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STAGE DE PREMIERE PRATIQUE Cycle Licence Musée du Louvre 2 Février 6 Mars 2009 Edouard Proust 06066 ENSAT

Rapport de Stage - 1ère pratique

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Mémoire rédigé à la suite du stage de 1ère pratique effectué au musée du Louvre en Février-Mars 2009 (durée: 7 semaines)

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STAGE DE PREMIERE PRATIQUE Cycle Licence

Musée du Louvre 2 Février – 6 Mars 2009

Edouard Proust 06066 ENSAT

- RAPPORT DE STAGE -

Après trois années passées à l’Ensat de Toulouse, l’enseignement nous a fournit des

outils pour une meilleure compréhension et une conception plus réfléchie de l’espace architectural. L’acquisition de références et de connaissances annexes dans de nombreux domaines, allant du technique au juridique, sont autant de bases indispensables à la réalisation d’un projet. Il semble par ailleurs que cet enseignement et les connaissances acquises par curiosité personnelle et à travers les stages précédents, permettent, au stade de fin de cycle licence, de disposer d’un avis personnel sur la qualité d’une architecture donnée. Cette base théorique permet dorénavant non seulement un apprentissage autonome, mais est également complétée par des connaissances pratiques réalisées durant des stages. Ceux effectués précédemment constituaient une approche sommaire du métier. Il s’agit, concernant ce stage, de se confronter de façon pratique au métier. Une 1ère insertion professionnelle en somme. L’enseignement, dans sa caractéristique première et comme dit précédemment, reste théorique. Les cours de projets dispensés en atelier tendent à amoindrir cet aspect, mais il m’est apparu au cours de ce semestre des questionnements quand aux réelles tenants du métier. Questions justifiées par la confirmation de mes projets professionnels. Suite aux précédents stages, le métier d’architecte semble revêtir de nombreux aspects absents de l’enseignement. Une première insertion professionnelle permettra ainsi de mieux se confronter ces composantes du métier. Bien qu’avant le stage celles-ci reste floues, il sera l’occasion d’une prise de conscience de plusieurs caractéristiques du métier et de leur mise en pratique. Au-delà de la conception et de l’étape d’esquisse, quelles sont les connaissances juridiques, techniques, relationnelles, de gestion,… dont il faut disposer pour pratiquer le métier ? Comment se passe la réalisation du bâtiment ? (phase chantier, visites et réunions, interlocuteurs,...) ? Ces questionnements se traduisent par une certaine peur d’un manque d’outils à la sortie de l’enseignement, bien que celui-ci soit normalement prévu pour assurer une insertion professionnelle réussie à la sortie d’école. Ces réflexions liées à la pratique ne se posaient pas il y a de cela un an, ma conception personnelle du métier étant plus floue.

Ce stage d’un mois au Louvre sera donc l’occasion d’éclairer ces zones d’ombre et de mieux cerner les tenants de ce métier, polyvalent et touchant à de nombreux domaines intellectuels. Il est intéressant de préciser que le Louvre est une structure muséale très

complexe, dont le fonctionnement est basé sur un organigramme divisé en de nombreux départements et délégations. Les tâches sont de ce fait très divisées mais bien distinctes et les intervenants extérieurs sont nombreux, notamment dans le cadre de projets importants. Or, la période de réalisation de mon stage a coïncidée avec la mise en place de projets architecturaux uniques, tels que la réalisation d’un nouvel espace d’exposition dédié aux arts de l’islam ou encore la création d’une extension du musée à Lens, sous l’appellation Louvre…

La réalisation de mon stage s’est déroulée en deux temps. Tout d’abord, mon insertion s’est fait à la Direction de la Maîtrise d’Ouvrage (DMO) puis la Direction Architecture, Muséographie, Technique (DAMT) m’a accueilli dans une équipe de muséographes durant les trois dernières semaines.

