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The French Paper From Hell

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It's from hell

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Kevin Cross

FREN 301

La ralit existe, cest evident, mais la manire de la apercevoir est dpendant sur les sens de chaque personne. Bien que chacun ait des mmes sens, il y a une diffrence en concernant comment on interprte le monde peru et la vraie nature de ce quon voit. Marcel Proust savait que les sens peuvent se tromper par ltat desprit de la personne, lemplacement et lenvironnement, et particulirement, le passage du temps. En ce petite extrait, Les Clochers de Martinville, Proust se sert dune longue voyage afin de montrer le lecteur comment on peut se tromper la ralit cause de ce qui se passe au moment.

Lhistoire se passe entirement dans une voiture o Proust et ses compagnons conduisent Combray. La monotonie et lennui de ce voyage seraient intolrable, alors Proust, qui est un romantique, commence regarder le monde avec un oeil artistique. Immdiatement il fait une comparaison pour les clochers, quil les dcrit comme perdus en rase campagne. Lesprit de Proust est un qui ne permet pas de choses de rester comme ils sont. Ses perceptions ne changent pas seulement cause de ce qui est autour de lui, mais parce quil veut voir le monde dans une lumire nouvelle. Immdiatement aprs la premire comparaison il fait une autre ce que les clochers sont comme trois oiseaux. Cest un peu bizarre que les clochers lui rappelent des oiseaux parce que dans la mme phrase il note quils sont immobiles. Il semble que Proust essaie de reprsenter le moment o il voit les clochers. Il est dans une voiture qui peut avancer rapidemente cependant il ne peut pas se dmnager. Il se pige dans la voiture comme les clochers sur la terre, et plus, il ne chappe jamais le rel alors il se proccupe de la fiction.

Bien quil soit vident que Proust change ses perceptions parce quil est artiste, lenvironnement affecte comment il peroit des choses autour de lui. Les deux choses physiques qui font le plus grand effet sur ses perceptions sont la lumire et la distance entre lui et les clochers. Proust crit souvent des effets que la lumire fait aux clochers. Quand les clochers ont une aura humain ils sont typiquements ensoleill. Proust remarque quils agitaient en signe dadieu leurs cimes ensoleiles et quils virrent dans la lumire comme trois pivots dor. Travers les yeux de Proust il apparat qula lumire a laptitude de donner la vie aux clochers, mais cest seulement cause de ses sentiments artistiques et la capacit de la lumire de tromper les perceptions. La lumire se souligne partout dans le texte, et elle na pas seulement dattributs afin de changer les clochers. Proust la donne des qualits humains et elle est aussi comme un personnage. Proust dit que cette distance, sur leurs pentes, je voyais jouer et sourire. Le lecteur peut imaginer la lumire comme un personnage cause de cette phrase, mais aussi parce que Proust se sert dune point de vue personnel. Cette phrase est intressante parce que au mme temps que des sens de Proust se trompe, des sens du lecture se dupe par le texte.

On doit noter comment la scne change relativement lemplacement de Proust et les clochers. Il est curieux que le clocher de Vieuxvicq scarta, prit ses distances quand la voiture sapproche aux clochers et il retourne la place aprs le dpart. Ce clocher semble un peu fire en essayant de viter Proust quand il sapproche Martinville. Peut-tre parce quils nont pas lintention daller Vieuxvicq, Proust veut montrer ce clocher comme quelquun jaloux. Pendant quils quittent Martinville, Proust remarque que le clocher de Vieuxvicq seffaait pour que les deux autres pussent nous apercevoir. Il apparat que Proust fait une connexion avec les clochers quand il entre dans la ville, cependant il se sent un lien plus forte entre lui et les deux clochers. Encore, on peut voir des sentiments artistiques quil pouse. Les deux clochers semblent tristes parce quil part et essayent de le suivre, mais cest encore une perception. Il est artiste et il veut que quelquun veuille le comprendre et suivre, mais la fin les clochers ne peuvent pas trouver leur chemin afin de le suivre.

Toutes ces choses sont subordonnes au thme principal, le passage du temps dont Proust fait lexprience. Le passage entire se passe pendant un jour et Proust se sert de la variation du temps afin de montrer des changements de sa perception. Il utilise exclusivement les temps passs, en particulier limparfait qui donne le passage la sensation de couler, et des vnements semblent imprcises et vagues au temps. Au dbut du voyage il est vraiment conscient du temps, il remarque que les minutes passaient. Il ne dit pas que les heures passent, mais ce sont les minutes desquelles il est conscient, des petites moments de temps. Puis, le moment o la voiture entre la ville et Proust note que tout dun coup ils etaient les pieds des clochers. Cest presque immdiatement aprs que il dit que les trois clochers taient toujours au loin. Quand il pense au prsent le temps ne coule pas, ils glent devant lui, mais quand il pense au futur ce moment arrive. Cela marque la nature ingal de temps, la vitesse relle de temps se fonder sur les perceptions de lindividu. Encore, Proust souligne que aprs quils partent Martinville, il les accompagne quelques secondes avant quil disparaisse. Maintenant ses penses sont sur le pass parce quil ne peut pas croire la vitesse quils entrent et partent la ville. la fin du passage la voiture continue une vitesse quil compare au galop et le jour se finit. Cependent, pour son regard finale il tourne la ville en regardant les clochers font une suele forme noire et seffacent dans la nuit. La manire en laquelle il se termine le passage permet au lecteur lopportunit de se demander si les clochers jamais existaient.

Chacun doit assurer que leurs perceptions sont assez proche la vrit que possible afin de voir la ralit du monde. Malheureusement, il faut se rendre compte que les perceptions se fonder sur ce quil y a autour et dedans la personne et ils se trompent facilement. Marcel Proust se rend compte cette vraie nature et il la accept. Il se rend compte aussi quil y a une beaut dans les perceptions errones et quon peut apprendre beaucoup propos de cette chose et de soi-mme aussi si lon la regarde dune position diffrente, et au temps, comme un romantique.