L'aventure extraordinaire des deux chevalières

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L'aventure extraordinaire des deux chevalires

Mathilde & Marylou

otre magnifique chteau de Ventilac se situait au bord de la mer.Celui-ci accueillait des milliers de personnes chaque jour, car il tait grandiose. Sur la faade il y avait des feuilles de lierres pralablement plantes par notre jardinier Jean. Nos tours taient faites de pierres ponces chaque jour avec amour. Nos fentres semblaient si grandes qu'elles laissaient passer beaucoup de lumire et on pouvait y voir la mer.

Notre grille dacier tait si dure que personne ne pouvait la briser. Notre jardin tait trs accueillant avec ces centaines de fleurs. A l'intrieur, nos tapisseries taient faites d'or, il y avait une cinquantaine de chambres, une norme salle manger, une cuisine et la grande salle du chteau Notre vaisselle tait trs raffine et orne de pierres prcieuses. Nos cuisiniers taient reconnus comme les meilleurs.Pour rsumer notre chteau tait devenue la 8me merveille du monde. Comme tous les dimanches nous allions cueillir nos fruits frais, dans notre jardin secret lorsque nous avons entendu Bernard pleurer. Nous sommes alles le voir.

.Il nous a dit qu'un jeune homme masqu l'avait menac et lui avait interdit d'crire ce qu'il voulait sur le mur des penses. Ce mur est un lieu magique o l'on pouvait crire ce que l'on voulait; et o chacun pouvait se recueillir et pouvait se vider de ses motions.

Nous avions eu un air surpris!Bernard nous dcrivit le voyou: il tait blond aux cheveux longs, avec de grands yeux bleus.Ses vtements taient salles et plein de boue.Il tait arm d'un poignard et courrait aussi vite que l'clair.Quand nous tions en train d'couter la description de Bernard, nous vmes un des oiseaux royaux se digrer vers nous. Il tenait entre ses serres acres une lettre de la plus haute importance et qui nous laissais apparatre le sceau du pre dAdlade. Quand il passa au-dessus de nos ttes, il lcha la lettre et Antha la rattrapa. Adlade la lut haute voix:-Chres chevalires de notre chteau, vous tes invites l'adoubement du futur chevalier Charles. Vous avez rendez-vous aujourd'hui quatorze heure dans la grande salle du chteau avec nos meilleures couturires qui vous creront de magnifiques robes, chaussures et accessoires spcialement conues pour vous. Puis vous devrez assistes aux rptitions du dfil. Et demain matin nous viendrons vous rveillez vers sept heure pour vous embellies de plus belles. Sign: le papa dAdladeElle referma avec dlicatesse la lettre puis, regarda Antha et en cur poussrent un cri de joie. Elles taient ravies de pouvoir assister l'adoubement du frre dAdlade. Elles durent avec regret quitter Bernard qui avait l'air trs frustr. Il retourna chez lui, tandis que nous remontmes sur nos chevaux; et nous partmes au galop de notre jardin secret.

ous rentrmes au chteau pour y manger un solide repas gentiment prparer par nos cuisiniers. Aprs ce merveilleux repas nous partmes vers le point de rendez-vous. Quand nous arrivmes dans la grande salle du chteau tout tait prt. Nous fmes accueillit par de magnifiques couturires. Six longues heures passrent et nous avions finis.

Le lendemain matin, comme prvus, les dames vinrent nous rveilles. Elles nous avaient chouchoutes pour l'adoubement du frre d'Adlade et nous tions magnifiques.

Nous passmes une merveilleuse aprs-midi mais aprs l'adoubement nous nous souvinrent du voyou qui avait menac Bernard. Nous nous fmes une promesse: venger Bernard.A labri des regards nous prmes nos armures, nos armes et quelques deniers. Puis nous laissmes un mot notre faucon qui l'aurore lemmnera notre bon roi.

Nous partmes de suite trs discrtement en ayant une pince au cur pour nos famillesNous tions en train d'avancer au petit trop; quand nous emes un coup de fatigue. Adlade aperu une petite maisonnette qui avait l'air trs charmante et dcida d'y aller. Nous frappmes trois fois puis une jeune femme nous ouvrit. Nous lui demandmes si elle pouvait nous hberger juste pour cette nuit. Elle accepta avec grande joie. Elle avait mme une grande table pour y mettre nos chevaux; sa maison tait trs chaleureuse, nous nous mmes en tenues de nuit puis nous allions nous coucher.

Nous dormmes trs mal, car nous avions une proccupation en tte: quand Bernard nous avait dcrit le voyou nous avions eus une impression de dj le connatre. Mais nous russmes nous endormir trs tard. Le lendemain, l'aube le soleil nous rveilla malgr les rideaux ferms. Pour ne pas perdre de temps nous nous habillmes en toute de vitesse. A notre arrive dans la cuisine la jeune femme tait dj leve et habille et nous avait prpar un petit djeuner des plus gourmands: pain aux crales, aux fruits confis, aux herbes et natures; avec a un bon verre de vin et une grosse meule de fromage frais. Avec ceci de dlicieux fruits galement frais et juteux.Aprs avoir bien manger; nous allmes nous armer puis sceller nos chevaux. Avant de repartir nous remercimes la jeune femme de nous avoir hberger et nourries et en guise de remerciements nous lui prommes un acceuille chaleureux si elle venait Ventilac.

