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Jeudi, 13 novembre 2014 Semaine Ecole Entreprise 2014 : des kits pédagogiques pour découvrir l’entreprise et toutes les compétences de demain Alors que la vitalité des relations entre écoles et entreprises s’accroît d’année en année, le MEDEF mobilise à nouveau son réseau du 17 au 23 novembre dans le cadre de la 15 e édition de la Semaine Ecole Entreprise (SEE). Le thème de cette opération, mise en œuvre en partenariat avec le ministère de l’éducation nationale, est cette année « Innovation, numérique, ouverture internationale : quelle entreprise en 2020 ? ». Afin de répondre aux demandes des établissements, des parents et des élèves, au moment où se mettent en place les parcours individuels d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel (PIIODMEP) dès la classe de 6e, le MEDEF a décidé de développer un ensemble d’outils qui permettent de mieux appréhender l’entreprise et les métiers d’aujourd’hui et de demain. Les kits de découverte « C’est quoi une entreprise ? » et des métiers « Beau Travail ! » du MEDEF (clips, guides, fiches métiers) sont mis à la disposition des enseignants et des élèves, et peuvent aussi servir de supports dans le cadre des dispositifs d’accompagnement des décrocheurs scolaires. L’orientation des élèves est en effet primordiale pour que les entreprises disposent de toutes les compétences qui permettront de développer les innovations, les marchés et les produits qui feront les emplois de demain. Pour Florence Poivey, présidente de la commission Education, formation et insertion : « Connecter l'orientation avec la société de demain, avec les besoins et attentes réelles des entreprises est capital : capital pour nos jeunes, capital pour nos entreprises. Le MEDEF doit venir en appui des établissements scolaires pour éclairer les parents et les jeunes sur les métiers qui sont et seront attendus qu'ils soient industriels ou de service ». Pour Thibault Lanxade, président du pôle Entrepreneuriat et croissance : « Toutes les initiatives de la Semaine Ecole Entreprises dans nos territoires, au cours de cette semaine spécifique et tout au long de l’année, sont capitales pour permettre aux élèves de mieux connaître la dynamique entrepreneuriale et les réalités de l’entreprise dans toutes ses dimensions et dans tous ses métiers ». Contact : Service de presse du Medef - [email protected] – 01 53 59 17 32

Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Alors que la vitalité des relations entre écoles et entreprises s’accroît d’année en année, le MEDEF mobilise à nouveau son réseau du 17 au 23 novembre dans le cadre de la 15ème édition de la Semaine Ecole Entreprise (SEE). Le thème de cette opération, mise en oeuvre en partenariat avec le ministère de l’éducation nationale, est cette année « Innovation, numérique, ouverture internationale : quelle entreprise en 2020 ? ». Afin de répondre aux demandes des établissements, des parents et des élèves, au moment où se mettent en place les parcours individuels d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel (PIIODMEP) dès la classe de 6e, le MEDEF a décidé de développer un ensemble d’outils qui permettent de mieux appréhender l’entreprise et les métiers d’aujourd’hui et de demain. Les kits de découverte « C’est quoi une entreprise ? » et des métiers « Beau Travail ! » du MEDEF (clips, guides, fiches métiers) sont mis à la disposition des enseignants et des élèves, et peuvent aussi servir de supports dans le cadre des dispositifs d’accompagnement des décrocheurs scolaires. L’orientation des élèves est en effet primordiale pour que les entreprises disposent de toutes les compétences qui permettront de développer les innovations, les marchés et les produits qui feront les emplois de demain.

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Jeudi, 13 novembre 2014

Semaine Ecole Entreprise 2014 : des kits pédagogiques pour découvrir l’entreprise et toutes les compétences de demain

Alors que la vitalité des relations entre écoles et entreprises s’accroît d’année en année, le MEDEF mobilise à nouveau son réseau du 17 au 23 novembre dans le cadre de la 15e édition de la Semaine Ecole Entreprise (SEE). Le thème de cette opération, mise en œuvre en partenariat avec le ministère de l’éducation nationale, est cette année « Innovation, numérique, ouverture internationale : quelle entreprise en 2020 ? ».

