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Revue de presse Immoprêt - Sept. 2011
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Revue de presse Septembre 2011
REVUE DE PRESSE
La saison des salons immobiliers bat son plein !
Depuis quelques semaines, les salons immobiliers se multiplient et les agences Immoprêt occupent le terrain !
Nos équipes étaient présentes sur le salon d’Arras, les 16‐17‐18 septembre.
Prochains salons : Strasbourg, 23‐24‐25 septembre ; Dunkerque, 30‐1‐2 octobre et Calais, 7‐8‐9 octobre.
IMMOPRET classé 29ème au prix de l’entreprise d’avenir Ernst&Young
Chaque année, le cabinet Ernst&Young, en partenariat avec le magasine L’Entreprise, élit les entreprises d’avenir : créées au maximum il y a 8 ans, au développement rapide et au goût prononcé pour l’innovation. En 2010, Immoprêt était classée 42ème, et 29ème en 2011 !
Revue de presse Septembre 2011
Crédit immobilier : les taux région par région au 19 septembre
Les taux de crédit restent stables ou diminuent légèrement au 19 septembre, malgré la chute de l'OAT 10 ans. L'Ouest de la France propose les taux les plus bas.
Quasi stabilité pour les taux de crédits immobiliers. Hors assurance, ces derniers restent la plupart du temps stables dans les différentes régions françaises (période 16 août ‐19 septembre), selon l'indicateur mensuel publié par le courtier Empruntis, et basé sur les barèmes des banques avant négociation. Une seule hausse est observée, dans la région Est, pour un crédit d'une durée de sept ans, à 3,65 % (contre 3,60 % un mois plus taux). Pour le reste les régions se partagent entre stabilité parfaite, voire légère baisse (de 0,05 points) dans certains cas. Dans le détail, la région Ouest est la plus compétitive. Sur quinze ans, elle affiche 4 % (de même que Rhône‐Alpes), contre 4,05 % le mois précédent (et 0,05 % en dessous de la moyenne nationale) Pour les prêts à vingt ans, la région propose 4,25 % (contre 4,30 % un mois plus tôt) soit 0,05 points de moins que la moyenne française. A l'autre bout de l'Hexagone, la région Est reste, ce mois encore, la région la plus chère, avec des taux supérieurs de 0,1 % à la moyenne nationale. On y trouve donc des taux à 4,15 % à quinze ans, et à 4,40 % à vingt ans.
Plus de marge pour les banques
Ces taux se maintiennent alors que l'OAT 10 ans ‐taux de référence pour l'établissement des taux de crédits fixes ‐n'a pas ralenti sa chute. Passé sous la barre symbolique des 3 % au mois d'août, il atteint désormais 2,57 % (contre 2,92 % le mois dernier). Dans ces conditions, en maintenant leurs taux de crédits, ou les diminuant de façon limitée, les banques parviennent à renforcer leurs marges sur les prêts immobiliers.
Les taux de crédit immobilier région par région le 19 septembre 2011 (hors assurance, comparé au taux de juillet / source : Empruntis)
Sur 7 ans Sur 10 ans Sur 15 ans Sur 20 ans Sur 25 ans Sur 30 ans
Nord 3,50 % (3,50 %) 3,75 % (3,75 %) 4,05 % (4,10 %) 4,30 % (4,30 %) 4,50 % (4,55 %) 4,85 % (4,90 %)
Ile-de-France 3,70 % (3,70 %) 3,80 % (3,80 %) 4,10 % (4,10 %) 4,35 % (4,35 %) 4,50 % (4,55 %) 4,80 % (4,85 %)
Est 3,65 % (3,60 %) 3,80 % (3,80 %) 4,15 % (4,15 %) 4,40 % (4,40 %) 4,50 % (4,60 %) 4,85 % (4,85 %)
Rhône-Alpes 3,60 % (3,60 %) 3,75 % (3,75 %) 4 % (4,10 %) 4,30 % (4,30 %) 4,50 % (4,55 %) 4,90 % (4,90 %)
Méditerranée 3,65 % (3,65 %) 3,75 % (3,75 %) 4,10 % (4,10 %) 4,35 % (4,40 %) 4,55 % (4,55 %) 4,90 % (4,95 %)
Sud-Ouest 3,60 % (3,60 %) 3,70 % (3,75 %) 4,05 % (4,05 %) 4,25 % (4,25 %) 4,45 % (4,45 %) 4,85 % (4,85 %)
Ouest 3,55 % (3,55 %) 3,70 % (3,70 %) 4,00 % (4,05 %) 4,25 % (4,30 %) 4,45 % (4,45 %) 4,85 % (4,85 %)
lesechos.fr – 19 septembre 2011
Revue de presse Septembre 2011
