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Garden'R - Dossier de presse

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!Qui se cache derrière Garden’R ?!

C’est fou comment un simple projet d’étude peut vous entrainer dans une grande aventure et concrétiser vos convictions de toujours. Car oui, qu’on se le dise, ceci est une aventure !

Et de la communication, discipline de notre cursus commun, au développement durable il n’y a parfois qu’un pas. Un pas franchit pour nous janvier 2014 lors d’une rencontre avec des porteurs de projets innovants dans la recherche de nouveaux systèmes de

production, de distribution et de consommation alimentaire, à l’occasion du concours « Transition Positive » organisé en partenariat avec l’ADEME, Open Odyssey et l’école SciencesCom de Nantes. Un concours que notre équipe de choc a pris à bras le corps, prêt à participer à une révolution de nos habitudes de consommation.

« Connectons jardins, toits et citadins ! » !Notre idée ? Faire des toits de nos immeubles des espaces agricoles propres, accessibles, durables et intégrateurs d’une nouvelle vie en collectivité. Notre objectif ? Bousculer les pratiques agricoles urbaines et donner un grand coup de pied dans la morosité de nos villes ! Notre Nom ? Garden’R !

Issus pour la plupart d’horizons différents, nous rassemblons nos profils différents et nos talents individuels au service de notre action. À Garden’R se côtoient communicants, geeks du digital et des réseaux sociaux et profils généralistes du marketing ou du commerce.

Avec dans une main notre motivation et dans l’autre nos compétences, nous porterons Garden’R (sur le toit) le plus haut possible !

Une équipe de 7 passionnés, fidèle à son projet, et concernée par la problématique du développement de l’agriculture urbaine.

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!Introduction!Notre planète bleue compte chaque année de nouveaux habitants. A l’horizon 2050, nous serons neuf milliards d’êtres humains. Neuf milliards de bouches qu’il faudra nourrir de manière équitable sans endommager notre environnement. Dans ce contexte, l’augmentation de la population urbaine constitue un réel enjeu  : aujourd’hui plus de 80% de la population vit en ville. Non seulement les villes sont de plus en plus peuplées, mais elles sont de plus en plus grandes en terme d’espace  : elles s’étalent et s’étendent, empiétant sur le territoire agricole. Chaque jour, ce sont ainsi 160 ha d’espaces « naturels », et plus particulièrement d’espaces dédiés à l’agriculture, qui se transforment en infrastructures, zones d’activités, d’habitat et de loisirs. Ces reconversions sont un puissant facteur de la fragmentation écopaysagère  et constituent une menace sérieuse pour la biodiversité. !Pour répondre à ce danger, plusieurs initiatives innovantes ont vu le jour telles que la végétalisation des toits, la création de fermes urbaines, ou la valorisation de l’économie circulaire. Peu à peu l’agriculture se réinsère dans le tissu urbain. De nombreuses villes ont pris cet engagement environnemental, comme par exemple Paris et son projet de réintroduction des abeilles franciliennes, qui consistait à installer des ruches sur les toits et à commercialiser le miel produit. Sur le principe des toits végétalisés, les exemples sont légion  : cette pratique est devenue, à l’échelle internationale, le symbole de l’action verte en ville. Elle semble être la plus à même de s’implanter dans le quotidien de tout un chacun. Les autorités ont même emboité le pas aux citoyens et se positionnent comme les initiateurs du changement  : au Japon, la ville de Tokyo exige ainsi que toute construction occupant plus

de 1000 mètres carrés de terrain soit couverte de végétaux sur 20% de sa surface. !!!!!!L’engouement pour les toits végétalisés est de plus en plus marqué : les subventions publiques se multiplient, les associations fleurissent et certaines villes prévoient des mesures de végétalisation des toits dans leur Plan Local d’Urbanisme (Paris, Grenoble, etc). !Ces actions de valorisation et de développement de l’agriculture urbaine, bien qu’encourageantes, restent cependant isolées. Les politiques sont fragmentées, et les publics dispersés. Il n’existe pas en effet de politique nationale sur la question et les particuliers enthousiastes ne parviennent pas à fédérer le public. Aujourd’hui, il nous apparaît nécessaire de moderniser, démocratiser et dynamiser l’agriculture urbaine…