Afin de répondre aux demandes des établissements, des parents et des élèves, au moment où se mettent en place les parcours individuels d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel (PIIODMEP) dès la classe de 6e, le MEDEF a décidé de développer un ensemble d’outils qui permettent de mieux appréhender l’entreprise et les métiers d’aujourd’hui et de demain. Les kits de découverte « C’est quoi une entreprise ? » et des métiers « Beau Travail ! » du MEDEF (clips, guides, fiches métiers) sont mis à la disposition des enseignants et des élèves, et peuvent aussi servir de supports dans le cadre des dispositifs d’accompagnement des décrocheurs scolaires.

L’orientation des élèves est en effet primordiale pour que les entreprises disposent de toutes les compétences qui permettront de développer les innovations, les marchés et les produits qui feront les emplois de demain.

Pour Florence Poivey, présidente de la commission Education, formation et insertion : « Connecter l'orientation avec la société de demain, avec les besoins et attentes réelles des entreprises est capital : capital pour nos jeunes, capital pour nos entreprises. Le MEDEF doit venir en appui des établissements scolaires pour éclairer les parents et les jeunes sur les métiers qui sont et seront attendus qu'ils soient industriels ou de service ».

Pour Thibault Lanxade, président du pôle Entrepreneuriat et croissance : « Toutes les initiatives de la Semaine Ecole Entreprises dans nos territoires, au cours de cette semaine spécifique et tout au long de l’année, sont capitales pour permettre aux élèves de mieux connaître la dynamique entrepreneuriale et les réalités de l’entreprise dans toutes ses dimensions et dans tous ses métiers ».

Contact : Service de presse du Medef - [email protected] – 01 53 59 17 32

 

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MEDEF  Actu-­‐Eco  semaine  du  16  au  20  juin  2014 1  

                           

   

♦ Qu’est-­‐ce  que  la  SEE  ?  C’est  une  opération  initiée  par  le  MEDEF  (à  l’initiative  de  Pierre  BELLON),  en  partenariat  avec  le  ministère  de  l’éducation  nationale,  qui  a  lieu  depuis  14  ans  la  3e  semaine  de  novembre.    La  Semaine  Ecole-­‐Entreprise  est  devenue  un  moment  phare  de  l’année  scolaire  et  le  point  de  départ   d’une   longue   série   d’opérations   d’information   et   de   découverte   des  métiers   et   des  entreprises   pour   les   collégiens   et   lycéens.   Cet   événement   permet   de   mettre   en   valeur   les  échanges  entre   les  entreprises  et   le  monde  éducatif  et  de   les  promouvoir.  Au-­‐delà  de  cette  semaine,  des  actions  de  sensibilisation  ont  lieu  tout  au  long  de  l'année.      La  quinzième  SEE  aura  lieu  cette  année  du  17  au  23  novembre  2014.  La  thématique  qui  a  été  retenue,   conjointement   avec   le   ministère   de   l’éducation   nationale,   de   l’enseignement  supérieur   et   de   la   recherche,   est   «  Innovation,   numérique,   ouverture   internationale  :   quelle  entreprise  en  2020  ?  ».      

♦ Une  grande  variété  d’actions  En   moyenne,   chaque   région,   sous   le   pilotage   des   MEDEF   régionaux,   est   en   mesure   de  proposer  au  moins  6  types  d’opérations  différents  à  un  panel  de  plus  en  plus  large  de  jeunes,  allant  de  la  classe  de  5e  aux  étudiants  du  supérieur.      Les  innovations  pédagogiques  sont,  dans  ce  domaine,  florissantes  et  permettent  d’aborder  ces  sujets  par  des  angles  très  concrets  faisant  notamment  appel  au  sens  de  l’observation,  à  l’esprit  critique  et  à  la  créativité  des  élèves.    