Nous repartmes le ventre plein et continumes notre route Il tait quatorze heure et nous commenmes a avoir trs faim; nous apermes un bon gros gibier, nous sortmes nos lances de nos tui d'or et essaymes d'attraper les sanglier. Nous lanmes nos armes et elles arrivrent en mme temps dans le foie de l'animal. Nous rcuprmes l' animal ensanglant et le mirent dans un vieux tissu pour le conserver jusqu'au soir. Antha accrocha la bte la selle de son cheval et nous continumes notre cheminAu coucher du soleil, comme nous ne trouvmes pas de foyer, nous installmes nos tentes pour pouvoir dormir au chaud. Aprs avoir mont nos tentes, nous nous sparmes pour aller chercher du bois pour faire un feu qui nous permettra de cuire notre gibier. Aprs trente minutes de recherche nous revnmes avec normment de branches.Nous commenmes a faire notre feu lorsque Adlade entendit un bruit trange, elle vit des yeux travers un buisson.Tout d'un coup loup affam sortit du buisson avec fureur et enfona ses crocs dans la cuisse d'Antha; et Adlade lui lana la torche de feu ce qui lui brla la patte. Il parti en courant. Adlade lui fit un garrot mais cela nempcha l'norme perte de sang. Elle la mit confortablement sur un tas de feuilles et lui donna manger et boire. Elles s'endormir cte cte.Le lendemain matin, pendant qu'Antha dormait Adlade prparait le petit djeuner et les affaires pour partir Quand Antha se leva elle commenmes le petit djeuner. Sa blessure ne saignait plus mais elle lui faisait encore mal.Elles taient en pleine discussion lorsque qu'elles entendirent faiblement le son d'une crcelle.Elles cherchirent du regard do provenait la musique,et elles aperurent un jongleur tout joyeux qui faisait des cabrioles. Nous lui fiment des grands gestes de la main pour l'appeler.Il nous demandmes ce que nous faisions ici.nous lui expliqua nous n'avions pas trouver de foyer o dormir.Il nous primes de le suivre et nous emmenmes dans une ville merveilleuse dtes la ville aux chevaliers des quatre coins du monde.Nos yeux taient remplis dtoiles.Nous entrmes dans une norme lice et le jongleur nomm cou de travers nous proposa de participer aux combats. Nous acceptmes avec joie et allmes nous prpare. Deux cuyers vinrent vers nous et commencrent nos armures. Un sons de vielle retentit, ce qui dclencha le dbut des combats. Antha tait face un chevalier petit et trapu avec un regard noir. Il avait une lance de six mtres, des traits grossiers, la mchoire carre, des cheveux fourni et boucl.Il avait un sourire hypocrite et il semblait trs sur de lui. Mais Antha ne le craignait pas. Ils slancrent l'un vers l'autre et la lance d'Antha fit tomber son adversaire terre. Pour que le combat soit quitable, Antha descendit de son cheval, tendit que son adversaire se releva firement. Ils sortirent leurs pe de leurs fourreau et ils se battirent avec fureur. Aprs dix minutes de combats acharn, Antha finit par atteindre le bras de son adversaire. Celui tomba terre et lcha son pe. Antha posa son arme sous le menton du vaincu. Il lui promis une ranon en change de sa libert. Comme le combat avait durer longtemps, le soleil tait dj bas et on avait du mal distinguer les chevaliers. Ce fut au tour d'Adlade de combattre. Son adversaire tait lanc et avait une silhouette longiligne et paraissait maigre, son visage tait trs rid et ovale. Ses traits taient fins et son teint blafard. Ses yeux tait tirs en amande et de couleurs prunes, ses cheveux raides et bouriffs fessait peur Adlade. Il avait un sourire hypocrite et un regard moqueur, il n'avait pas l'air trs sympathique.Le combat commena, ds le dbut il acclra trs vite vers Adlade mais celle-ci l'esquiva. Adlade avana et son adversaire enfona sa lance dans le coup de son cheval; elle tomba terre et son adversaire lui donna un coup de pied dans le dos. Elle se retrouva allonge sur le sol. Elle tait en colre et avait des clairs dans les yeux, c'tait dcid, elle allait tuer son adversaire. Avec la poussire elle ne put distinguer son ennemie; mais comme elle tait maligne elle regarda son pe et avec la lumire du soleil elle aperu le visage de son ennemie jur. Elle se retourna avec rapidit et enfona son pe dans le ventre de son adversaire. Il seffondra au sol avec le corps en sang.Sur le chemin du retour, le lendemain, nous vmes un homme qui nous paraissait familier. Nous le poursuivmes et nous nous rendmes comptes que c'tait lagresseur de Bernard. Il ne s'tait pas aperu de notre prsences. Nous nous fmes discrte et aprs quelques minutes d'attentes, nous lui sautmes dessus et le ligota. Nous tions le bon malfaiteur. Nous le ramenmes Ventilac pour le montrer Bernard.

Arriv Ventilac, tout le monde nous sauta dessus car tous taient heureux de nous voir en vie; mais quand il virent le voyou ils prirent peur! Nous demandmes Bernard si c'tait le bon agresseur. Il acquiesa. Nous le formes prsenter ses excuses et laisser les gens s'exprimer comme ils le souhaitait. Il partit toute vitesse car il eut peur de nous Nous avons russi venger Bernard: nous avons russis sauver sa libert:

la libert d'expression