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Théorie De l’Information et De la Communication Marty Alexandra 2012 -2013 M Vieira mardi 27 novembre 12

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J'ai réalisé ce Powerpoint pour un cours de Théorie De l'Information au cours de ma formation de DUT en publicité. Il s'accompagnait d'un dossier plus complet sur le même thème. Il met en pratique les méthodes d'analyse de Viera, Lasswell, et bien d'autres.

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Théorie De l’Information

et De la Communication

Marty Alexandra

2012 -2013M Vieiramardi 27 novembre 12

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Le canada

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«Vivre au Canada, c’est vivre dans quatre pays différents ...

un pays par saison.»Michel Conte

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Quelle vision les français ont-ils du Canada ?

Quelle image du Canada les médias transmettent-ils ?

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SommaireAvant-proposIntroduction

I) Cadrage du sujet

Etymologie, Définition, Historique Commentaire

II) Méthodes utilisées

H.Lasswell, A.Moles, L.Viera, C.OsgoodCommentaire

III) Synthèse des résultats

Analyse des occurrences, Schéma canonique, ConclusionsBibliographie, Webographie & Logiciels

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Avant propos Dans le cadre du cours de Théorie de l’information et de la communication enseigné par Mr Vieira, nous sommes amenés à réaliser un dossier. Les théories et les méthodes étudiées en cours ont pour objectif d’être appliquées et expérimentées sur le sujet de notre choix, cette liberté à conduit ma réflexion à traité le thème du Canada.

C’est un Pays qui m’a toujours attiré, de part sa culture, ses paysages tous différents au fil de l’année, sa réputation ainsi que la réputation des ses habitants. C’est pour cela que j’ai décider de prendre ce sujet comme thème principal de mon étude. Je me suis donc demandé si l’image que les français ont du Canada est la même que celle que les canadiens ont de leurs pays.

Pour faire mon dossier, j’ai dû utiliser différents supports d’informations tel que Internet, des dictionnaires, des livres et des magazines. J’ai également analysé des textes, des vidéos et des images à l’aide d’analyses spécifiques d’auteurs telles que celles de Lasswell, Moles ou encore Osgood.

Les méthodes et les enquêtes m’ont permis de mieux comprendre certaines techniques de communication et d’affiner mon analyse des images grâce à la méthode Vieira notamment. Même si le classement des réponses obtenues s’est révélé extrêmement long et que la compréhension des méthodes ne s’est malheureusement pas avérée innée, j’ai trouvé cela très riche et intéressant car j’ai pu découvrir l’avis de différents publics, mettre en avant des stéréotypes et en savoir d’avantage sur l’histoire du pays.

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Introduction Le Canada est le pays dont la réputation à l’étranger est la meilleure, selon une étude du «Reputation Institute» de New York pour l’année 2011 qui a mesuré la perception générale de 42 000 répondants à l’égard de 50 pays du monde entier. « L’étude démontre que la bonne réputation d’un pays dépend des trois critères suivants : avoir une économie avancée, offrir un environnement attrayant et avoir un gouvernement efficace ».

Il est important de se situer dans le haut de ce classement, car il a en effet été prouvé qu’il existait un lien très étroit entre les bons résultats d’un pays et le désir des étrangers de le visiter, d’y investir ou d’y habiter.

Pour répondre à la question que je me suis posée, j’ai utilisé les méthodes d’analyse suivantes :

- La méthode de Lasswell- La constellation d’attributs de Moles- Le différentiel sémantique d’Osgood- L’analyse du message iconique de Louis Vieira - L’analyse des occurrences sémantiques

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I - Cadrage

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Etymologie

En 1534, lors du deuxième voyage de Jacques Cartier, deux jeunes autochtones indiquent à Jacques Cartier le chemin de « kanata ». Ils faisaient allusion au village de Stadaconé (« kanata » étant simplement le mot qui désignait un « village » ou une bourgade dans la langue des Hurons ou des Iroquois).

Jacques Cartier crut qu'il s'agissait là du nom de tout le pays. Il serait le premier Français à avoir écrit le mot Canada, en 1535. Cette « province », ainsi qu'il la désigne, est située entre l'île-aux-Coudres et Hochelaga (Montréal). Pour s'y rendre, il emprunte un imposant cours d'eau, le fleuve Saint-Laurent. Il donne à celui-ci le nom de rivière de Canada. Le nom en vint bientôt à s'appliquer à une région beaucoup plus étendue. En effet, sur les cartes de 1547, tout le territoire au nord du fleuve Saint-Laurent est appelé « Canada ».

Le nom « Canada » fut utilisé officiellement pour la première fois en 1791 lorsque la province de Québec fut divisée en deux colonies : celle du Haut-Canada et celle du Bas-Canada. En 1841, les deux Canada furent à nouveau unifiés sous le nom de Province du Canada. Au moment de la Confédération, le nouveau pays prit le titre de Dominion du Canada. Le nom « Canadien » ne sera utilisé que par la population francophone de la vallée du Saint-Laurent (les Québécois d'aujourd'hui), jusqu'à ce que les compatriotes anglais se l'approprient vers la fin du 19e siècle. Le Canada d'aujourd'hui est constitué de dix provinces et de trois territoires qui s'étendent des océans Atlantique à l'est, au Pacifique à l'ouest, jusqu'à l'océan Arctique au nord et la frontière des États-Unis au sud.

La version admise par les historiens quant à l’origine du nom « Canada » est la suivante :

Le nom « Canada » vient du mot huron ou iroquois « kanata » qui signifie «village ».

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Définition GénéraleCanada

Le Canada est le deuxième plus grand pays du monde par sa superficie de 9 984 670  km2 après la Russie, occupe la partie septentrionale de l'Amérique du Nord. Il s'étend d'est en ouest de l'océan Atlantique à l'océan Pacifique et vers le nord jusqu'à l'océan Arctique, d'où sa devise : «A mari usque ad mare» (D'un océan à l'autre). Il partage deux frontières avec les États-Unis, au sud et au nord-ouest (Alaska). Le pays est plus précisément une fédération composée de dix provinces et de trois territoires.

Le Canada est une monarchie constitutionnelle (Royaume du Commonwealth) à régime parlementaire, se définissant comme une nation bilingue et multiculturelle ; le français et l'anglais sont, à statut égal, les langues officielles. Nation industrialisée et technologiquement avancée, son économie diversifiée repose principalement sur l'abondance de ses ressources naturelles et sur le commerce effectué en grande partie avec les États-Unis, pays avec lequel perdure une relation complexe depuis les temps coloniaux et les débuts du Canada moderne.

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Définition GénéraleImage

Une image est une représentation visuelle voire mentale de quelque chose (objet, être vivant et/ou concept).

Elle peut être naturelle (ombre, reflet) ou artificielle (peinture, photographie), visuelle ou non, tangible ou conceptuelle (métaphore), elle peut entretenir un rapport de ressemblance directe avec son modèle ou au contraire y être liée par un rapport plus symbolique. Pour la sémiologie ou sémiotique, qui a développé tout un secteur de sémiotique visuelle, l'image est conçue comme produite par un langage spécifique.