"Les prix de l’immobilier reculent de 5 à 10% dans de nombreuses villes" L’augmentation des taux d’intérêt et le niveau élevé du chômage plombent le pouvoir d’achat des acheteurs, assure Pierre Bazaille, président de l’Institut notarial de l’immobilier. Résultat : de nombreux marchés immobiliers locaux marquent le pas. Capital.fr : Après un net rebond en 2010, le marché immobilier marque le pas depuis plusieurs mois… Pierre Bazaille : Depuis le mois de juin, les délais de ventes ne cessent de s’allonger. Aussi le volume des transactions devrait s’éroder cette année et nous ne devrions pas atteindre les 780.000 ventes réalisées en 2010. Certes, quelques grandes agglomérations affichent toujours des prix en hausse : comme par exemple, à Bordeaux, Nantes ou Lyon. Mais le marché immobilier est de plus en plus contrasté. Et au regard des dernières promesses de vente signées durant l’été, les prix se stabilisent, voire reculent de 5 à 10% dans de nombreuses communes de taille moyenne. L’augmentation des taux d’intérêt et le niveau élevé du chômage plombent le pouvoir d’achat des acheteurs. Les primo‐accédants sont les premiers à souffrir de cette mauvaise conjoncture. Capital.fr : Au début de l’été, les prix des logements parisiens se sont légèrement repliés… cette baisse peut‐elle se poursuivre ? Pierre Bazaille : Après l’envolée de l’an passé, cet ajustement est salutaire. Au vu des compromis de vente signés durant l’été, les prix pourraient encore baisser dans les prochains mois, avant de se stabiliser. Mais il ne faut pas s’attendre à un retournement marqué du marché parisien. La réforme de la plus‐value immobilière pourrait soutenir les prix dans la capitale. Un grand nombre de propriétaires seront, en effet, probablement tentés de retirer leurs biens de la vente pour échapper à l’alourdissement de l’imposition. Capital.fr : Quel pourrait être l’impact de la réforme des plus‐values sur le reste du marché immobilier ? Pierre Bazaille : Résidences secondaires, marché locatif, parkings… près de la moitié des biens immobiliers sont concernés par cette réforme fiscale. Dans les marchés de pénurie, notamment les grands centres urbains, la réduction des biens mis en vente pourrait soutenir les prix. Sur les marchés immobiliers fragilisés par une faible demande, les tarifs pourraient continuer à baisser mais moins rapidement. Une chose est sûre : le nombre de vente va diminuer très sensiblement l’an prochain.
capital.fr – 19 septembre 2011
Revue de presse Septembre 2011
Immobilier : un minimum de 20% d'apport personnel requis ?
Bruxelles suivra-t-elle la recommandation du Comité économique et social européen qui préconise d'imposer aux banques de ne pas prêter plus que 80% de la valeur d'un bien immobilier ?
Le Comité économique et social européen (CESE) a rendu cet été son avis sur une proposition de directive européenne, déposée le 31 mars dernier, sur les crédits immobiliers. Elle vise à créer un "marché unique efficient, concurrentiel et offrant un niveau élevé de protection", et à favoriser "la mobilité des clients et l'activité internationale des prêteurs et des intermédiaires de crédit". Voilà qui est plutôt encourageant. Le hic, c'est que les experts du CESE préconisent rien de moins que de réserver l'accès au crédit aux Français les plus riches et d'en exclure ceux qui achètent pour la première fois, pour éviter les risques de surendettement. Un apport personnel d'au moins 20% ? Le CESE demande en effet que les banques recommencent à "appliquer systématiquement une pratique qui était auparavant inscrite dans la loi de plusieurs Etats membres, et en vertu de laquelle le crédit octroyé ne devait pas dépasser 70 à 80% de la valeur du bien immobilier". Autrement dit, les acquéreurs devraient obligatoirement disposer d'un apport personnel d'un montant de 20 à 30% du coût de l'achat envisagé... Nul doute que l'adoption d'une telle mesure obligerait bon nombre de primo‐accédants à renoncer à devenir propriétaires, d'autant plus que la hausse des prix réduit de plus en plus le montant de leur apport personnel en pourcentage du prix du bien. Pour l'instant, la proposition de directive ne semble pas avoir retenu cette préconisation assez restrictive. Mais les débats, lors de l'examen de la proposition début 2012, seront vifs.
challenges.fr – 19 septembre 2011