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Comment rendre l’agriculture urbaine attractive ?!Malgré son évolution et sa modernisation, l’agriculture souffre encore aujourd’hui d’une image parfois rurale. Cependant, on note que les populations urbaines sont de plus en plus sensibilisées aux sujets liés au développement durable, mais également à l’alimentation. Cela se traduit par des modes de consommation responsables (bio, commerce équitable) ou bien tout simplement par un engouement autour de la gastronomie (apparition des « foodies  », médiatisation culinaire : « Top 1

Chef », cuisine TV, « C’est à vous »). Il nous faut donc faire de l’agriculture une pratique désirable auprès des urbains, en la valorisant à la fois comme une nécessité et un hobby accessible, agréable et dans l’air du temps.

Comment réunir les initiatives qui se créent ? !Nous avons remarqué que plusieurs initiatives autour de l’agriculture urbaine avaient vu le jour. Toutefois, ces dernières sont pour le moment des phénomènes isolés. Nous pensons que le fait de rassembler ces projets en créant une communauté autour de l'agriculture urbaine créerait un effet de synergie qui permettrait de démocratiser cette pratique de manière plus efficace.

!!Comment s’inscrire dans un environnement hyper connecté ? !

Nous vivons aujourd'hui une période où le numérique est omniprésent dans notre quotidien. On assiste parfois à des phénomènes de saturation voire de rejet vis-à-vis des avancées technologiques. En revanche, on remarque que les innovations qui mélangent le virtuel et le réel suscitent toujours de l'enthousiasme, comme la réalité augmentée.

Comment s’inscrire dans une démarche collective ? !Au delà de réunir des citoyens autour de ce projet, il est primordial de rassembler tous les acteurs qui vont participer au projet afin de les inscrire dans une démarche à long terme. Pour cela, il nous faudra développer un véritable réseau qui va regrouper des experts, des cibles, des ambassadeurs, etc. !

" Les intérêts et activités typiques des « foodies » concernent le secteur agroalimentaire, la production et dégustation du vin, la science alimentaire, le suivi des restaurants qui 1

ouvrent, les phénomènes de mode en cuisine, les cours de cuisine, le tourisme culinaire, et de manière plus générale, la nutrition et la santé.

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Notre solution - Nos réponses !Dans un environnement urbain de plus en plus stressant, il devient difficile de se détendre et de se ressourcer. De plus en plus de citadins se tournent donc vers les espaces verts de leurs villes. Par ailleurs, les promoteurs immobiliers accordent une plus grande place à ces espaces au sein de leurs projets. Les toits, lieux peu exploités, sont donc un nouvel espace potentiel de détente pour les résidents d’un immeuble. De plus en plus d’initiatives se mettent en place au sein des villes en reprenant le concept de jardins partagés. Dans cette perspective, une nouvelle tendance apparaît : les jardins sur les toits. !Dans un univers d’hyper-connectivité, de nouvelles applications ne cessent de voir le jour. On constate un engouement de plus en plus croissant autour des jeux interactifs liés au milieu agricole tels que FarmVille par exemple. Les utilisateurs prennent plaisir à suivre leurs différentes cultures et aiment en partager le contenu sur les réseaux sociaux. L’agriculture virtuelle devient donc un véritable hobby. !Notre projet va donc consister en la mise en place d’une structure globale utilisant à la fois les jardins communautaires sur les toits mais également la notion de connectivité. !Dans un premier temps, notre solution est donc de créer des espaces agricoles communautaires agréables favorisant les rencontres et les échanges. Dans un deuxième temps, nous souhaitons fédérer cette nouvelle communauté et lui fournir un service d’accompagnement afin de la rendre autonome. !!

