4
STRATÉGIES & PQR LE SCORE Bruno Delecour parle avec l’accent p. 4 La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 13 Juillet 2006 La start up corporate Un score exceptionnel encore jamais atteint dans le secteur banque-assurance ! Annonceur : Caisse d’Epargne Dispositif PQR 66 : Pleine page Evénement Période : avril 2006 Responsable Annonceur : Régine Papazian, Nordine Drif, Cécile Lauer Agence Conseil : Ogilvy Responsable Agence Conseil : Carole Bilde Agence Média : ZenithOptimedia Responsable Agence Média : Sylvie Ramette Méthodologie des tests Impact 66 : Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de 200 interviewés minimum, représentatifs nationalement, en face à face au domicile Définition du score d’impact : Score Vu ou Lu 83 % Ghislain Grimm Directeur de la Communication Corporate de Microsoft France Bien qu’ancienne sur son secteur, Microsoft est une jeune entreprise : pouvez-vous nous “rafraîchir la mémoire” sur les grandes étapes de son histoire ? Ghislain Grimm : Avec seulement 30 ans d’existence à l’international et 23 ans en France, on aurait effectivement tendance à oublier la jeunesse de l’entreprise, qui est née comme une start up à la fin des années 70, sur fond d’esprit totalement pionnier dans une industrie naissante. Au démarrage, Microsoft en France est l’aventure de 5 personnes (1 200 aujourd’hui) qui participent au pari fou de donner à tous l’accès à l’informatique. Il est donc important de restituer l’esprit des choses : à l’époque - hier ! -, il est plus pas de plan de développement ni de route toute tracée ! Un métier nouveau, une activité basée à 100 % sur l’innovation. Clavier, souris et logiciels… l’histoire de Microsoft est alors marquée par la rapidité de sa croissance. La dyna- Microsoft Windows, Office, MSN, Dynamics… font la denrée quotidienne de notre bonne vieille et non moins jeune souris… Retour sur le futur de Microsoft avec Ghislain Grimm et la campagne corporate développée en PQR 66. Dossier: Les Français et l’environnement p. 3 Les nouvelles générations sont-elles plus écolo-responsables que les anciennes ? Quels gestes sommes-nous prêts à faire au quotidien et quels discours sommes-nous prêts à entendre sur l’environnement et le développement durable ? Les cartes sont aujourd’hui difficiles à lire pour les entreprises qui veulent développer un discours corporate. Une chose est sûre : pour les Français, l’enjeu est de taille. suite en page 2… question de gageure que de “projet d’entreprise” construit et préétabli : la seule croyance qu’un PC aurait sa place sur chaque bureau, dans chaque foyer. Pour cela, pas de process, mique de l’écosystème est en route. En 1995, Windows 95 est l’apogée de la traduction produit de la vision Microsoft pour une interface simple et “pour tous” de la technologie : c’est la naissance du bouton “démarrer”. Cette période constitue une étape clé pour l’entreprise qui place alors l’informatique au rang d’outil accessible, indispensable, quotidien. C’est l’engouement pour les nouvelles technologies au service de tous, avec son pendant quant à la croissance et à l’implantation de Microsoft dans chaque pays et chaque région française…et dans chaque foyer cette fois avec la micro informatique et l’Internet. “Microsoft entend participer et non échapper aux questionnements institutionnels et de société” Quelle est votre analyse de l’image perçue de Microsoft aujourd’hui ? G. G. : Il est reconnu à Microsoft d’avoir révolutionné l’informatique, en créant une dynamique exception- nelle par la force de son innovation… mais, en revanche, Microsoft doit globalement faire face à de fortes contradictions par rapport à sa réalité… Une place de leader impose bien sûr aussi une grande respon- sabilité, et notre entreprise est aujourd’hui interpellée sur ses engagements dans la Société française. Abonnez-vous à la version en ligne : www.pqr.org

Newsletter n°13

  • Upload
    366

  • View
    66

  • Download
    2

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Newsletter n°13

STRATÉGIES & PQRLE SCORE

Bruno Delecour parle avec l’accent

p. 4

La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 13Juillet 2006

La start up corporate

Un score exceptionnelencore jamais atteint

dans le secteurbanque-assurance !

