Trahison de l'Etat Français

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requête de Mme Fabienne AMYOT auprès de L'OCDE pour dénoncer la forfaiture du système électoral, de la justice et plus globalement du gouvernement de la France, dénonciation également de la pédo-criminalité institutionnalisée.

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 1 30 juillet 2012

    Madame AMYOT Fabienne Pontarlier le 30 juillet 2012

    5 Rue Xavier Marmier

    25300 PONTARLIER

    France

    Candidate lElection Prsidentielle en France BUREAU DES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES

    ET DES DROITS DE LHOMME

    UI Miodowa 10

    00-251 WARSAW

    POLAND

    Monsieur le Responsable du BIDDH,

    Candidate llection prsidentielle en France en 2012, je saisis lOSCE pour concertation

    de tous les chefs dEtat et intervention immdiate pour :

    - Coup dEtat

    - Haute Trahison

    - Livraison de la France des organisations ultra criminelles

    - Dvoiement gnral des institutions pour le crime

    - Crimes massifs sur les enfants et sacrifices humains

    - Extermination des victimes et des tmoins par les institutions

    Seule la conscience et un sursaut de conscience sur ce qui se passe, peut empcher le plongeon

    irrmdiable de tous.

    Je demande lintervention de lOSCE pour quune lection prsidentielle lgale ait lieu en France.

    Je demande lintervention de la Communaut Internationale pour mettre fin aux crimes con tre les

    enfants et aux sacrifices humains.

    Je sollicite de lOSCE, une raction immdiate et de me permettre de tmoigner et de parler aux

    chefs dEtats runis.

    Ma lgitimit est dautant plus grande que le processus lectoral lgal a t viol en tout.

    LONU, la CPI, la Cour Europenne tant parties prenantes des faits et refusant toute intervention

    depuis plusieurs annes, nont plus capacit grer dune quelconque manire, leffondrement en

    cours conscutifs ces situations, qui relvent de la comptence de tous les chefs dEtat du monde.

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 2 30 juillet 2012

    Je demande lOSCE dintervenir immdiatement pour que la France puisse avoir un prsident

    lgitime et lu selon la Constitution et ainsi se donner les moyens de se reconstruire.

    Je dmontre dans la prsente, le coup dEtat qui a eu lieu en France en lieu et place des lections

    prsidentielles, la violation des droits des citoyens. Mais lOSCE doit se rendre sur place en France

    durgence.

    Il nexiste pas de moyens actuellement dintervention en France car la situation na jamais t prvue

    et dpasse le concevable et les institutions europennes sont totalement complices, mais il est

    simple et facile pourtant, par concertation, de mettre en uvre les moyens humanitaires

    lmentaires pour faire cesser les sacrifices humains.

    Il nexiste pas non plus de structures ou dinstitutions en Europe capable dapprhender lhumanicide

    franais.

    Seuls les chefs dEtat des pays du monde, hors ma zone Europe, peuvent nous aider.

    Cest pourquoi je madresse lOSCE. Il faut crer les moyens dagir durgence et jen appelle

    chaque chef dEtat pour quil trouve la force de ne pas se laisser anesthsier par la corruption alors

    que des enfants sont sacrifis comme de vulgaires insectes, dans des conditions de tortures jamais

    dcrits nulle part et par des criminels sans limite aucune dans leur libert daction.

    Je demande aux chefs dEtat de me recevoir et dentendre mon tmoignage et de prendre

    connaissance du plan de redressement ultime ncessaire durgence en France .

    Je prsente ici les faits dmontrant le niveau de corruption et de criminalit dans llection

    prsidentielle et la gestion institutionnelle courante, mais rien ne peut remplacer la venue sur place

    en France, urgente.

    I - CANDIDATURE A LELECTION DE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EN FRANCE

    ELECTION DE MAI 2012

    1-a) PRESENTATION DE MA CANDIDATURE :

    Citoyenne franaise de par ma naissance dans le dpartement du Doubs , ne le 25 juillet 1960 Les

    Gras, de parents franais, tant sujet de droits des liberts fondamentales civiles, politiques,

    conomiques et sociales fondant la Rpublique franaise et garanties par larticle premier de la

    Constitution qui dispose : les hommes naissent et demeurent libres et gaux en droits ,

    Jai dclar ma candidature pour llection prsidentielle 2012.

    Selon le code lectoral, jai donc signifi mon acte de candidature la Prsidence franaise :

    - A la Prfecture du Doubs le 9 mars 2012 en me rendant sur place (Pice N1)

    - Par courrier au Conseil Constitutionnel le 27/02/2012 (Pice N2)

    Le Prfet du Doubs a accus rception de ma candidature le 12 mars 2012 (Pice N3).

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 3 30 juillet 2012

    Jai inform le Conseil Suprieur de lAudiovisuel le 27 fvrier 2012 par courrier (Pice N4) en

    demandant laccs aux media et le respect du principe dquit du temps de parole.

    Je suis Docteur en Chirurgie Dentaire et diplme de H.EC.

    Je suis donc, candidate officielle lElection de la Prsidence de la Rpublique franaise.

    Jai prsent ma candidature au Poste de Procureur de la Cour Pnale Internationale en 2011 et

    jexerce actuellement un recours auprs de lAssemble Gnrale de lONU pour cette lection.

    Jai une exprience juridique, humanitaire, politique et internationale de trs haut niveau, acquise

    depuis ma toute petite enfance en voyant agir ma famille activement implique dans des activits

    financires, idologiques, politiques locales, nationales et internationales et acquise par ma

    formation personnelle et mon exercice professionnel.

    LONU parait ne plus tre en mesure de remplir sa mission, de nombreux faits cits dans la prsente

    le dmontrent. LONU tant un organisme destin rendre la justice, comme pour toute structure

    judiciaire, soit il agit avec impartialit envers tous, soit il devient instrument de terrorisme et

    condamne des innocents. Sabstenir de faire cesser des crimes, cest condamner des innocents.

    Je demande lOSCE de senqurir des moyens mis en uvre par lONU pour contraindre la CPI

    procder une lection lgale, prvue au Statut de Rome. En effet, le procureur actuel a t impos

    sans lection et vient de prendre son poste, en toute illgitimit. Toutes ses dcisions sont frappes

    dillgitimit. Personne ne peut bafouer la justice la face du monde. La CPI donne lexemple de la

    corruption aux autres pays. Cela ne peut pas tre laiss en ltat. Ce sont les enfants franais qui

    paient le prix de ce type de corruption-l.

    1-b) DROIT DETRE CANDIDATE ET CHANCES DETRE ELUE :

    Ma candidature de femme, de 51 ans, avec une exprience significative et une dmarcation radicale

    des partis politiques et de leurs programmes, a une place relle aujourdhui dans la socit franaise,

    est une expression de la libert dexpression garantie galement par la Constitution et est un retour

    la ralit de la Constitution elle-mme qui non seulement ne prvoit pas les programmes des partis

    politiques mais les interdit puisquen son article 27, elle stipule : tout mandat impratif est nul .

    Ce qui signifie quen France, il est interdit de dlguer pouvoir aux parle mentaires ou un groupe de

    parlementaires en vue dune action dfinie dans la dure et dans la tche, selon des modalits

    prcises et avec orientation politique. Les parlementaires doivent demeurer libres. En ralit, ils sont

    regroups et ces groupes encadrent les diffrents partis et ont interdit laccs llection

    prsidentielle quiconque nmanant pas de leur choix , valeurs , violant un principe fondamental

    de la Nation et le processus lectoral lgal.

    Mes chances dtre lue sont relles et de plus ma candidature a un poids dhumanit grave qui

    rejoint le vcu dune majorit de franais.

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 4 30 juillet 2012

    Cest ma libert de citoyenne que de me prsenter llection prsidentielle et de bnficier des

    moyens lgaux et des moyens identiques et quivalents mis la disposition des autres candidats

    llection par la Rpublique franaise.

    Toute lessence de la Constitution stipule la souverainet des droits de lHomme et du Citoyen et

    spcifiquement larticle 6 qui dit : Tous les citoyens sont gaux ses yeux (la loi) sont galement

    admissibles toutes dignits, places et emplois publics, selon leur capacit et sans autre distinction

    que leurs vertus et leurs talents .

    Le Pacte International du 16 dcembre 1966 garantit en son article 25 le droit de voter et dtre lu

    au suffrage universel.

    Or, jai t prive de tous les moyens octroys par la loi pour me prsenter, y compris par violation

    de ma vie prive et ma dclaration de candidature a t carte doffice de la liste des candidats,

    bien que lgale.

    Le Rpertoire National des Elus, prsent comme fondement de llection, condition du parrainage,

    na t tabli que pour certains candidats.

    Les institutions ont radiqu ma candidature et mont prive de laccs au Rpertoire National des

    Elus qui me permettait dtre parraine et qui est prsent comme fondement lgal de candidature.

    II ELECTION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ENCADRE PAR LA CONSTITUTION

    SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT :

    Chaque citoyen franais a droit un processus lectoral pour lElection Prsidentielle quitable,

    accessible tous, compte-tenu quil constitue la dignit extrme permettant aux franais de choisir

    leur Prsident, en fonction de ses vertus et de ses talents.

    En tant que candidate, je suis donc en droit dattendre une procdure lectorale, claire, prcise,

    bnficiant de moyens institutionnels manifestement adquats et quitables, tels que tout citoyen

    franais sait pouvoir bnficier.

    En lieu et place, un coup dEtat pernicieux, radiquant dautant plus srieusement la notion de droit

    de lhomme pour tous les franais, a t mis en uvre, pour culte de personnalit.

    Doctrine fondant lELECTION PRESIDENTIELLE EN FRANCE :

    En France, la Constitution de la V Rpublique garantit lexercice des droits politiques tout

    citoyen. Cest un droit fondamental.

    Tout citoyen g de plus de 18 ans, ayant la qualit dlecteur, peut se porter candidat aux

    lections prsidentielles, sans condition.

    Le seul motif dimpossibilit est davoir t pralablement dclar inligible.

    Le mode dElection du Prsident de la Rpublique en France en 2012 est le

    suffrage universel direct.