La DMO coordonne et vérifie la mise en œuvre des projets architecturaux qui sont réalisés au Louvre. Le musée constitue en effet une sorte de client « instruit » puisque structure complexe et historique veillant à accorder les projets à venir avec l’existant et de nombreuses autres contraintes (sécurité, œuvres,…), spécifiques au Louvre. Une vingtaine de personnes y travaillent pour plusieurs projets et dans de nombreux domaines (budget, chargée de collection, architecte,…). J’ai réalisé cette première partie de mon stage sous la direction de M. Laurent Ricard, chargé de projet Islam et Mme Delphine Roelens, architecte et chargée de projet architectural 3 antiques.

Cette 1ère phase s’est avant tout traduite par la prise de connaissance détaillée des projets incontournables qui seront réalisés prochainement au Louvre, notamment et comme cité précédemment, le projet Islam des architectes M. Bellini et R. Ricciotti, qui abritera les 3000 m² d’exposition pour les œuvres d’arts d’islam actuellement gardées en réserve. J’ai pu m’entretenir à ce sujet avec M. Ricard, suivi plusieurs réunions de chantier, visité le chantier, observé le contrôle d’huissier, visualisé les plans d’exécution,…

Autre projet important dans le monde architectural et que j’ai pu suivre durant ce mois à Paris, la réalisation du Louvre Lens par l’agence japonaise SANAA, est géré par de nombreuses personnes du musée et est dirigé par une délégation entière. J’ai pu, dans ce cadre, assister à des réunions rassemblant de nombreux interlocuteurs, réalisé des entretiens avec M. Jean-Raoul Enfru, concernant la et la sécurité et la sureté du bâtiment.

La prise de connaissance d’autres projets a également fait partie de mon planning , tels que le projet Pyramide (projet qui vise à revoir l’accès et l’organisation générale du Grand Louvre de Pei, sur la base des nouveaux enjeux liés à la hausse fulgurantes de la fréquentation suite aux grands travaux des années 80 et au sujet duquel un entretient m’a été accordé avec M. Christophe Vachet de la DMO, me permettant ainsi de prendre toute la mesure des contraintes liées à ce projet dont la réalisation durera près de 15 années), la réalisation de deux bases vie pour le personnel chargé de la surveillance (confort du personnel) ainsi que le projet d’exposition permanente du Mobilier du XVIIIe siècle dans les salles fermées au public depuis près de 4 ans (celle-ci sera réalisée par l’architecte Jean Garcia). Dans tous ces cas, à travers la lecture de programmes et autres documents juridiques, la participations à de nombreuses réunions et entretiens, la visite des salles avec l’architecte dans le cadre de du projet Mobilier XVIIIe, la prise de relevé, et le contacte avec le commissaires

d’exposition (il s’agit là d’une liste non exhaustive de mes activités à la DMO, voir annexe Planning du stage pour plus de détail), m’ont permis de mieux appréhender les différentes missions de l’architecte, de me rendre compte des compétences des différents interlocuteurs requises pour la mise en place de tels projets (plus ou moins important mais très diversifiés), le cheminement et les contraintes à prendre en compte lors de la réalisation d’une œuvre architecturale dans une telle structure.

A la moitié de mon stage, il m’a été offert une approche plus pratique d’une autre facette du métier d’architecte au sein d’un musée. En effet, la DAMT m’a acceptée dans une équipe de 4 architectes muséographes, Camille Excoffon, Jean-Julien Simonot, Victoria Gertenbach et Françoise Gauchet, chargés de mettre en place les expositions temporaires dans les 3 espaces qui leurs sont dédiés. Les salles ne sont pas touchées mais les muséographes mettent en place les cimaises, mobiliers, veillent à l’éclairage pour mettre en valeur les œuvres, leur hiérarchisation et chronologie thématique sous le contrôle de commissaires d’exposition… Il y a là, des contraintes liées aux œuvres, à leur histoire et signification, liée à l’espace d’exposition qui n’est pas modulable ou encore liée au temps, au coût et à l’enchaînement avec les expositions précédentes et suivantes, puisque ces expositions et leur conception se déroulent sur la base d’un planning très serré (2 à 3 mois en moyenne par exposition). La phase conception des expositions est accélérée et menée à l’intérieur même du Louvre (contrairement à l’exposition pour le Mobilier XVIIIe qui elle est permanente et s’échelonne, de ce fait, sur des études et conception de longue durée).