■ Annonceur : Caisse d’Epargne

■ Dispositif PQR 66 :Pleine page Evénement

■ Période : avril 2006

■ Responsable Annonceur :Régine Papazian, Nordine Drif,Cécile Lauer

■ Agence Conseil : Ogilvy

■ Responsable AgenceConseil : Carole Bilde

■ Agence Média :ZenithOptimedia

■ Responsable Agence Média :Sylvie Ramette

Méthodologie des tests Impact 66 :

Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de

200 interviewés minimum, représentatifs

nationalement, en face à face au domicile

Définition du score d’impact :

Score Vu ou Lu

83%

Ghislain GrimmDirecteur de laCommunication Corporatede Microsoft France

Bien qu’ancienne sur sonsecteur, Microsoft estune jeune entreprise :pouvez-vous nous“rafraîchir la mémoire”sur les grandes étapesde son histoire ?Ghislain Grimm : Avec seulement 30ans d’existence à l’international et 23ans en France, on aurait effectivementtendance à oublier la jeunesse del’entreprise, qui est née comme unestart up à la fin des années 70, sur fondd’esprit totalement pionnier dans uneindustrie naissante. Au démarrage,Microsoft en France est l’aventure de 5personnes (1 200 aujourd’hui) quiparticipent au pari fou de donner à tousl’accès à l’informatique. Il est doncimportant de restituer l’esprit deschoses : à l’époque - hier ! -, il est plus

pas de plan de développement ni deroute toute tracée ! Un métiernouveau, une activité basée à 100 %sur l’innovation.Clavier, souris et logiciels… l’histoirede Microsoft est alors marquée par larapidité de sa croissance. La dyna-

Microsoft Windows, Office, MSN, Dynamics… font la denrée quotidienne de notre bonne vieille et nonmoins jeune souris… Retour sur le futur de Microsoft avec Ghislain Grimm

et la campagne corporate développée en PQR 66.

Dossier: Les Français et l’environnement p. 3Les nouvelles générations sont-elles plus écolo-responsables que les anciennes ? Quels gestessommes-nous prêts à faire au quotidien et quels discours sommes-nous prêts à entendre surl’environnement et le développement durable ? Les cartes sont aujourd’hui difficiles à lirepour les entreprises qui veulent développer un discours corporate. Une chose est sûre : pourles Français, l’enjeu est de taille.

�suite en page 2…

question de gageure quede “projet d’entreprise”construit et préétabli : laseule croyance qu’un PCaurait sa place sur chaquebureau, dans chaque foyer.Pour cela, pas de process,

mique de l’écosystème est en route.En 1995, Windows 95 est l’apogée dela traduction produit de la visionMicrosoft pour une interface simpleet “pour tous” de la technologie :c’est la naissance du bouton“démarrer”. Cette période constitueune étape clé pour l’entreprise quiplace alors l’informatique au rangd’outil accessible, indispensable,quotidien. C’est l’engouement pourles nouvelles technologies au servicede tous, avec son pendant quant à lacroissance et à l’implantation deMicrosoft dans chaque pays etchaque région française…et danschaque foyer cette fois avec la microinformatique et l’Internet.

“Microsoft entendparticiper et non

échapper aux questionnements

institutionnels et de société”

Quelle est votreanalyse de l’imageperçue de Microsoftaujourd’hui ? G. G. : Il est reconnu à Microsoft d’avoirrévolutionné l’informatique, encréant une dynamique exception-nelle par la force de son innovation…mais, en revanche, Microsoft doitglobalement faire face à de fortescontradictions par rapport à saréalité… Une place de leader imposebien sûr aussi une grande respon-sabilité, et notre entreprise estaujourd’hui interpellée sur sesengagements dans la Sociétéfrançaise.

Abonnez-vous à la version en ligne : www.pqr.org

Page 2: Newsletter n°13

Sur la base de quelles “fibres”Microsoft en est-elle venue àtravailler sur ce volet neuf ducorporate ?

G.G. : Il s’agit de poser et réaffirmer le moteur de nosambitions d’entreprise, en prouvant au passage queMicrosoft – en tant qu’entreprise internationale – n’entendpas confondre son savoir-faire technologique avec sesfinalités et ses devoirs vis-à-vis de la Société. Tout enrestant à sa juste place d’acteur économique passionné etpotentiel catalyseur, Microsoft entend participer et nonéchapper aux questionnements institutionnels et desociété qui font légitimement débat : la fracturenumérique ; la sécurité Internet ; l’impact économique desnouvelles technologies…

Face à ces questions importantes autant que récentes,Microsoft s’est d’abord investi au niveau mondial sur labase d’un grand nombre d’études en dehors du champcommercial. En 2004, nous avons développé notrepremière prise de parole institutionnelle-corporate. Ils’agissait de réaffirmer la mission de l’entreprise avec notresignature sur “l’expression du potentiel”. Celle-ci n’est pastombée du ciel : nous avons souhaité creuser ces questionsen profondeur, sur la base d’un groupe de travail multinational orchestré par Mc Cann. Nous détenons aujourd’huiun matériel de réflexion complet, issu des ancrages locaux,à l’échelle internationale.