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 5 30 juillet 2012

    Le processus qui lui a t substitu est un coup dEtat et la France est actuellement sans Prsident

    Mr HOLLANDE na aucune lgitimit- Chaque jour qui passe dtruit un peu plus notre pays

    Le fondement doctrinal de llection prsidentielle est inalinable.

    Tous les moyens mis en uvre pour radiquer, dvoyer, lier, dnier le mode inalinable d Election

    du Prsident de la Rpublique franaise au suffrage universel direct, constituent un coup dEtat, ds

    lors quils sont mis en uvre massivement et par trahison et quils ont concrtement abouti.

    Sans lappui des autres pays europens, ces manuvres et cette prise de pouvoir par tromperie,

    trahison, vol des droits de tous les citoyens, une telle atteinte la souverainet de la Nation franaise

    tait impossible. Depuis 3 ans, je dnonce et dmontre avec des faits et preuves massives, auprs de

    la CPI, de lONU une livraison pieds et poings lis des franais des drives totalitaires et aux crimes.

    LONU et la CPI ont laiss cette sale guerre, la pire, mene par inceste, aller son terme de justice

    par elle-mme. Le processus est irrversible et ceux qui pensent tirer profit des atrocits commises

    en France, de linstrumentalisation de ces atrocits, doivent tre immdiatement dmis de toutes

    leurs fonctions.

    Dans le processus lectoral qui vient dtre mise en uvre, en pratique, les institutions et les

    candidats imposteurs ont radiqu le suffrage universel direct, instaurant un suffrage indirect

    drastique, avec des moyens manifestement occultes rservs eux seuls pour parvenir tre inscrit

    sur la liste lectorale, gr par des acolytes. Ils ont ainsi rduit lensemble des citoyens en tat

    dinligibilit par un coup de force, ont privatis lensemble des moyens institutionnels, ne

    permettant aux franais, maintenus dans la dsinformation, que de voter pour des candidats

    dtermins et ont ainsi corrompu lensemble des droits des citoyens au profit dune minorit.

    Sont ainsi radiqus lexistence et jusquau principe mme dexistence dune Constitution, de la

    socit franaise.

    La souverainet du peuple franais sexprime et ne peut sexprimer que dans le suffrage direct.

    III - PROCESSUS MIS EN OEUVRE POUR LELECTION PRESIDENTIELLE A LA PLACE DE LA DOCTRINE :

    En tant que candidate, jai constat et jai t confronte aux faits que :

    - Ce processus lectoral du Prsident de la Rpublique , fond sur la loi de 1962, a donn lieu

    des centaines de lois, dcrets, textes, modifiant tous les articles de cette loi de 1962, la

    vidant de sa substance, sans que son cadre extrieur ne soit modifi

    - Ces modifications nont pas toutes t suivies de dcrets dapplication ne donnant pas les

    moyens de se conformer la loi, ni de rendre concret le processus lectoral

    - Certains dcrets dterminent des droits pour les citoyens dans le processus de llection mais

    ne sont pas appliqus et la privation de droits est inflige sans scrupule

    - De nombreuses lois, non crites (constitues de notifications telles que modifies ,

    supprimes , ) sont utilises comme rfrences lgales des modes de procdures, de

    ce fait, totalement vides de doctrine

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 6 30 juillet 2012

    - La hirarchie des normes juridiques nest aucunement respecte et est inverse quasiment

    systmatiquement

    - La doctrine de la Constitution est radique par des mises en uvre totalement inverses

    - Des dcrets modifis, qui sont parus au journal officiel, ne sont pas appliqus mais la forme

    antrieure aux modifications est applique.

    - La corrlation entre les lois et les dcrets est inexistante

    Il en rsulte que la loi nest pas lisible, ni comprhensible, encore moins ralisable.

    Il en rsulte une inexistence de cadre lgal du processus lectoral et linstauration dune anarchie

    lectorale constatable sans quivoque qui, grce au soutien des institutions, tait destine

    rserver toutes les institutions aux candidats corrompus.

    Il en rsulte que les candidats non corrompus se voient opposer toute sorte dobligations absurdes

    sans aucun fondement lgal qui sont irralisables et souvent totalement subjectives et sont privs de

    tous les droits objectifs puisque le cadre lgal constitutionnel qui est le seul garant, est rejet par les

    institutions charges de la lgalit du processus lectoral.

    La notion de scurit juridique nest mme plus invocable en tant que dfaillante. Le contexte et les

    faits que je dmontre dans la prsente, rvlent et mettent en vidence, un terrorisme juridique au

    cur de la nation franaise, dans ce quelle a de plus prcieux : llection du Prsident de la

    Rpublique.

    De lanarchie des textes et des mises en uvre, et de leur foisonnement, il rsulte que les candidats

    corrompus ont instrumentalis tout le processus, y compris le vote et sont inconcevablement

    parvenus, avec une incroyable arrogance, imposer de force comme une lection , un coup

    dEtat.

    En tant que candidate confronte aux institutions, jai constat que :

    - Les institutions ont mis en uvre un processus interne dlection dont les modalits sont

    tenues secrtes et sont rserves aux candidats dont la liste est arrte par un mode

    galement secret, plusieurs mois avant llection

    - Aucune institution nest un interlocuteur, toute se renvoyant la responsabilit des entraves

    et / ou carences

    - Llection prsidentielle na aucune autorit de recours sa tte pour dposer un recours

    effectif avec des responsables devant les citoyens dune corruption de llection

    - Elles imposent certains modes procduraux caducs sans aucun cadre de rfrence lgale

    - Les droits prvus dans les dcrets sont rservs quelques personnes

    - Les moyens de llection prvus dans les dcrets ne sont pas tablis

    - Les modes de mise en uvre des tapes ne sont pas formuls et accessibles tous. Il

    nexiste aucun mode lgal dapplication, donc sont maintenus occultes. Ils ne sont divulgus

    qu quelques candidats et mis en uvre rien que pour eux

    - Les critres daccs ces moyens occultes pourtant dcrts publics et obligatoires pour

    llection, sont de nature discriminatoire, subjectifs, et tablissent une catgorisation

    radicale des personnes selon quelles sont juges suivant des critres de : crdibilit,

    prsidentiabilit, honorabilit et appartenance lhonorariat,

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  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 7 30 juillet 2012

    - Ces critres subjectifs ont fait lobjet de recommandations auxquelles il a t donn une

    valeur juridique qui se substitue toutes les garanties de la Constitution, lgalisant un

    vritable code de corruption et intronisant une dictature dont la doctrine est crite, qui

    relve de la pire barbarie.

    Il en rsulte dans le processus mis en uvre une disparit extrme des moyens institutionnels,

    avec viction et privation totale et radicale du choix de leur prsident par les franais.

    Deux ou trois candidats du premier tour ont dispos de tous les moyens institutionnels, rservs

    pour eux seuls, pour tre imposs aux lecteurs. Ils ont pu mettre en uvre toutes les modalits

    qui leur convenaient, sans cadre lgal qui nest pas dfini.

    Pour les autres candidats, le rejet a t signifi par dni dexistence avec des courriers manant

    des institutions qui ratifient sans vergogne lexistence des discriminations et les lgitime. Il en

    rsulte de nombreuses ratifications crites dinquit reconnue, de discrimination normalise,

    de signification de non appartenance la nation.

    IV- CADRE CONSTITUTIONNEL ET FONDEMENT DOCTRINAL INALIENABLE DE LELECTION

    PRESIDENTIELLE :

    Ce que dit la loi aujourdhui en France en matire de llection du Prsident de son Rpublique :

    4- a) La Constitution dit en Titre II Prsident de la Rpublique :

    Article 6 : Le Prsident de la Rpublique est lu pour 5 ans au suffrage

    universel direct.

    Les modalits dapplication du prsent article sont fixes par une loi organique

    En ce qui concerne la dclaration de candidature des candidats, la loi prvoit que seul un candidat

    dclar inligible peut tre exclu de la liste lectorale.

    Aucun candidat, ne peut tre exclu de la liste lectorale sous un quelconque autre motif , sauf violer

    la Constitution, invalider lensemble du processus lectoral, instaurer une disparit normalement

    impossible mettre en uvre un tel niveau, avec de telles consquences, sans quune dictature ne

    soit dj en place.

    Le fondement lgal et la mise en uvre de llection prsidentielle sont donc constitutionnellement

    clairs, prcis, simples et inviolables.

    4-b) Ce qui dcoule de la Constitution :

    La Constitution prime en tout dans la hirarchie des normes.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 8 30 juillet 2012

    Le suffrage universel direct signifie que tous les citoyens, non privs des droits citoyens peuvent

    voter, pour tous les candidats dclars, sans restriction, ni condition de dclaration que la seule

    libert de le faire (sauf si ingibilit signifie ).

    La dmocratie et la libert individuelle qui fondent la Rpublique Franaise exigent pour llection

    prsidentielle :

    - Le suffrage universel

    - Le suffrage direct

    - Le droit politique et individuel pour tout citoyen de se dclarer candidat tout type

    dlection (sauf si cumul de mandats interdit)

    - Le droit de vote gratuit, sans condition

    - Le droit de vote lac

    Il est manifeste que toute modification arbitraire de ces modalits qui sont patrimoine inalinable et

    inviolable de la nation et des citoyens franais tous ensemble, constitue une prise de pouvoir

    illgitime et une atteinte suprme la Souverainet de la Nation franaise et des citoyens, qui de

    plus, fait basculer dans la dictature sournoise, tue la ralit de la Rpublique, ds lors que la loi

    dapplication du mode dlection du Prsident de la Rpublique, viole en tout le principe

    constitutionnel qui la motive.

    Labsolue transparence originale du processus dict par la doctrine se suffit lui-mme.

    4-c) Loi organique qui viole la doctrine de larticle 6 de la Constitution : suffrage direct, quelle a

    mission ddicter :

    La loi organique appliquant le principe de suffrage universel direct, doit respecter en tous points le

    principe constitutionnel et le fondement doctrinal quelle a mission de mettre en uvre : le suffrage

    universel direct.

