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Territoires et Santé. Lettre n°3

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Lettre d'information santé du Nord - Pas-de-Calais, à destination des élus et des acteurs des territoires. Une réalisation conjointe de Contact Santé et de l'ORS Nord - Pas-de-Calais.

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Page 1: Territoires et Santé. Lettre n°3

ditor ialLa future politique française des drogues - Expériences régionalesLa plateforme française du projet européen sur la gestion urbaine des droguesa réuni pendant trois ans les représentants de huit collectivités locales. Le Forumfrançais de la sécurité urbaine vient de compiler ses conclusions dans un rapport.Lille et Valenciennes y font l’objet d’un chapitre sur leurs problématiques et re-mèdes à l’usage des drogues.Valenciennes est citée en exemple pour une action de prévention citoyenne. Desbénévoles, choisis comme citoyens référents, sont en charge d’un quartier et in-forment la mairie sur l’ambiance de sa population. Lille a quant à elle établiavec ses établissements une Charte de la vie nocturne. Les bars s’engagent àmener des actions de lutte contre la toxicomanie, avec l’aide notamment de Spi-ritek, association spécialisée dans les cultures urbaines et la techno. Toute poli-tique de prévention doit en effet assumer la réalité : la consommation existe.

Des disparités de santé au plus jeune âgeLe Bulletin hebdomadaire de l’Institut de Veille Sanitaire a publié début septem-bre une étude sur les disparités géographiques de santé des enfants scolarisés engrande section de maternelle en France. En 2005-2006, c’est dans les académiesoù la santé des enfants est la meilleure que leurs modes de vie, alimentation et ac-tivité physique confondues, le sont aussi.L’enquête, menée auprès de 23 000 enfants, confirme l’association entre la sé-dentarité et le surpoids. Plusieurs habitudes de vie touchent à ce lien. La consom-mation de boissons sucrées est plus élevée dans le Nord et l’Est (41% à Lille, 40%à Strasbourg), là où les prévalences de l’obésité sont fortes. Les problèmes dedents sont aussi plus fréquents où les enfants passent au moins trois heures devantla télévision. Par ailleurs, ceux jouant à l’extérieur moins d’une fois par semaineles jours sans école sont plus nombreux dans les académies les plus urbaines.C’est le cas pour 12% d'entre eux à Lille.

Rapports et études. Décryptages

► Page 1 l Rapports et études - Décryptages l La future politique française des drogues. Expériences régio-nales - Des disparités de santé au plus jeune âge► Page 2 l Dossier l Pôles et maisons de santé pluridiscipli-

naires l Expérience l La maison dispersée de santé de Lille-Moulins► Page 3 l Paroles d’élus l Hervé Poher : la prévention s’imagine lQuestion pratique l Pourquoi évaluer une dynamique territoriale de santé ? l 6 questions clés ou comment articuler une évaluation terri-toriale de santé ?► Page 4 l Décodage l Espaces ressources cancers, lieux uniques en France.

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Pour plus d’informations ►http://ffsu.org/fileadmin/ffsu/pdf/Secutopics/Conduites_a_risques/Politique_francaise_des_droguesFINAL.pdf

Pour plus d’informations ►http://www.invs.sante.fr/content/download/17025/106959/version/6/file/BEH_31_2011.pdf

Sommaire

Par habitude, les territoires sont toujours présentésau travers de leurs organisations administratives, descaractéristiques de leurs populations, de leurs acteurséconomiques et sociaux voire de ceux qui relèventde la culture.Pour des raisons multiples et variées et souventcontradictoires, le secteur de la santé est parfois ou-blié alors qu’il est au cœur des préoccupations de laplupart de nos concitoyens… Pourquoi ? Peut-êtreparce que la santé a longtemps été considérée commerelevant essentiellement des prérogatives de l’Etat.Et pourtant… La santé est indéniablement un facteurimportant si ce n’est essentiel de l’attractivité de nosterritoires. Elle concerne bien sûr et d’abord le bien-être de ses habitants. Mais elle est aussi bien plus :elle est productrice d’emplois, de services voire destructuration de nos agglomérations et de nos villes.La Loi «Hôpital, Patients, Santé, Territoires » consa-cre la politique de santé dans les différents périmètresterritoriaux de notre pays et donc de notre région.C’est à la lumière de l’ensemble de ces éléments troprapidement présentés que j’ai jugé utile de voir le Ré-seau des Agglomérations de Flandre, du Hainaut, del’Artois Et du Littoral (RAFHAEL) s’interroger surl’organisation territoriale de la santé dans notre ré-gion et examiner ce que pourrait être l’apport descollectivités territoriales et locales.C’est la raison pour laquelle, je vous propose une ren-contre autour de Cécile Bourdon, vice-présidente Santéplan anti-cancer du Conseil régional Nord-Pas de Ca-lais et d’Olivier Lacoste, géographe, directeur de l’Ob-

servatoire régional de la santé, le17 octobre 2011 à 17 heures ausiège de RAFHAEL à Euralille.