!Notre Produit !Nous souhaitons pousser le concept de jardin sur les toits encore plus loin en y intégrant la notion de communauté et de technologie. Notre jardin connecté se composerait de parcelles individuelles, propres à chaque résident, dans lesquelles ils seraient libres de cultiver leur propre potager. À celles-ci viendrait s’ajouter une parcelle collective dotée d’un mur d’aromates, un récupérateur d’eau de pluie et un espace de compost. De plus, nous souhaitons mettre en place un espace central favorisant la rencontre et les échanges entre les résidents. Il se matérialisera sous forme de cuisine collective fonctionnant à l’énergie solaire via des panneaux photovoltaïques. En somme, un jardin connecté, convivial et autosuffisant. (Voir annexe 1 et 2)

Nos outils  !Pour être plus performants, les professionnels de l’agriculture font appel à des technologies de pointe  : images satellites, géolocalisation, capteurs, systèmes de gestion informatisés, données en flux tendus, etc. Tous ces outils leurs garantissent un gain de temps, de l’efficacité, et des informations précises. Par ailleurs, nous commençons à voir apparaître ces technologies dans des produits à destination du grand public. !Nous devons considérer trois éléments essentiels dans le profil d’un agriculteur Garden’R :

- Un temps parfois limité au regard de contraintes professionnelles, familiales ou autres.

- Des connaissances qui restent à acquérir en matière d’agriculture. - Le besoin de se divertir !!!

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Le Smartbac : !Le principe consiste à attribuer à chaque Garden’R une parcelle à cultiver qui se matérialisera sous la forme d’un bac hors-sol. Ce dernier sera équipé de plusieurs capteurs (thermiques, humidité, etc.) qui génèreront des informations sur la santé des cultures en temps réel. !Afin de remonter ces informations en flux tendus, nous avons imaginé une application qui permettra au Garden’R de s’informer, de s’éduquer, de s’amuser tout en partageant avec les autres.

L’application Garden’R : !Elle donnera accès à trois grandes fonctionnalités : !- Un accès détaillé à la santé et l’évolution de son jardin, ainsi que les

instructions à suivre à chaque étape (compost, semis, pousse, récolte…)

- Une base d’information regroupant les typologies et la saisonnalité de légumes, fruits, aromates, qui éduque les Garden’R de manière ludique sur l’art et la manière de cultiver.

- Une communauté qui permet à l’utilisateur d’échanger, interagir, et s’amuser avec ses voisins et l’ensemble des Garden’R. Concrètement, il aura par exemple accès à des plannings de travaux collaboratifs, ou pourra encore demander conseil aux autres utilisateurs, inviter ses voisins à récolter et cuisiner avec lui. Nous souhaitons également donner une dimension «  jeu  » à cette application, avec un système d’accumulation de points qui permettent aux utilisateurs d’accéder à des récompenses, et de créer un challenge. !

La finalité de ces deux produits est de fournir à nos utilisateurs un produit «  clés en main  » qui leur permettent une prise en main facile de l’agriculture, tout en optimisant le temps passé à jardiner et en développant du lien social avec ses voisins. Ainsi, la technologie dans

notre projet est un moyen de faciliter les échanges entre les individus et vient renforcer la relation humaine. !!!!!En associant la notion de connectivité au jardin, nous insufflons une valeur technologique au jardinage. Une solution permettant d’une part, une certaine pédagogie et un accompagnement de cette nouvelle activité. D’autre part, elle favorise le partage de contenu et fédère la communauté. Enfin, en utilisant ce concept de connectivité, nous donnons une nouvelle jeunesse au jardinage et le rendons attractif et tendance. !

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!Les partenariats!Dans le cadre du développement de notre activité, nous avons imaginé la mise en place de différents partenariats afin de développer un réseau d’acteurs, bénévoles et professionnels, pour répondre aux besoins des utilisateurs. Ces partenariats seraient à double sens, sur le principe du «  gagnant-gagnant » avec pour objectif de tisser des liens forts entre ces différentes communautés, et ainsi renforcer l’impact des actions entreprises.

Les partenariats associatifs  !Lors de différents entretiens ou pendant le micro-trottoir que nous avons réalisé, il nous est apparu essentiel d’accompagner les utilisateurs des jardins connectés dans leur quotidien, pour qu’ils puissent acquérir les compétences nécessaires pour cultiver comme ils le souhaitent leur potager. Dans cette optique nous avons imaginé de nous associer avec certains acteurs associatifs du développement de l’agriculture urbaine et du jardinage afin que des bénévoles puissent dispenser des formations sur les bons gestes de base à avoir et par la suite, des cours plus spécifiques sur demande ou en rapport avec la saisonnalité des produits. Ainsi, en plus d’animer la communauté des jardiniers et de transmettre des connaissances, ce partenariat permettrait de mettre en avant les associations concernées et de favoriser la diffusion de leurs valeurs et de leurs messages. Les bénévoles agissent par plaisir et passion ce qui en feraient des porteurs de message encore plus légitimes et surtout d’excellents transmetteurs de savoirs. Il n’y aurait donc pas de rapport client-vendeur, mais plutôt des particuliers s’adressant à des particuliers.