    La loi organique mise en uvre pour llection prsidentielle de 2012 doit donner les moyens du

    suffrage universel direct, rien que du suffrage universel direct et du suffrage universel direct dans

    sa totalit

    Or la loi qui a t promulgue pour appliquer le principe constitutionnel dlection au suffrage direct,

    le viole en tout dans les modalits quelle dicte pour le mode de procdure de lElection du

    Prsident de la Rpublique, elle prohibe le suffrage direct, linterdit et met sa place un suffrage

    indirect rserv de plus quelques citoyens, mis en exergue par force et contrainte, parfois par

    processus lectoral trois niveaux institutionnels dont les deux premiers sont occultes. Ainsi Mr

    Hollande Franois qui sest prt ces faits, a dabord fait procder une violation de la constitution

    en exigeant quun processus illgal de mise en avant de sa personne soit fait par suffrage payant et

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 9 30 juillet 2012

    par suffrage manifest par des personnes qui ont rempli un engagement modalits idologiques ,

    quils ont t contraints de signer, ce qui relve de lendoctrinement totalitaire et est prohib par la

    Constitution.

    Que de telles mises en uvre puissent avoir lieu en France alors que le code lectoral ne les pr voit

    pas, quelles radiquent tout principe dquit, dgalit, de libert et de fraternit est extrme,

    puisque les institutions sont parties prenantes.

    Mais que le rsultat de telles manuvres soit ensuite impos de force aux citoyens au sein de

    llection prsidentielle, en remplacement du mode de prsentation constitutionnel de candidature,

    dmontre le niveau de privation de droit et de libert qui svit en France.

    La violation du principe Constitutionnel a t faite par le Conseil Constitutionnel et m ise en uvre

    galement par lui. Cest un coup dEtat.

    4-d ) Ce qui doit tre mis en uvre :

    Je demande lOSCE de ragir immdiatement, de faire cesser loutrage inflig aux franais avec la

    caution de lONU, de dclarer nul et subversif le processus lectoral avec parrainage par collge

    lectoral qui a t mis en uvre en France en lieu et place du processus lectoral const itutionnel

    avec suffrage direct, en vigueur selon sa Constitution.

    Je demande lOSCE, de prendre en compte la souffrance des franais, pris en otage jusque dans

    leurs droits lmentaires fondamentaux, jusque dans les lections nationales par des manipulations

    aussi flagrantes, videntes, grotesques, durables, humiliantes de violations constitutionnelles par un

    groupuscule qui sest appropri le patrimoine national humain et qui sest appropri les institutions

    dont il avait mission de gestion au nom des citoyens qui leur ont fait confiance et qui se retrouvent

    leurs esclaves, privs de droits et contraints en tout.

    Je demande lOSCE de faire procder lElection prsidentielle en France selon le fondement

    lgal constitutionnel et sur la base de la liste des candidats qui ont respect les textes et les lois en

    vigueur la date du 19 mars, date laquelle la liste dfinitive des candidats a t arrte.

    Je demande lOSCE dcarter dfinitivement de llection et de dclarer inligibles les candidats qui

    ont suivi un mode illgal et corrompu afin de figurer sur la liste lectorale et qui ont ainsi contraint

    des lus, des maires, violer la Constitution et les ont corrompu volontairement, par soif de pouvoir

    au dtriment du bien commun national et de la morale lmentaire.

    De nombreux maires ont fait tat de menaces durant la priode de parrainage, de nombreux maires

    ont demand de laide. Mmes leurs plaintes ont t touffes.

    Aucun candidat llection prsidentielle qui a mis en uvre des manuvres de parrainage ne peut

    prtendre ignorer la Constitution et le mode lectoral inalinable des franais au suffrage direct.

    Ces candidats ont trahi en toute connaissance de cause et doivent tre jugs pour ces faits, selon les

    traits signs par la France et en vigueur dans la Communaut Europenne et internationale.

    V -LA LOI DU 6 NOVEMBRE 1962

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 10 30 juillet 2012

    Cette loi, vote pour que les franais aient libert dlire le Prsident de leur choix, a t modifie

    sans cesse par tous les gouvernements. Elle ne garde de sa nature originelle que le nom et la date

    ainsi que la signature du Gnral de Gaulle, toujours sens en tre lauteur alors -mme quil ne reste

    rien du texte, du sens et des droits originaux.

    Pire, cette loi, et les modifications quelle a subies, nont pas t suivies des dcrets dapplication

    ncessaires pour mettre en uvre le mode dlection quelle instaure et impose.

    Le principe de llection du Prsident de la Rpublique franaise, non seulement nest pas respect

    dans sa doctrine constitutionnelle mais nest pas encadr lgalement par carences graves,

    manifestes, chaque tape du processus de clarifications sur les modes procduraux mettre en

    uvre par les candidats pour remplir les obligations, majoritairement contradictoires, qui leur sont

    opposes sils tentent de suivre les rares dcrets, de les dcrypter, de comprendre comment les

    articuler avec la loi et comment faire pour combler les carences.

    VI - Dcret 2006-1244 du 11 octobre 2006 (Pice N5 ) dit portant mesures de simplification en

    matire lectorale .

    Ce dcret stipule en son article 3, que la dclaration de candidature pour les lections doit se faire

    en prfecture par les candidats avant chaque tour de scrutin.

    Jai donc dclar ma candidature selon le mode prvu par la loi en me rendant la Prfecture du

    Doubs, dpartement de mon domicile, le 9 mars 2012.

    Le dcret 2006-1244 fait ainsi tat de lois encadrant llection comme :

    Larticle R 811- 5 du code de justice administrative, les articles 640, 641, 642 du Code civil, la loi 77-

    729 du 7 juillet 1977 modifie relative llection des reprsentants au parlement europen, la loi

    78-17 du 6 janvier 1978 relative linformatique et aux liberts, le dcret 2005-1613 du 22 dcembre

    2005 relative aux listes lectorales consulaires.

    Ainsi, pour chaque dcret cit, il sera fait rfrences dautres articles de lois, dautres dcrets, tous

    invoqus comme cadre de loi de llection du Prsident de la Rpublique soit des milliers de

    rsolutions, qui concrtement, sont une pure folie, inutilisable, frapps de nullit et qui laisse le

    processus lectoral orphelin de tout cadre juridique, vid de toute doctrine.

    Ce dcret stipule article 15 quil modifie le dcret 2001-777 en lui ajoutant comme source de droit

    lapplication de la lgislation sur lhonorariat des lus locaux. Or cette lgislation appartient au Code

    Gnral des collectivits Territoriales et ce texte nest pas cit comme loi source du dcret

    dapplication en premire page du dcret. Cest lanarchie absolue.

    Ce dcret fait tat au Chapitre II article 3 des modalits de dclaration de candidature pour les

    lections. Il stipule la dclaration de candidature prescrite larticle

    L210-1 est dpose la prfecture, pour chaque tour de scrutin par

    le candidat ou un mandataire dsign par lui, dans le dlai fix par

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 11 30 juillet 2012

    arrt prfectoral. Elle comporte les nom, prnoms, date et lieu de

    naissance, domicile et profession du candidat

    Refus du Conseil Constitutionnel dappliquer la loi en vigueur :

    Or les Conseil Constitutionnel a cart mon nom de la liste lectorale sans autre considration,

    opposant des modalits de prsentation de candidature manant dun autre dcret, datant de 2001

    ( !) et qui sont non corrlables et non corrles en rien avec le dcret lgal en vigueur datant de

    2006.

    Le Conseil Constitutionnel a tabli la liste des candidats sur un mode de prsentation par suffrage

    par un collge lectoral qui nest en dfinitive un choix des candidats au coup dEtat, puis ensuite

    de consentement donn par les personnes prsentes comme tant prsidentiables. Le Conseil

    Constitutionnel sappuie pour ce faire sur le dcret 2001-777 du 30 aot 2001 (Pice N6) qui dicte

    uniquement le mode ddition du Rpertoire National des Candidats et des Elus.

    Sans quil ne soit possible de comprendre la corrlation entre la loi et les dcrets dapplication, le

    Conseil Constitutionnel considre que la loi de 1962 est rendue applicable par le dcret 2001-777 de

    2001 et dnie la lgalit du dcret en vigueur N 2006-1244 de 2006 portant mesures de

    simplification en matire lectorale.

    Le dcret de 2006 dicte un nouveau processus lectoral, qui stipule les textes, lois, dcrets quil

    simplifie dont le dcret 2001-777 cit en page 1. Le dcret de 2006 stipule, article 3, que la

    dclaration de candidature doit se faire en prfecture par les candidats avant chaque tour de scrutin.

    Le dcret 2006-1244 ayant t dict en 2006, donc aprs le dcret 2001-777 de 2001, reprenant de

    plus comme source de droit ce premier dcret, a aussi bien dans la chronologie que dans la nature,

    autorit dans la hirarchie des normes.

    Il est clairement stipul dans ce dcret le mode de dclaration de candidature, il nest en rien fait

    tat dune restriction pour une quelconque lection. Toutes les tapes du processus lectoral ne sont

    pas dictes par la loi, et laccs fait dfaut gravement, comme pour le parrainage. Mais pour ce qui

    est de la dclaration de candidature aux lections, le texte est clair et incontournable.

    Tous les citoyens doivent pouvoir sappuyer sur la loi. Nul na pouvoir dcarter de la liste lectorale

    quiconque a respect de bonne foi la loi.

    Ces faits dmontrent le niveau de corruption du processus lectoral.

    Ceux qui ont pris le pouvoir en France par de tels moyens, mnent le pays directement et

    volontairement leffondrement, avec de belles paroles, exactement comme ils ont men la

    campagne lectorale.

    VII - Dcret N 2001 777 du 30 aot 2001 pris pour lapplication des dispositions du 3 alinea de

    larticle 31 de la loi N 78-17 du 6 janvier 1978 relative linformatique, aux fichiers et aux liberts

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 12 30 juillet 2012

    et portant cration au Ministre de lintrieur dun fichier des lus et des candidats aux lections

    au suffrage universel (Pice N6):

    Le premier dcret 2001 -777 dtermine uniquement les informations que les lus habilits

    parrainer et les candidats aux lections doivent tenir la disposition des citoyens et le mode de

    transmission et de conservation de ces donnes appeles Rpertoire National des Elus et des

    Candidats .