Septembre 2011Retrouvez cette lettre d’information

sur www.eLSerevue.frN°3

Lettre d’information santé du Nord - Pas-de-Calais à destination des élus et des acteurs des territoires.Une réalisation conjointe de Contact Santé et de l’ORS Nord - Pas-de-Calais

Territoiresetsanté

► Michel DelebarreAncien ministre d’État, député-maire de Dunkerque et présidentde RAFHAEL

Page 2: Territoires et Santé. Lettre n°3

La commande conjointe de plusieurs minis-tères d’unemission confiée à l’Inspection gé-nérale des affaires sanitaires2concernant « ledéveloppement des pôles et maisons de santé», n’est sans doute pas le fruit du hasard. Quele Ministère de la santé s’associe aux secré-tariats d’État de la politique de la ville et del’aménagement du territoire inscrit la redéfi-nition des soins de premiers recours au cœurdes territoires.Mais qu’est-ce qu’une maison de santépluridisciplinaire ?« Une maison de santé pluridisciplinaire estun lieu d’exercice qui rassemble plusieursprofessionnels de santé libéraux de premiersrecours : médecins généralistes, infirmières,pharmaciens, kinésithérapeute, orthopho-nistes, psychologues, podologues, diététi-ciens...et éventuellement travailleurssociaux, unis par une charte, un projet et desobjectifs opérationnels concernant la santédes patients »1Il y a plus de 20 ans, quelques professionnelsde santé avaient imaginé une forme innovanteet partenariale d’exercer la médecine libérale.Il aura fallu le souhait d’un exercice regroupéassocié à une baisse drastique de la démo-graphie médicale pour voir des maisons oupôles de santé fleurir dans toutes les régionsde France. Des expériences récentes intè-grent également des médecins de second re-cours ou encore des centres hospitalierscomme partenaires des pôles de santé.À la ville comme à la campagneL’ouverture des maisons de santé pluridisci-plinaires s’est d’abord accélérée en zones ru-rales. Au désir de remédier à la baisse de ladémographie médicale de ces territoires,s’ajoute pour bon nombre de professionnelsde santé le souhait d’une nouvelle formed’exercice de la médecine.Ce sont les maisons ou pôles de santé quiconcilient qualité des soins et qualité de viedes professionnels qui oeuvrent le mieux aumaintien d’une offre de soins dans les zonesoù la démographie médicale est en baisse.De plus en plus de soignants ont fait leconstat qu’une pratique classique de la mé-

decine ne suffit plus à répondre aux besoinsde leurs patients.La maison, lieu de pratiques nouvelles ?Les maisons de santé pluridisciplinaires par-ticipent également à une transformation enprofondeur de la médecine de proximité.En effet, ce lieu mutuellement choisi, par-tagé, permet de libérer du temps de soins, dediversifier les pratiques en s’ouvrant sur desnouvelles activités (prévention, éducationthérapeutique), d’expérimenter de nouveauxmodes de rémunération forfaitaire, de déve-lopper de nouvelles coopérations entre pro-fessionnels (délégations de tâches).La maison, lieu d’une volonté communeLe rapport de l’Inspection générale des af-faires sanitaires2 insiste sur le besoin d’évo-lutions juridiques dans la mise en œuvre decertaines propositions telles que celle concer-nant le partage d’informations sécurisées oula création d’une rémunération permettant àl’équipe d’effectuer les tâches en dehors desactes de soins (coordination, dépistage, pré-vention, éducation thérapeutique). L’expé-rience montre que dans 90% des cas, lavolonté commune entre politiques locales etprofessionnels de santé est indispensable.En région Nord-Pas de Calais la démarchevise à associer aussi les élus et les habitantsdans l'écriture de projets territoriaux de santé.La maison, lieu de financements croisésLes maisons de santé plutidisciplinaires ontdes sources de financement diverses : lesfonds propres des professionnels de santé quin’hésitent pas à investir dans leur nouveloutil de travail, mais également les nom-breuses aides des collectivités locales.Dans le Nord – Pas-de-Calais, le Conseil ré-gional a investi le sujet depuis de nombreusesannées maintenant en proposant un appui enmatière d’ingénierie et d’investissement.L’État, à travers les Agences régionales desanté, se positionne sur une aide au démar-rage et sur des financements corrélés à desobjectifs d’éducation du patient.

