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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du11 au 17 Février 2013 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Immobilier : ces aides à l'achat à ne pas laisser passer Le 11/2/2013 Vous comptez réaliser votre premier achat dans l'immobilier, mais après la hausse des prix, vous avez du mal à boucler votre dossier d'emprunt. Pour vous aider, il existe une série de prêts à taux bonifiés ou de subventions, qui ne sont pas forcément réservés aux seuls ménages modestes. De quelques centaines à plusieurs milliers d'euros, ils pourront vous donner un coup de pouce non négligeable. Le prêt à taux zéro (PTZ+) : seulement dans le neuf

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La revue de Presse KYLIA 1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du11 au 17 Février 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Immobilier : ces aides à l'achat à ne pas laisser passer Le 11/2/2013

Vous comptez réaliser votre premier achat dans l'immobilier, mais après la hausse des prix, vous avez du mal à boucler votre dossier d'emprunt. Pour vous aider, il existe une série de prêts à taux bonifiés ou de subventions, qui ne sont pas forcément réservés aux seuls ménages modestes. De quelques centaines à plusieurs milliers d'euros, ils pourront vous donner un coup de pouce non négligeable.

• Le prêt à taux zéro (PTZ+) : seulement dans le neuf

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Depuis le début de l'année, les conditions pour obtenir un PTZ+ se sont durcies. Il est désormais

accordé sous condition de ressources et plutôt recentré sur les ménages modestes. Il ne peut

servir que pour les achats dans le neuf (acquisition d'un appartement par vente en l'état futur

d'achèvement ou construction d'une maison). Son montant varie selon la composition du foyer et la

zone géographique où est situé le logement.

Il doit être obligatoirement complété par un crédit classique et ne peut servir à financer 100 % du

logement. Si vous pensez être éligible, adressez-vous à une banque spécialisée dans ce type de

montage (comme le Crédit foncier), à un courtier en prêt immobilier ou à votre établissement bancaire.

• Le prêt action logement : uniquement pour les salariés

Anciennement appelé prêt 1 % logement, ce crédit aidé est accessible si vous êtes employé par une grande entreprise qui cotise au Comité interprofessionnel du logement (CIL). Rapprochez-vous

de votre direction des ressources humaines pour savoir si vous pouvez en bénéficier.

Pour en bénéficier, vous devez acheter une résidence principale dans le neuf ou l'ancien sans

travaux. Ce prêt, d'un montant de 7 000 à 25 000 euros, ne peut pas dépasser 30 % du coût de

l'opération et doit être remboursé en 20 ans maximum.

Si vous quittez l'entreprise (démission, licenciement, retraite), vous n'avez pas à le rembourser par

anticipation.

• Les prêts catégoriels : selon son statut

Si vous êtes fonctionnaire, la fonction publique accorde des crédits aidés pour l'achat d'un logement

neuf ou ancien, avec ou sans travaux, sous conditions de ressources et uniquement si votre dossier

de financement compte un prêt conventionné.

Les caisses de retraite complémentaire et mutuelles de retraite disposent toutes d'un service

d'aide à l'acquisition. Elles proposent des prêts aidés pour financer l'achat d'un logement neuf ou

ancien, avec ou sans travaux. Selon l'organisme dont vous dépendez (salarié, indépendant,

agriculteur...), les conditions (montant maximum, taux, durée de remboursement,...) sont différentes.

Mais ces crédits restent plus intéressants que les prêts classiques proposés par les banques.

Si vous êtes intéressé, rapprochez-vous du service social de votre organisme de retraite ou de

mutuelle complémentaire.

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• Les prêts des autres organismes : selon la taille de sa famille

Les caisses d'allocations familiales proposent aussi des prêts aidés pour l'acquisition d'un logement,

neuf ou ancien. Pour en bénéficier, il faut justifier de faibles conditions de ressources. Ces prêts

sont d'un montant minime.

• Les prêts des collectivités locales : selon son lieu d'habitation

Les collectivités locales (région, département, agglomération, commune) accordent des micro-prêts à

taux bonifiés, voire des subventions. Ils peuvent servir à acheter un logement neuf ou ancien, avec ou

sans travaux.

En général, les critères d'attribution concernent les ressources du ménage et la qualité énergétique du bâtiment. Chaque collectivité fixe ses propres modalités de prêt (montant maximum,

taux d'intérêt...), et parfois, ces crédits aidés sont cumulables. Pour en savoir plus, direction le site de

l'Anil, dans la rubrique aides des collectivités locales.