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La  Semaine  Ecole-­‐Entreprise 2  

Ces  évènements  répondent  ainsi  aux  attentes  des  enseignants  de  disposer  d’informations  et  d’actions  concrètes  contribuant  à  la  mission  d’orientation  des  élèves.    (Voir  ci-­‐après  et  en  annexe  :  Actions  SEE  et  actions  EE  en  2014  ;  Bilan  des  actions  éducation-­‐entreprise  en  2013).    En   2014,   avec   les   kits   de   découverte   des   métiers   «  Beau   Travail  !  »,   le   MEDEF   souhaite  proposer  aux  enseignants  et  aux  élèves  des  outils  permettant  de  contribuer  à  la  construction  des   «  parcours   individuels   d’information,   d’orientation   et   de   découverte   du   monde  économique  et  professionnel  »  (PIIODMEP)  de  la  6e  à  la  3e,  et  au-­‐delà.    En  2013,  19  500  enseignants,  5  680  établissements  d’enseignement,  190  000  élèves  et  11  200  entreprises  ont  participé  à  la  SEE,  dans  le  cadre  d’opérations  très  variées  :  

• classe  en  entreprise  • forums  et  salons  • visites  d’entreprises  • interventions  dans  les  classes  • rencontres  «  Les  boss  invitent  les  profs  »  • opérations  «  Vis  ma  vie  »  • mini-­‐entreprises  • productions  audiovisuelles  et  journalistiques  • concours  et  jeux  • sites  internet  et  nouvelles  technologies.  

 

♦ 2  actions  emblématiques  

«  Les  Boss  invitent  les  Profs  »  :  1  800  déjeuners  en  9  ans  d’existence    Cette  opération,  créée  en  Alsace,  est  menée  conjointement  par  le  MEDEF  Alsace  et  l’Académie  de  Strasbourg  depuis  9  années.  Elle  a  pour  but  de  renforcer  les  liens  entre  l’école  et  l’entreprise,  en  faisant  tomber  les  a  priori  qui  peuvent  exister  entre  les  deux  mondes.  Au  cœur  de  cette  démarche,  l’objectif  est  de  faciliter  l’entrée  des  jeunes  sur  le  marché  du  travail.    Le   principe  :   un   boss   invite   à   déjeuner   un   ou   deux   enseignant(s)   de   collège   ou   de   lycée   afin  d’instaurer   un   échange   et   de   permettre   à   chacun   de  mieux   connaître   l’univers   de   l’autre   et   de  renforcer  des  liens  parfois  difficiles  entre  les  deux  mondes.  Un  thème  transversal  encadre  chaque  année  les  rencontres  pour  accompagner  les  échanges,  cette  année  dans  une  région  au  cœur  de  l’Europe  et  des  relations  frontalières,   il  s’orientera  autour  du  «  Bilinguisme  ».    Depuis  le  lancement  de  cette  opération,  plus  de  1  500  chefs  d’entreprise  et  3  500  enseignants  se  sont   rencontrés   autour   d’environ   1  800   déjeuners.   La   moitié   des   participants   apporte   son  concours  à  chaque  lancement  et   l’autre  moitié  est  cooptée.  Ce  système  dynamise  l’opération  en  apportant  systématiquement  des  nouvelles  recrues.    Un  site  dédié  à  l’opération  retrace  tout  l’historique  :  www.lesbossinvitentlesprofs.fr    

     

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La  Semaine  Ecole-­‐Entreprise 3  

     

