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CONFERENCES - KONGRESSE - CONGR~S 369 (of which we can only make the most superficial and often dangerous use) - all these causes of our present illsmust be strenuously combatted. Man is not merely a creature of his environment, and it is by the constant encouragement of the functioning of free groups that we shall best release him from it. And these groups must be educated to assume responsibilityand to develop the right kind of self-con- sciousness and so form the right kind of moral values. Finally we must not despair. There is room for hope. It was argued as far back as the dawn of the industrial revolution that our existence was growing increasingly "fragmentary", that man would lose his totality of experience. The youth of today have again and again given proof that they can take things in their stride or take even for granted much that was for us, the older generation, difficult.V~nat we must do is to give youth its opportunity, and that we can best do by not trying to form an 61ire but by allowing the child to mature naturally and therefore fully.Thus, education's prime task today is that of putting human relationships in order. It was in such a mood of non-complacent optimism that the conference reluctantly came to a close. There were many loose ends, obviously, still to be tied up. All the hard work and hard thinking that was put into it had done littlemore than reveal much more clearly and accurately the vastness and complexity of the problems with which modern Western Europe is faced. Perhaps that was all that could wisely be achieved by a conference of such a nature, except, of course, to make it quite patent to all the participants that such conferences at such a level must be allowed to continue. V~RNON M~kLLINSON, Unive~'sit~ of R e ~ n ~ . Rg]lexions sur le Congrks International de Filmologie organisd par l'Institut de Pilmologie de l' Universitd de Paris du x 9 au 23 ]dvrier x955 Le Congr~s avait inscrit ~ son ordre du jour deux th~mes de d6bats: 1) /~tudes objectives des ej/ets du film; 2) Questions pos~es par la pratique ~ la recherche exp~ri- rnentale. Sept groupes d'~tudes ont abord6 ces questions, chacun sous un angle diff6rent, aVant de regrouper leurs observations en de vastes r6unions de synth~se. Un premier groupe anim6 par MM. COLLE (Universit6 de Louvain) GAT-IFRET (Collbge de France) LEBOVICI (Hopitaux de Paris) a 6tudi6 les problkmes psycho-physiologiques. Les problkmes psychologiques ont 6t6 6voqu6s au groupe II, dirig6 par M. PONZO (Univer- sit6 de Rome) et M. FRAISSE (Hautes ]~tudes) tandis que la sociologie du cindrna 6tait trait6e par le groupe III que pr6sidaient MM. FLAUD, Directeur du Centre National du Cin6ma, FRI]~DMANN, Directeur du Conservatoire National des Arts et M6tiers, KLINEBERG (Columbia University) et par le groupe V dirig6 par M. CALO de l'Universit6 de Florence et M. SOURIA0 de la Sorbonne. Le sixi~me groupe sous la conduite de MM. KNII~PING (Universit$ de Nim~gue) et FRAI~CAST~L (Hautes ]~tudes) s'est attaqu$ aux questions esthdtiques, Le groupe IV, anim6 par MM. LEFRANC, charg6 du service Cin6ma au Minist~re de l'l~ducation Nationale et BONNARDEL des Hautes ]~tudes, s'est consacr6 ~ l'dtude du ]ilm comme moyen de ]orrnation et d'in]ormation, cependant que le groupe VII conduit par Mine GRATIOX ALPItANDERY des Hautes l~tudes et M. DIEUZEIDE, charg6 du service T616vision au Ministate de l']~ducation Nationale, abordait l'6tude des probl$rnes compards du cindma et de la tdldvision, sous le double aspect du divertissement et de l'~ducation. 24

Réflexions sur le Congrès International de Filmologie organisé par l'Institut de Filmologie de l'Université de Paris du 19 au 23 Février 1955

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CONFERENCES - KONGRESSE - CONGR~S 369