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Définitions spécialiséesDéfinition sociologique : «Pays d’immigration, le Canada n’a pas connu d’émeutes comme celles des banlieues de Détroit, de Chicago ou encore de Los Angeles (...) Le Canada a connu par contre plusieurs incidents circonscrits qui s’apparentent à des conflits raciaux et à des conflits entre gangs de rue dans les grandes villes (Toronto, Montréal ou Vancouver), un nombre d’incidents relativement mineurs, quoique revêtant une grande importance symbolique, qui ont amené les Canadiens et les Québécois à réfléchir sur leur modèle de société et même à douter de la tolérance qui était – et est encore – le mantra officiel dans les discours des autorités politiques. Le modèle canadien du multiculturalisme peut être qualifié de réussite à plus d’un point de vue. Des millions d’immigrants y ont refait leur vie et une nouvelle définition de la nation canadienne a émergé au XXè siècle a émergé dont les contours commencent à être mieux cernés».

Canada

Définition économique : Le Canada est l'une des nations les plus riches du monde, un membre de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et du Groupe des huit (G8). Le Canada est l'un des fournisseurs les plus importants du monde en produits agricoles, avec la région des Prairies, qui est l'un des plus grands fournisseurs de blé et céréales grâce à la Commission canadienne du blé. Le Canada est le deuxième producteur de diamants au monde, le plus grand producteur de zinc et d'uranium, et un chef de file dans plusieurs autres ressources naturelles telles que l'or, le nickel, l'aluminium et le plomb. En partie le résultat de son important secteur primaire, le Canada est hautement dépendant du commerce international, spécialement le commerce avec les États-Unis. L'Accord de libre-échange (ALE) de 1989, avec ce dernier, et l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) de 1994, qui inclut le Mexique, déclenchent une impressionnante croissance de l'intégration commerciale et économique du Canada avec les États-Unis. Mis à part le ralentissement économique de 2001 qui n'a techniquement pas été considéré comme une récession puisqu'il a duré moins de deux trimestres consécutifs, le Canada n'a pas connu de récession depuis 1991, et maintient dans l'ensemble la meilleure performance économique du Groupe des huit (G8) et ce jusqu'en 2008.

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Définitions spécialiséesImage

Définition historique : « Qu'entend-on par image ? Dans le monde romain, l'imago désignait un portrait de l'ancêtre en cire, placé dans l'atrium et porté aux funérailles. Le droit d'images, réservé aux personnes nobles, leur permettait d'établir et de conserver leur lignage. Étymologiquement, l'image figure donc le portrait d'un mort. L'image est le langage commun de l'humanité. Elle apparaît sur les voûtes des grottes préhistoriques bien avant que l'homme songe à édifier des temples et des tombeaux. Des millénaires la séparent de l'écriture, projection abstraite de la pensée. L'image abolit le temps et l'espace. Elle est lecture instantanée et présence immédiate du monde. À travers elle l'homme se reconnaît ; pourtant sa richesse est ambiguë et son pouvoir d'aliénation extrême. L'image sert de vérité. Elle s'offre à tous et se refuse à chacun. La mythologie moderne consacre le règne de l'image. Pour mieux imposer ses fables et ses slogans, elle révoque l'esprit qui anime la lettre (la publicité, aujourd'hui, fait de la lettre une image) »

Olivier Boulnois

Définition en Communication : Ce que l'image montre constitue sa dénotation. Ce que l'image suggère constitue ses connotations. L'image peut ainsi revêtir plusieurs fonctions :- référentielle : elle peut être descriptive ou narrative, comme dans les fresques historiques ou les BD ; elle peut aussi être informative ou explicative, comme dans les documentaires, les schémas...- poétique ; elle peut être expressive (en suscitant des sentiments, comme le voulait la peinture impressionniste de la fin du XIXème siècle) ou symbolique (comme dans la peinture surréaliste qui ne représente jamais la réalité telle que nous la connaissons).- injonctive et argumentative : la caricature, la publicité, le dessin humoristique veulent nous convaincre ou nous faire réfléchir. Enfin, l'image peut se charger d'un sens individuel ou collectif (religieux, social, politique), selon les périodes et les créateurs. Comme pour un texte, il est donc important de situer historiquement une image (tableau, publicité, film...) lorsqu'on désire l'analyser.

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Historique

Parti en 1534, à l’instigation de François 1er, Jacques Cartier (1491-1557) cherche, comme nombreux de ses prédécesseurs, cette fameuse route vers la Chine, mais aussi l’or du Nouveau Monde. Il explore le golfe du Saint-Laurent, rencontre les Iroquois sur l’actuel emplacement de la ville de Québec. Il revient à Paris avec les deux fils du chef iroquois, mais sans or ni route. Une deuxième (1535-1536) puis une troisième expédition (1541) sont financées.

La conclusion est qu’il n’y a définitivement ni or ni chemin maritime vers l’Asie, mais que ces terres nouvelles se prêtaient à merveille à la pêche, au commerce des fourrures (qui l’emportera en valeur sur celui de la morue dès la fin du XVIème siècle) et à l’établissement de colonies, notamment sur le site d’Hochelaga (le futur Montréal).

Découverte

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L'afflux massif d'immigrants anglophones, en diminuant le poids relatif des Canadiens français, contribue à affaiblir la position de ceux-ci dans la fédération.

Plusieurs nationalistes considèrent qu'il s'agit là d'une nouvelle menace qui s'ajoute à un autre phénomène inquiétant: l'émigration des Canadiens français vers les États-Unis. Vers la fin du XIXe siècle, le mouvement migratoire vers les États-unis devient si important que l'on parle d'une véritable saignée démographique.

De 1870 à 1900, environ 10% de la population totale de la province émigre vers les Etats - unis. Dans ces conditions, le Canada français attend beaucoup de ses liens avec la France. On espère y trouver les émigrants catholiques et francophones qui permettront de maintenir l'équilibre des francophones dans le Canada.

L'Emigration (Fin du XIXe Siècle)

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Les années 1880, avec le renouveau du colonialisme en France, créent un climat favorable à la propagande canadienne. En France, on s'intéresse de plus en plus à cette ancienne colonie, seul exemple d'un peuplement français qui ait vraiment réussi. Au Canada, et particulièrement dans la province de Québec, l'on entend profiter de ce courant de sympathie. Nous avons vu que le recrutement de cultivateurs français et belges figure parmi les raisons invoquées lors de la création de l'agence de la province de Québec à Paris. Le Commissariat canadien distribue de façon permanente de la propagande en faveur de l'émigration au Canada. Il est aidé par diverses sociétés d'immigration comme cette «association nationale fondée en France, en Suisse et en Canada pour favoriser l'immigration française en Canada» créée au printemps 1887. Il peut également compter sur l'appui des «Amis du Canada» : «collectivité informelle des Français qui, à titre individuel ou au sein d'une société, vouent un intérêt particulier, à la fois intellectuel et patriotique, au Canada français et à l'Acadie ». Cet intérêt de certains Français pour la colonisation du Canada, qui est pourtant une colonie britannique, s'explique essentiellement par l'admiration qu'ils portent au miracle de la survivance du Canada français ainsi qu'au désir de voir prospérer cette partie de l'Amérique demeurée française.