Sur ce registre Corporate de votreactivité, quels sont les grands axesde travail pour les années à venir ? G.G. : Notre approche corporate ne se veut pasdéclamatoire, elle met en avant de vraies promesses et devrais engagements de service qui engagent concrètementl’entreprise. Avec cette version 2006 de la campagne, noussommes allés plus loin dans le réel. En France, nous avonscommuniqué sur deux axes : un programme d’aide auxéditeurs de logiciels innovants, par la technologie, laformation et le conseil au travers du programme IDEES*.

Très clairement, l’enjeu consiste à aider notre économie àêtre présente sur la compétition mondiale des nouvellestechnologies.

Le deuxième axe de travail concerne la dynamique miseen œuvre par Microsoft pour jouer de tout son savoir pourla sécurité dans l’usage de l’ordinateur, notamment àdestination des jeunes. J’insiste ici sur le fait qu’il ne s’agiten rien d’une logique de communication tactique ou“prétexte à communiquer”, mais bien d’une dynamique àdévelopper en profondeur, stratégiquement voulue et

�…suite de la page 1

STRATÉGIES & PQR

VERBATEAM

suivie au plus haut niveau du management Microsoft.L’entreprise met son savoir-faire et sa recherche à ladisposition de tous les acteurs des pouvoirs publics ainsi quedes différents partenaires concernés (ou à concerner) parcette question incontournable de la sécurité. Il n’est pasquestion d’agir “dans notre coin”, mais bien de participer acti-vement à cette collaboration qu’il s’agit de bâtir et faire vivre.

La campagne publicitaire promeut l’accès développé à cesthèmes sur www.microsoft.com/france/onimagine

Microsoft en PQR 66, un besoin deremettre les pieds sur terre ?G.G. : Dans le mix média qui était le nôtre en 2006 (TV /Presse magazine / PQR 66 et parrainage), notre présenceen presse régionale était essentiellement motivée par unobjectif de proximité. Pour mener à bien nos “missionscorporate”, nous devons impérativement être vus etreconnus par les entreprises et les élites économiques, lespouvoirs politiques locaux et le monde associatif. La PQR -par ce qu’elle est - permet non seulement de les “toucher”massivement au sens média, mais aussi de les “toucher”qualitativement, “sensiblement”…

En effet, pour que Microsoft soit massivement mise àl’épreuve des services qu’elle propose, il faut que l’onrésolve encore une contrainte de perception de valeur :non, Microsoft ne fait pas que “vendre” ses produits ; non,son savoir-faire techno n’est pas une fin en soi, etc. C’esten collaboration avec ces publics qui font la vie locale quenous réussirons à apporter notre pierre et prouver que lecorporate a un sens pour Microsoft !

En PQR 66, nous nous déclarons mûrs pour prouver notredimension citoyenne par des actions concrètes, partout,dans les écoles, les colloques, les entreprises… * IDEES : Initiative pour le Développement Economique des Editeurs et Start up.

Propos recueillis pour IMPACT PQR par VERBAHUIT, Emmanuel de Chevigny. [email protected]

ça bouge… ça bouge… ça bouge… ■ Première campagne télévisée de la Presse Quotidienne Régionale : “l’origine de totrimestriel de 4 pages : “Créer son entreprise” en partenariat avec la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie d’Alsace ■ Dimanche Ouest-Francmis en place pour désensabler le Mont Saint-Michel ■ Nouvelles formules tabloïd pour La Voix du Nord et Nord Eclair. Lancées le 4 mai ces deux formuPrix des Media, quotidien régional de l’année ■ Sud Ouest lance “Puissance Cub” sur Bordeaux, package publicitaire plurimédias composé de Sud OuesThalassa (bimestriel ; 170 000 exemplaires) ■ L’Union lance un supplément trimestriel “Femme à Reims” ■ Nice Matin et Var Matin sont passés au fo■ Le Télégramme, Nord Littoral et l’Alsace du Lundi ont reçu les Etoiles OJD qui récompensent les meilleures progressions en diffusion totale payée su

Julien CodorniouResponsable des partenariatsStart Up et Capital RisqueMicrosoft France.(partenariats pour l’essentiel IDEES – Initiativepour le développement économique deséditeurs et start up)