(of which we can only make the most superficial and often dangerous use) - all these causes of our present ills must be strenuously combatted. Man is not merely a creature of his environment, and it is by the constant encouragement of the functioning of free groups that we shall best release him from it. And these groups must be educated to assume responsibility and to develop the right kind of self-con- sciousness and so form the right kind of moral values. Finally we must not despair. There is room for hope. It was argued as far back as the dawn of the industrial revolution that our existence was growing increasingly "fragmentary", that man would lose his totality of experience. The youth of today have again and again given proof that they can take things in their stride or take even for granted much that was for us, the older generation, difficult. V~nat we must do is to give youth its opportunity, and that we can best do by not trying to form an 61ire but by allowing the child to mature naturally and therefore fully. Thus, education's prime task today is that of putting human relationships in order.

It was in such a mood of non-complacent optimism that the conference reluctantly came to a close. There were many loose ends, obviously, still to be tied up. All the hard work and hard thinking that was put into it had done little more than reveal much more clearly and accurately the vastness and complexity of the problems with which modern Western Europe is faced. Perhaps that was all that could wisely be achieved by a conference of such a nature, except, of course, to make it quite patent to all the participants that such conferences at such a level must be allowed to continue.

V~RNON M~kLLINSON, Unive~'sit~ of Re~n~.

Rg]lexions sur le Congrks International de Filmologie organisd par l'Institut de Pilmologie de l' Universitd de Paris du x 9 au 23 ]dvrier x955

Le Congr~s avait inscrit ~ son ordre du jour deux th~mes de d6bats: 1) /~tudes objectives des ej/ets du film; 2) Questions pos~es par la pratique ~ la recherche exp~ri- rnentale.

Sept groupes d'~tudes ont abord6 ces questions, chacun sous un angle diff6rent, aVant de regrouper leurs observations en de vastes r6unions de synth~se. Un premier groupe anim6 par MM. COLLE (Universit6 de Louvain) GAT-IFRET (Collbge de France) LEBOVICI (Hopitaux de Paris) a 6tudi6 les problkmes psycho-physiologiques. Les problkmes psychologiques ont 6t6 6voqu6s au groupe II, dirig6 par M. PONZO (Univer- sit6 de Rome) et M. FRAISSE (Hautes ]~tudes) tandis que la sociologie du cindrna 6tait trait6e par le groupe I I I que pr6sidaient MM. FLAUD, Directeur du Centre National du Cin6ma, FRI]~DMANN, Directeur du Conservatoire National des Arts et M6tiers, KLINEBERG (Columbia University) et par le groupe V dirig6 par M. CALO de l 'Universit6 de Florence et M. SOURIA0 de la Sorbonne. Le sixi~me groupe sous la conduite de MM. KNII~PING (Universit$ de Nim~gue) et FRAI~CAST~L (Hautes ]~tudes) s'est attaqu$ aux questions esthdtiques, Le groupe IV, anim6 par MM. LEFRANC, charg6 du service Cin6ma au Minist~re de l'l~ducation Nationale et BONNARDEL des Hautes ]~tudes, s'est consacr6 ~ l'dtude du ]ilm comme moyen de ]orrnation et d'in]ormation, cependant que le groupe VII conduit par Mine GRATIOX ALPItANDERY des Hautes l~tudes et M. DIEUZEIDE, charg6 du service T616vision au Ministate de l']~ducation Nationale, abordait l '6tude des probl$rnes compards du cindma et de la tdldvision, sous le double aspect du divertissement et de l'~ducation.

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370 CONFERENCES - KONGRESSE - CONGRES

Le seul 6nonc6 du programme suffit g faire ressortir les vastes ambitions de ce congr~s. Au total, trente-six r6unions de groupe, trois symposia, quatre r6unions de

synth~se, trois s6ances pl6ni~res, groupant plus de cent communications 6manant de quarante pays diff6rents ont permis aux chercheurs et aux praticiens du film de d6nombrer la plupart des probl~mes pos6s par l'omnipr6sence du film dans le monde d'aujourd'hui.