!!Les partenariats professionnels  !Dans le cas des partenariats professionnels, nous envisageons deux possibilités.

Avec un équipementier !Les utilisateurs des jardins auront à leur disposition un espace de culture et un espace de vie mais il leur faudra acquérir différentes ressources comme du matériel ou des semis pour développer leur activité de jardinage. C’est dans cet esprit que nous avons pensé à créer un partenariat exclusif avec une grande enseigne de produits de jardinage en lui offrant la possibilité d’être le seul présent sur la plateforme numérique en tant qu’annonceur. Cette enseigne aurait donc le monopole de la communication publicitaire auprès des utilisateurs des jardins. En échange de cet accord, ces derniers seraient bénéficiaires d’une offre commerciale exclusive sur l’ensemble des produits de l’enseigne partenaire, du type 10% de remise sur les produits jardinages et 5% sur les autres articles. Ainsi chacun profitera de ce partenariat, d’un point de vue financier ou notoriété.

Avec des spécialistes  !Afin d’apporter encore plus de contenu technique à nos utilisateurs, nous souhaitons créer des partenariats avec des experts dans des domaines tels que l’agriculture, le jardinage, la cuisine afin de réaliser des reportages cours mais complets en plusieurs épisodes que les jardiniers urbains auraient le loisir de consulter à leur guise sur la plateforme numérique. Ces reportages peuvent être réalisés avec la participation de la chaîne TVRezé, qui s’est proposée de mettre à notre disposition une équipe de tournage et de relayer ces vidéos sur leur propre plateforme. Ainsi, nous permettrions de mettre en valeur des témoignages et des conseils de

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professionnels sur différentes thématiques tout en apportant un plus aux utilisateurs.

Le marchéNotre offre répondant à l’attente des Nantais !Aujourd’hui, nous constatons un désir de se réapproprier le territoire urbain, à mesure que les surfaces libres s’amenuisent. !Nantes, capitale verte de l’Europe en 2013, est une ville où la préoccupation de ses habitants pour le développement durable et l’engagement vert est très marqué. Le fait d’aller questionner les Nantais sur le terrain nous a clairement confortés dans notre projet. Par ailleurs, durant notre étude préalable et nos prises de contacts, nous avons également remarqué l’existence d’un nombre conséquent d’associations luttant pour la biodiversité et la végétalisation des toits (telles que Adivet).

Comme présenté au sein de ce dossier, l’aspect atypique du projet réside dans le fait d’installer un jardin en hauteur qui soit à la fois privatif et communautaire. Jusqu’à présent, 70% des jardins partagés impliquaient des commanditaires dits publiques (écoles et autres bâtiments appartenant à l’Etat.). !De plus, la création d’un dispositif se présentant sous la forme d’un bac connecté et d’une application nous permet de proposer un service complémentaire et inédit.

Nous pouvons voir qu’aujourd’hui les individus cherchent à faire partie de communautés sociales et virtuelles, sans toutefois amoindrir leur désir de rencontrer physiquement les gens, en particulier leurs voisins. Ainsi, nous répondons à cette envie et offrons l’opportunité de pouvoir fédérer et renforcer une communauté, à la fois au sein du jardin, mais aussi en dehors grâce à l’application qui est accessible en tout lieux et tout temps.

!La concurrence !Il n’existe pas à proprement parlé de service similaire sur le marché actuellement. En effet, pour le moment nous pouvons uniquement distinguer que deux entreprises comme Parrot et Koubachi. Parrot a développé un dispositif sous la forme d’un capteur qu’on plante dans le bac d’une plante d’intérieur, accompagné d’une application. Leur système qui est vendu en points de vente (Fnac, et Truffaut), ou sur internet (Amazon), présente certaines limites (principalement du fait de l’utilisation de l’application uniquement en Bluetooth, et donc sans la notion de mobilité), et des avis très mitigés auprès des utilisateurs, notamment sur les réseaux sociaux. Koubachi quant à lui propose un capteur indoor/outdoor, accessible en WiFi, utilisant le même principe que son concurrent, en étant toutefois plus complet.

