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Structures mathématiques du langage by Z. S. Harris Review by: Simone Léger La Linguistique, Vol. 11, Fasc. 1 (1975), p. 157 Published by: Presses Universitaires de France Stable URL: http://www.jstor.org/stable/30248285 . Accessed: 14/06/2014 19:52 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Presses Universitaires de France is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to La Linguistique. http://www.jstor.org This content downloaded from 185.44.79.67 on Sat, 14 Jun 2014 19:52:54 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

Structures mathématiques du langageby Z. S. Harris

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Structures mathématiques du langage by Z. S. HarrisReview by: Simone LégerLa Linguistique, Vol. 11, Fasc. 1 (1975), p. 157Published by: Presses Universitaires de FranceStable URL: http://www.jstor.org/stable/30248285 .

Accessed: 14/06/2014 19:52

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COMPTES RENDUS 157

du changement linguistique, qui se fait essentiellement lors de l'apprentissage de la langue par l'enfant. King traite principalement des exemples phonologiques, la syntaxe reste en marge, la semantique est exclue.

Le livre de King est certainement une contribution valable A la discussion, mais les erreurs de la traduction allemande sont telles qu'il est pr6f6rable de se

r6f~rer A l'original ambricain. Universite' de .Nantes.

Z. S. HARRIS, Structures mathematiques du langage, Paris, Dunod, 1971 (Monographies de linguistique mathematique, 3).

Compte rendu par Simone LEGER.

Dans les quatre premiers chapitres, Harris, aprbs avoir determind les eC1ments discrets par diff6rents proc6dds, montre que l'existence de morphemes discontinus

exige que l'on formule le processus de construction de la phrase sur la base d'une sequence el1mentaire de classes pour laquelle il n'existe pas de phenomanes de

non-contiguit6. On obtient ainsi un ensemble de chaines 6l6mentaires ou schemas de phrases, et d'autres ensembles de chaines qui constituent les ajouts. Le carac-

thre fini de la grammaire impose que l'on ait un systeme fini de regles, dont certaines sont recursives, qui caracterisent les sch6mas de phrases et les valeurs

(les mots) prises par les variables (les classes de mots). L'un des buts essentiels de la grammaire consiste A determiner comment les

phrases sont reliees entre elles. Le statut d'une sequence de mots s'exprime non

pas par deux valeurs de veritd, comme en logique, mais par un < spectre de valeurs >> exprimant le degre et le type d'acceptabilite d'une phrase et les inega- lit6s d'acceptabilit6 constituent une Cchelle qui est conservee entre certains

schemas de phrases : on dit alors qu'il existe une transformation A --4 B entre deux schemas propositionnels sur tous les n-uples de leurs valeurs si l'tchelle des n-uples est identique pour les deux schemas. La transformation est ainsi definie comme une relation d'equivalence A l'interieur de l'ensemble des

propositions. Ces quatre premiers chapitres contiennent de nombreux exemples concrets

et des r6sumbs clairs qui peuvent faciliter la tache du lecteur ayant peu de connaissances mathematiques. Les chapitres V et VI, qui traitent de l'ambiguite, du metalangage, de la ref6rence et du discours, sont d'une lecture plus difficile. Le systeme abstrait du chapitre VII est ardu mais il parait important pour la construction d'une theorie semantique.

Toulouse, Le Mirail.

Janos S. PET6FI, Transformationsgrammatiken und eine kontextuelle Texttheorie. Grundfragen und Konzeptionen, Frankfurt am Main, Athendium, I971 (Linguistische Forschungen, 3) 301 p.

Compte rendu par Almuth GRiSILLON.

Le but poursuivi par Petofi est double : I. Donner un apergu des principes de l'tvolution des grammaires generatives en distinguant la < the'se >> choms- kyenne de 1' antithese >> que represente la semantique g6nerative; 2. Esquisser

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