Du c6t6 des chercheurs, un effort d61ib6r6 d'approfondissement a permis aux psychologues d'6voquer les probl~mes les plus r6cents en m6me temps qu'ils fai- saient le point sur les questions A l'6tude depuis plusieurs ann6es. Les probl~mes in6dits soulev6s par les nouveaux proc6d6s de projection (relief, 6clan large, st6r6ophonie, etc.) se sont taill6s la part du lion dans les discussions sur les effets psychophysiologiques de la projection cin6matographique. De m~me les techniques d'6tudes physiologiques (61ectro-enc6phalographie, r6flexes psycho-galvaniques, investigations h6matologiques, etc.) ont 6t6 soumises ~ un examen critique serr~. Les r~percussions affectives du film ont 6t6 6voqu6es dans ses effets A retardement comme dans ses effets imm6diats.

I1 faut noter que les progr~s r6alis6s en mati~re de recherche ont permis de d6noncer vigoureusement certains clich6s comme la "passivitY' du spectateur: ]es congressistes sont tomb6s d'accord pour signaler que le film cr6e chez le spectateur un 6tat de vigilance tr~s special, non pas seulement dans le sens d 'un courant unique du film au spectateur, mais dans une interaction complexe et permanente des deux univers.

Les ph6nom~nes de participation ont 6t6 inscrits au premier plan des pr6occu- pations des chercheurs : les proc~d6s d'expression cin6matographique, les conditions hypnog~nes de la projection, la disparition des barri~res sociales qui caract6risaient jadis les saUes de spectacle, ont 6t~ tour ~ tour 6voqu6es pour rendre compte du ph6nom~ne.

De leur c6t~ les sociologues ont longuement 6tudi6 les sMrdotypes cin6matogra- phiques, soit directement en approfondissant l 'utilisation du t l~me de l'6tranger dans l 'affabulation cin6matographique (probl~mes de race, de religion et de natio- nalit6) soit par le d6tour d'6tudes sur l 'adaptation de la litt6rature au cin6ma ou sur la reprdmentation de l'histoire darts le film (projection sur le pass6 des besoins affectifs du pr6sent).

Partout les points de rue originaux se sont multipli6s et des directions des recherches ouvertes pour les savants de toutes diciplines. Mais on ne peut dire que le congr~s air permis une confrontation g~n6rale de ces recherches et de ces r~sultats. I1 a fair apparattre au contraire combien la filmologie manque encore d 'un cadre g6n6ral. Chaque chercheur travaille dans le cadre de sa propre discipline sans pouvoir 6laborer un cadre g~n6ral des recherches filmologiques. Tant qu'il ne sera pas construit la filmologie ne saurait se constituer en discipline originale.

Telle a 6t6 du moins la conclusion des "chercheurs" dont les inqui6tudes ont 6t6 r6sum6es par le Pr. WALL darts une communication magistrale en s6ance pl6ni~re.

Restait l 'opinion de la deuxi~me cat6gorie de participants constitu6e par les "utilisateurs" du cin6ma. Ici, il semble que l 'orientation du Congr~s, sinon l 'avenir de la filmologie, a 6t6 infl6chie par une participation massive des 6ducateurs A ses travaux. La discussion au sein des r6unions de groupes consacr6s aux probl~mes du film (ou de la t~l~vision) et de l '6ducation semblent avoir connu un degr6 d'animation voire re&me de passion rarement atteint dans les r6unions des autres groupes.

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CONFERENCES - KONGRESSE - CONGR~S 37 1

Si les p~dagogues se sont trouv~s d'accord sur l ' importance de la contribution cin~matographique ~ la connaissance (le film ralentit et acc61~re la vie, morcelle le temps, brise l'espace, clarifie, concentre, analyse, montre et d~montre,) les avis ont diverg6 d~s qu'i l s'est agi de d~finir les modes d'utilisation du film dans l'~ducation.