Années 1880

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Deux ans après son arrivée en France, il fonde Paris-Canada. Ce journal, lien entre les Canadiens qui séjournent en Europe, lui permet de mieux faire connaître le Canada, ses produits et ses occasions d’investissements. Dans le premier numéro, il explique le statut politique du Canada, «sorte d’État souverain dont la seule servitude est de rendre foi et hommage à la suzeraineté qui lui a gracieusement accordé tous les avantages de l’indépendance ». La politique canadienne constitue un domaine privilégié des actualités de la revue Paris-Canada. Il n'est pas rare que le commissaire prenne la plume pour expliquer à ses lecteurs les subtilités du fédéralisme, la différence entre les partis politiques, ou, tout simplement pour présenter un homme politique qu'il connaît souvent personnellement. Il ne s'agit pas ici de relever tous les sujets de politique canadienne, mais bien de tracer les grandes lignes du portrait politique du pays tel qu'il se présente dans la revue. Il va de soi que la revue Paris-Canada, s'intéresse en premier lieu à la situation de la minorité francophone du Dominion. Or, parler des Canadiens français aux Français c'est d'abord souligner l'intensité et la pérennité de leur affection pour la France. Le goût de l'éloquence et l'enthousiasme quelque peu exagéré de Fabre au sujet de la francophilie des Canadiens français ne lui font toutefois jamais perdre de vue que le Canada s'est beaucoup éloigné de la France, par la Conquête, d'abord, puis par la Révolution.

Le Canada vu par Fabre (Années 1880)

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De façon générale, La France et le Canada partagent une même vision des relations internationales  : attachement au multilatéralisme, accent sur les problèmes de sécurité internationale, promotion de la démocratie et de la bonne gouvernance. Les enceintes où siègent les deux pays sont multiples (OTAN, G8, OCDE, OSCE, OIF…). Plus spécifiquement, il existe entre la France et le Canada une étroite collaboration sur des dossiers d’intérêt commun co m m e la d i v e r s ité c u lt u re l le (convention de l’UNESCO), les opérations de maintien de la paix (Afghanistan, H a ï t i , A f r i q u e ) o u l ’ a i d e a u développement (entente de 2006 promouvant des actions conjointes). Par ailleurs, les échanges d’expérience sur les questions de société (santé, immigration, sécurité, réforme de l’Etat) sont particulièrement fructueux.

Relations politiques (XXe Siècle)

Saint-Pierre-et-Miquelon (SMP) est un dossier essentiel de la relation franco-canadienne. A la suite de la sentence arbitrale de juin 1992 sur la Zone économique exclusive de SPM, la France et le Canada ont signé un accord en 1994, qui régit la pêche et la coopération régionale avec les quatre provinces atlantiques du Canada. Une commission mixte se réunit chaque année pour renforcer cette coopération.

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Les échanges bilatéraux de biens et services entre la France et le Canada représentent environ 5 milliards d’euros. Le Canada est notamment acheteur de produits de pharmacie, de vins, d’avions et de parfums. Il vend principalement à la France ses minerais, ses avions et ses produits de pharmacie.La France est aujourd’hui le 5ème investisseur étranger au Canada. Environ 500 entreprises françaises sont implantées au Canada, surtout au Québec, employant plus de 80 000 personnes. Total a, par exemple, entrepris un ambitieux programme dans les sables bitumineux de l’Alberta.On compte 280 filiales de sociétés canadiennes en France qui emploient environ 30 000 personnes. En 2010, la France est le pays d’Europe qui a reçu le plus grand nombre de projets d’investissements canadiens créateurs d’emplois (29).

Relations économiques (XXe et XXIe Siècle)

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Relations culturelles, scientifiques et techniques (XXe et XXIe Siècle)

Largement cofinancées, les actions sont menées avec les partenaires publics et privés de premier plan. La coopération universitaire et de recherche est particulièrement dynamique, notamment grâce aux échanges étudiants et aux co- tutelles de thèses. Elle s’appuie notamment sur les accords permettant aux étudiants français de bénéficier de conditions équivalentes à celles des étudiants canadiens. Par ailleurs, un Fonds France Canada pour la Recherche (FFCR) a été créé en 2000 pour soutenir divers projets d’échanges. La coopération scientifique est particulièrement active dans les nouvelles technologies de l’information, l’énergie (éolien, capture de CO2, etc.), ainsi que dans certains secteurs dits «  pr iv i lég iés  » (agr icu lture, forêts et arboriculture, pêches et océans, médecine et biotechnologie), et entre les grands organismes de recherche français (CNRS, INSERM) et canadiens. Les collectivités locales françaises et canadiennes, notamment québécoises, nouent des partenariats dans des domaines variés.

La coopération française avec le Canada est bicéphale  : le cadre juridique, les institutions et les enveloppes sont distincts selon qu’elle s’adresse au Québec ou au reste du Canada.L’action de la France dans le domaine culturel est multiple. Priorité est donnée aux industries culturelles et audiovisuelles, à la coopération éducative et au débat d’idées.

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Un accord sur la mobilité des jeunes facilite la circulation des jeunes Canadiens et Français âgés de 18 à 35 ans entre les deux pays.

Le Canada et la France entretiennent d'excellentes relations au niveau universitaire. Avec de nombreux centres d'études canadiennes en France et plusieurs centaines d’accords d’échanges d'étudiants conclus entre des établissements d'enseignement supérieur canadiens et français, les étudiants français sont très nombreux à se rendre au Canada chaque année. Par ailleurs, la France est une des destinations les plus prisées des étudiants post-secondaires canadiens, notamment parmi les pays non anglophones.

Relations culturelles (XXe et XXIe Siècle)

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II - Méthodes utilisées

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Méthode de Laswell

Harold Dwight Lasswell, sociologue américain d'origine autrichienne proposa en 1948 un modèle d'analyse pour tenter de décrire le phénomène de la communication. Cette méthode se compose en 7 questions :

Analyse de régulation : QUI ?Elle étudie les caractéristiques de l’émetteur. Qui écrit ? Qui parle?

Analyse de contenu : QUOI ?Elle étudie les messages, leurs formes et surtout ce qui les sous entend. Elle définit les caractéristiques du message émis.

Analyse de l’audience : A QUI ?Elle étudie le public touché par les médias. Cela renvoi au caractéristiques du destinataire, du récepteur du message, de l’audience visée, du public cible.

Analyse des médias : PAR QUELS MOYENS ?Elle étudie les différents moyens de communications. C'est le support médiatique du message et le processus du message.

Analyse des effets : POUR QUELS EFFETS ?Elle s’occupe des effets qu'ont les messages émis sur le récepteur. Par exemple, « Les récepteurs d'un message publicitaires modifient - ils leurs achats après réception d'une publicité ? ».

Analyse de lieu : OU ?Elle étudie l’endroit où le message est disponible.

Analyse temporelle : QUAND ?Elle étudie la date à laquelle le support comportant le message a été émis.

Analyse qualitative de la méthode :

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Article 1 (vidéo)Qui ?

(analyse de régulation, émetteur)

Office du tourisme du Canada (Par l’intermédiaire des canadiens)

Dit quoi ?(analyse de contenu, message émis)

Promotion du pays, des différentes activités possibles, des différentes destinations ou événements majeurs

proposés, ...

A qui ?(analyse d’audience, destinataire)

Aux potentiels touristes, aux étrangers, à toute personne intéressée.