« Sans jamais

rentrer dans le

capital des start

up, notre but est

de faire grandir

les jeunes pousses

et de les aider à

prendre la meil-

leure place dans l’écosystème français

du logiciel.»« La voie qui est la nôtre est celle duparrainage. Nous parrainons 25 start uppar an, en leur apportant concrètementnotre soutien technologique, marketing,mais aussi commercial, jusqu’à leurdonner un coup de pouce à l’inter-national ! Notre caution leur est impor-tante pour viser les grands comptes…»«Au final, tout le monde est legagnant d’un écosystème fort. C’est uncercle économiquement vertueux, carces start up investissent, emploient, sedéveloppent… et deviennent des par-tenaires importants. »«Par la nature des candidatures quinous arrivent (300 appels spontanés dedemandes de parrainage ), j’ai constatéau quotidien l’efficacité de la PQR. Nousparrainons à 50/50 des entrepriseslocalisées sur Paris et en Province.»« Les régions ne manquent pas desavoir-faire technologique. Via cespartenariats, nous intervenons sur dessecteurs et profils d’entrepreneursdifférents et c‘est tant mieux... »« Quant aux commerciaux présentsdans nos régions, ils sont unani-mement satisfaits à voir cettecampagne “services” inscrite dans lapresse locale. Ils nous remontentd’ailleurs par eux mêmes des appels àcandidature d’entreprises ! »

VERBATIM“La problématique n’est pas la même partout

dans le monde. Il s’agit de travailler à unenécessité internationale et non américaine”

CatherineDelangleDirectrice GénéraleAdjointe de Mc CannFrance

« Nous nous plaçons sur desenjeux macros de société, etdifférenciés selon les régions dumonde. Une problématique d’opi-nion et d’image entre le monded’hier et celui de demain, entreles générations, entre lesexigences et réalités de laconcurrence de marché et cellesd’une lecture sécurisante etconstructive de la société qui doitcontinuer de se construire…»« Très implantée indus-triellement, administrativementet au niveau associatif, la PQRréunit des interlocuteurs cruciauxpour dessiner l’informatique deservice de demain. Que doit êtrepar exemple la bonne place del’informatique pour les servicespublics ? Notre travail trèsrapproché avec Frédéric Vion(Universal Mc Cann) nous aamené logiquement à recom-mander le PQR 66.»«Microsoft n’est pas un acteurmercantile. C’est une sociétéfondamentalement porteuse deprogrès et alliée de l’entreprise.Elle a une vision claire de ce quedoit être l’informatique dedemain.»« C’est un groupe de travailinternational composé descréatifs d’agence de plusieurspays qui a travaillé à définir lesillustrations possibles de lamission et de ses valeurs, en2004. Chaque pays a été amenéà réfléchir et étudier les de-mandes de concrétisations auniveau national. On a une vraieliberté politique sur lesmoyens…»« On n’est pas du tout dans le“corporate d’intention” ; nousintervenons sur le concret commela campagne nationale sur lasécurité informatique ou le débatpublic sur la protection del’enfance sur Internet…»« On est aux antipodes d’unmodèle dictatorial et secret. Toutle monde participe et a son rôle àtenir : comment va-t-on arriver àrétablir une vérité sur la démo-cratisation maîtrisée de l’infor-matique ? Sur cette questiond’opinion, la PQR peut jouer unrôle déterminant en France…»

■ Quand ça bouge…

3 questions à Jean-Pierre Caillard,Président Directeur Général duGroupe Centre-France - La Montagne,qui multiplie les hors-séries etautres suppléments magazines.

Pourquoi La Montagneest-il le premierquotidien français àmettre en place lesystème éditorial EidosMédia ?Au-delà de la nécessaire

modernisation, notre choix est dicté parune volonté de maîtriser un outil qui faciliteles déclinaisons sur tous les supports. Notrerichesse est l’info de proximité qu’il nousfaut savoir décliner sur la télé locale, laradio, internet, les magazines et, bien sûr,en premier lieu, notre quotidien.D’où votre multiplication de hors-séries ?La réflexion est évidemment parallèle. Enpubliant “Les chemins de la victoire –Auvergne 1945”, “A89, l’AutorouteEspérance” et, bientôt, un numéro spécialsur les 25 ans de la Foire du Livre de Brive,nous allons vers l’optimisation de noscontenus éditoriaux. Nous les conjuguonssous notre marque, mais aussi sous d’autres.“Sports Auvergne”, votre bimestriel enest-il la preuve ?Tout à fait ; nous avons fait le choix depublier tous les deux mois, un magazinesportif haut de gamme qui éclaire etvalorise par des reportages et des enquêtesinsolites richement illustrés, nos contenuséditoriaux sur les stars et les clubs de notrerégion. Il s’agit d’une voie ouverte dontnous constatons d’ores et déjà lapertinence. De nombreuses pistes s’offrentdésormais à nous.