Mon insertion dans cette équipe s’est bien déroulée et des missions m’ont rapidement été confiées, d’où une approche plus pratique de cette partie du métier. J’ai tout d’abord suivi une mise à niveau AutoCad puisque l’ensemble du musée utilise cet outil pour la modélisation et la communication avec les autres corps de métier qui utilisent actuellement pour la plupart (plus de 95% dans le secteur du bâtiment) ce logiciel (qui n’est pourtant pas enseigné en cours d’infographie à l’ensat...). J’ai ainsi pu réaliser un dossier iconographique des œuvres de l’exposition sur l’art d’Arabie Saoudite, première étape pour la conception puisque permettant de classer les œuvres et de les dimensionner en vue de leur mise en place sur le plan. Ensuite, la réalisation de l’esquisse du mobilier pour l’exposition Borghèse (qui aura lieu en Juin) m’a été confiée ; celle-ci comprend deux meubles exposants des manuscrits et livrets explicatifs sur la collection de sculptures Borghèse du musée. Pour finir, mon travail s’est achevé par une étude pour le déplacement de la victoire de Samothrace en vue de sa réfection puisque très sale et mal restaurée dans les années 80 (il s’agissait d’étudier les emplacement les mieux adaptés pour permettre à la victoire d’être restaurée tout en étant visible du public car œuvre majeur du musée). Enfin, des réunions pour m’ont permis de mieux comprendre les contraintes des projets et les interlocuteurs liés (commissaire d’exposition, conducteur de travaux d’exposition, planificateurs,…)

Sur la base de toutes ces observations et travaux, ce stage m’a permis d’éclairer certains aspects du métier d’architecte qui m’étaient alors inconnus et de donner un sens plus pratique aux missions de l’architecte, chose qui semble me faire défaut actuellement.

L’aspect pratique du métier se traduit par la prise en compte dans un premier temps de

contrainte dans le projet même. En effet, dans le cas du Louvre, certains obstacles sont à prendre en compte, non seulement comme lieu historique, d’où des contraintes d’ordre patrimoniales dans le programme (élément architectural) mais également lors de la phase travaux (ravalements de façade à effectuer, protection de celles-ci en cas de coulure de béton lors du Jet-crouting, ou choc avec les engins,…), de sécurité des œuvres et du public, puisque bâtiment public ( mise en place de plans directeurs incendies intermédiaires pendant les travaux puisque certaines salles sont coupées au public, donc mise en place de sorties de secours temporaires, déplacement d’œuvres sensibles ou de grande valeur ; cela se fait sous la direction de la DSS (Délégation à la Sécurité et à la Sureté) de M. Enfru) ; des contrainte d’un autre ordre, liées cette fois à la conception des expositions et qui ne sont envisageables si l’on n’a pas été soumis à celles-ci et qui peuvent avoir des conséquences géopolitiques même, puisque les différents états prêtent les œuvres et ces expositions permettent de maintenir les accords politiques et internationaux.

Pour ces raisons, les intervenants et les connaissances diverses sont requises, à l’intérieur et à l’extérieur du Louvre. Ce qui amène souvent à des réunions en grand comité (20 personnes ou plus) et beaucoup d’animation entre les différents interlocuteurs. L’aspect organisationnel est donc indispensable, tâche dédiée aux chargés et chefs de projets ainsi qu’aux maîtres d’œuvres concernés et leurs éventuels délégués dont c’est la missions, à savoir diriger les réunions et l’avancement des travaux, relayer et vérifier les informations…