Par quels moyens ?(analyse des médias impliqués dans l’émission)

Par l’intermédiaire d’une vidéo

Avec quels effets ?(analyse des effets du message sur le récepteur)

Cela à pour objectif de donner envie aux cibles potentiels de voyager, et plus particulièrement de venir

visiter le Canada.

Ou ?(analyse spatiale, lieu ou le message est disponible)

Sur le site officiel de la commission canadienne du tourisme :

http://cafr.canada.travel

Quand ?(analyse temporelle, date de l'émission du support)

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Une drôle d’expérience. Cela fait un certain nombre d’années que je n’ai pas passé autant de temps à Toronto, ma ville natale. À 41 ans, j’ai vécu presque la moitié de ma vie en France. Avant, j’étais 100 % anglophone. Maintenant, je suis la «Française» de la famille, celle qui a fait sa vie de l’autre côté de l’océan. Résultat : mon anglais est teinté d’un accent tout à fait «charming» et mon français préserve un tout petit peu sa saveur exotique.

Mais c’est bien ici, à Toronto, que demeurent mes souvenirs de jeunesse. C’est ici que je retrouve ma famille et mes amis d’enfance.

En vacances cet été, je découvre, ou redécouvre Toronto presque comme une étrangère. J’entends les gens autour: c’est une famille française, ils se disent. Mais non, je suis d’ici! Je connais toutes ces rues, toutes ces stations de métro, dans l’ordre, et la couleur correspondant au carrelage sur les murs. J’ai grandi près du Bloor West Village, j’ai été au lycée dans le Annex, j’ai travaillé à mi-temps sur Queen Street et j’ai fait mes études à l’Université de Toronto….

Aujourd’hui, je me fonds dans cette foule de gens d’ailleurs. Je regoûte à la richesse d’un mélange culturel et je vois à quel point les Canadiens sont différents des Français. Je le savais mais cette fois-ci, étant devenue davantage «Française», je trouve amusant de souligner certains points.

Les Canadiens, ou du moins les Torontois, parlent à tout le monde. C’est incroyable. Partout où je vais, il y a moyen de parler avec un commerçant, mon voisin dans le tramway… Lorsqu’on se promène en famille, les gens nous demandent d’où l’on vient, si l’on est en vacances. Déjà lorsqu’on rentre dans un magasin et on nous demande: «How are you today?», mon côté français a envie de répondre: «De quoi je me mêle?».

Ça ne se fait pas en France de demander aux gens comment ils vont. C’est une question beaucoup trop intime que j’ai tenté de poser quelques fois au début de ma vie française. Maintenant, je dis bonjour et c’est tout. J’ai compris qu’il faut du temps avant de franchir l’étape du: comment ça va ? Mais une fois franchie, c’est le feu vert pour une relation «sérieuse» et durable.

À Toronto, on vit pour travailler. En France, on travaille pour vivre. On cherche tous l’équilibre parfait mais alors, quand on se fait envoyer des courriels sur Blackberry alors qu’on est en vacances (et j’ai vu plusieurs exemples cet été à Toronto), je ne comprends pas. Les Torontois sont comme mariés à leur travail, fidèles après vingt ans de service, se sentant indispensables à leur entreprise, irremplaçables même. En France, lorsqu’on travaille, on travaille. Mais les vacances, c’est sacré et c’est pris très au sérieux.

On m’a dit que quand un Torontois s’arrête de travailler, il ne sait pas quoi faire. Est-ce que la campagne s’est tant éloignée avec l’agrandissement continuel de l’agglomération? C’est vrai, quand j’étais enfant, on voyait des fermes le long de Finch Avenue et l’air était frais.

C’était peut-être plus facile de trouver de la tranquillité. J’aurais envie de dire aux Torontois en tout cas: profitez de la vie et de ce beau paysage qui vous entoure!

À Toronto, on n’a aucun complexe à porter l’habit qui montre au monde entier le Dieu en qui on croit. Mes filles n’en revenaient pas de voir voiles, turbans, kippas… En France, Dieu est tabou. Depuis la séparation de l’État et de l’Église en 1905, il n’y a rien à faire. Dieu est devenu propriété privée et il demeure, si on est croyant, dans la sphère privée de la vie. Pour aborder le sujet, il faut être bien au-delà du comment allez-vous, et encore. Une vision mémorable pour moi cet été: une jeune femme musulmane portant un voile noir et blanc avec Louis Vuitton écrit partout dessus. Dommage que j’ai oublié mon appareil-photo ce jour-là.

Deuxième tabou en France: l’argent. Ceux qui en parlent n’en ont pas beaucoup en général. Sinon, c’est motus et bouche-cousue. En France, il faut bien sûr gagner de l’argent pour payer ses factures, son crédit immobilier… mais ce n’est pas bien vu d’en faire un but en soi.

Emprunter n’est pas facile. Il faut être en parfaite santé, jeune, n’ayant jamais eu de soucis bancaires. Surtout, il faut avoir de l’argent pour que la banque vous en prête. Au Canada, tout travail a une valeur monétaire. Même une adolescente peut être payée lorsqu’elle garde son propre petit frère. Quant au crédit, un Canadien peut être mourant, handicapé, sans le sous, sans papier et sans emploi, l’argent est toujours là pour être dépensé.

À Toronto, on se sent protégé. Bon, je n’ai peut-être pas été dans les quartiers les plus «dangereux». Toutefois, je n’ai jamais eu peur, pas comme en France certaines fois. Le policier dans l’esprit canadien est là pour nous aider. C’est un genre de Superman qui nous sauve des méchants. En France, on se met instinctivement à trembler dès qu’on voit un gendarme. J’ai toujours mes papiers sur moi, je conduis comme il faut, mais il n’y a rien à faire, j’ai peur d’être arrêtée, peur que l’homme bleu trouve quelque chose qui ne va pas, le moindre détail…

À Toronto, on mange pour vivre, ou survivre. En France, on vit pour manger. D’accord, c’est une grosse généralité mais quand même, on passe des heures à table en France les dimanches et les jours de fête. On fait une pause-promenade pour digérer et on goûte avant de se quitter en fin de journée. Ça fait drôle au début, mais on s’y habitue, sans problèmes.

Les Torontois, comme tous les Canadiens, sont très obéissants. Rares sont ceux qui osent traverser la rue alors que le feu est encore rouge, même s’il n’y a pas un chat, même si c’est la nuit et que personne ne va voir le délit. Tous payent leur parking, leur ticket de métro, même si le contrôleur est parti faire une pause-pipi. C’est beau, et ce n’est vraiment pas comme ça en France. Je vous le garantis.

Mes propos sont à prendre avec beaucoup d’humour. Bien sûr, on ne peut pas réduire la ou les cultures à quelques lignes. Quand mes enfants me demandent si je préfère vivre au Canada ou en France, je suis incapable de répondre. C’est comme demander à un enfant quel parent il préfère. J’aime les deux, différemment. Et je suis l’enfant de chacun. C’est une chance, une richesse. C’est vivant !

CANADIENS ET FRANÇAIS SONT-ILS SI DIFFÉRENTS?Les observations d'une Torontoise établie en France

Par Élisabeth Martineau – Semaine du 14 octobre au 20 octobre 2008

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Article 2Qui ?