2

Microsoft en France• 200 produits et services commercialisés en langue

française pour le grand public et les entreprises.

• Plus de 1 200 collaborateurs (moyenne d’âge : 35 ans,26 % de femmes - 74 % d’hommes), dont 55 % ontplus de six ans d’ancienneté, 95 % sont cadres et deuxtiers ingénieurs.

• 100 créations de poste prévues en 2006.

• Plus de 50 000 emplois indirects générés sur leterritoire national, 160 000 si on élargit le périmètreconsidéré aux revendeurs (Source : Pierre Audouin

Consultants, 2002).

• Un réseau de partenaires commerciaux de 10 000sociétés (SSII, revendeurs, consultants, centres deformation...).

• Un classement constant dans le top 5 des entreprisesoù la qualité de vie est la meilleure (Classements“Great Place to Work” et Journal du Management).

Première campagne Microsoft en France : 1984.

Page 3: Newsletter n°13

IN SITU MARKETING

Une crainte durableL’environnement est aujourd’hui un sujet depréoccupation important pour les Français, etsupport de craintes multiples. En tête de lahiérarchie des risques perçus comme les plusinquiétants pour l’avenir de la planète, ontrouve le réchauffement de la planète (42 %)auquel on attribue les changements climatiques

et qui est d’autant plus anxiogène que l’on voitmal comment inverser la situation. Viennentensuite la pollution de l’eau (38 %), la pollutionde l’air (32 %) et, à des niveaux de citationsmoindres, la disparition des forêts (25 %),l’apparition de nouvelles maladies graves(23 %), la disparition des espèces (19%) et lescatastrophes naturelles (15 %). Les sujets quiconstituent des atteintes durables voireirréversibles à l’environnement semblent doncinquiéter plus les Français que les crises plusponctuelles (d’autant plus que le terrain del’étude a été réalisé en plein développement dela grippe aviaire). Dans le détail, notons tout demême que si les catégories supérieuresapparaissent particulièrement sensibles auxrisques durables (réchauffement de la planète,pollution, etc.), les catégories populaires

semblent plus inquiètes que les autres concernantles crises conjoncturelles (apparition de nouvellesmaladies, catastrophes naturelles, etc.).

1 français sur 4 prêt auboycott des entreprisesNicolas Hulot serait ravi par les résultats del’enquête “Les enjeux du Quotidien” : les petitsgestes qui sauvent la planète sont en effet trèslargement passés dans les moeurs : plus d’unFrançais sur deux déclare faire “systéma-tiquement” le tri de ses déchets (68 %), negaspille pas l’eau du robinet (52 %), et rapporteles piles usagées chez les commerçants (51 %).Dans le même domaine des comportementsdomestiques et quotidiens 47 % des Françaisdisent systématiquement économiser l’électricitéet 44% ont renoncé aux sacs plastiques jetablespour faire les courses (44%). Merci qui ?

En revanche, le bât blesse dès que l’on toucheau confort, et particulièrement à l’automobileou… au portefeuille ! 18 % seulementaccepteraient de moins utiliser leur voiture et7 % seulement sont prêts à payer le prix desproduits Bio.

Danger pour les entreprises : 24 % des Français,à l’exemple des américains, se disent prêts àboycotter les entreprises qui polluent et nerespectent pas les réglementations en matière

d’environnement. Encore faut-il observer quepour les 47 % qui ne le font pas encore la raisonprincipale est qu’ils ne parviennent pas àidentifier ces entreprises “sales”. Entrecontrainte et engagement, les Françaisconservent donc encore certains paradoxes,dont le plus frappant est l’attachement encoretrès fort à leur moyen de transport préféré.

La lecture de la pressequotidienne, marqueurd’implicationDe façon très surprenante, les catégoriespratiquant le moins ces gestes quotidiens sontles 15-24 ans et les habitants de la régionparisienne. Les catégories les plus investies sont

de façon significative les femmes et les lecteursréguliers de la presse quotidienne. Il est doncavéré qu’il existe un lien de cause à effet entreune prise d’information responsable etimpliquée (dans l’évolution de son environ-nement proche notamment) et une propensionà agir de façon citoyenne. La lecture duquotidien est un vecteur de connaissances pluspointues et, partant, de comportements plusvolontaristes. Ce phénomène est spécialementmarqué dans le lectorat des quotidiensrégionaux qui apparaissent comme la forme depresse plébiscitée par le type le plus en pointesur les comportements responsables (voirl’encadré pour se procurer le rapport completd’étude et la typologie des Français).

