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BR ET AG NE Bretagne : DÉMOGRAPHIE ET Bretagne : DÉMOGRAPHIE ET EMPLOI EMPLOI Présentation FSU Présentation FSU Bruz – 21 décembre 2006 Bruz – 21 décembre 2006 Bernard Le Calvez

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Attractivité et compétitivité des territoires FSU – 21 décembre 2006
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et des Etudes Economiques
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Les missions de l'Insee
PRODUIRE des chiffres sur
COORDONNER
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Les principaux travaux réalisés
Les recensements et enquêtes
La gestion de grands répertoires
(SIRENE, personnes physiques…)
Les comptes nationaux et les synthèses économiques
L'action régionale
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et de données mises en ligne sur le site
Le site internet : www.insee.fr
www.insee.fr/bretagne
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UN PEU D’HISTOIRE
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Évolution de la population
Comparaison Bretagne /France
La Bretagne se situe au 15ème rang des 22 régions
La croissance démo bretonne coïncide avec la française jusqu’à la première guerre, puis décroche rapidement. Ecart croissant.
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Décomposition de la croissance
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en France de 3 enfants par femme à 1,75 actuellement.
En Bretagne de 4 enfants à 1,75
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Naissances et décès
En période de guerre : hausse des décès et chute des naissances
Le baby-boom reste limité aux 30 glorieuses.
En un siècle, le taux de natalité de la Bretagne a chuté de 28 naissances pour 1000 habitants à 12 p.1000.
Dans le même temps, le taux de mortalité est passé de 21 à 10 pour 1000.
Le taux d’accroissement naturel est donc passé de 7 à 1,4 pour 1000.
En France la chute est moins forte (fécondité identique, mais mortalité plus faible et population bretonne + âgée) .
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Solde migratoire breton
Le déficit migratoire cumulé a atteint 380 000 personnes au XIXème siècle. Quoique irrégulier, le mouvement d’exode s’est renforcé durant le XIXème siècle et jusqu’à la guerre de 39-45, après quoi il s’est inversé.
Le solde migratoire de la région remonte rapidement la pente, après avoir passé la ligne du négatif au positif au milieu des années 1960, il continue actuellement sa consolidation. Le solde migratoire cumulé sur le XXème siècle est cependant déficitaire de 580 000 personnes.
Depuis que les moyens de transport se sont diversifiés et démocratisés, le phénomène migratoire joue un rôle fondamental de régulation des pressions démographiques.
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D’abord observer le taux d’accroissement naturel (courbe bleue)
puis le solde migratoire (déficitaire pendant environ 65 ans/100) (en rouge)
enfin l’accroissement total (en vert)
4 périodes de croissance démographiques
de 1900 à 1914 : la population continue d’augmenter lentement
de 1915 à 1945 : la population diminue presque continuellement.
de 1946 à 1975 : la croissance démographique augmente, d’abord sous l’impulsion du baby-boom, puis par l’effet des mouvements migratoires.
de 1976 à nos jours : la chute de la natalité ralentit la progression démographique
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1901
1999
Graphique suffisamment explicite
On peut parler de métamorphose dans la répartition de la population.
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Taux annuel moyen
de variation entre
1901 et 1999
Passons à l ’analyse spatiale
Si on classe les 96 départements métropolitains selon leur taux de croissance annuel, quatre classes d’évolution apparaissent :
- 28 départements - dont les Côtes-d’Armor - où la population a diminué.(bleu marine)
- 41 départements de très faible croissance (moins de 0,4 % par an). Le Finistère, le Morbihan et l’Ille-et-Vilaine sont dans ce cas. (cyan)
- 15 départements à croissance soutenue (entre 0,4 et 0,8 % par an). (jaune)
- 12 départements en croissance vive (entre 0,8 et 2,1 % par an). (rouge)
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L'évolution des 4 départements
L'observation de séries longues permet de dire que les trajectoires ne sont pas stables.
On assiste au contraire à des retournements de situation et des bouleversements dans la hiérarchie départementale.
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Évolution dans quelques villes
La ville de Rennes comptait moins de 38 000 habitants en 1841, bien loin derrière Brest. Sa croissance a été toujours vive, peu ralentie durant les deux guerres mondiales. Sa situation centrale, entre Nantes et St Malo, favorisait sans doute l'implantation de nombreux établissements tertiaires. Dans les années 50, l'arrivée de Citroën et le développement du complexe universitaire lui ont donné deux chances historiques. Un développement supplémentaire a suivi par effet d'entraînement.
Avec 62 000 habitants en 1841, la ville de Brest dominait nettement la péninsule armoricaine. Le rôle économique du port était majeur. Son activité militaire l'a cependant fragilisé, dans la mesure où une bonne partie de la population dépendait du déploiement des forces armées. Les guerres ont occasionné de sévères bouleversements dans la taille et la composition de la population brestoise.
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2 200 000 2 400 000 3 000 0002 800 000
2 600 0002 000 000
1 800 000 1800 1850 1900 1950 2000
BretagneFrance100
900 000 600 000 0 -300 000
-600 000
300 000
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10
20
0 0 200 000