(analyse de régulation, émetteur)

Elisabeth Martineau (Journaliste, Rédactrice, Traductrice, Auteure)

Dit quoi ?(analyse de contenu, message émis)

Nous expose sont point de vue sur les canadiens en les comparants aux français

A qui ?(analyse d’audience, destinataire)

Aux lecteurs de l’Express, aux français, aux canadiens, à toute personne s'intéressant de prés ou de loin à ce

sujet

Par quels moyens ?(analyse des médias impliqués dans l’émission)

L’auteur exploite et tourne en dérision ces différences en se basant sur son expérience personnelle

Avec quels effets ?(analyse des effets du message sur le récepteur)

Dans le but de renseigner le lecteur, d’exposer les cultures des deux pays en le confrontant et dans le but ultime de donner envie au lecteur de venir au Canada

Ou ?(analyse spatiale, lieu ou le message est disponible)

Article disponible dans les archives de l’Express, sur Internet :

http://www.lexpress.to/archives/3070/

Quand ?(analyse temporelle, date de l'émission du support)

Semaine du 14 octobre au 20 octobre 2008

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Les jeunes Canadiens qui voyagent en Europe sont généralement faciles à reconnaître. La plupart du temps, on les voit qui se promènent à pied, portant un havresac orné du drapeau canadien, la feuille d'érable rouge qui permet de les identifier à coup sûr. Ils savent que leur origine canadienne leur permettra souvent d'être facilement accueillis dans presque tous les pays étrangers. L'image positive du Canada et des gens qui l'habitent s'est rehaussée davantage depuis quelques décennies. En plus des attraits naturels spectaculaires et des majestueux paysages qu'on trouve depuis les Maritimes jusqu'à l'île de Vancouver, c'est aussi le rôle politique joué par le Canada dans les affaires internationales qui a contribué à cette image favorable. Les Canadiens à l'étranger jouissent d'une vague de sympathie envers leur pays et leur société. Il leur arrive cependant de faire face à des critiques au sujet de questions comme l'exploitation des forêts de résineux dans l'Ouest, les pratiques de chasse au phoque ou les conditions de vie des autochtones dans les réserves éloignées.Les Canadiens constatent ainsi que leur image internationale, tant pour ses côtés positifs que pour ses aspects moins heureux, est plus ou moins un ensemble de stéréotypes et de clichés. S'il y a un inconvénient, ce n'est pas que les stéréotypes et les clichés soient totalement erronés; au contraire, ils constituent des points de repère, ce qui est plutôt utile dans un monde sursaturé d'information et de données. C'est plutôt que, en même temps, de telles généralisations cachent l'ambivalence de la réalité sociale et politique d'un pays. Les réflexions qui suivent sur la place du Canada dans les affaires internationales visent à vous inviter à dépasser ces stéréotypes et ces clichés.

Il est généralement reconnu que le Canada, depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, a joué un rôle politique constructif et a fait un bon travail de coopération internationale. Bien d'autres pays n'ont pas voulu ou n'ont pas pu en faire autant. La question se pose donc : pourquoi le Canada? Il n'est pas vraisemblable de penser que les Canadiens soient meilleurs en tant qu'êtres humains que les Américains, les Russes, les Allemands ou les gens d'autres pays. L'idée voulant que les gouvernements canadiens soient extraordinairement attachés à des idéaux et à de hautes valeurs morales qui les distingueraient des gouvernements des autres pays n'est pas convaincante non plus. Alors, pourquoi le Canada ? Comment un pays comme le Canada s'est-il taillé sur la scène internationale une place qui ne lui est contestée par aucun autre pays ? Comment les gouvernements canadiens successifs ont-ils réussi, tout en jouant le jeu de la politique internationale, à être considérés comme des participants relativement impartiaux, fiables et amicaux aux affaires mondiales? Ces questions sont intéressantes à examiner. Il faut cependant mentionner que mon point de vue n'est décidément pas celui d'un Canadien, car je suis Européen. La distance géographique et politique qui me sépare de l'objet de mon analyse me permet donc un certain dosage de sympathie et de critique.

La place du Canada sur la scène mondiale (Introduction)

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Thèse 3 (extrait)Qui ?

(analyse de régulation, émetteur)

Wilfried von BredowInstitut für PolitikwissenshaftPhillips-Universität (Allemagne)

Département de science politiques (université Philips)

Dit quoi ?(analyse de contenu, message émis)

Enonce différents aspects de l’identité du pays, rend compte de la situation du Canada sur la scène mondiale, sur un plan économique,

politique, international, et culturel.

A qui ?(analyse d’audience, destinataire)

Aux lecteurs de sa thèse et à Joanne Goodrich(Directrice e la publication et éditrice du Centre d'études canadiennes

Université Mount Allison)

Par quels moyens ?(analyse des médias impliqués dans l’émission)

Par l’intermédiaire d’une thèse publiée sur un site internet

Avec quels effets ?(analyse des effets du message sur le récepteur)

Donne envie de se renseigner d’avantage sur la situation du pays, donne une image moins conventionnelle, moins stéréotypé du Canada

Ou ?(analyse spatiale, lieu ou le message est disponible)

Par l’intermédiaire d’un site internet : http://www.mta.ca/faculty/arts/canadian_studies/francais/realites/guide/

mondiale/intro.html

Quand ?(analyse temporelle, date de l'émission du support)

2001

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J’ai choisit ces supports sur internet, ce qui m’a permit d’avoir accès plus facilement à une quantité assez importante d’articles. Les sites de presse, tel que Libération, l’Express ou le Monde donnent la possibilité de consulter leurs articles parus gratuitement. L’Express est un journal quotidien de centre gauche, la thèse éditée par l’université Mount Allison et la vidéo de l’office du tourisme sont des documents très diversifiés, provenant de sources totalement différentes et ciblant des publics hétérogènes.

La méthode de Lasswell est une méthode simple et rapide d’utilisation qui m’a permit d’analyser et de comprendre de quelle manières les auteurs abordent mon sujet. Elle fourni des repères permettant la meilleure compréhension d’un message.

Même si les avis sur le sujets traités diffèrent, nous pouvons constater dans les différents articles que la vision donnée du Canada est toujours positive, quelques soient les sources.Ces supports nous poussent également à nous intéresser d’avantage à l’histoire du pays, à sa culture, à tout ce qu’il peut nous apporter en tant que touriste mais aussi en tant qu’habitant.Le fait que l’on ai non seulement le point de vue de journalistes, mais aussi celui des habitants est un plus quant à notre perception du Canada, et nous rassure dans nos convictions et sur l’avis que l’on a pu développer concernant le pays.

Commentaire

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Constellation d’attributs de Moles

" La meilleure façon d'appréhender cette méthode est de se référer aux écrits d'Abraham Moles lui-même, dans Les sciences de l'imprécis :

" « C'est une technique de représentation graphique des associations mentales spontanées ou contraintes, faites par un individu autour d'un stimulus inducteur qui peut être soit un concept, soit une image, soit tout autre élément inducteur. On porte sur un diagramme, autour du mot inducteur, le nom du concept indicateur, la fréquence d'association étant relevée sur un échantillon de sujets plus ou moins bien représentatifs d'une population ».