_~ travers les probl~mes ~voqu~s et les positions affirm~es, l 'observateur pouvait ais~ment retrouver quelques oppositions p6dagogiques fondamentaies: les discussions sur la vaieur p6dagogique du film (comme ce fur d'ailleurs le cas pour la t~16vision) ont fourni l'occasion aux tenants des p6dagogies de l ' intui t ion et de la d~couverte de reprendre le dialogue ~ternel avec les partisans de l 'enseignement dogmatique.

De ces oppositions ont patrols jailli d'heureuses pr~cisions: alors que certains contestaient que l 'enfant puisse former des notions claires ~ partir de trains d'images fuyants et pr6naient une projection fixe qui cumul~t les avantages perceptifs d 'une plage 6clair~e avec les possibilit6s d'anaiyse syst6matique d'616ments statiques, d 'autres insistaient au contraire sur la n~cessit~ de r6introduire l '~motion et la motivation dans la classe par le biais du cin6ma. Et tandis que des irr6ductibles s 'obstinaient ~ refuser au film le pouvoir de transmettre les concepts, des discussions sur le probl~me du symbolisme cin6n~tographique perrnettaient d'entrevoir des utilisations du sch6ma anim6 susceptibles de d6velopper chez l 'enfant les m6canis- rues m~mes de l 'abstraction, en encourageant une navette constante de l 'a t tent ion du r6el ~ l 'abstrait et inversement.

Mais il ne s'agissait l~ que d'escarmouches. Le poids de la bataiUe a port6 sur la notion m~me de film d'enseigne~nt.

Au film d'enseignement, ~ son contenu plus intellectuel clue sensoriel, son d~dain de la rh~torique cin6matographique, son d6pouillement volontaire des images, certains se sont plu ~ opposer la vaieur humaine du docume~taim et sa force expressive, quitte ~ reconna~tre que le docume~taire est plus propre ~ soulever renthousiasme de l 'enfant qu'~ favoriser l 'acquisition des notions.

Les d~bats ont heureusement fair ressortir sur ce point le caract~re factice de l'opposition traditionelle entre film documentaire et film did~ctique. De m~me qu ' intui t ion sensible et intuition intellectuelle vont de pair, le film d'enseignement id~ai est app~ru ~ la majorit~ des congressistes comme le r~sultat d 'un dosage - encore mai d~termin~ - entre ~l~ments affectifs et ~l~ments intellectuels. Les praticiens ont voulu inviter les chercheurs ~ pr~ciser les r~gles de ce dosage, et d6terminer la p~rt ~ accorder aux ~l~ments a/fectifs susceptibles de fournir une base pour l '~laboration intellectueUe des notions.

Arrives ~ ce point, praticiens et chercheurs ont pu mesurer l ' immensit6 de I~ t~che ~ a~complir pour arriver ~ des conclusions scientifiquement valables. Dans le seul domaine de l~ comprehension enfantine du langage cin6matographique dans ses ~l~ments syntaxiques et ~motifs, les congressistes ont ~t6 submerg6s par une masse d'observations spor~diques et d ' intuit ions contradictoires - celles l~ m~me qui al imentent les incertitudes, voire les malentendus qui forment la base de la p~dagogie des moyens audio-visuels en Europe depuis un quart de si~cle. C'est ainsi qu 'un r~pporteur a pu affirmer que la plupart des questions soulev~es par les congressistes avaient d~j~ ~t~ pos6es en termes sensiblement anaiogues au Congr~s de Rome de 1934. En fair, si les probl~mes fondamentaux restent constants, parce- qu'ils sont li~s aux grands probl~mes de la psychologie enfantine, le Congr~s a fair ressortir que l'acc616ration du d~veloppement des moyens d'inform~tion exige que des solutions d~finitives soient apport~es ~ bref d~lai.

