes

des pièces ouvertes- soit une pièce en plus

abcd d e e f

36

SDB

07ANDERS HJEMMaison individuelleStage, Lendager Arkitekter2500 Valby, Danemark

octobre 2012 - novembre 2012

Réhabilitation d’une maison traditionnelle Danoise des années 1920 (5). Maison typique de plan carré (7.8m x 7.8m) nivelée sur 3 étages (niveau 1 semi enterré).Programme : agrandir la surface habitable pour la ven-ue d’un nouveau né.

La maison est située dans un quartier pavillonnaire en banlieue de Copenhague où la majorité des maisons sont du même type. Ainsi, le quartier garde une esthé-tique commune (6).

15

3700

3300

7800

N

7800

7800

N

35002500400

to not denature the esthetical context

SDB

2

1

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8

9

3

4

37

Afin de ne pas dénaturer l’esprit, je prends le partie de travailler l’extension en niveau 1 semi enterré.

La première partie du projet consiste donc à décais-ser les façade sud et ouest jusqu’au niveau sol du demi niveau. Soit 1,20m de décaissement pour apporter d’avantage de lumière (7). Plusieurs décaissement sont définis (8).Les plans du Niveau 1 et 2 restent intacts. Seul le niveau 0 est retravaillé (9).

1. coupe orgine sur les circulations verticales

2. plan origine niveau 0 semi entérré. Caves,

SDB, Atelier

3. plan origine niveau 1. Salon, cuisine, SàM

4. plan origine niveau 2. Chambres

10. coupe nord/sud après extension

11. plan après extension

Greenhouse

Atelier

Laundry

Room

14000

12300

7800

4030

10 11

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08 CONCEPTION ET RÉALISATION D’UN MEUBLE BOIS OSBIulia Stana Botorog (étudiante en architecture à l’université d’architecture de Timisoara, Roumanie) et Zoé Duchamp.Rénovation de la pièce d’entrée / cuisine de l’agence Lendager Arkitekter dans la banlieue de Copenhague au Danemark. Le concept souhaite donner une identité à l’espace en habillant les éléments de cuisine avec du bois OSB, materiaux de prédilexion de l’agence Lendager.

KØKKENHYLDEMeuble de CuisineStage, Lendager Arkitekter2500 Valby, Danemark

octobre 2012 - novembre 2012

la Cuisine, chantier terminé

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ÉLEMT 1x3

ÉLEMT 2x5

ÉLEMT 3x1

ÉLEMT 4x1

ÉLEMT 5x1

ÉLEMT 9x1

ÉLEMT 10x2

DOOR 1X 1

DOOR 2X 1

DOOR 3X 1

PIÈCE 1x3

PIÈCE 2x1

PIÈCE 3x1

PIÈCE 4x2

PIÈCE 12x1

PIÈCE 5x1

PIÈCE 7x1

PIÈCE 6x1

PIÈCE 8x1

PIÈCE 9x1

PIÈC

E 10

, x1

PIÈC

E 11

, x1

chantier en cours

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09

Aux confins du rural isolé, au sein d’une région de moyenne montagne, les Cévennes Ardéchoises, à 25 minutes de voiture du premier commerce, se situe le village de Beaumont, 200 habitants. Sur ce territoire, des élus éclairés ont engagé depuis une quinzaine d’années, une politique de développement pour : enrayer le déclin de l’agriculture, le vieillissement de la population et l’achat en résidence secondaire de plus de la moitié des logements de la commune. Reprenant la maîtrise du foncier et par la même le contrôle du territoire dans un projet politique fort, ces élus tentent par leur action, de redessiner le territoire rural autour d’un nouveau paradigme. Une reflexion s’engage en 2006, basée sur des valeurs humanistes, dans le but de créer des logements publics qui pourraient accueillir des populations jeunes. Six ans plus tard, grâce à l’implication d’un bon nombre d’acteurs : professionnels de la culture, médiateurs, architectes, habitants... Trois maisons, « les Bogues du Blat », sortent de terre. Plus qu’une construction, cette aventure crée un modèle d’inovation structurant pour ces zones rurales aujourd’hui dévitalisées.

MÉMOIRE DE MASTERDUCHAMP, Zoé, 2014. Paris, ENSAPM, 111 p.

Professeurs encadrants:Jac FOL et Yann Rocher

Logement social en territoire rural isolé un contexte signulier pour penser l’innovation

photo Alexa Brunet, 2014

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10Le site des Beaux Arts de Paris regroupe deux écoles, l’École Nationale Supérieure des Beaux Arts et l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Malaquais. Malgré leurs proximités géographique, les deux groupes ne partagent aucun projet, ni temps de création.

Durant un semestre, nous (10 étudiants architectes) réfléchirons aux synérgies possibles entre les deux institutions. Avec l’aide d’Andreas Ruby, éditeur de livre d’architecture, et de l’agence Something Fantastic, 3 jeunes architectes Berlinois, le livre ACTION/S D’ÉCOLE/S voit le jour. Soit une série de projets pour une nouvelle école pensée collectivement. Une nouvelle école où l’ENSAPM et l’ENSBA auraient un avenir commun : l’ENSBAM.

ACTION/S D’ÉCOLE/SProjet d’école, Licence 3proposé par Andréas RUBY(Ruby Press Berlin)

février 2011 - juin 2011

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11LIVABLE BEAUTYWorkshop, étude au sein d’une vallée chinoise, en collaboration avec les étudi-ants de la Hangzhou Academy of Arts encadré par les professeurs Wang Shu et Zhuo Min.

avril 2014

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12BELLASTOCKWorkshop, “La ville en un souffle”Chaque équipe créée son habitat de toile PVC et le relie à son voisin. L’aération en bout de chaine gonfle les espace un à un pour créer in fine une ville collaborative.

avril 2011

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Paris, septembre 2015