• Les prêts conventionnés : selon ses revenus

Il s'agit d'un prêt classique accordé par un établissement financier qui a passé une convention avec

l'Etat. Il est accordé en principe à tous les ménages qui souhaitent financer leur résidence principale

dans le neuf ou l'ancien, mais en pratique, est plutôt réservé aux familles modestes. Il doit être

remboursé sur une durée de 5 à 35 ans et propose un taux bonifié. Son montant est plafonné, mais

l'établissement bancaire qui accepte de vous faire un crédit conventionné est libre de le fixer. A noter :

ce crédit peut donner droit à l'aide personnalisée au logement (APL).

• Le prêt épargne logement : selon son profil d'épargnant

Si vous avez souscrit un PEL (plan d'épargne logement), vous avez droit à un crédit aidé. Selon la

génération de votre plan, le taux d'emprunt sera variable, sachez qu'il est toujours supérieur de 1,7

point au taux de rémunération.

Ainsi, un PEL qui rapporte 2,5 % permet de décrocher un crédit à 4,2 %. Pas du tout compétitif à

l'heure actuelle, où les niveaux de taux de crédit flirtent avec les 3 %.

• Le prêt familial : selon la richesse de ses proches

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Dernière solution : décrocher un prêt familial. Si vos parents, grands-parents ou frères et sœurs...

peuvent vous aider, il faut enregistrer une reconnaissance de dette (qui mentionne la date, le montant

emprunté, les modalités de remboursement et le taux d'intérêt, qui peut être nul) à la recette des

impôts de votre domicile, de façon à éviter de voir l'opération requalifiée en donation déguisée.

Marie Pellefigue

Source : LeMonde.fr

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Immobilier : pénurie de vendeurs à Paris, les prix baissent Le 12/2/2013

Selon le baromètre MeilleursAgents.com de janvier, les prix ont reculé de 0,3% à Paris et jusqu'à 1,4% dans les Hauts-de-Seine. Mais le marché s'assainit alors que les vendeurs opportunistes désertent.

AFP

Où sont passés les vendeurs ? C'est la question que se pose le site MeilleursAgents.com qui vient de

publier son baromètre des prix de l'immobilier résidentiel à Paris et en Ile-de-France pour le mois de

janvier. Le constat est clair : le vendeur « opportuniste » a quasiment disparu du marché, ne reste

plus que les vendeurs « forcés » de vendre. Par forcés, il faut comprendre en raison des accidents de

la vie (succession, divorce, chômage...) mais aussi en raison d'un déménagement professionnel.

Selon le baromètre, ils représenteraient 90 % des vendeurs contre 60 % dans les années 2010-2011.

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Dans ce contexte, le marché de l'immobilier est en train de s'assainir, « il renoue avec la vérité des

prix et retrouve une meilleure fluidité grâce à la quasi disparition des vendeurs opportunistes aux

prétentions irréalistes», se félicite Sébastien de Lafond, le président de MeilleursAgents.com. « Les

vendeurs et en particulier ceux qui sont contraints de vendre vite après avoir espéré une embellie en

2012, ont enfin changé d'état d'esprit. Ils adoptent un réalisme pragmatique et proposent des prix plus

ajustés aux qualités objectives de leurs biens ».

Les prix de l'immobilier baissent à Paris

Conséquence, les prix sont encore orientés à la baisse. Ils ont reculé en moyenne de 0,3 % le mois

dernier dans Paris intramuros. Le baromètre de MeilleursAgents.com ne fait pas le point

arrondissement par arrondissement, mais constate que ce sont surtout les grandes surfaces qui

pâtissent d'un environnement de marché moins favorable. Les prix des appartements de plus de 3

pièces ont reculé de 1,1 % le mois dernier, ce qui n'est pas rien. En revanche, les petites surfaces de

1 ou 2 pièces ont fait mieux que résister avec une nouvelle hausse des prix de 0,2 %. L'explication est

simple, ces surfaces demeurent des biens assez rares dans Paris et il y a donc une offre très faible.

L'immobilier de Seine-Saint-Denis plus recherché

En Ile-de-France, la Seine-Saint-Denis (93) se distingue avec une progression de 0,4 % des prix,

alors que le Val-de-Marne (94 %) montre une stabilité en janvier. La Grande couronne enregistre

aussi une érosion de la valeur des biens immobiliers avec un repli de l'ordre de 0,4 % dans le 77, le

78, le 91 et le 95. Mais le marché le plus touché est celui des Hauts-de-Seine (92) avec une chute

marquée de 1,4 % le mois dernier. « Les Hauts-de-Seine semblent avoir perdu de leur attractivité. Il y

a fort à parier que les acheteurs qui ont le choix privilégient la capitale à ce qui est souvent appelé le

XXIe arrondissement de Paris ». Le département est peut-être touché aussi par une hausse des

ventes forcées, de la part de candidats à l'expatriation et qui doivent vendre leurs biens en France

pour des raisons fiscales.