Une maison de santé pluridisciplinaire est un lieu d’exercice qui ras-semble plusieurs professionnels de santé libéraux de premiersrecours : médecins généralistes, infirmières, pharmaciens, kinésithéra-peutes, orthophonistes, psychologues, podologues, diététiciens…et éven-tuellement travailleurs sociaux, unis par une charte, un projetet des objectifs opérationnels concernant la santé des patients1

Territoires et Santé - numéro 3 - page 2

Située au cœur d’un quartier éclectiquede Lille, la maison dispersée de santé deMoulins est née du constat des médecinsgénéralistes libéraux, qu’un exerciceclassique de la médecine ne pouvait pasrépondre aux besoins de leurs patients.Il leur fallait mieux coordonner les soinsde premiers recours, apporter une autreréponse à la souffrance psychique, inno-ver dans les programmes d’éducation àla santé et ouvrir leur pratique à une nou-velle forme de prévention.Pour ce faire, leur première démarche futd’associer à la réflexion d’autres parte-naires du quartier. Ces derniers avaientd’ailleurs constitué un partenariat « infor-mel » depuis plusieurs années.Dispersée géographiquement par la forcedes choses, la maison de santé de Mou-lins qui a vu le jour en 2011, comprenddésormais la maison médicale MoulinsJean-Daniel Escande, composée de cinqmédecins généralistes, deux infirmières,deux orthophonistes, une secrétaire etune assistante sociale, le cabinet demasseurs-kinésithérapeutes, l’association« j’en suis-j’y reste », le cabinet de psy-chologues et le Collectif interassociatifsur la santé (CISS).Cet espace commun de lieux disperséspermet de gagner du temps dans le chemi-nement des patients en multipliantles portes d’entrées dans un dispositifde propositions d’aide, en gardant un filconducteur, chaque entité étant le maillonconcerté d’un accompagnement qui per-met transferts et partages de compétences.Cette dispersion, il a fallu en faire une va-leur ajoutée. Ce sont les rencontres pluri-disciplinaires régulières des différentsacteurs de la maison auxquelles se sontjoints entre autres la protection maternelleet infantile et les services hospitaliers dela Ville qui ont servi de ferment.Aujourd’hui, cet espace ouvert et plurielse veut également un lieu de formationpour les jeunes médecins généralistes etautres acteurs de santé qui tout commeleurs pairs, désirent exercer autrementleur métier de soignant.

La maison dispersée de santéde Lille-Moulins

doSSIERPôles et maisons de santé pluridisciplinaires

‘‘S u r l e t e r r a i n

1. “Monter et faire vivre une maison de santé”, P. DeHaas, 2010 - Éditions Le Coudrier2. “Le bilan des maisons et pôles de santé et les proposi-tions pour leur déploiement”, coordonné par les docteursChambeau et Schaetzel., IGAS, 2009

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LeDépartementintervient dans lavie de sesconcitoyens, dumatin au soir, del’enfance à lavieillesse. Et s’ily a desmessagesà passer, de laprévention àinstiller, des ac-compagne-ments à mettre enplace, nous sommeslesmieux placéspour agir