    De plus ce dcret qui consiste tablir un Rpertoire et uniquement un Rpertoire, prtend donner

    ce Rpertoire comme norme lgale, alors mme quil est modifi quotidiennement et tenu occulte et

    quil a comme finalit selon larticle 2 de ce dcret :

    a) Le suivi des candidatures dposes et des mandats et fonctions exerces par les lus en vue

    de linformation du Parlement, du Gouvernement de ses dlgus et des citoyens

    b) La centralisation des rsultats du scrutin

    c) Lapplication de la lgislation sur linterdiction des candidatures multiples

    d) Lapplication de la lgislation sur le cumul des mandats et fonctions

    e) Lapplication de la lgislation sur le financement de la vie politique

    f) Lapplication de la lgislation sur lgal accs des femmes et des hommes aux mandats

    lectoraux et fonctions lectives

    g) Lapplication de la lgislation sur la prsentation des candidatures llection prsidentielle

    h) Lhabilitation des partis et groupements politiques participer la campagne en vue dun

    rferendum, lorsquils sont reprsents au sein dun groupe parlementaire ou en fonction de

    leurs rsultats lectoraux

    Le moyen dappliquer ces lois, que constitue le RNEC est absurde dune part et de plus occulte.

    Aucun citoyen na pu en prendre connaissance. Seuls les candidats dont il est fait tat dans laline a a)

    de larticle 2 ont eu accs ce RNE donc lapplication de lensemble des lois lectorales de la

    nation !

    Cest tout le processus lectoral qui est rendu occulte par les institutions en dcrtant ce Rpertoire

    comme seul moyen daccs llection et de plus, en ne le produisant pas.

    Ce dcret dtermine toutes les modalits dun coup dEtat et a t mis en uvre jusquau bout.

    Dune part, la dtermination des candidatures par mode denregistrement occulte sur une liste

    occulte est une corruption extrme.

    Dautre part, le Conseil Constitutionnel a mission et obligation de protger lintrt des citoyens. Or il

    doit pour ce faire, au minimum respecter la Constitution . Or larticle 2 de ce dcret stipule en

    paragraphe h quune loi encadre la formation de groupe parlementaire, que ces groupes

    donnent habilitation aux partis politique participer la campagne prsidentielle et ce alors que la

    Constitution dit que, concernant le Parlement, article 27 : Tout mandat impratif est nul, le droit de

    vote des membres du Parlement est personnel

    Le Conseil Constitutionnel ne peut pas tolrer quun tel dcret soit appliqu puisque non seulement

    ils privent les citoyens du droit Constitutionnel mais il met en uvre des moyens en tout contraires

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 13 30 juillet 2012

    leurs droits, donc abuse extrmement. Or le Conseil Constitutionnel exige lapplication de ce dcret

    envers les candidats citoyens, alors-mme que le Rpertoire nest pas public.

    Ds lors quon viole le bloc de Constitutionnalit dune nation, la sret juridique est non seulement

    radique mais les citoyens sont directement sous dictature et cest le rgime de la terreur qui

    prvaut en tout. Que la Constitution soit viole aussi durablement, aussi massivement, ne peut que

    prouver, si besoin tait, le totalitarisme.

    il ny a aucune directive lgale spcifiant comment un candidat peut tre inscrit dans ce Rpertoire

    donc tre rendu parrainable , ni aucune directive lgale pour le processus concret de liaison entre

    le Rpertoire ainsi tabli et le mode de parrainage lgal permettant au candidat de remplir ses

    conditions de ratification par les lus contenus dans le Rpertoire et pour y figurer en tant que

    candidat.

    Un parrainage non occulte, non corrompu imposait que tous la liste de tous les candidats dclars

    soient officiellement prsente aux lus et que tous les candidats bnficient des mmes moyens en

    mode, nature, temps, pour se prsenter aux lus.

    La loi de 1962 dit, titre IV, que Tous les candidats bnficient de la part de lEtat des mmes

    facilits pour la campagne en vue de llection prsidentielle

    Le parrainage tant impos comme processus fondant llection prsidentielle, doit respecter

    lquit et donner les moyens tous les candidats de bnficier des mmes facilits.

    En ralit, le parrainage est rserv certains candidats par corruption et moyens occultes et les

    autres candidats sont privs dapplication de la loi par des moyens violents, sans limite, dcrits plus

    loin. Ce sont des faits de terrorisme dEtat, tel que les traits internationaux les dterminent

    VIII- MEMENTO DU CANDIDAT A LELECTION PRESIDENTIELLE 2O12 (Pice N24):

    Le Conseil Constitutionnel a tabli un guide de llection pour le candidat qui na aucun moyen en

    tentant de se rfrer aux lois en vigueur, davoir accs aux obligations lgales du processus, tant elles

    sont disparates.

    Ce memento est un patch work de textes, coutumes ou mthodes qui manent dont ne sait o, qui

    sont extraites de toutes sortes de textes de lois, certaines ntant pas mme destines llection

    prsidentielle.

    Ce mmento dit se rfrer au code lectoral, mais il nen garde quune partie des articles (page 4).

    Ce sont toutes les modalits de ce memento et rien que les modalits de ce memento qui ont t

    mises en uvre pour le processus lectoral.

    Ce memento cite page 4, les textes applicables llection du Prsident de la Rpublique, dont

    seulement 3 articles de la Constitution (6,7,58).

    Or larticle 6 est viol par les procdures dcrites page 5 de prsentation des candidats puisque le

    suffrage direct est radiqu.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 14 30 juillet 2012

    Larticle 27 qui interdit aux parlementaires un mandat impratif, donc dautant plus une intervention

    obligatoire, nest pas cit.

    Le processus lectoral ne peut pas avoir comme base de constitutionnalit 3 articles de la

    Constitution mais la Constitution dans son ensemble et en priorit selon la hirarchie des normes.

    Ce memento fait tat de lois diffrentes de celles stipules dans larticle 2 du Dcret 2001-777.

    Il stipule lordonnance 58-1067 du 7 novembre 1958, la loi organique 62-1292 du 6 novembre 1962,

    le dcret 2001-213 du 8 mars 2001

    Il nest pas fait tat du dcret 2001-777 du 30 aot 2001 dont les obligations sont pourtant mises en

    uvre dans le processus lectoral jusqu faire entrave aux candidatures des citoyens.

    Il nest pas fait tat des multiples autres dcrets, toujours en vigueur qui ont t dicts pour rviser

    le code lectoral. Je cite pour exemple le dcret 64-1086 du 27 octobre 1964 portant rvision du

    Code Electoral (Pice N), qui fait tat en son article 3 de modifications partielles de pas moins de 12

    dcrets en vigueur concernant le processus lectoral.

    Il nest pas fait tat du dcret 2006-1244 du 11 octobre 2006 portant mesure de simplification en

    matire lectorale.

    Il existe ainsi des centaines de rsolutions, se contredisant, sans corrlation, en tout point contraires

    la Constitution dont lapplication na pas mme suivi les modes institutionnels obligatoires, et que

    le lgislateur a pris soin de ne runir dans aucun texte soumis au pouvoir excutif selon les modes

    imposes par la Rpublique pour approbation, promulgation et mise en uvre.

    Il en rsulte que les dispositions lectorales sont prises au gr des besoins, quil nexiste aucun texte

    de loi rdig de manire exhaustive, comprhensible et apte tre appliqu.

    Le processus lectoral a t mis en uvre en labsence de toute loi lencadrant et apte lencadrer.

    Llection est non seulement corrompue dans sa mise en uvre mais le cadre lgal du processus

    lectoral nest pas dtermin. Pire la profusion de textes, de dcrets, de rfrences sans corrlation

    aucune les unes entre elles, sans possibilit de mise en uvre, dmontre le niveau danarchie, de

    dsordre institutionnel, la volont de nuire et le mpris des citoyens franais et de leurs personnes.

    Je ne parle pas de leurs droits puisquil est vident que dans un tel contexte, le principe mme de

    droit na plus aucune place ni survie possible. La privation des droits a entrain leur radication

    totale jusque dans ce qui constitue le fondement de la nation franaise : llection prsidentielle

    IX - ETABLISSEMENT DE LA LISTE LEGALE DES CANDIDATS A LELECTION PRESIDENTIELLE PAR

    LOSCE :

    Le mode de prsentation de candidature par parrainage ne prvoit pas que le candidat dclare sa

    candidature en Prfecture et mme linterdit puisque le candidat parrain na que le droit de

    donner son consentement aprs avoir obtenu 500 Parrainages, ce dont seul le Conseil

    Constitutionnel se dclare habilit linformer, aprs que la liste lectorale ait t tablie. Il ne sagit

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 15 30 juillet 2012

    donc, de plus, pas dune dmarche personnelle dun candidat qui se prsente pour tre lu prsident

    mais bien dun groupe parlementaire qui place son favori dans la course llection.

    Dans sa nature, le processus actuel est lexact oppos de celui voulu par le Gnral de Gaulle et les

    franais par referendum.

    Le problme dans ce processus, par ailleurs occulte, puisque mis en uvre sans mode lgal

    procdural, est que laccs la prsidence est ainsi rserv un groupuscule dj au pouvoir et

    qui dtourne la loi et toutes les institutions du pays son unique profit. On connait par exprience ce

    que sont capables de faire ceux qui prennent le pouvoir par la force et les consquences.

    Le Code Electoral qui stipule pour toutes les lections un mode de dclaration en Prfecture est

    galement en vigueur et les modalits de dclaration de candidature ne sont en rien corrlables avec

    un consentement du candidat donn a posteriori du parrainage.

    Il y a donc deux groupes de candidats qui se sont prsents llection prsidentielle en 2012, selon

    le mode quils ont choisi pour tre lu. Un groupe a considr que figurer sur la liste lectorale tait

    un but qui mritait tout moyen et est inscrit par consentement avec soutien du Conseil

    Constitutionnel. Un groupe a suivi les textes de loi et est inscrit par dclaration mais le Conseil

    Constitutionnel refuse lapplication de la loi leur encontre.

    Les noms des candidats ne sont toujours pas connus des franais qui nont donc pas vot librement.

    Le consentement, mode mis en uvre par les candidats parrains pour figurer sur la liste lectorale,

    ne peut intervenir quaprs que le Conseil Constitutionnel ait arrt la liste des candidats ayant

    obtenu 500 Parrainages.

    La dclaration de candidature, mise en uvre par les candidats citoyens et qui respectent le dcret

    en vigueur, ne peut tre faite quavant la date limite dtablissement de la liste lectorale par le

    Conseil Constitutionnel.