Le cheminement et la mise en place d’un projet d’un point de vue juridique m’a été

montré à travers la lecture de dossier et des entretiens à la DFJ (Direction Financière et Juridique), ainsi que la phase réalisation, à travers le suivi de chantier Islam, des entretiens et la prise de connaissance des intervenants. Cette première pratique du métier a d’ailleurs été l’occasion de mieux concevoir les rapports sociaux dans le cadre professionnel, qui ne sont pas toujours évidents. En effet, lorsque les missions ne sont pas remplies par certains tiers, le chargé de projet est obligé de rappeler à l’ordre puisque tous le projet est mis en suspend, les autres acteurs en étant dépendants. Bien que mon insertion dans les équipes se soit bien déroulée, j’ai eu l’occasion de remarquer que le stress se transmet facilement dans le même bureau…

J’ai également pu remarquer des problèmes lors du relais des informations et de pertes de données importantes liées justement au nombre trop important de personnes travaillant sur le même projet ou encore les délais extrêmement longs de la mise en exécution de ces derniers. Cela est dû également à des problèmes organisationnels entre les directions et délégations qui fonctionnent séparément, bien qu’en constante communication. Parfois, tel que dans le cadre du Louvre Lens, le projet en phase de DCE montre des erreurs de conception, liés à l’esquisse ! Il faut alors faire les transformations nécessaires et les délais pour un tel projet en deviennent multipliés ainsi que les coûts qui en sortent démesurés. Une erreur peut avoir des conséquences exponentielles très importantes sur des opérations de cette envergure. Cela est sans doute lié au climat empreint d’une certaine tension que j’ai pu constater plusieurs fois durant le stage.

Enfin, (et c’était notamment la première intention de ce stage) j’ai pu être confronté aux différentes missions hors agence mais également pu les confronter au métier en agence. En effet, en plus des observations précédemment réalisées à la DMO et à la DMT, des entretiens m’ont été accordés à l’extérieur de la structure Louvre, c'est-à-dire, à l’agence France Muséum qui réalise le lien entre l’agence Jean Nouvel et le Louvre dans le cadre du projet du Louvre Abu Dhabi ; l’agence NC chargée du design et de l’organisation intérieure de ce même projet, et enfin l’agence indépendante Garcin & Associés spécialisé dans l’acoustique. Des conseils pratiques m’ont une fois encore été prodigués et la visite de ces agence m’ont redonnés une grande conviction en mes projets futurs, à savoir de devenir architecte.

Les projets qui m’ont été montrés, et les travaux que j’ai pu effectuer dans un cadre peut commun m’ont redonné une envie (sans doute liée à cet aspect pratique, qui semble me plaire, bien que manquant à l’enseignement souvent déconnecté des réalités) qui avait diminué au fil des ans.

Le métier d’architecte, qui plus est, offre de nombreuses orientations possibles et des missions très diversifiées, plus que dans la plupart des professions. Cela met également en lumière l’importance de la spécialisation dans le métier et l’acquisition de connaissances spécifiques : les différents architectes qui m’ont exposé leur métier durant ce stage affichent des compétences totalement différentes qui sont acquises lors de l’insertion dans le milieu professionnel. L’école ne constitue sans doute qu’une étape dans le métier, une base de connaissance commune à la conception, le métier en lui-même étant un enseignement sur le long terme. La redécouverte perpétuelle de la profession, la diversité des missions, voilà une chose qui me laisse une grande liberté dans mon orientation future. La rédaction du rapport de licence m’aidera à mieux comprendre mes ententes et les aspects du métier auxquels je suis le plus sensible.

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- PLANNING DU STAGE -

Ce planning bien que non demandé dans le rapport est joint au rapport pour permettre une meilleure compréhension du déroulement du stage. Le Louvre constitue une structure muséale des plus complexes, mes observations et travaux ont été très varié ; plusieurs personnes m’ont également suivi.

1ère semaine DMO (Maîtrise d’Ouvrage)

Lundi Présentation à la DMO

Mardi Travail avec Krishnaraj Danaradjou sur Mobilier 18ème – Visite des salles fermées avec J. Garcia, architecte du projet

Mercredi Réunion de chantier projet Islam – Visite rapide et autonome du chantier – Etude de l’organigramme - Fabrication du pass d’accès aux salles d’exposition.