Le potentiel de baisse des prix reste limité

Beaucoup d'acheteurs attendent que les prix continuent de baisser, mais selon les auteurs du

baromètre, leurs espoirs pourraient être déçus. « Les prix des meilleurs produits, les mieux situés et

dans le meilleur état, et des biens les plus recherchés, comme les petites surfaces, vont rester élevés

et peut-être même encore augmenter en 2013 », selon le réseau MeilleursAgents.com. Les meilleurs

opportunités seront sans doute à chercher dans les biens « moyens », éloignés des transports ou trop

grand, et dont les prix pourraient encore baisser. Mais il n'est pas sûr que ces biens correspondent

aux envies des acheteurs. Autre élément de soutien, « les acheteurs bénéficient de conditions

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incroyablement favorables après une hausse sensible de leur pouvoir d'achat », note Sébastien de

Lafond. Le pouvoir d'achat immobilier a en effet augmenté de plus de 13 % à Paris et Ile-de-France en

2012, selon l'indicateur MeilleursAgents.com/Empruntis, grâce à la baisse des taux d'intérêt (ils sont

au plus bas historique à 15 ans), la stabilité des prix et une légère hausse des revenus (+ 4 % pour le

revenu moyen selon l'Insee). « Dans ces conditions, les prix s'ajustent mécaniquement sans

s'effondrer et reflètent progressivement la réalité composite du marché ». Même si le potentiel de

baisse des taux d'intérêt semble de plus en plus limité.

Le haut de gamme à la peine

Par ailleurs, selon MeilleursAgents.com, le haut de gamme pourrait souffrir, en raison d'une offre très

importante, « liée à des départs vers l'étranger », et d'une demande, notamment étrangère, « effrayée

par la fiscalité immobilière française ». Un constat qui rejoint celui du groupe Barnes , qui avait

constaté un reflux des prix parfois jusqu'à 15 à 20 % dans le très haut de gamme (au-dessus de 2

millions d'euros). Barnes donnaient notamment l'exemple d'un 9/10 pièces avenue Victor Hugo passé

en un an de de 10.500 euros le M2 à 8.942 euros, ou encore un appartement Chaussée de la Muette

vendu à 9.800 euros du m3, en repli de 12 % sur un an.

Moins de transactions, moins de recettes pour l'Etat

Enfin, la quasi disparition des vendeurs opportunistes et la frilosité des acheteurs attentistes devrait

entraîner une nouvelle baisse du nombre de transactions, de l'ordre de 500 à 600.000 opérations

dans l'ancien en France, selon les professionnels, contre 858.000 en 2011 et un niveau

potentiellement inférieur à celui de 2009, en pleine crise des subprimes. Une mauvaise nouvelle «

pour les professionnels de l'immobilier les plus fragiles, mais aussi pour l'Etat et les collectivités

locales dont les ressources tirées des transactions immobilières vont encore diminuer », relate

Sébastien de Lafond.

PIERRICK FAY

Source : LesEchos.fr

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Logement neuf : les ventes atteignent leur plus bas niveau en 16 ans Le 14/2/2013

Selon la Fédération des promoteurs immobiliers, les ventes de logements neufs ont chuté de 28 % par rapport à 2011. Ils craignent le pire pour 2013.

Les ventes de logements neufs par les promoteurs, 73 700 unités en 2012, ont chuté de 28 % par

rapport à 2011, a annoncé jeudi la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Pour l'avenir, "le

risque est grand de voir le secteur subir un véritable désastre industriel et social", a déclaré François

Payelle, le président de la FPI, lors d'une conférence de presse.

Les ventes de 2012, avec un recul de 30 000 logements en un an et de 41 000 sur deux ans,

atteignent "leur plus bas niveau depuis 16 ans", a souligné le président de la FPI, qui évoque "de

grosses inquiétudes de ne pas voir la courbe s'inverser" au cours des prochaines années.

Pour 2013, François Payelle, se disant "extrêmement prudent", affirme que les promoteurs vont

"essayer de résister sur la ligne Maginot des 70 000 ventes" à condition que le dispositif fiscal "Duflot",

qui a remplacé le "Scellier" en début d'année, "donne toute son efficacité" avec les 40 000 ventes

prévues. Mais le début de l'année, avec un mois de janvier "mou, mou, mou" selon le président de la

FPI, fait craindre le pire pour le secteur des ventes aux investisseurs qui achètent des logements

neufs pour les louer.