L’État… en dernier recours !Quand il s’agit d’agir, les Français font surtoutconfiance aux associations de défense del’environnement (54 %), largement devant lesmouvements et associations de citoyens et deconsommateurs (32 %).

Viennent ensuite, les Français eux-mêmes(24 %) et les organisations internationales

(21 %), qui arrivent, fait à relever, devant lesmunicipalités (17 %), les partis écologistes(13 %), l’Etat (12 %) et les entreprises (5 %).Cette hiérarchie témoigne tout d’abord dudiscrédit des acteurs politiques et économiquesclassiques (les entreprises étant par ailleursmajoritairement considérées comme peuattentives à la préservation de l’environnement)au profit des associations, perçues commepoursuivant des objectifs “nobles” etdésintéressés d’une part, comme étant plusefficaces et concrètes d’autre part.

De sombres perspectivespour l’avenirPlus de huit Français sur dix (83 %) se déclarentinquiets lorsqu’ils pensent à l’avenir de laplanète et à l’environnement, dont 24 % qui sedisent même “très inquiets”, tandis queseulement 16 % apparaissent confiants. Cetteinquiétude est très largement majoritaire cheztoutes les catégories de la population, mais estencore plus forte chez les femmes, lespersonnes âgées de 25-34 ans (les jeunesparents), les PCS+, les plus diplômés, mais aussichez les lecteurs de la presse quotidienne.L’implication personnelle dont témoignent lesFrançais au quotidien dans la protection del’environnement ne semble donc pas lesrassurer pour l’avenir : en effet, tout se passecomme s’ils avaient le sentiment que les effortsqu’ils consentent ne sont qu’une “goutte d’eau”qui ne suffira pas à changer la situation tant que“les autres” (les autres citoyens, lesentreprises…) ne feront pas les mêmesefforts… La voie est ouverte pour descommunications corporate qui s’appuient sur devrais engagements, et non plus de simplesdéclarations d’intention.

3

oute chose est locale”. Signé Scher Lafarge, le film est diffusé sur TF1, LCI, I-Télé, France 5, Canal +, Canal + décalé et sur le web ■ Lancement par les Dernières Nouvelles d’Alsace d’un dossierce publie le guide “Iles du Grand Ouest” proposant des idées de balades dans 21 îles, accompagné d’un CD Rom en 3D. Par ailleurs, un numéro spécial (140 000 exemplaires) présente le chantierules ont boosté les ventes au numéro : +4 % pour la Voix du Nord et +7 % pour Nord Eclair sur le total du mois de mai ■ L’Est Républicain a été élu par CB News, lors de la 8ème édition du Grandst, du gratuit d’information Bordeaux 7, de la chaîne TV7 Bordeaux et des sites internet des 3 marques. Par ailleurs, Sud Ouest et France Télévisions ont lancé une déclinaison papier de l’émissionormat tabloïd ; la pagination passera à 65 pages et pourra aller jusqu’à 96, dont 40 pages en quadri ■ Corse Matin a quant à lui adopté le format Berlinois et passe de 32 à 48 pages, tout quadriur l’année 2005 ■ Nouvelle maquette pour l’Alsace, sans changement de format (berlinois). Le quotidien est agrémenté d’un supplément week-end en demi-format chaque vendredi.

Les “enjeux du quotidien” : comprendre les Français au jour le jour

Le fait Le fait Le fait Ne le fait pas Ne le fait pasEn % systéma- régulière- rarement mais est prêt(e) et probablement

tiquement ment à le faire pas prêt(e) àle faire

Trier et recycler vos déchets 68 22 3 6 1Ne pas gaspiller l’eau du robinet 52 35 7 5 1Rapporter les piles usagées chez lescommerçants concernés 51 21 8 17 2Economiser l’électricité 47 37 7 7 2Ramasser un plastique ou un carton qui traîne 45 36 11 6 3Ne pas utiliser de sacs plastiques pourfaire les courses 44 27 9 14 5Cesser d’utiliser des produits toxiques (aérosols, engrais chimiques) 34 27 15 16 6Moins utiliser la voiture (dont 19 % de non-concernés) 18 22 11 15 14Boycotter les entreprises qui polluent et nerespectent pas les réglementations en matièrede protection de l’environnement 10 14 12 47 14Consommer plus de produits bio,même plus chers 7 21 25 21 25

Qui réalise les “enjeux du quotidien” ? La Presse Quotidienne Régionale, la PQN, la PQGet la PHR.

Quel terrain d’enquête ?Il est réalisé dans l’étude d’audience EPIQopérée par TNS sofres depuis 2005.