Les acteurs participant à la création des villes !Notre projet rassemble à la fois l’architecture responsable, la construction et la végétalisation de l’espace urbain. Ainsi, pour la mise en place de celui-ci nous sommes actuellement en contact avec des institutions au niveau local, des professionnels de la construction et du paysage. !

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!Les institutions !Au niveau institutionnel, de nombreux acteurs pourraient nous permettre d’obtenir un soutien informationnel, législatif ou encore financier par l’intermédiaire de subventions. On distingue tout d’abord le Service des Espaces Verts et de l’Environnement qui a pour enjeu d’améliorer au quotidien la qualité du cadre de vie des Nantais, en développant des aménagements et paysages diversifiés. En effet, 15% du territoire nantais est occupé par des espaces verts et près de 24M d’euros sont alloués par la ville à ces espaces chaque année. !D’autres institutions encouragent la végétalisation des espaces en zone urbaine et le développement de la biodiversité. Divers organismes sont présents tels que le Service Territorial de l'Architecture et du Patrimoine  (STAP), la Direction de l'Urbanisme de la Ville de Nantes, Nantes Habitat, mais aussi et surtout Nantes Métropole. Cette dernière coordonne notamment les règles au niveau du Plan Local d’Urbanisme (PLU), instaurées par la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU), qui définissent l’utilisation des sols et l’aménagement global et responsable vis-à-vis de l’environnement.

!Toujours d’un point de vue législatif, l’installation d’une toiture végétalisée peut également être encadrée par une réglementation sous la forme de normes DTU ou Documents Techniques Unifiés.

Les Architectes locaux et promoteurs !Notre démarche implique également de contacter les professionnels de la conception et de la construction. Notre objectif est de mettre en place un projet global regroupant divers acteurs et compétences afin de rendre possible la végétalisation des toits.

!Nous sommes par exemple en contact avec le promoteur et constructeur immobilier Rabot Dutilleul sur la région Nantaise. !!!!Ce groupe cherche comme nous à se positionner sur l'immobilier responsable, comme en témoigne leur projet d’entreprise Imagine 2014, caractérisé par une responsabilité sociale et environnementale. !L’implication d’architectes permettra de développer la technique de végétalisation la plus adéquate (sûrement semi-intensive dans le cas des toits), mais aussi de donner un design et un cadre agréable dans lequel les utilisateurs pourront se retrouver. !!

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!A qui nous adressons-nous ?!Dans le but d’offrir notre produit auprès de résidents d’immeubles, nous devons également, et avant tout, nous tourner vers les différents acteurs qui occupent une place importance dans sa mise en place. On distingue ainsi deux cibles, détaillées ci-après.

Cible commerciale !Elle est constituée des promoteurs immobiliers qui pourraient installer ce type de jardins sur leurs immeubles en projet. Il est essentiel pour nous, de nous adresser vers eux en premier lieu, car ils constituent la base de notre fond de commerce et permettent de rendre le projet viable. C’est par l’intermédiaire de leur adhésion au concept que nous proposons, qu’on peut le rendre réel, et par la suite solliciter notre cible secondaire.

Cible utilisateur !Celle-ci est composée des « utilisateurs » au sens propre du terme, c’est-à-dire les habitants de résidences qui représentent les futurs membres de la communauté. L’objectif est de leur faire connaître notre offre qui se matérialise par le dispositif des « Smart Bac » et de l’application associée. La cible est donc le locataire d’appartement, désirant faire partie socialement de sa communauté/son voisinage, sous une forme plus atypique et ludique. Novice ou ayant déjà la « main verte », il a le souhait de pouvoir posséder son coin d’espace vert et d’avoir la possibilité de cultiver soi-même, au sein d’un environnement de plus en plus urbanisé.