    Les carences de mise en uvre procdurale de la loi lectorale prvoyant un parrainage sont telles

    quil est impossible de savoir comment tre parrain et par qui puisque pour pouvoir ltre, il faut

    faire partie des lus ou mettre en uvre des moyens corrompus et dans tous les cas occultes

    puisque non publics, cachs, secrets et dont il est impossible den connaitre les moyens.

    En tant que candidate, cherchant comprendre et respecter le processus lectoral constitut ionnel,

    jai t contrainte par la raison et la citoyennet, de faire les deux dmarches lgales :

    - dclarer ma candidature en prfecture pour respecter les textes en vigueur et ne pas violer les

    droits des citoyens

    - obtenir les parrainages pour me soumettre aux obligations du Conseil Constitutionnel

    Les autres candidats ont rempli les conditions de parrainage mais nont pas dclar leur candidature

    en prfecture avant le scrutin. Le Conseil Constitutionnel a sollicit leur consentement tre

    candidat aprs les avoir informs quils avaient recueilli 500 Parrainages.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 16 30 juillet 2012

    Mon nom a t cart abusivement de la liste lectorale au motif que je nai pas rempli les

    conditions imposes par le Conseil Constitutionnel, sans quil ne soit tenu compte que javais rempli

    les conditions lgales.

    Aucun texte de loi ne dit que les candidats doivent remplir les deux conditions : dclaration en

    Prfecture et parrainage et aucun texte de loi ne dit que le parrainage se substitue lobligation de

    dclaration de candidature en Prfecture, ou lui est suprieur.

    De plus, les moyens prvus dans le dcret 2001-777 pour dclarer ma candidature ne mont pas t

    attribus par les institutions par privation arbitraire que je dmontre sans quivoque plus loin.

    Il est manifeste que les deux modes de dclaration de candidature prvus dans les deux dcrets ne

    sont en rien corrls, ni corrlables. La nature mme de la dclaration de candidature dans les deux

    modes est oppose, dans des temps diffrents du processus lectoral, avec une doctrine

    fondamentalement oppose : lune par dclaration citoyenne personnelle et directe la Prfecture

    du domicile du candidat qui se dclare , lautre par consentement a posteriori et suite une

    proposition collgiale et sans aucun mode de dclaration concret et personnel auprs des

    institutions.

    Or, la promulgation du dcret 2006-1244 en octobre 2006, qui reprend comme source de doctrine le

    dcret 2001-777 du 30 aot 2001, ainsi que dautres textes, lois et dcrets, qui a t publi au journal

    officiel, qui demande une dclaration de candidature selon des critres clairs, prcis, concrets, non

    corrlable avec le prcdent mode de consentement a posteriori , fait autorit juridiquement et a

    force de loi dans la hirarchie des normes et galement invalide le premier mode de dclaration

    par consentement en sy substituant sans quivoque possible.

    Ce dcret 2006-1244 redfinit de trs nombreux articles du code lectoral et stipule un mode

    lectoral diffrent comme le dit son titre : portant mesures de simplification en matire

    lectorale . Il est donc vident que le mode dict dans ce dcret pour chaque tape de llection,

    se substitue au prcdent en le simplifiant et quil nest ds lors plus possible de faire rfrence aux

    anciens modes.

    Ma dclaration de candidature respecte la loi en vigueur et a t carte abusivement et sans

    motif. Cest tout le processus lectoral qui est ainsi corrompu.

    Je demande donc lOSCE de reconnaitre la validit et la lgalit de ma candidature, au regard

    de la loi franaise.

    Je demande lOSCE de dclarer nulle la liste lectorale tablie sur la base du dcret 2001-777

    dont les modalits nont, de plus pas mme t respectes ni mises en uvre.

    Je demande lOSCE de faire procder au vote des citoyens franais pour llection

    prsidentielle 2012 sur la base dune liste lgale des candidats.

    Dans tous les cas, la responsabilit de labsence de clart de la loi, de la carence volontaire de

    moyens dicts pour que les citoyens aient accs la connaissance de la loi lectorale et aux

    Rpertoires des Elus et des Candidats, spcifiquement pour la dclaration de candidature, ne

    peut pas avoir comme consquence une radiation arbitraire de la liste lectorale et une

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 17 30 juillet 2012

    privation de lensemble des moyens que les institutions ont obligation de mettre en uvre pour

    les candidats.

    La loi doit tre claire, prcise et ne pas porter confusion de manire ce que chaque candidat

    soit gal devant elle et quelle soit normalement apprhendable pour pouvoir tre mise en

    uvre.

    Le Conseil Constitutionnel ne peut pas se retrancher derrire des prtextes et des formules

    toutes faites, en refusant de se pencher sur les textes. Il ne peut pas utiliser volontairement les

    confusions multiples des textes et en profiter pour instaurer une dictature par diction de rgles

    qui violent lensemble de la doctrine et privilgient les candidats mettant en uvre un coup

    dEtat.

    La loi positive noblige pas lorsquelle expose un grave inconvnient.

    Or le parrainage, est plus quun grave inconvnient. Il oblige se corrompre.

    Dans tous les cas, devant la gesticulation lgislative, en aucun cas, il ne peut tre reproch un

    candidat de ne pas avoir rempli les deux conditions : inscription en prfecture et parrainage

    dautant plus que le parrainage nest quun obstacle et une entrave puisque le Rpertoire nest

    pas transmis et que les droits sont viols.

    Les candidats qui ont t parrains, nont pas rempli les obligations lgales de dclaration de

    candidature exiges par le dcret 2006-1244, donc leur candidature est illgtitime au regard de la

    loi.

    Par consquent, je demande lOSCE, sur la base de ces lments, de reconnaitre la validit de

    ma candidature telle que prvue par le dcret 2006-1244 du 11 octobre 2006 et que la

    suppression de mon nom sur la liste lectorale est abusive.

    Je demande lOSCE de prendre en considration la profusion lgislative du processus lectoral

    qui masque en ralit une absence de loi et de mode procdural clair et accessible et qui relve

    dun niveau occulte extrme et a comme consquence une rupture totale dquit qui invalide

    toute llection, qui de toute faon ne respecte pas la Constitution.

    Je demande lOSCE de reconnaitre le dcret de parrainage non applicable, de reconnaitre quil

    na pas t appliqu tous, quil a servi de mode de corruption du processus lectoral.

    La liste des candidats llection prsidentielle doit tre tablie sur la base lgale de ceux qui

    ont dclar leur candidature dans la Prfecture de leur domicile, comme la loi en vigueur le dit.

    X PRIVATION ARBITRAIRE DE TOUT MOYEN DE PARRAINAGE ET PRIVATION DACCES AU FICHIER

    DES ELUS ET DES CANDIDATS :

    Le Conseil Constitutionnel maintenant ses rgles internes de mode de dclaration de candidature et

    excluant toute autre, jai t contrainte de procder aux deux modes de dclaration de ma

    candidature : Prfecture et parrainage.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 18 30 juillet 2012

    Aucun texte ne prvoit le mode dapplication de la loi sur le parrainage. Elle ne peut donc tre mise

    en uvre. Cest aux institutions de donner les moyens dapplication de la loi aux citoyens. Sils

    nexistent pas, la loi doit tre dclare non applicable.

    Le parrainage est un concept impos par la seule force de son principe , sans quaucun dcret ne

    dtermine le mode et ne donne aux citoyens les moyens de le remplir. Cet tat de faits viole tous les

    traits europens et toute la Constitution.

    Le Conseil Constitutionnel dit que le nombre des lus ayant mandat de parrainage est de 46000.

    Etant une candidate nouvelle, libre de tout parti politique, je ne disposais que des moyens prvus

    dans les deux dcrets en vigueur. Pour le parrainage, je ne pouvais que connaitre quil existe un

    Rpertoire de parrainage sans pour autant que le mode dutilisation et dapplication de ce Rpertoire

    envers le parrainage ne soit dict.

    Le systme de parrainage est prsent dans le Memento lusage des candidats 2012 pour

    lElection du Prsident de la Rpublique tabli par les Ministres de lIntrieur et des Affaires

    Etrangres et Europennes (Pice N6 pages 1 7) et qui ma t expdi par le Conseil

    Constitutionnel. Les multiples lois, dcrets, arrts, dicts pour llection prsidentielle tant ce

    point ininterprtables, confus, contradictoires, non rdigs, non mis en oeuvre, que ces ministres,

    de leur propre chef et sans mandat opposable aux candidats, ont d tablir ce Mmento pour

    tenter de donner des directives concrtes.

    Le mmento ne cite dailleurs quune infime partie des lois en vigueur pour llection prsidentielle

    et de ce fait, ne peut servir raisonnablement de mode lgal de prsentation de candidature et de

    mode lgal de campagne.

    Le systme de prsentation des candidats mis en uvre durant cette lection et dont il est fait

    tat page 2 du Mmento , mane dun dcret, le Dcret N 2001-777 du 230 aot 2001 pris

    pour lapplication des dispositions du troisime alinea de larticle 31 de la loi N78-17 du 6 janvier

    1978 relative linformatique et aux fichiers et liberts et portant cration au ministre de lintrieur

    dun fichier des lus et des candidats aux lections au suffrage universel (Pice N 7).

    Le systme de parrainage est bas sur une liste dlus habilits et ayant mandat pour parrainer les

    candidats. Le dcret N2001-777 dtermine la liste des lus habilits, la liste des candidats accepts comme ayant droit solliciter les parrainages, et la constitution dun Rpertoire National des Elus et

    des Candidats o figure les informations sur ces lus parrainant (article 3) dont leur

    appartenance politique , leurs distinctions honorifiques, le nombre de suffrages quils ont

    obtenus,et jusqu leur nuance politique .

    Larticle 3 stipule que le Conseil Constitutionnel est destinataire des informations nominatives

    ncessaires lapplication de la lgislation sur la prsentation des candidatures llection

    prsidentielle.

    Ce Rpertoire (RNEC) viole en tout le processus lectoral puisque le dcret a vocation constituer

    une liste de candidats prdfinie qui pourront tre parrains et dfinit le principe d une liste des

    candidats tablie pralablement llection et pralablement au parrainage lui-mme.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 19 30 juillet 2012

    Larticle 5 stipule quau moment du dpt de sa candidature, chaque candidat est inform de la

    grille des nuances politiques retenue pour lenregistrement des rsultat de llection, et du fait quil

    peut avoir accs au classement qui lui est affect et en demander rectification .