Les stimulus que j’ai utilisé lors de mon enquête est le mot «Canada». J’ai procédés à cette enquête sur 59 personnes, que j’ai par la suite divisée en 6 groupes :

- Les femmes de moins de 25 ans, groupe composé de 35 personnes- Les hommes de moins de 25 ans, groupe composé de 10 personnes- Les femmes entre 25 et 40 ans, groupe composé de 4 personnes- Les hommes entre 25 et 40 ans, groupe composé de 3 personnes- Les femmes de plus de 40 ans, groupe composé de 4 personnes- Les hommes de plus de 40 ans, groupe composé de 3 personnes

Explication :

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2 minutes

35 Femmesde moins de 25 ans Groupe 1

Mentionné 20 fois Mentionné 2 foisMentionné 8 fois

Mentionné 12 fois

Mentionné 13 fois

Mentionné 14 fois

Mentionné 16 fois

Mentionné 18 fois

Mentionné 5 fois

Mentionné 1 foisMentionné 6 fois

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2 minutesde moins de 25 ans

10 hommes

Mentionné 5 fois

Mentionné 4 fois

Mentionné 3 fois

Mentionné 2 fois

Mentionné 1 fois

Groupe 2

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2 minutes

4 femmesEntre 25 et 40 ans Groupe 3

Mentionné 1 foisMentionné 3 fois Mentionné 2 fois

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2 minutes

Entre 25 et 40 ans

3 hommes Groupe 4

Mentionné 3 fois Mentionné 2 fois Mentionné 1 fois

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2 minutes

4 femmes

De plus de 40 ans Groupe 5

Mentionné 1 foisMentionné 3 fois Mentionné 2 fois

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2 minutes

3 hommes

De plus de 40 ansGroupe 6

Mentionné 1 foisMentionné 3 fois Mentionné 2 fois

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Page 38: Powerpoint Canada TDI

Commentaire Pour cette enquête, j’ai remarqué que les six publics interrogés n’ont pas réagi exactement de la même façon. A l’annonce du stimulus «Canada», les personnes interrogées semblaient intrigués car elles ne donnaient pas plus d’une dizaine de mots. J’ai l’impression que lorsque que l’on parle d’un pays à quelqu’un, la personne en question n’a pas réellement d’avis que le sujet. J’ai pu remarquer que le mot « froid » était toujours le premier ou le deuxième à être donné par n’importe quel public que ce soit. Certes les premiers mots données sont sensiblement toujours les mêmes, mais lorsqu’on arrive au cinquième ou sixième mot, les différences entres les sexes et les âges comment à se ressentir.

En effet tout d’abord, prenons le groupe de femmes de moins de 25 ans, on peut noter que le mot «gentillesse» a été mentionné 5 fois, or, par une seule fois on ne le retrouve dans les autres constellations.On note également une différence entre les sexes pour les personnes interrogées de moins de 25, en effet, pour les femmes on retrouve des noms de séries tels que «Degrassi» ou encore «Being Erica», alors que pour les hommes, on été mentionnés un nom de sketch de Gad Elmaleh «Qui veut gagner de l’argent en masse» ainsi que «Word Up» qui son en fait des Battles Rap dans lesquels les artisans de la scène Hiphop québécoise sont invités à s’affronter.

On note également le penchant coutumier des hommes pour le sport avec la mention du mot «hockey» par les hommes de plus de 40 ans, tout comme la référence à Charlebois, chanteur, auteur, compositeur québécois plutôt connu dans les années 70. Une citation qui marque à elle seule une barrière culturelle entre les âges.

Cette méthode a été très intéressante pour moi car j’ai découvert que ce sujet n’était pas perçu de la même manière en fonction de l’âge et du sexe.

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L’analyse du message iconique permet d’extraire le sens d’une image, ou d’un support visuel à partir des critères mesurables sur une échelle de 1 (le plus faible) à 4 (le plus fort) points.

« Cette approche, qui en accédant simultanément au contenu et au contenant, s’intéresse aux aspects morphologiques de l’image (...). Notre démarche consiste à répertorier un ensemble d’observations à l’aide de quelques critères ou attributs que nous considérons distinctifs. A l’aide de ces dimensions typologiques, nous élaborons un principe de classification. »

« Chaque image fixe, ou plus précisément chaque photographie, peut être caractérisée par les dimensions suivantes : iconicité, prégnance, complexité, polysémie, esthétique, connotation et historicité. »

Donc afin de bien analyser l’image, il est nécessaire de définir ces 7 dimensions iconiques :

- L’iconicité : degré de ressemblance entre l’objet représenté et la réalité. Plus l’objet représenté est fidèle à la réalité, plus l’iconicité est grande. L’image est - elle fidèle ou non à ce qu’elle désire représenter ? - La prégnance : elle varie selon chaque récepteur, puisqu’elle dépend du ressenti, des émotions, et de la personnalité de ce dernier. La prégnance sollicite la subjectivité. Plus l’image interpelle notre attention plus la prégnance est élevée. Celui qui regarde l’image est - il ou non réceptif à ce qu’il voit ? L’image est - elle forte dans l’esprit du lecteur ? - La complexité : elle est liée à deux facteurs, le nombre d’éléments que contient l’image et l’imprévisibilité de l’agencement. Plus l’image est difficile à comprendre, plus la complexité est élevée. - La polysémie : c’est le nombre de sens, de messages que comporte l’image. L’image a -t - elle une signification nette ou a -t - elle un caractère plus ambigu ? - L’esthétique : elle correspond à l’appréciation des formes et des structures basée sur l’agencement, les couleurs, la luminosité, le contraste de l’image. Plus une image semble harmonieuse plus elle est esthétique. L’image est - elle belle, harmonieuse ? - La connotation : elle fait entièrement appel à la subjectivité, et au fonctionnement mental de chacun. Plus l’image rappelle des idées au récepteur, plus le degré de connotation est élevé. L’image est - elle associée à plusieurs idées suggérées ? -  L’historicité : elle respecte trois critères, la notoriété (une certaine réputation qui doit précéder ce qui est représenté), l’authenticité (réelle existence) et le passé. Plus l’ancrage de l’image dans l’histoire est importante plus l’historicité a un degré élevé.

Analyse du message iconique de Louis VieiraExplications :

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1 2 3 4Iconicité

Prégnance

Complexité

Polysémie

Esthétique

Connotation

Historicité

Image 1

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1 2 3 4Iconicité

Prégnance

Complexité

Polysémie

Esthétique

Connotation

Historicité

Image 2

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1 2 3 4Iconicité

Prégnance

Complexité

Polysémie

Esthétique

Connotation

Historicité

Image 3

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Page 43: Powerpoint Canada TDI

Image 4

1 2 3 4Iconicité

Prégnance

Complexité

Polysémie

Esthétique

Connotation

Historicité

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Page 44: Powerpoint Canada TDI

1 2 3 4Iconicité

Prégnance

Complexité

Polysémie

Esthétique

Connotation

Historicité

Image 5

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Page 45: Powerpoint Canada TDI

Commentaire

J’ai choisi des visuels de nature assez différentes pour appliquer cette méthode : Photomontages, dessin, ou encore photographie. Le fait de choisir ces images est un choix personnel. En effet, je souhaitais explorer tout type de support pouvant représenter d’une manière ou d’une autre les aspects de la culture canadienne, l’image qu’on en avait et la vision quelles voulaient faire passer.