Le but de notre campagne de communication à venir est de démocratiser le fait de se réapproprier l’espace urbain et le concept des jardins partagés sur les toits. Notre objectif à terme est de susciter l’intérêt du

public pour le concept et l’envie de se joindre et de s’impliquer activement dans une communauté.

La communication de Garden’R!Notre projet dépend de plusieurs type d’acteurs, promoteurs, constructeurs, particuliers, collectivités, associations entre autre. Nous nous devons donc d’avoir une communication claire envers chacun des concernés. La difficulté réside dans la pluralité des publics cibles. En effet, nous ne pouvons communiquer de la même manière selon que nous nous adressons à une entreprise de BTP préparant un projet potentiellement compatible avec notre plateforme ou à un particulier, potentiel utilisateur par exemple. La problématique à laquelle nous faisons face est la suivante  : comment communiquer sur notre produit vers des publics qui ne partagent ni les mêmes intérêts vis-à-vis de l’outil ni les mêmes objectifs d’utilisation. !Exemple d’intérêt locataire : rencontrer ses voisins à travers la pratique du jardinage Exemple objectif d’utilisation locataire : apprendre à jardiner des tomates !Exemple d’intérêt entrepreneur : apporter une plus-value à son immeuble Exemple d’objectif d’utilisation  : améliorer l’isolation thermique de son bâtiment

Une communication produit ciblée. !Nous avons identifié auparavant deux cibles principales. Les cibles secondaires sont les associations concernées par l’agriculture urbaine et la promotion du lien social entre voisins. Elles seront des relais naturels et des prescripteurs de notre projet puisque notre solution est un outil au service des causes que défendent ces associations. Les collectivités territoriales sont également des cibles secondaires. Elles pourront nous appuyer auprès des entrepreneurs puisque notre projet s’inscrit dans bon

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nombre de Plans Locaux d’Urbanisme ayant notamment pour but de rendre les zones urbaines plus vertes. !!!!!!La promotion de notre produit auprès des constructeurs se faisant via un démarchage commercial, le véritable enjeu en terme de communication se situe au niveau du grand public, avec un double objectif  : sensibiliser le public sur la possibilité d’avoir un potager sur son toit et leur faire connaître la plateforme Garden’R pour créer un désir d’utilisation.

Les résidents (nos utilisateurs) !Pour rappel, les résidents ou utilisateurs sont les particuliers qui pourraient être amenés à utiliser notre application. Ce sont eux qui vont utiliser et faire vivre la plateforme  : c’est pour leur faciliter le jardinage et les connecter aux autres utilisateurs, qu’ils soient de leur immeuble ou non, qu’a été imaginé ce support. !Objectifs  : Donner l’envie de jardiner, de partager avec ses voisins via notre plateforme, de s’évader. !Supports de communication !Nous projetons de mettre en œuvre toute une série de moyens de communication modernes pour faire connaître Garden’R : !Print  : Dans notre stratégie, nous prévoyons d’utiliser le canal de communication classique qu’est l’affichage. Exemple de ce que pourrait être une campagne d’affichage Garden’R ci-contre. !!!

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!Une Stratégie Digitale !Web Série  : D’une part, nous avons imaginé une chaîne Youtube Garden’R où seront relayées des vidéos crées par Garden’R. Cette série de vidéos tutoriels, spécifique à chaque culture, permettra aux utilisateurs d’apprendre à jardiner. Des invités surprises, passionnés par leur métier et désireux de partager leur savoir, interviendront ponctuellement. D’autre part, nous réaliserons des reportages griffés Garden’R afin de sensibiliser au développement durable à travers la problématique de l’agriculture urbaine, des toitures végétalisées et des interviews d’association et d’acteurs du développement durable. Ces reportages seront également diffusés via la chaine Youtube. !!Réseaux sociaux : Une présence accrue sur les réseaux sociaux à travers Facebook, Twitter, un Tumblr, un Pinterest ou les photos des légumes seront centralisées. Notre plateforme réunit des communautés potentiellement technophiles qui sont donc susceptibles de se réunir sur les réseaux sociaux. Nous avons choisis ces plateformes car ce sont les plus gros relais d’information (Facebook, Twitter). Tumblr constitue quant à lui notre micro-site durant le développement du projet. Enfin, Pinterest permet d’apporter une touche créative et est très utilisé par les « foodies ». !Relations Presse  : Au lancement de notre plateforme, nous communiquerons aux médias généraux et spécialisés (presse jardin, magazine consacré au développement durable, magazine entreprenariat start-up, magazine BTP, presse High-Tech) un dossier de presse complet pour que l’information soit relayée. !Street Marketing : Notre projet s’inscrit dans un cadre urbain, des actions de ce type dans les centre-villes seront donc misent en place.