    Or il nest fait tat nulle part des modes de dpt de candidature pour figurer sur cette liste de

    candidat permettant dtre reconnu comme candidat pouvant tre parrain.

    Ce dcret fait tat dune liste prdtermine de candidats llection. Ce dcret qui fonde le

    processus lectoral prsidentiel nest applicable aucun citoyen franais qui na pas t jug digne

    de figurer sur cette liste, qui nest pas au courant des moyens manifestement occultes permettant

    laccs au parrainage.

    Il nest donn par ailleurs aucune information nulle part, ni aucune rfrence lgale sur le mode

    procdural pour figurer sur cette liste et donc pouvoir avoir accs au parrainage. Linscription sur

    cette liste comme moyen dligibilit est non seulement illgale mais corrompt lensemble de

    llection, na plus aucun rapport avec une lection dmocratique et radique la Constitution.

    Le fait que ce dcret nait pas mme une forme rglementaire mais quil soit appliqu sans cadre, et

    constitue un moyen occulte, mouvant, au cur de llection, quil constitue une obligation pour un

    candidat manant de la socit civile et donc une barrire sans donner les moyens de remplir cette

    obligation, invalide tout le systme lectoral et tout le processus.

    Les termes du dcret du RNEC sont sans ambigut et trs dtaills : ce Rpertoire est tabli en vue

    de dfinir et mme de dterminer et de figer lappartenance politique des lus habilits parrainer,

    et ce pour dterminer en consquence, lappartenance politique des candidats quils prsentent par

    suffrage obligatoire.

    Il semble que lhonorariat des lus qui a t inclus sans moyen lgal dans le dcre t 2006-1244 en son

    article 15, soit utilis dans le systme de parrainage pour llection prsidentielle car il est dit tre

    appliqu au sein du dcret 2001-777.

    LA LOI MULTIPLE, NON ECRITE, CONFUSE ET ECLATEE, CETTE LOI NEST PLUS LA LOI.

    CETTE LOI VIDE TUE ET DETIENT SOUS EMPRISE.

    LA LOI VOLONTAIREMENT DEMEMBREE POUR ETRE ASSENEE ARBITRAIREMENT AU SEIN DES

    DROITS POLITIQUES ET CIVIQUES DE TOUTE UNE NATION EST UNE ARME DE GUERRE ET DU

    TERRORISME

    Une Nation prive de lois, prive de moyens dappliquer la loi, prive de dcrets dapplication des

    lois corrls ces lois est sous la pire des dictatures.

    LA LOI VIOLEE MAIS UTILISEE ARBITRAIREMENT EST LE PIRE DES TERRORISMES DETAT.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 20 30 juillet 2012

    Depuis 3 ans, je demande lONU et la CPI dintervenir en France , de dployer les forces de

    scurit de lONU en Franche Comt o le terrorisme dEtat consiste en plus des viols systmatiss

    et encadrs par les institutions et des sacrifices humains rituels par ces mmes terroristes.

    Ceux qui ont dni doivent rparer.

    Le Coup dEtat en France devait tre prvenu et vit. La France a droit une lection lgale. Les

    violences infliges la France par la Communaut Europenne sont effroyables et je mets en cause

    tous les responsables de lONU et de la Communaut Europenne qui encadrent et soutiennent ces

    crimes.

    Je demande lOSCE dintervenir sans un seul jour de retard.

    XI - REFUS DE MISE EN UVRE DES MOYENS LEGAUX DU PROCESSUS ELECTORAL PAR LES

    INSTITUTIONS COUP DETAT :

    11 a) Rtention abusive du Rpertoire National des Elus et des Candidats- Privation de droit

    lectoral et citoyen et corruption :

    Larticle 4 du dcret N2001-777 stipule que toute personne sur simple demande peut obtenir les

    informations contenues dans le Rpertoire NatIonal des Elus et des candidats (RNEC), ce qui est un

    minimum de droit, tant donn que tout le processus lectoral a t dclar reposant sur ce dcret

    2001-777.

    Ds dbut janvier 2012, je me suis adresse par tlphone la Prfecture du Doubs pour obtenir la

    communication du RNEC selon les modalits prvues larticle 5. Laccs au RNEC tant libre et tant

    un droit fondamental du processus lectoral, fondant toute llection, il tait vident pour moi que je

    lobtiendrais immdiatement, comme la loi le dit.

    Or les services de la Prfecture me renvoyaient de service en service, me disaient ne pas savoir quel

    service est comptent, puis me disaient que le Rpertoire ne pouvait pas tre communiqu au motif

    quil tait modifi en permanence cause des changements permanents de mandat des 46 000 lus

    ou des dcs.

    Pas un seul instant, la Prfecture na tenu compte de son obligation lgale et de pouvoir public

    intervenant dans le processus lectoral et que lentrave la transmission du RENC radiquait

    lensemble du processus lectoral et signait une extrme corruption et une garantie dimpunit et de

    prise de pouvoir dfinitive par les institutions.

    Les institutions ont une telle connaissance des citoyens comme sujets, sans droit, sans existence

    propre, quelles nont mme pas pris les formes lmentaires de politesse pour tenter de masquer la

    prise de pouvoir. Le mpris, le dni ont t infligs sans aucun tat desprit et sont flagrants.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 21 30 juillet 2012

    Le RNEC est communicable normalement tout citoyen qui en fait la demande. Mme l orsque,

    finalement, constatant que le RNEC ne me serait pas transmis, jai t oblige de faire tat de ma

    candidature llection prsidentielle, il na pas t fait droit ma demande et mon droit !

    Javais besoin des informations pour solliciter les lus sans tiquette politique afin quil me parraine.

    Mme sans figurer sur la liste, je savais pouvoir obtenir les signatures par moi -mme en contactant

    directement les nombreux lus qui refusaient tout soutien aux candidats des partis politiques et qu i

    doivent figurer sur le RNE avec la mention sans tiquette politique .

    Jai donc finalement demand laccs au RNEC par lettre recommande avec accus de rception le

    3 fvrier 2012 la Prfecture du Doubs (Pice N8).

    Devoir contraindre ladministration fournir un droit et remplir ses obligations en matire

    dlection prsidentielle, alors-mme que tout le processus lectoral repose sur cette

    obligation, en 2012 en France, nest pas pensable.

    Jai galement demand par courrier recommand au du Ministre de lIntrieur le 3 fvrier 2012

    (Pice N9) la mise en uvre des procds obligatoires du processus lectoral.

    Jai signal ds le 22 fvrier 2012 au Conseil Constitutionnel (Pice N 10) les entraves ma

    candidature et les carences de ladministration invalidant lensemble du processus lectoral afin quil

    intervienne pour rgulariser le processus, ce qui relve de son obligation et de sa mission.

    Selon larticle 50 des Textes relatifs au Conseil Constitutionnel , Le Conseil Constitutionnel est

    charg dexaminer et de trancher dfinitivement toutes les rclamations. Dans le cas o il constate

    lexistence dirrgularits dans le droulement des oprations, il lui appartient dapprcier, si, eu

    gard la nature et la gravit de ces irrgularits, il y a lieu soit de maintenir lesdites oprations,

    soit de prononcer leur annulation totale ou partielle .

    Larticle 58 de la Constitution stipule : le Conseil Constitutionnel veille la rgularit de llection

    du Prsident de la Rpublique. Il examine les rclamations et proclame les rsultats du scrutin.

    En saisissant le Conseil Constitutionnel pour une violation aussi grave et flagrante de mes droits et du

    processus lectoral, je faisais valoir un droit fondamental, constitutionnel. Le Conseil Constitutionnel

    a obligation de remplir sa mission.

    Le Conseil Constitutionnel ma rpondu le 27 fvrier (Pice N11) , se dclarant irresponsable dans

    la communication du RNEC, et rduisant la violation du processus lectoral et lviction en cours de

    ma candidature un litige opposant un citoyen un service administratif et ce, sans mme

    prendre aucune mesure pour mettre disposition le RNE pourtant pilier de tout le processus

    lectoral.

    Ds lors quun droit fondamental daccs direct un document public est viol envers un candidat

    llection prsidentielle, est flagrant, ds lors que ce droit est le seul accs impos par les institutions

    et quil est viol, les institutions ne peuvent ignorer leurs obligations faute dtre manifestement

    complices et responsables de la corruption.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 22 30 juillet 2012

    Non seulement le Conseil Constitutionnel nordonne pas la fin de la violation du droit daccs

    inalinable au Rpertoire de parrainage, mais il la cautionne, la justifie, tablit une disparit

    devant la loi et corrompt le processus lectoral. Lintention du Conseil Constitutionnel est

    manifeste.

    En dfinitive, aprs de nombreuses autres dmarches dont je dtiens les preuves, les institutions

    mont prive du Rpertoire National des Elus et des Candidats, radiquant toute possibilit de

    parrainage, tout en maintenant lobligation dtre parraine pour figurer sur la liste lectorale.

    Or aucune loi noblige quiconque si les droits quelle octroie ne sont pas mis en uvre.

    La seule privation du RNEC, moctroie un droit inalinable tre candidate et oblige le Conseil

    Constitutionnel.

    Il est de plus dsormais urgent de connaitre la liste des candidats qui ont eu accs au RNEC et ceux

    qui en ont t privs.

    La Commission Nationale de contrle que jai saisi le 5 mars 2012 (voir plus loin), na pas hsit pour

    cacher lirrgularit extrme du processus lectoral faire tat dune pseudo transmission par le

    Ministre de lIntrieur du Fichier des Elus, en se rfrant mme la loi et en justifiant ainsi le motif

    de son refus dintervenir malgr son obligation.

    La prfecture du Doubs ma transmis en juillet 2012 (deux mois aprs llection) un fichier excel

    comportant des noms mais aucune des 9 mentions prvues dans le dcret 2001-777 article 3. Non

    seulement ladministration ne remplit pas ses obligations et affiche une assurance dans la corruption,

    poustouflante, mais elle va jusqu tourner en drision les citoyens dont elle dnie tous les droits.