Jeudi Analyse des plans du projet Islam – Architectes Rudy Ricciotti et Mario Bellini Travail sur le Mobilier 18ème : modélisation à ArchiCAD > problèmes logistiques d’export…

Vendredi Visite du musée > compréhension du plan et organisation générale du musée (salles, départements, œuvres) Travail sur Mobilier 18ème : modélisation ArchiCad – gabarit des meuble et proposition d’emplacement sur le plan des salles.

2ème semaine

Lundi Problèmes de compatibilité AutoCad / ArchiCad. Lecture de plan, dialogue avec les personnes du bureau (Eugénia, Stéphane). Entretient avec Delphine Roelens, architecte sur son métier et les missions d’un chargé de projet.

Mardi Rien. Visite du musée

Mercredi Auto-formation à AutoCAD à partir de tutoriels. Entretient avec Laurent Ricard, Chef de projet Islam. RDV avec Jean-Raoul Enfru, directeur de la DSS (sécurité sureté). Entretient sur les différents grands projets en cours de réalisation au Louvre (remise d’un dossier)

Jeudi Réunion chantier base-vie PCZ Napoléon (centre de surveillance caméra) et visite sur place. Entretient avec Christophe Vachet (chef de projet Pyramide) sur le projet Pyramide.

Vendredi Entretient avec Robin Kopp, Juriste-rédacteur de marchés public à la DFJ, sur le cheminement d’un projet, les marchés publics et les contraintes juridiques liées aux chantiers.

3ème semaine

Lundi Formation à AutoCAD avec Camille Excoffon à la DAMT (Direction Architecture Muséographie Technique) > Fonctions 2D – Entrainement sur un plan d’exposition temporaire

Mardi Réunion pour le Louvre Lens (dirigée par Katia Lamy, chargée de projet Louvre Lens Visite de l’agence Garcin & Associés et déjeuner. Visite du chantier Islam avec l’huissier (constat des dégats) et entretient avec Laurent Ricard (explications sur le déroulement du chantier et visite de la cour Visconti (lieu du projet) et des sous-sols techniques, et du projet 3 Antiques.

Mercredi Une petite pause.

Jeudi 2ème formation à AutoCAD à la DAMT– Fonctions 3D et entretient avec Camille Excoffon, muséographe, sur son métier et les missions liées et présentation des projets récents. Réunion sur la sécurité du Louvre Lens – Révision du plan caméras et aperçu quantitatif.

Vendredi Visite de l’agence N.C. pour la muséographie et le design du projet Nouvel, Louvre Abu Dhabi. Entretient avec Nathalie Crinière, Architecte DPLG.

4ème semaine : Réorientation à la DAMT (muséographie)

Lundi Présentation Début de réalisation du dossier iconographique des œuvres d’Arabie Saoudite en vue de l’exposition temporaire.

Mardi - Mercredi Suite du travail

Jeudi Réunion sur l’exposition « Toutes les Russies » (avec le commissaire d’exposition, architectes, secrétaire, responsable des travaux,…) – Problèmes de temps entre les expositions soulevés.

Vendredi Modélisation du mobilier pour l’exposition Borghèse (Sketchup)

5ème semaine :

Lundi Transformation du mobilier Borghèse sur la base du document 3D, insertion photographique (Photoshop)

Mardi Finalisation et impression. Visite des salles pour le déplacement et la restauration de la victoire de Samothrace. Croquis de et étude sur place (photos)

Mercredi - Jeudi Réalisation des propositions pour le déplacement de la Samothrace. Choix d’une proposition avec Victoria Gertenbach, muséographe en charge du projet.

Vendredi Rédaction du rapport de stage. Visite de l’agence France Museum, en charge du projet Louvre Abu Dhabi en lien avec l’agence J. Nouvel. Entretient avec M. Philippe Lê, architecte.