J’ai voulu dans un premier temps que ces supports me permettent de me rendre compte des nombreux stéréotypes ou clichés émis dans le monde à propos du Canada comme par exemple le fait que tous les canadiens parlent français, qu’ils vivent dans des igloos ou encore qu’ils aiment tous le hockey (dernier points qu’ils ne démentent pas). Ce sont des idées que j’ai voulu mettre à jour à travers cette analyse. Certaines images mettent en valeurs certaines des idées reçues quand d’autres les tournent en dérision.

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Page 46: Powerpoint Canada TDI

Différentiel Sémantique d’Osgood

C’est une méthode générale de réduction de dimensionnalité d’un espace de variable plus ou moins querellé. Osgood à prolongé les travaux de Shpirman essentiellement dans les sciences humaines, et à développé le différenciateur sémantique. L’espace sémantique dont il s’agit est l’ensemble des significations affectives dont sont chargées les choses qui nous entourent. Chacun de nous perçoit le monde à sa manière c’est a dire qu’il trouve chaque chose plus ou moins belle ou laide, plus ou moins familière ou étrange, plus ou moins triste ou gai, plus ou moins calme ou violente. On voit de cette manière s’esquisser un jeu d’attributs sur une échelle de valeurs permettant de situer avec assez de précision, dans notre espace sémantique, tout objet, dessin, texte, énoncé, mot, air musical, une personne, un événement, ... Ainsi pour repérer la place affective qui tien l’idée de père, mère , enfant, pain, église, patron, ... dans l’esprit d’une personne, on soumet cette personne à un test dont les échelles de valeur ont généralement 7 points. Chaque individu marque la position qui exprime son point du vue sur chaque échelle. En d’autres termes, on obtient un profil de polarité pour chaque individu.

Méthode du différentiel sémantique est une méthode d’approche de la valeur connotative ou affective qu’un individu attribut à un phénomène quelconque, en d’autres termes, cette méthode permet d'appréhender le mode de perception d’un phénomène donné par un individu.

Explication :

J’ai pour se faire, divisé mon panel en 4 groupes :

- Les femmes de moins de 25 ans, groupe de 35 personnes- Les hommes de moins de 25 ans, groupe 10 personnes- Les femmes de 25 et plus, groupe de 8 personnes- Les hommes de 25 ans et plus, groupe de 6 personnes

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36 FemmesMoins de 25 ans1 min ou moins

Résultats

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Page 48: Powerpoint Canada TDI

10 HommesMoins de 25 ans1 min ou moins

Résultats

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4 Femmes

Plus de 25 ans

1 min ou moinsRésultats

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3 Hommes

Plus de 25 ans1 min ou moins

Résultats

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Page 51: Powerpoint Canada TDI

Confrontation des résultats46 Hommes et FemmesMoins de 25 ans

1 min ou moins

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Confrontation des résultats7 Hommes et FemmesPlus de 25 ans1 min ou moins

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Page 53: Powerpoint Canada TDI

Commentaire Cette méthode est complémentaire à celle de Moles. On remarque que les publics ont des avis assez semblables malgré quelques points en opposition. Ce qui ressort de cette enquête sont les notions suivantes : l’image du Canada est très vivante, très colorée, très froide.

D’après l’enquête que j’ai réalisée avec le public féminin de moins de 25 ans, je peux constater que les personnes ont souvent un avis neutre vis-à-vis du stimulus sur des sujets tels que le genre, l’âge, le caractère significatif ou érotique. Ce public étant plutôt jeune, il se peut que ce résultat montre que les personnes interrogées n’aient pas réellement d’avis sur le sujet ou fasse preuve d’une certaine retenue.En ce qui concerne les autres adjectifs, les réponses sont assez radicales : très froid, très vivant. On dénote tout de même un opposition sur «stimulant - apaisant» ainsi qu’une différence assez prononcée sur les caractère «moderne» et «superficiel».

Les interrogés de plus de 25 ans également des avis assez partagés. On dénote tout de même quelques oppositions ou points de divergences sur le caractère «chaud - froid» du stimulus ou les opinions s’affrontent dans les extrêmes. D’un autre cotés, les points de ralliements sont plus nombreux comme sur les caractères «colorés», «vivants», ou les avis convergent vers les extrêmes.

En comparant ces deux enquêtes, on remarque les avis entre es hommes et les femmes sont assez identiques, que le courbes sont donc sensiblement parallèles. On peut donc en déduire que les stéréotypes ou sensations quant au stimulus «Canada» sont quasiment tous les mêmes, quelque soit le sexe ou la génération.

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Page 54: Powerpoint Canada TDI

III - Synthèse des Résultats

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Schéma canoniqueTableau de préparation au schéma canonique : Analyse des

occurrences

1. Analyse qualitative de la méthode

Cette méthode permet de comparer les termes employés dans les différents articles afin de percevoir l’existence du but et du message que chacun d’eux souhaite faire passer au public visé.

Cette analyse permet également de mettre en évidence l’existence ou non d’un répertoire commun en vue du schéma canonique. Pour cela, il suffit de relever et comparer les mots tirés des différents articles et ceux donnés par les divers publics interrogés et de les classés dans un tableau en fonction du nombre de fois qu’ils sont apparus.

2. Analyse quantitative de la méthode

J’ai appliqué cette méthode sur les 5 articles et sur mes différents publics (général, concerné et spécialisé).

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Support 1 Support 2 Support 3Total des 3 supports Constellation 1 Constellation 2 Constellation 3 Constellation 4 Constellation 5 Constellation 6

Total des 6 publics TOTAL

Canada 2 2 8 12 12

Toronto 9 9 8 1 1 10 19

Français(e) 8 8 2 1 1 1 1 6 14

Quebec 14 5 2 3 1 25 25

Canadien(ne) 1 6 8 15 1 1 16

Stéréotypes 3 3 3

Paysage 1 1 2 5 1 6 8

Froid/Frais 1 1 18 5 3 3 2 3 34 35

Neige 20 4 2 2 3 31 31

Accent 1 1 12 4 2 3 2 23 24

Etranger(e) 1 2 3 3

Tourisme 1 1 3

Torontois(e) 6 6 6

Ville 1 1 2 2 3

Anglais 1 1 8 8 9

Général(ité) 2 2 4 4

Vacances 4 4 1 1 5

Culture(l) 2 2 2 2 4

Vie 3 2 5 1 1 6mardi 27 novembre 12

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Support 1 Support 2 Support 3Total des 3 supports Constellation 1 Constellation 2 Constellation 3 Constellation 4 Constellation 5 Constellation 6

Total des 6 publics TOTAL

Travail(le) 6 1 7 7

Monde(ial) 2 2 4 4

Drapeau canadien 1 1 5 5 6

Erable 1 1 12 2 3 3 2 22 23

Rouge 1 1 2 12 1 13 15

Image 3 3 3

Nature(l) 1 1 8 2 3 13 14

International(e) 6 6 6

Amérique 12 1 1 14 14

Sympathie 2 2 1 1 3

Pays 7 7 5 5 12

France 15 15 15

Politique 5 5 5

Clichés 3 3 1 1 4

Forets 1 1 8 3 11 12

Montréal 6 2 1 9 9

Argent 4 4 4mardi 27 novembre 12

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Schéma canoniqueExplications : Le Schéma canonique va nous permettre de répondre à la synthèses des résultats. Ce schéma s’inspire du modèle cybernétique (Wiener : «Science du contrôle et de la communication chez l’animal et dans la machine» , Mucchielli : «Science de la régulation ont le contrôle des machines permettant d’organiser l’autorégulation du comportement de la machine en fonction de signaux la renseignant sur le déroulement des opérations», «Au sens large, la cybernétique est la science permettant de construire des robots») . Ce schéma reprend l’essentiel de la technologie :

L'émetteur : C’est celui qui produit le message

Le récepteur : C’est celui qui reçoit le message (être humain, animal, machine, groupe d’individus, institution, entreprise, organisation, ...).