    Le RNEC na certainement jamais t mis jour normalement et la vrification des parrainages

    dmontrera une inconcevable supercherie en sus de la corruption extrme du processus lectoral

    destin en sus tourner en drision les citoyens non corrompus et qui respectent la loi et

    demandent quelle soit respecte.

    Il est manifeste et flagrant que labsence de production du Rpertoire, les consquences, labsence

    totale de capacit et de volont des institutions mettre en uvre le processus lectoral lgal, le

    mpris mis en uvre aussi bien envers les citoyens quenvers moi-mme, relvent dune

    programmation de longue date de prise de pouvoir par la force par dtournement de lensemble des

    institutions, sans mme prendre des prcautions quelconques pour ce faire tellement les

    protagonistes sont au-dessus des lois, et au-dessus des citoyens, et ont perdu toute notion du droit,

    de la nation, de lexistence de lautre.

    12 - PRIVATION DACCES A LA TELEVISION AVEC DES MOTIFS DISCRIMINATOIRES GRAVES :

    Par courrier du 27 fvrier 2012 (Pice N4), jai inform le Conseil Suprieur de lAudiovisuel de ma

    candidature et jai demand un temps dantenne pour pouvoir prsenter ma candidature aux

    citoyens et aux maires. Les mdias taient ma deuxime possibilit de prsenter ma candidature, de

    me prsenter aux franais et dobtenir les parrainages, donc de faire campagne, selon les moyens

    donns par les institutions aux autres candidats.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 23 30 juillet 2012

    Jai tlphon au CSA lorsque jai constat que mon droit lantenne ntait pas pris en compte. Il

    ma t rpondu dune manire trs mprisante et volontairement condescendante, que ntant pas

    connue et tant juge par le CSA non prsidentiable , le CSA nacceptait pas de me laisser

    mexprimer et minterdisait tout passage la tlvision et quil ne serait accord aucun temps

    dantenne pour ma candidature.

    Le 14 mars 2012 (Pice N12) le CSA ma envoy un courrier o, dune part il est crit que les

    candidats bnficient selon la loi dun temps daccs quitable lantenne mais qui restreint la

    nature et la qualit de candidat aux personnes avec reprsentativit assure et dmontrant

    suffisamment dintrt ; les responsables du CSA, soctroyant la dignit de trier les personnes

    intressantes et les personnes dnues dintrt donc liminables et dont les droits

    nexistent pas, sans autre forme de procs.

    Le CSA stipule que ma reprsentativit nest pas valuable tant donn que je me prsente pour la

    premire fois et que par consquent, il ne mest pas fait droit lantenne. Et le CSA effectivement

    met en pratique ses principes dviction radicale, de discriminatoires, subjectifs et corrompus, sans

    fondement lgal et sans le moindre tat dme, ni le moindre scrupule, sappropriant des fins

    corrompues et pour promouvoir une minorit corrompue, les moyens tlvisuels qui pourtant

    daprs la loi, sont accessibles avec quit tous les candidats.

    Dans tout ce processus lectoral , le fondement humain et doctrinal qui fait dfaut est

    manifestement partout, la notion de personne et dtre humain en tant que personne,

    dindividu. Tous les viols des droits, systmatiques, multiples, sont justifis par la mme idologie :

    est une personne celui fusionn dans un groupe, seule cette personne-groupe est reconnue comme

    sujet de droit, au nom du groupe. Force est de constater que la force du groupe provient de la

    corruption. Une personne normale, individuelle na pas droit reconnaissance de sa parole, de ses

    ides, ni rien, elle nexiste plus devant le groupe, elle nest plus et on le lui signifie et on le lui

    dmontre toute naturellement. Le pire cest que laveuglement, le niveau de corruption conduisent

    ces groupes crire leur convictions, justifier les drives, ratifier lindcence dexister une

    personne, au motif quelle nest pas un groupe.

    Attention totalitarisme en place, le pire de ce qui a jamais t mis en place

    Il en ressort que des personnes se sont appropries ce point la justice et le droit quils sont

    capables de dcider, sur des critres qui ne relvent en rien de domaine de la loi, mais

    dappartenance des groupes dont le critre est la reprsentativit , de destituer qui ils dcident

    de lensemble de ses droits de citoyens, avant llection et dans le but dradiquer la candidature.

    De fait, il occulte la personne avec la candidature pour permettre aux candidats prslectionns

    davoir toute la place, alors mme que ces candidats sils taient si certains de leur lgitimit et

    mrite pour tre lus, nont aucunement besoin de mettre en uvre un coup dtat aussi perve rs et

    corrompu.

    Ma reprsentativit ne peut tre dtermine que par le vote et le rsultat du vote et je demande

    quelle le soit effectivement.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 24 30 juillet 2012

    La discrimination mise en uvre par le CSA et mme reconnue par crit viole aussi bien la libert

    dexpression que la libert politique, signe un totalitarisme sr de lui et en pleine vitesse et corrompt

    lensemble du processus lectoral en privant les citoyens de la libert interne de choisir pour qui ils

    veulent voter.

    Le jugement de valeur mis en uvre mon encontre par le CSA et suivi dune peine inflige sans le

    moindre scrupule, durablement, durant toute la campagne par privation daccs lantenne, viole la

    Constitution, viole les traits europens, viole les lois lectorales, viole les obligations de lEtat et ses

    engagements en matire lectorale.

    Les jugements du CSA mis et mis en uvre mon encontre sont une privation par contrainte de

    participation llection prsidentielle, qui mest pourtant octroye par la loi, et cette privation est

    de surcrot mis en uvre par injure tel que le dtermine la loi du 29 juillet 1981 qui stipule en son

    article 29 : toute expression outrageante, terme de mpris ou invective qui ne renferme limputation

    daucun fait est une injure .

    Or cette injure a t suivie de mise en uvre de privation dantenne et les consquences sont

    extrmes puisque jai t prive des moyens de campagne octroys aux autres candidats , prive de

    figurer sur la liste lectorale et jusqu preuve du contraire, prive dtre prsidente.

    Sur quel fondement lgal et de quel droit ? Il ny a plus de place en rien pour la dmocratie dans

    une nation soumise et rduite de tels protagonistes.

    Le CSA a agi comme un organisme privatis au service dune minorit, contre ses obligations, contre

    les intrts des citoyens alors quil gre laccs linformation publique.

    Le CSA a mis une prsentation de sa recommandation du 30 novembre 2011 N2011-3 (Pice N13),

    qui sert de fondement une slection drastique et totalement arbitraire des candidats ayant

    lautorisation de passer lantenne, digne de la pire des dictatures.

    Il y est fait tat de catgorisation des candidats partir de critres arbitraires et subjectifs

    indfinissables tels que candidats prsums et candidats dclars , qui ne sont ni encadrs, ni

    dtermins par aucun texte de loi mais relvent de larbitraire du CSA.

    Cette recommandation met en uvre linversion point par point des droits garantis par la

    Constitution et des obligations de lEtat en matire dlection. Le CSA pondre les personnes pour

    les priver de leurs droits ou au contraire, pour les favorise. Les personnes ne sont plus que des sujets

    disposition du bon vouloir du CSA.

    Des mdiateurs de presse ont dnonc les rgles imposes par le CSA (Pice N14) comme

    inapplicables, instaurant linquit et ont pos la question : Que vaut une rgle si elle nest pas

    comprhensible et applicable par tous ?

    Si besoin tait, cela dmontre le niveau demprise de ces groupes et le niveau de totalitarisme

    puisque les mdiateurs de presse sont musels. Il est facile de vrifier le niveau de reprsailles qui

    na pas manqu de suivre.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 25 30 juillet 2012

    Dans sa recommandation, on constate que le CSA a tabli un calendrier qui dtermine diffrentes

    catgories de candidats selon un planning non corrl celui de llection (Page N6) , que les termes

    dfinissant les candidats habilits passer lantenne sont indterminables et indtermins :

    candidats dclars, candidats prsums, candidats habilitsQue tout fondement lgal est cart et

    que la notion mme de fondement lgal nest plus accessibles ceux qui rdigent une telle

    recommandation.

    Il est bien vident que toutes ces catgorisations violent les droits fondamentaux, instaurent une

    emprise et ont t utilises pour priver abusivement et par force et violence des personnes

    officiellement et lgalement dclares candidates, et jen fais partie.

    Le CSA, malgr ses circonvolutions dterminatives, nhsite pas faire rappel de principes comme

    lquit daccs la tlvision pour la campagne lectorale .

    Dans un mme document, les principes fondamentaux sont stipuls comme fondement de moyens

    concrets, en cours, dradication absolue des droits fondamentaux.

    LEquit de laccs la tlvision des candidats est par principe inviolable et radicalement flagrante :

    chaque individu en personne est lantenne et le temps est compt et est le mme pour chacun.

    Comment corrompre une telle vidence et comment radiquer des individus du champ de lantenne

    tl qui leur permet dobtenir des voix aux lections ou dtre parrains ?

    Le CSA a trouv le moyen en redfinissant le principe dquit et le principe dindividu.

    Le CSA dit que lquit nest pas rpartissable galement entre les diffrentes personnes, mais par

    des critres subjectifs, unilatraux, invrifiables, dviant tels que la capacit manifester

    lintention dtre candidat (Page 12) ou la reprsentativit des candidats .

    Le principe de droit lquit individuelle est radiqu par un principe qui relve de la conscience de

    la personne que le CSA soctroie le droit destimer (intention du candidat) et par un radication de

    lexistence individuelle, avec radication des droits de la personne, devant un principe de

    globalisation. Les droits personnels nexistent plus et ne peuvent tre attribus que par le grou pe qui

    doit tre obligatoirement prsent pour donner existence. Lexistence est remplace par la

    reprsentativit.

    Ces critres sont rigs en dogme. La Constitution dit article 4 : Les partis et groupements

    politiques doivent respecter les principes de la souverainet nationale et de la dmocratie .

    Or ce sont les partis politiques qui se sont appropris lensemble des institutions pour sapproprier le

    processus lectoral et empcher toute initiative des citoyens, carter toute candidature par tous

    moyens possibles, la fin justifiant les moyens.