Paroles d’ÉLus

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questionsCLéS

chiffresCLéS

Dans le Nord, M. Patrick Kanner s’est engagé dans la voie d’unéchange plus important avec les autres échelons territoriaux.Êtes-vous de son avis ?Les échanges avec les territoires sont une vieille habitude du dé-partement du Pas-de-Calais : découpage en neuf territoires, contrac-tualisation avec les structures intercommunales, investissementdans les programmes régionaux et territoriaux de santé… Dans ledomaine de la santé et de la prévention, les conférences territorialeset les services départementaux de la santé ont été de bons promo-teurs. Mais ces politiques étaient très volontaristes, aussi bien dansle cadre qu’en dehors de nos compétences légales. Hélas, les ré-formes financières et politiques vont nous obliger à nous recentrersur nos compétences obligatoires et nos publics prioritaires.Existe-t-il dans le Pas-de-Calais des zones pour lesquelles, selonvous, l’urgence préventive ou sanitaire s’impose ?Tout le département est prioritaire mais tous les diagnostics ontmontré qu’il existe des « poches » de pathologies… Et comme parhasard, on découvre que les territoires de pathologies correspon-dent aux territoires de chômage et de précarité. Il est donc évidentque le meilleur traitement à beaucoup de nos maux, c’est, à la fois,du préventif social et du préventif sanitaire. Je parle du préventif,mais il est évident, connu et reconnu que le curatif est quelquechose d’essentiel pour nous tous.Avez-vous des actions novatrices, effectives ou en projet, qui vontdans ce sens ?Nous sommes en train de revoir toutes nos politiques départemen-tales. Mais sachez que la santé et le bien-être sont un passage obli-gatoire à toutes nos actions. Le Département intervient dans la viede ses concitoyens, du matin au soir, de l’enfance à la vieillesse. Ets’il y a des messages à passer, de la prévention à instiller, des ac-compagnements à mettre en place, nous sommes les mieux placéspour agir. À nous d’être imaginatifs...

Question pratique

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► Les différents projets font-ils l’objetd’un maillage ? Celui-ci est-il pertinent ?

► Constatons-nous plusieurs lieux in-vestis pour un même programme, et plu-sieurs publics concernés ?

► Les formes de relations entretenuesentre acteurs et à différentes échellespermettent-elles à chacun de s’investirpleinement ?

► La dynamique territoriale est-elle aumoins favorisée par un repérage continudes ressources et des besoins ?

► La synergie constatée entre leséquipes est-elle soutenue par un accès ra-pide à une information ordonnée et dequalité ?

► En quoi ce programme fera-t-il réfé-rence dans le territoire et au-delà ?Quelles sont les conditions de sa transfé-rabilité sur un autre territoire ?Pour plus d’informations ► Évaluation, moded’emploi http://www.iuhpe.org

Dans le cadre d’un projet territorial de santé, entre les constats et la mise en action, il s’écouletoute une dynamique. Quand des structures et des équipes sont engagées, une étape s’en-clenche : l’évaluation. Il s’agit de porter un jugement de valeur sur une intervention publiquedans un territoire donné. Doit-on pour autant parler de politique de résultats ?L’évaluation mesure en quoi un défi local accélère ou freine les objectifs d'une stratégie glo-bale. Elle apprécie son processus, ses résultats, et détermine ainsi son avenir. Évaluer un pro-gramme, c’est tenir compte impérativement des acteurs pour s’intéresser à la cohésionterritoriale. Pour y participer, l’état des lieux ne s’effectue pas d’un seul bloc, mais couvre aucontraire tous les aspects de la dynamique.Il peut s’agir du bilan sociétal par exemple, sensé apprécier l’activité d’un Territoire Sociale-ment Responsable. Cet outil consiste en un sondage d’opinion auprès des usagers, doubléd’une analyse financière des comptes dédiés. Il répond à un besoin d’information sur l’effi-cacité des programmes engagés. Il dit en quoi les forces mobilisées, les micro-projets paral-lèles comme la formation des personnes, ont produit une synergie sur le territoire.

Pourquoi évaluerune dynamique territoriale de santé ?

Le programme de financement desmaisons de santé pluridisciplinaireslancé en 2010 prévoit de subvention-ner 250 maisons de santé sur la pé-riode 2010-2013.

Le Nord - Pas-de-Calais compte 3communautés urbaines (1,4 milliond’habitants), 11 communautés d’ag-glomération (1,5 million d’habitants)et 13 pays (1,5 million d’habitants).

► Hervé PoherAdjoint au maire deGuînes, vice-président duConseil général du Pas-de-Calais, président de laCommunauté de communesdes Trois-Pays, présidentd’EDEN 62

Comment articulerune évaluation territoriale

de santé ?

Hervé Poher : la prévention s’imagine

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Territoires et Santé - numéro 3 - page 4

déco

► Lieux de proximité, ou-verts et libres d’accès, lesEspaces Ressources Cancers(ERC) du Nord - Pas-de-Ca-lais sont uniques en France.Financés majoritairement parla Région dans le cadre deson plan anti cancer et parl’Agence régionale de santé,six espaces ont ouvert leursportes. Ils prospèrent àCaudry, Béthune, Armen-tières, Valenciennes, Douaiet Dunkerque.

Espaces ressources cancersLieux uniques en France...