Quelle base méthodologique ? L’enquête téléphonique est réalisée chaque jourde l’année. Chacune des 6 vagues annuelles des“Enjeux du Quotidien” est donc réalisée sur deux mois auprès d'un échantillon de 4 000personnes représentatives de la population de +15 ans.

Les précédentes vagues :Les Français et le travail (J-F 2005) ; Les Français et la santé (M-A 2005) ; Les Français et l’éducation (M-J 2005) ; Les Français et l’emploi (J-A 2005) ; Les attentes des Français (S-O 2005) ; Les Français et l’alimentation (N-D 2005) ; Les Français et l’environnement (J-F 2006) ; Les Français et l’Europe (M-A 2006).

Où se procurer les rapports complets derésultats et la typologie des Français ?Sur simple demande au SPQR ([email protected])ou en vous connectant sur www.pqr.org (rubrique Fil d’Actu).

Les enjeux du quotidien…

Les Français et l’environnementÀ l’heure du réchauffement climatique et des projections sur l’avenir des pays occidentaux dans l’après-pétrole, les pouvoirs publics

et les associations, autant que les entreprises, font assaut de communication pour réaffirmer des valeurs de citoyenneté, et prennentirréversiblement le virage du développement durable. Mais comment communiquer et auprès de qui ? Tout le monde est-il

sensibilisé, et à quoi ? Les jeunes sont-ils plus écolo-responsables que les autres ? À voir…Une enquête exclusive menée auprès de 4000 personnes par TNS fait le point.

Page 4: Newsletter n°13

MA PQR À MOI

Bruno DelecourPrésident OMD France

« Parisien d’adoption, provincial d’origine… jusquelà, certes, rien de très original.

Mais si je vous dis que je parle couramment chtimi,et que j’en revendique le pedigree, là… ça situe toutde même mieux son lecteur de PQR, non ?

Du Pas-de-Calais par mon père, du Nord par mamère, né à Valenciennes, toute mon enfance vécue àBoulogne sur Mer, je suis donc un chtimi complet,tendance maritime, avec une portion de Coron et soncoulis de campagne.

Vous y êtes : c’est donc tout naturellement La Voix duNord qui nous arrivait chaque matin à domicile.Durant toute mon enfance, ce journal – qui reste unsésame quand je retourne, trop rarement, dans leNord - a été ma principale source d’information.

“Ce n’est pas l’enfant qui vous parle, c’est l’adulte…”

Vu de mon œil d’enfant donc - mais ne doit on pasgarder à jamais son âme d’enfant ? - j’y ai appriscomment fonctionnait une ville, puis un départe-ment, puis une région, et le rayon s’agrandissait tou-jours, comme ceux des roues de mes vélossuccessifs.

La PQR, on l’aime aussi pour ça : multi-locale plus querégionale, c’est une information qui fait voyagerchaque matin.

C’est le reflet exact de la Société, et de la vie ensociété… la création d’une 5e classe à l’école munici-

pale, un ralentisseur sur la départementale qui tra-verse le village.

La PQR, on l’aime aussi pour ça : elle est chaque jourà l’école de la réalité.

J’y ai appris la politique aussi, comment fonctionneun maire, une mairie, un conseil municipal dont ladernière délibération concerne l’acquisition d’unepièce d’eau pour protéger l’environnement, pourquoiune liste électorale fusionne avec une autre liste.

La PQR, on l’aime aussi pour ça : elle est le véritablepouls de la vie quotidienne.

Et j‘ai appris l’économie aussi. Pourquoi s’ouvre unenouvelle conserverie, ou à l’inverse pourquoi l’aciériedoit fermer ses portes ; l’impact sur l’emploi, sur lecommerce, sur les finances de la municipalité. C’estpassionnant l’économie, quand on touche du doigtl’impact sur la vie de tous les jours.

La PQR, on l’aime aussi pour ça : parce qu’elle connaîtses lecteurs, elle les connaît vraiment !

Et les loisirs ? J’y ai appris le plaisir du sport et l’exci-tation de la compétition, et le partage d’une passioncommune avec des participants d’univers totalementdifférents… J’y ai découvert le spectacle vivant avecles tournées théâtrales Barret.

La PQR, on l’aime aussi pour ça : elle ouvre des mon-des, des mondes vivants, tangibles, dont les vibra-tions trouvent écho en chacun de nous.