    Une Recommandation tablie le 10 juillet 2011 par une Haute Autorit des Primaires dmontre que

    cette Haute Autorit, qui na aucune existence lgale possible en France et sest auto proclame

    comme tel, met des ultimatums aux institutions concernant le parrainage des candidats admis

    participer aux lections citoyennes (Pice N15). Ces lections citoyennes tant des lections

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 26 30 juillet 2012

    internes aux partis. Les propositions/ultimatum de cette recommandation ont toutes t ensuite

    reprises par le Conseil Constitutionnel (tirage au sort des signatures de parrainages, publication).

    Ces mesures commandites par les partis et imposes aux institutions sont de nature manifestement

    dictatoriales mais de plus, sont exclusivement rserves aux candidats des partis choisis par cette

    Haute Autorit des Primaires. La probabilit dune candidature manant des citoyens est radique

    doffice.

    Ainsi les droits fondamentaux individuels sont dcrts sans fondement lgal, les groupes d action

    commandent aux institutions, les groupes daction auto lgalisent leurs ordres , les institutions ne

    remplissent plus aucune de leurs obligations et ne sont plus en capacit de le faire :

    ATTENTION TOTALITARISME EXTREME MIS EN UVRE ET EN COURS

    URGENCE DINTERVENTION DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE

    Le 1 mars 2012, jai de nouveau saisi le Conseil Constitutionnel (Pice N16) pour quil intervienne et

    que le CSA mette fin linterdiction de temps de parole tlvise.

    Le 19 mars, jai dnonc les conditions de violation et de corruption de llection ainsi que les

    entraves et empchement au profit des candidats des partis par un courrier dtaill de 20 pages au

    Conseil Constitutionnel (Pice N17). Jai dnonc expressment la validit du processus et la liste

    des candidats prsents au scrutin dans de telles conditions ainsi que linsulte et le mpris mis en

    uvre par convocation des citoyens au vote dans un contexte de tromperie aussi extrme.

    Jai demand au Conseil Constitutionnel de solliciter laide de lONU pour ne pas permettre que la

    corruption du processus retombe sur les franais qui allaient devoir voter par dol et sans cadre lgal.

    Le 5 mars, jai saisi la Commission Nationale de Contrle de la Campagne (Pice N18). Sa rponse du

    15 mars (Pice N19) lude les faits et dmontre, si besoin tait, que toutes les Commissions nont

    en rien lintention ni la volont de donner la nation une lection prsidentielle lgale et sont

    englue dans la corruption, mprisent profondment le droit des citoyens et nen ont cure.

    La commission Nationale de Contrle de la campagne lectorale crit, en se rfrant de plus aux

    textes applicables llection prsidentielle, que le principe dgalit de traitement dans les

    medias audiovisuels, na pas tre respect strictement entre toutes les personnes qui se

    dclarent candidates, avant ltablissement de la liste des candidats !

    Tous les moyens sont bons pour radiquer les droits fondamentaux. Un droit nest soumis aucune

    condition de temps, il est attach la personne. Comment des responsables de lElection

    Prsidentielle, pays pour assurer la lgalit de llection, peuvent-ils se permettre des drives, les

    crire et les mettre en uvre, sans tre inquiet le moins du monde et sans tre inqui ts le moins du

    monde ?

    Tout est justifiable et tout est justifi jusquau bout, quel que soit le prix en humanit desclaves.

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 27 30 juillet 2012

    Ainsi la Commission de Contrle dicte comme loi, lingalit et sy rfre, sans pour autant donner

    les lments concrets qui dtermineraient cette ingalit de traitement, donc la Commission

    entrine le principe de discrimination, sans limite. Elle justifie le principe de discrimination.

    Les fonctionnaires mandats dans ces commissions doivent respecter la Constitution, les lois . Cest

    une obligation. Ds lors quils transgressent, ils font du processus l ectoral une anarchie criminelle et

    sont responsables.

    13 -PRIVATION DOUVERTURE DE COMPTE BANCAIRE DE CAMPAGNE :

    En sus de ces entraves, toutes les banques ont refus douvrir mon compte de campagne alors que

    jai fait les dmarches dbut mars avec ma mandataire, dclare en prfecture. Je me suis rendue

    la Banque de France Paris deux reprises qui a refus louverture de mon compte de campagne et

    mme de mtablir un document prouvant que je demandais cette ouverture.

    Or lEtat a obligation de donner au candidat les moyens de campagne selon le principe dquit.

    La Banque de France a obligation douvrir le compte de campagne des candidats auxquels les

    banques refusent cette ouverture et sous 48 heures.

    Je me suis rendue deux reprises la Banque de France Paris. L encore, les droits sont dits mais la

    mise en uvre est lexacte oppos. Pour ne pas ouvrir le compte, la Banque de France pose des

    conditions irralisables concrtement comme pralable toute prise en compte de demande

    douverture de compte.

    Ainsi lEtat, sens se substituer pour ne pas faire supporter un candidat une discrimination, ajoute

    des conditions qui aggravent linquit.

    En loccurrence, elle exige que les banques qui ont refus louverture du compte tablissent par crit

    et reconnaissent refuser le faire, alors mme que le refus nest pas lgal.

    Toutes les banques ont refus dtablir ce courrier, videmment.

    La Banque de France est reste intraitable et a refus tout dpt de demande douverture de compte

    de campagne si je ne produisais pas les courriers dau moins 3 banques.

    La Banque de France a refus de me donner des preuves de ma demande, de mon dplacement. Ce

    faisant, elle agissait comme les banques alors que je pense que jtais dans mon droit lmentaire de

    demander un formulaire et que la Banque de France a des obligations.

    Jai t de plus reue vertement et il ma fallu une certaine diplomatie pour ne pas entrer dans la

    joute verbale sollicite par mon interlocutrice.

    La Banque de France ainsi corrompt le processus lectoral puisquil ma t interdit toute ouverture

    du compte de campagne.

    Jai obtenu laccord de la BNP de Pontarlier douvrir le compte de campagne. Ma mandataire a fait

    toutes les dmarches, on lui a dit que le compte tait en cours douverture. Il na en ralit pas t

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 28 30 juillet 2012

    autoris, un veto ayant t pos en dernire minute, obligeant la conseillre de la BNP de Pontarli er

    se dplacer Besanon.

    Je dnonce expressment que les institutions en me privant de mes droits, visent me corrompre.

    14 - VIOLATION DE MES CORRESPONDANCES ET ATTEINTES A MA VIE PRIVEE :

    Jai constat aussi une violation de ma correspondance lectronique et de mes boites mail, avec

    mme apparition dans mes mails de manire flagrante des noms des personnes qui violaient mes

    correspondances et qui signaient leur intrusion pour me le faire connaitre et mintimider.

    Mes emails taient drouts vers un centre Lagardre active .

    Jai fait toutes les copies dcran et jai les preuves.

    Pour obtenir les parrainages, jai envoy au moins un millier de mails soit aux maires, soit des

    associations familiales, soit mes contacts, soit des groupements de commune. Je peux estimer

    quainsi au moins 5000 maires devaient tre informs de ma candidature et tre rendus destinataires

    de la prsentation de ma candidature, de mon projet.

    Or ceux qui ont pirat mon courrier lectronique ont bloqu mes envois et de manire ostensible

    car je me suis rendue compte aprs la date de dpt des parrainages, que tous mes mails avaient t

    dvoys dans une boite mail de stockage. Je ne men suis aperue quaprs la date de dpt des

    parrainages fixe au 16 mars. Aucun maire na reu mes sollicitations de parrainage.

    Ce sont des agissements honteux et qui relvent du pire terrorisme possible puisque les

    responsables nont mme pas le courage de se prsenter en personne et de revendiquer leurs actes.

    Afin de connaitre lampleur de lentrave faite la prsentation de ma candidature par courrier

    personnel, jai demand au Conseil Constitutionnel de minformer du nombre de parrainages quil

    avait reu en ma faveur. Par courrier du 27 mars 2012, le Conseil Constitutionnel ma aussitt

    inform quaucun parrainage en mon nom ne lui tait parvenu (Pice N20)!

    Or cest impossible, mme avec le piratage de ma boite mail sauf ce que absolument tous mes

    mails aient t bloqus, et que llection se passe sous contrle tanche et absolu, ce qui relve de la

    totale prise de pouvoir par la force.

    Le Conseil Constitutionnel a dict une rgle qui dit que ne sont considrs comme candidats ayant

    le droit de contester la liste lectorale devant le Conseil Constitutionnel, que les candidats ayant

    obtenu au moins un parrainage dlu et ce alors que la loi dclare candidat ceux qui se sont dclars

    en prfecture. Le mode restreint de droit de contestation de la liste lectorale est donc lui aussi sans

    fondement lgal.

    Le Conseil Constitutionnel ne prsente pas les garanties suffisantes pour ne pas donner un accs

    large aux contrles des parrainages et pour pouvoir garder occulte, sous sa seule garantie, les

    formulaires de parrainage reus.

    Je me suis rendue au commissariat de police le 17 mars 2012 pour dposer plainte avec la copie de

    tous les mails o la violation des correspondances apparait sans ambigit , avec les noms des

  • SAISIE DE LOSCE-BIDDH par Mme AMYOT Fabienne Candidate lElection Prsidentielle Page 29 30 juillet 2012

    personnes qui modifient mes mails et avec des preuves irrfutables. La policire a refus de prendre

    ma plainte en me disant que ces faits sont normaux ( !) mais, comme jai insist, aprs un long temps,

    elle a toute de mme consenti rdiger une main courante (Pice N21), l encore avec une attitude

    qui nest pas celle que lon est en droit dattendre dune policire lorsquon dpose une plainte.

    Ces violences permanentes et extrmes, auxquelles se sont ajouts de multiples situations de vols

    grotesques, de litiges inconcevables et extrmement violents qui surgissaient dans tous les actes de

    ma vie prive, par violation de mes droits, par menaces, chantages, que je ne peux pas dcrire ici

    tellement ils sont nombreux, mritent quon sy penchent srieusement, pour que plus jamais

    aucune nation capable de commettre de telles violences, capable de les garder occultes coute que

    cote durant autant dannes, ne puisse anesthsier ses citoyens, les maintenir sous emprise et

    donner des leons aux autres pays, y compris engager des guerres ltranger en invoquant son

    principe de dmocratie .

    Il est extrmement urgent que les nations dclares comme violant les droits de lhomme et

    attaques pour leur dfaut de respectabilit, connaiss