Signes du répertoire : choisis et assemblé suivant un certain ordre. l’ensemble de ces signes obéi à des règles dont l’ensemble forme le code.

Signe : C’est une unité constitutive du message, souvent combinés entre eux pour former des unités plus grandes(entité psychologique à deux faces).

Le répertoire : Il peut être définit comme étant une collection de signes au sein de laquelle l'émetteur opère sa section pour former le message (typographie, imprimerie, ... ). Pour que la communication puisse être efficace, il faut que l'émetteur et le récepteur aient un répertoire au moins partiellement commun.

Code : Outils utilisé pour communiqué, c’est un ensemble de règles régissant l’assemblage des signes, ce terme a souvent un sens plus général, c’est alors à la fois la répertoire et les règles d’assemblage.

Codage/Décodage : Opérations de «traduction» permettant de passer de la forme brut à un message (ex : la pensée). Cette opération fait donc appel aux répertoires (choix des signes) et aux codes.

Canal : Ce qui relit matériellement l'émetteur au récepteur et par quoi circule le message (onde cartésienne, fil électrique, onde lumineuse, ...).Le référent : Ce qui est désigné par le message, peut être un objet du monde réel, mais aussi dans la communication humaine, un élément du monde imaginaire.

Le message comporte par conséquent un contenu exprimé clairement, la dénotation et un contenu suggéré indirectement exprimé, la connotation.

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CANALArticles, interviews, vidéos, images

MESSAGELa perception du Canada par les

français

CODEUtilisation de la langue française

REFERENTL’image du Canada

FEEDBACKLe public semble recptif au discour

de l’emetteur

EMETTEURS

Journaliste, canadiens, étudiant allemand,

photographes

CODAGE

Articles de presse,, vidéos de tout type, films, photographies

DECODAGE

Faire évoluer la vision que les sociétés ont du

pays, éviter stéréotypes et clichés

RECEPTEURS

La société française, tout homme ou femme de tout âge réceptif

au message

E RFranceTravailCanada

CanadiensTorontois

Vie

AccentNeigeFroid

QuebecAnglaisForets

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Répertoire communPays

TorontoFrançaisPayageRouge

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ConclusionGrâce à l’application des différentes méthodes d’analyse, aux commentaires réalisés par la suite, ainsi qu’aux enquêtes, nous pouvons envisager de répondre à la problématique initiale qui était : Quelle vision les français ont-ils du Canada ?

D'après les nombreux supports et enquête utilisé, on peut dire que les français ont une vision du Canada assez stéréotypée. Non, il ne neige pas toute l’année au Canada, Non, les canadiens ne consomment pas tous les jours du sirop d’érable ou autre produit typique du pays, Non les canadiens ne parlent pas tous français, et les élans ne se trouvent que dans certaines province du Canada, vous n’en trouverez à Toronto qu’au zoo !

On peut également se rendre compte que certaines idées biens que stéréotypées se rapprochent de la vérité, comme celles misent en avant par le répertoire commun du schéma canonique.

La question que l’on peut désormais se poser sur le Canada est la suivante : Les médias désirent-ils vraiment en donner une image réelle ou souhaitent-ils seulement s’appuyer sur des clichés ? Ce qui est tout de même plus simple.

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Page 62: Powerpoint Canada TDI

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J’ai tout d’abord beaucoup hésité quant à ce qu’allait être le thème de mon étude. La Canada m’a paru un sujet intéressant, et j’ai donc décider de prendre le risque de traiter d’un sujet non polémique. Ce choix réduisait donc le nombre d’articles que je pouvais trouver dessus, mais également le nombres d’avis divergents émis à ce sujet. Et c’est je pense l’aspect qui à été le plus compliqué lors du traitement de ce thème.

C’est à première vu une charge de travail conséquente qui m’attendais, mais je me suis surprise à apprécier cette étude. C’est je pense dû au fait que l’on ai eu la liberté du choix du sujet, une condition qui me semble nécessaire si l’on veut s’impliquer totalement dans notre travail de recherche et mener à bien nos enquêtes tout en y prenant du plaisir. On remarque également que chaque méthode traite un aspect particulier du sujet et qu’elles se complètent les unes avec les autres pour aboutir à un schéma de conclusion final. C’est donc seulement en associant ces méthodes et enquêtes que l’on peut traiter un sujet dans son ensemble et en explorer chaque aspect.

Conclusion de l’étude

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Bibliographie

- « Théorie structure de la communication et société », Abrahams Moles- « Méthode des sciences sociales », Madeleine Grawitz- «La méthode référentiel», C. Osgood - «Essais de linguistique général», Jakobson- Dossier sur «Erasmus» d’un ancien élève- Cour de M Vieira

- «Le multiculturalisme canadien : une approche sociologique», Simon Langlois (Professeur titulaire Département de sociologie Université Laval au Quebec). Conférence publique prononcée dans le cadre de la Chaire des Amériques à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, le 14 mars 2007. http://chairedesameriques.univ-paris1.fr- H.G. Wells, La Guerre dans les Airs, 1908 - Traduit par Henry-D. Davray & B. Kozakiewicz, page 257, Mercure de France, 1921

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Webographie

- http://www.pch.gc.ca/pgm/ceem-cced/symbl/o5-fra.cfm- http://echo.franco.ca/nouvellefrance/index.cfm?Id=32824&Sequence_No=32822&Repertoire_No=2137985652&Voir=journal_article&niveau=3- http://www.univ-paris1.fr/fileadmin/Chaire_Ameriques/Documents_PDF/MulticulturalismeconfrenceSorbonne-2.pdf- http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca- http://fr.wikipedia.org/wiki/Canada- http://fr.wikipedia.org/wiki/Image- http://membres.multimania.fr/clo7/expression/communication.htm- http://www.prenoms.com/v2/editorial-dossiers-1029/qui-a-decouvert-le-canada.asp- http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/pays-zones-geo/canada-y-compris-quebec/la-france-et-le-canada/- http://cafr.canada.travel- http://www.lexpress.to/archives/3070/- http://fr.linkedin.com/pub/elisabeth-martineau/19/a68/156- http://www.mta.ca/faculty/arts/canadian_studies/francais/realites/guide/mondiale/intro.html- http://www.toptentopten.com/topten/funny+canadian+stereotypes- http://jaimereadingandwriting.blogspot.fr/2012/03/stereotypes-suck-pants.html

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Logiciels

- Pages (application Mac)- Keynotes (application Mac)- Pixelmator (application Mac)- Real player- Real Player Dowloader- Any Vidéo Converter HD

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– Mais qu’est-ce qu’il y a en dessous de nous ?– Le Canada… autant que je sache… et ça m’a l’air d’un joli pays, désert, glacé, inhospitalier…

H.G. Wells

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Fin

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