Lieux de proximité, ouverts et libres d’accès, les Espaces Ressources Can-cers du Nord - Pas-de-Calais (ERC) sont uniques en France.Financés majoritairement par la Région dans le cadre de son plan anticancer et par l’Agence régionale de santé, six espaces ont ouvert leursportes. Ils prospèrent à Caudry, Béthune, Armentières, Valenciennes,Douai et Dunkerque.Conçus pour recevoir et accompagner les personnes atteintes de cancer etleurs proches, les Espaces Ressources Cancers ont pour mission l’écoute,l’information et l’orientation des personnes qui, de retour chez elles, doiventreprendre une vie active et rompre avec l’isolement social.Les Espaces Ressources Cancers proposent des activités individuelles etcollectives aux malades et à leurs proches. Rien que pour le mois de sep-tembre, l’ERC de Caudry propose de la gymnastique douce avec un kiné-sithérapeute, des ateliers de soins du visage, des permanences enpsychologie de groupe ou individuelle, de l’art floral et enfin un spectaclepatoisant ouvert à tous.La semaine régionale cancers et Octobre rose sont des temps forts indéniables…Ils donnent l’occasion de sensibiliser les personnes de tous âges. Des étudiantsinfirmiers, avec l’aide de l’ERC de Valenciennes, sont par exemple préposés àl’accueil sur les stands, et à l’écriture de questionnaires de dépistage.

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Pour plus d’informations ►http://apas.santenpdc.org/

Liens@

suivre

RENDEZ -vousLes 3 et 4 Octobre 2011 l Nord - Pas-de-Ca-lais - Les itinéraires du développement durable enNord - Pas-de-Calais - Au programme : tous égaux de-vant la santé ? Quelles responsabilités pour quels ac-teurs ? Le rôle de l’alimentation ? La participation desusagers en question ? l http://idd.nordpasdecalais.fr/Le 17 Octobre 2011 l Lille - Rencontre avec Cé-cile Bourdon et Olivier Lacoste “La santé au coeur des

territoires. Quelles articulations ? Quelles perspectives ?”l http://www.elserevue.fr/wordpress/wp-content/uploads/2011/09/invitation17octobre.pdfDu 2 au 4 Novembre 2011 l Lille - CongrèsSFSP “Experts et expertises en santé publique. Diver-

sité des acceptations, multiplicité des enjeux : comment

avancer ?” l http://www.sfsp.fr/Du 15 au 22 Novembre 2011 l Nord - Pas-de-Calais - Semaine de mobilisation face aux can-cers - 5e édition l Bientôt sur www.semainecancernordpasdecalais.orgRetrouvez tout l’agenda sur www.elserevue.fr

Politique de santé ► Rapport sur les droits des usa-gers du système de santé du Nord Pas-de-Calais - année2010 http://www.sante.gouv.fr/rapport-sur-les-droits-des-usagers-du-systeme-de-sante-du-nord-pas-de-calais-annee-2010.htmlEnvironnement ► Gestion des déchets : l’État annoncedes mesures pour prévenir les dérives - http://www.local-tis.info/► Villes, habitat et santé, pour une politique sa-nitaire et environnementale - http://www.ehesp.fr/2011/08/30/villes-habitat-et-sante-pour-une-politique-sanitaire-et-environnementale-06102011/► Un centre de formation ensanté environnementale à la place de Noroxo ? -http://www.lavenirdelartois.fr/actualite/Pays_d_Artois/Paysde-Bully/2011/09/08/article_un_centre_de_formation_en_sante_envi-ronn.shtmlDéveloppement numérique ► Nouvel appel à projetslancé par l’ASIP Santé, le programme déploiement duDossier Médical Personnalisé (DMP) en région.http://esante.gouv.fr/actualites/l-asip-sante-lance-lappel-a-projets-deploiement-du-dmp-en-region-mis-a-jour-faq

Territoires etsantéDirecteur de publication : Umberto Battist l Rédactrice en chef : Francine Benattar - Tél. : 03 20 15 59 81 - Mail : [email protected] l Rédaction : Romain VieilléChargée d’études de l’ ORS Nord - Pas-de-Calais : Marielle Rengot - Tél. : 03 20 15 49 22 - Mail : [email protected] l Secrétariat de rédaction - Maquette :Véronique Morrien l Édition : GRPS l Cette lettre d’information est réalisée grâce au soutien du Conseil Régional Nord - Pas-de-Calais. Dépot légal : ISSN 2117-6744

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