Source : LePoint.fr

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Comment transformer des bureaux en logements à Paris ? Le 16/2/2013

Copyright Reuters

Entre 1000 et 2000 bureaux par an seront transformables en habitations dans la capitale à horizon

2030, même si plusieurs obstacles subsistent. Une solution parmi d'autres pour résoudre la crise du

logement à Paris.

Alors que les prix de l’immobilier à Paris ont récemment atteint des records à 8500 euros le mètre

carré, d’aucuns tentent de trouver des solutions pour faire baisser ce prix qui rogne sérieusement le

pouvoir d’achat des ménages de la capitale. Parmi elles, la transformation de bureaux en logements

est régulièrement évoquée. L’Observatoire régional de l’immobilier d’entreprise de la région Île-de-

France (Orie) a publié un rapport qui dresse un état des lieux en la matière.

Les rapporteurs estiment le potentiel de bureaux transformables en habitations à Paris à horizon 2030

à entre 1000 et 2000 par an, contre entre 300 et 400 par an sur les 20 dernières années. L’élaboration

de cette prévision part "d’hypothèses sur les cycles de travaux, des données sur les mises en chantier

de bureaux entre 1981 et 2000, et des données sur l’offre de bureaux immédiatement disponible

depuis 4 ans et plus". En termes de surfaces, le rapport indique "qu’entre 140 000 et 240 000 m² utiles

de bureaux pourraient par an être définitivement inadaptés à la demande à horizon 2030 en Île-de-

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France", et deviendraient donc transformables en habitations. Aujourd’hui, entre 3,6 et 4 millions de

m² de bureaux sont vacants en Île-de-France selon Philippe Lemoine, directeur général de la Silic et

directeur du rapport avec Olivier de la Roussière, le président de Vinci Immobilier. 18% de ces

bureaux sont même vacants depuis plus de 4 ans et 29% d'entre eux depuis entre 2 et 4 ans.

Des freins à la transformation subsistent

Si la transformation de tous ces bureaux en habitations constituerait une grosse goutte d’eau pour

libérer des logements à Paris, cet état de faits est loin d’être assuré. En effet, le rapport de l’Orie

souligne un certain nombre de freins qui subsistent à la transformation de l’immobilier d’entreprise.

D’abord "l’inoccupation des immeubles constitue un préalable quasi indispensable au lancement d’une

transformation de bureaux en d’autres locaux", indique l’Orie. Du coup, "dans un immeuble avec de

multiples occupants, dont les échéances des baux arrivent rarement à terme de façon simultanée, les

propriétaires sont parfois confrontés à des problèmes d’éviction des utilisateurs. Les délais de

libération des immeubles sont souvent longs et coûteux", constate l’Observatoire.

Fluidifier les permis de construire

Ce dernier place également les pouvoirs publics en face de leurs responsabilités. Les auteurs du

rapport notent ainsi que "la plupart des transformations sont soumises à l’obtention du permis de

construire, délivré au cas par cas par les communes". Or "l’obtention du permis de construire reste

l’un des principaux freins". En plus des contraintes réglementaires dans le plan local d’urbanisme

(PLU) et plan d’occupation des sols (POS) en vigueur, l’Orie estime que "les maîtres d’ouvrages sont

presque systématiquement confrontés à des recours". "Ces contentieux accroissent les délais

d’obtention des permis de construire, ce qui in fine augmente le coût des opérations", ajoute le

rapport.

Car ceux qui financeront les transformations de bureaux en d'autres locaux regarderont en premier

lieu le paramètre économique. La règle des 25 % de logements locatifs sociaux peut dans ce cadre

être un frein à la transformation selon le rapport de l’Orie. Car des logements sociaux identiques aux

logements classiques ne se vendent pas à plus de 3 640 euros par m², contre en moyenne 8 000 à 15

000 euros par m² habitable pour des logements neufs vendus en libre.

Des éléments techniques contraignants

Enfin des éléments techniques peuvent brider totalement les transformations, comme les problèmes

de morphologie architecturale qui peuvent par exemple donner lieu à des changements de façade, ou

les problèmes de surface inadaptées (sous-sol, hauteur sous plafond, ect…).

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Ces paramètres techniques ont un impact sur la balance financière. Du coup dans beaucoup de cas, il

est préférable de "privilégier la démolition et la reconstruction", indique Olivier de la Roussière, pour in

fine "livrer un produit meilleur à un coût inférieur".

Source : LaTribune.fr

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 46 51 93 39