Tut est d'abord question de gomtrie. De files parallles au
bard'un 140 des plus achalands, degradins quadrillsdemonde
etd'intersections en coulisses entreun Doriandpeu convaincant e
tuneKeren ADn trsattendue. Les paulettesbouffantes - ettrop
gourmandes - qu'elle arbore cesoirsu r la scne du Thtrelui font
uneeamire quilattale. COmme l'armuremaladroite d'une
jeunefemmedontonconnat pourtant la force de caractre.Ellea aussi
troqula coupeau carr desonrcent"101" pourune longue chevelure en
,mode saut du lit. a tombebien, car on entame ce concert
par"Strange Weather" et son "wake upslowly..... circonstanciel.
Doucementl 'int ro s 'immisce , les cordes s 'ins inuent, les volts
se propagent et la voixde Keren rsonne dans la fume bleute. Puis,
labasse inaugure"It'sa lie" etnotre hte de pousser un "Bonsoir
-Bruxelles - a va - a fait longtemps" enquatre temps et quatre
inspirations,d'un ton vasif et mutin. Pas trs bavarde, elle clame
pourtant "don't saynothiny, 1speak for IWO" (cf. "It Ain't
noCrime") surun air rock qui se prolongeavec "Sugar Marna" et offre
ses complices d'enfin se dgourdir les phalanges. Puis le concert
perd en intensit,ralentit surune chansoncritedans untour bus et
stagne sur "Lay your HeadDawn" bard de tralalas. Dans la
fou-le,"Chelsea "Burns" s'bruiteen acoustique et sonne trs
country-blues,harmonica faisant foi. A ce stade, noussonunes dus,
mais Keren ADn va reprendre ses droits. Dcide nousremuer,la
chanteuse crooneun chouiaetse dandine un peu, sans son flinguemais
avec "Blood on My Hands". Lesmots de Basbung - pas les meilleurs
s'invitent au micro sur "Je fume pouroublier que tu bois"... Et
finalement:, lasalle selvesous l'lan des plus tmraires pour
accueillir des paumes e tdutalon le dernier single en date de
ladame,