!!Les entrepreneurs (nos clients) !Nous allons proposer notre jardin connecté Garden’R comme une solution venant se greffer à un projet de construction en développement. C’est donc l’entrepreneur en bâtiment qui prendra la décision d’intégrer les bacs de culture et la plateforme sur le toit de son futur immeuble. La technique de promotion de notre produit sera essentiellement le démarchage commercial des entrepreneurs en BTP. Dans ce but, nous prévoyons de créer les supports de communication suivants. !

• Plaquette de présentation du produit contenant l’argumentaire à laisser au prospect.

• Support iPad interactif pour la présentation de la solution. • Vidéo explicative type reportage expliquant la mise en place d’un

potager sur les toits, la facilité d’accès à la plateforme, la vie d’un jardin en montrant à terme des images des premiers jardins mis en place. !!!!!

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!Fiche de Synthèse!!Notre projet, inspiré par Open Odyssey et l’ADEME, a vu le jour dans une salle de cours pendant une réflexion sur comment réussir à nourrir 9 milliards de personnes en 2050. Nous avions pour mission de reprendre la communication d’un projet associatif existant mais nous avons souhaité aller plus loin. Par nos visions et nos approches différentes, nous avons cheminé longuement autour de notre problématique, échangé avec différents interlocuteurs et fais un certain nombre de recherches afin de déterminer notre domaine d’activité, le développement durable et notre champ d’action, l’agriculture urbaine. On ne parle pas de mettre des champs de carottes au beau milieu des villes mais plutôt de reconquérir l’espace urbain pour créer de la vie, pour créer de la beauté. Bref, mettre plus de vert dans notre quotidien. Et plus particulièrement les immeubles, véritables forêts de nos villes. !C’est donc dans cette direction que notre projet s’est orienté. Nous avons poursuivi nos investigations et la conclusion a été que les jardins sur les toits ne sont pas une révolution mais plutôt une pratique encore méconnue et peu répandue dans le quotidien des citadins. Une autre question s’est donc imposée à nous : Que pouvons nous faire pour changer ça et rendre cette pratique attrayante et dans l’air du temps ? !Le digital et le numérique prennent une place de plus en plus importante dans notre quotidien et l’ultra-connectivité fait partie intégrante de notre vie. C’est là qu’intervient la deuxième partie de notre projet, plus longue, plus technique mais aussi promettant des perspectives d’évolution incroyable. Connecter les utilisateurs, ce n’est pas vraiment nouveau. Leur proposer une aventure de jardinage inédite, voilà le vrai atout de Garden’R. Nous avons mené une enquête auprès de 200 prospects afin

d’affiner les caractéristiques de notre produit et aussi afin de nous conforter dans notre volonté de changer les choses car les résultats de cette étude sont très encourageants. !A ce stade du projet nous ne pouvons pas encore vous présenter une arborescence complète de notre produit ni même l’ensemble des fonctionnalités car nous sommes encore en période de développement. !Mais pour cela nous nécessitons des fonds, des contacts et des compétences que vous pouvez nous apportez si vous décidez de nous accorder votre confiance. Ensemble construisons notre futur. Ensemble bâtissons un avenir meilleur pour nos villes ! !Nous espérons avoir réussit à vous convaincre et si ce n’est pas le cas nous redoublerons d’efforts et nous persévèrerons jusqu’à l’aboutissement de notre projet car nous sommes convaincus de l’importance d’être acteur et non plus spectateur. !!L’équipe GARDEN’R !!Pour nous contacter!L’équipe Garden’R S’élever ensemble pour cultiver notre jardin Tél : + 33 6 11 64 02 91 Mail : [email protected] Tumblr : gardenrofficial.tumblr.com