Je pourrais continuer longtemps mais vous m’avezcompris : ce n’était pas l’enfant qui vous parlait maisl’adulte. Et, puisque rien n’a vraiment changé depuisnos temps enfantins, c’est donc en chtimi que je vousaffirme que…

La Voix du Nord, c’est pour tout ça que je l’ai lue etque je la retrouve chaque fois avec plaisir. »

STABILODATES

➩ Tour de France1er juillet 2006

➩ Résultats des écrits du Bac 3 juillet 2006

➩ Journée mondiale del’allergie 8 juillet 2006

➩ Journée Mondiale de lapopulation 11 juillet 2006

➩ Fête nationale 14 juillet 2006

➩ Solitaire du Figaro 4 août 2006

➩ Championnat d’Europed’Athlétisme (Suède) 7 août 2006

➩ Rentrée des classes 4 septembre 2006

➩ Journée mondiale despremiers secours 9 septembre 2006

➩ Journée mondiale de laprévention du suicide 10 septembre 2006

➩ Semaine de la mobilité16 au 22 septembre 2006

➩ Journées du Patrimoine 16 et 17 septembre 2006

➩ Journée mondiale de lasurdité 21 septembre 2006

➩ Automne 23 septembre 2006

➩ Journée Mondiale du cœur 24 septembre 2006

➩ Virades de l’espoir-Vaincre lamucoviscidose 24 septembre 2006

➩ Mondial de l’Automobile : 30 sept. - 15 oct. 2006

➩ Journée internationale despersonnes âgées : 1er octobre 2006

➩ Journée mondiale desEnseignants 5 octobre 2006

➩ Journées européennes de ladépression : 5 et 6 octobre 2006

➩ Journées nationales desaveugles et malvoyants : 7 et 8 octobre 2006

➩ Journée mondiale de la Poste 9 octobre 2006

➩ Fête de la Science 9 octobre 2006

➩ Journée mondiale contre lapeine de mort 10 octobre 2006

➩ Journée mondiale pour lavue 12 octobre 2006

➩ Lire en Fête 13 octobre 2006

➩ Journée mondiale del’alimentation et del’agriculture 16 octobre 2006

➩ Semaine du goût 16 au 22 octobre 2006

➩ Semaine nationale de laSécurité Routière 16 au 23 octobre 2006

➩ Journée mondiale du refusde la misère 17 octobre 2006 ../..

CGV et calendrier annuelcomplet sont disponibles surdemande auprès des régies

du PQR 66 (voir rubrique “En direct sur www.pqr.org”

pour les contacts).

Chtimi : lu, parlé

ND

C Ed

iting

en

colla

bora

tion

avec

VER

BAH

UIT

. Cré

dit

phot

os :

Get

tyim

ages

Avec sa nouvelleoffre ACCESS

EVENEMENT, PQR 66propose à tous les

annonceurs un tarifexceptionnel de

153 k€ nets, s’ilscommuniquent enpleine page quadri sur une des dates

ci-dessous.Choisissez la vôtre !

4

© M

arc

Chau

mei

l

MÉMO SERVICES

En directsurwww.pqr.org

Mesures d’audience et média marchés

• EPIQ 2005, tous les chiffresd’audience de la PQR, PQN, PQG etPHR.

• “SPQR 2002/2003/2004”. Tous leschiffres d’audience et lescartographies associées de 52titres et 24 groupes de PQR

Audience Décideurs• La France des Cadres Actifs 2006

(Ipsos)

• Les Décideurs de la GrandeDistribution (Ipsos)

• Les Décideurs des CollectivitésTerritoriales (Ipsos)

Mesures de l’efficacité• Suivi Impact 66 : base de

données compilant 280 000interviews et près de 1 500 post-tests d’impact sur les 15dernières années (IFOP). Baseenrichie chaque année d’unecentaine de tests d’impact (IREP2003 : la Persistance Mémorielle).

• PQR-PRO : post-tests SOFRES sur lacible des décideurs, via laméthode CAWI. Près de 50 testsréalisés depuis 2003. Réservé auxannonceurs B2B (IREP 2004).

• PQR-SCAN : post-tests et pré-testsd’efficacité sur les ventes réaliséssur les marchés tests d’Angers etLe Mans - Marketing Scan (GFK).Réservé aux annonceurs GrandeConso.

• PQR-TRACK : tests dédiés au suivides campagnes lourdes etconcentrées en PQR (IFOP).

Études Quali • Proximités : Sociovision. Les

nouveaux vécus de la proximité(IREP 2001).

• La communication textuelle enPQR/texte et conviction-SORGEM(IREP 2000).

www.pqr.orgToutes les infos sur les titres, lesétudes, les standards d’impact, lestarifs et les contacts commerciaux...Accès libre.

Contactez directement votrerégie :

• Com>Quotidiens 01 55 38 21 00

• Quotidiens Associés 01 41 34 97 26

Pour tout contact avec laRédaction d’IMPACT PQR :

01 40 73 85 [email protected]