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372 CONFERENCES - KONGRESSE - CONGRES

Nulle part d'ailleurs l'urgence des solutions ne s'est manifest6e de fa~on plus pressante que dans les discussions soulev~es par l'application de la t616vision k l'~ducation. I~ encore, l'accord s'est rapidement fair sur le rdle de la t61~vision: elle doit suppl6menter le film k l'6cole et non le concurreneer. Un film qui est un concentr6 d'exp6rience fair le point pour plusieurs ann6es sur un sujet donn6, tandis que la t61~vision, grace, ~ son pouvoir d'instantan6it6 et d'ubiquit6, permet de fournir k tout instant l'~tat pr6sent d'une question. Ceci acquis, les congressistes se sont interrog6s sur les modalit6s d'utilisation: Sous quelle forme la t616vision doit- elle se saisir de l'actualit6 pour la transposer dans le domaine scolaire ? A quel niveau l'univers enfantin est-il susceptible de s'ouvrir sur l'univers adulte ? Comment d6finir les exigences et les goflts de l'enfant en face des grands probl~mes ? L'6cole doit-elle fournir des r~ponses aux inqui~tudes que l'enfant de 1955 montre en face de son avenir ? Autant de questions auxqueUes le Congr~s de Filmologie n'a pas pu apporter de r6ponses dSfinitives.

Mais pour le film comme pour la t616vision, les congressistes ont paru d'accord sur la n~cessit6 de d6passer l'empirisme pour fonder une v6ritable p6dagogie scienti]ique des aides audio-visuelles. La t~che est immense et il convient de s'y attacher sans se laisser arr~ter par certaines difficult6s fondamentales. I1 faudra, par exemple, pour fonder cette p6dagogie scientifique, arriver ~ d6terminer des cat6go- ties objectives pour analyser les 616ments 6motifs du film d'enseignement ou de l'6mission de t616vision 6ducative. II faudra aussi tenir compte de la prdsence, au milieu du public enfantin, du maitre qui m~ne le jeu et peut infl6chir le choc premier du film ou de l'6mission. En v6rit6 seule une collaboration 6troite et constante entre p6dagogues, psychologues et r6alisateurs de cin6ma et de t616vision pourra per- mettre de cerner des probl~mes aussi essentiels. M~me si les d6bats p6dagogiques du Congr~s de Filmologie n 'avaient servi qu'A faire prendre conscience aux chercheurs et aux praticiens de la n6cessit6 de ce travail commun d'exploration et d'exp6ri- mentation, ils auraient par I~ m~me marqu~ l'histoire de la p6dagogie autant que celle de la filmologie.

HENRI DIEUZEIDE

Arbeitstagung des Deutschen Verbandes ~ar das kau[mdnnische Bildungswesen, Mannheim z955,*

ProduktivitAtssteigerung und schulische Erziehungsarbeit

Haupt thema und Diskussion der diesjAhrigen Arbeitstagung des Deutschen Verbandes fiir das kaufmAnnische Bildungswesen e.V. befaBten sich mit dem Problem der Steigerung der Produktiviti~t durch Rationalisierung und ihre Bedeu- tung fiir die Berufserziehung des Kaufmanns. Im Hauptreferat der Tagung betonte Prof. Dr. ABRAHAM, Wirtschaftshochschule Mannheim, dab die derzeitige wirt-

* Der Deutsche Verband [i~r das Kau[miinnische Bildungswesen e.V. (gegriindet 1895) umfaBt alle an der kaufmAnnischen Berufserziehung interessierten Kreise wie Arbeitgeberverbi~nde, Deutscher Gewerkschaftsbund, Deutsche Angesteliten- Gewerkschaft, Industrie- und Handetskammern, Hochschulen und Lehrer. Ferner ist der Deutsche Verband Mitglied der Internationalen Gesellschalt ~i~r Kaufm~nni- sches Bildungswesen (SIEc). Er beeinfluBt maBgeblich die Berufserziehung des Kaufmanns.