SEE  2014  en  Picardie  -­‐  «  La  classe  en  entreprise  »    Sous   l’impulsion  du  MEDEF  Picardie,   les  MEDEF  territoriaux  de   l'Aisne,  de   l'Oise  et  de   la  Somme  (en   lien   avec   le   Rectorat)   proposent   de   nouveau   à   des   classes   (élèves   de   collèges,   lycées   et  universités,  ainsi  qu'enseignants),  sans  changement  majeur  d’emploi  du  temps  (mais  adapté),  de  se  tenir  en  immersion  totale  dans  des  entreprises  sur  une  période  allant  de  1  à  3  jours.      Les  cours  traditionnels  auront  donc  lieu  dans  l’entreprise.  Des  plages  horaires  seront  adaptées  et  réservées   à   la   découverte   des  métiers.   Cela   permet   des   rencontres   authentiques   et   des   pauses  communes   avec   le   dirigeant   et   les   salariés   (au   sein   de   la   classe,   au   déjeuner,   etc.),   un   cours  partagé  entre  enseignants  et  salariés,  des  visites  de  site…  Cette  expérience  bénéficie  aux   jeunes  mais   également   aux   salariés   qui   ont,   une   fois   n’est   pas   coutume,   l’occasion   de   parler   de   leur  métier,   ainsi   qu’aux   professeurs   qui   peuvent   découvrir   la   vie   de   l’entreprise,   au   cœur   de  l’entreprise.  Plusieurs  réunions  préparatoires  ont  été  programmées  entre  les  MEDEF,  le  Rectorat,  les  chefs  d’établissements  (et  les  enseignants)  et  les  chefs  d’entreprise  participants.    Ouvriront,   entre   autres,   leurs   portes   cette   année  pour   le   «  classe   en   entreprise  »   :   MARTIN  BROWER   :   site   logistique   à   Beauvais   SAGEB   Aéroport   de   BEAUVAIS   TILLE   à   Beauvais,   NESTLE  GRAND   FROID   :   site   de   fabrication   de   glaces   à   Beauvais,   EJ   PICARDIE   :   site   de   fonderie   à   Saint  Crépin  Ibouvillers,  FM  LOGISTIQUE  :  site  logistique  à  Longueuil  sainte  Marie,  CEGELEC  à  Amiens…      

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MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

Les Boss invitent les profs (en 2013, 200 chefs d'entreprise ont invité 600 profs. + de 220 déjeuners. Action évolue en associant davantage les étudiants _ plus de 4500 en 2013.

1 jour, 1 entrepreneur, 1 étudiant :  50 entreprises et 50 étudiants en Alsace et en Allemagne

Prêt pour l'Emploi : 5o chefs d'entreprise qui accompagnent environ 500 étudiants sur la semaine

EPA ‐ Mini entreprises : 55 mini en Alsace en 2013 ‐ 1000 jeunes concernés sans 48 établissements ‐ 120 profs

EPA ‐ Mini entreprises : 24 mini entreprises en Aquitaine sur 2014/2015.

Opération "les boss invitent les profs" : en 2014, 50 opérations prévues.

Opération "Vie ma vie" : partage d'expériences entre un chef d'entreprise et un chef d'établissement d'un lycée :  en 2014, 20 opérations prévues

Visites d'entreprises : en 2014, 10 opérations prévues

Les Boss invitent les profs (relance de l'action dans le cadre de la SEE 2014).

Journée « découverte du monde économique et professionnel » pour les lycées, autour du thème du numérique (octobre 2014) (plus de 150 participants du monde de l'éducation (enseignants de Lycées, CPE, COP, IPR, …)) ‐ Participation de 9 branches + organisations patronales interpo (MEDEF/CGPME/UPA) + CCI Auvergne Promotion de la campagne "Beau travail" dans le cadre de la journée DMP (12 vidéos présentées à plus de 100 acteurs de l'éducation (enseignants de Lycées, CPE, COP, IPR, …)

Championnat régional des Mini entreprises ‐EPA : 29 mini en 2014 ‐ 380 mini entrepreneurs (mai 2014)

Lancement de la SEE : Inauguration du campus des métiers et des qualifications de l'industrie et des énergies

SEE : Classe en entreprise :1 classe dans l'entreprise FRIAL

Concours sur le numérique

Clôture de la SEE (conférence à Ouistreham)

2ème édition du concours "rendez‐vous avec un chef d'entreprise" (556 élèves en 2013) ‐ concours

Découverte de la filière bois : visites et quizz

Concours régional EPA (mai 2014)

SEE : conférences, diffussion de films "vivre ensemble, interventions de chefs d'entreprise et pdj en établissements scolaires

10 classes en entreprise

Tournoi de gestion : 120 équipes et 2 600 élèves de lycée en 2013 ‐ "serious game"

Visites d'entreprise et interventions de chef d'entreprise devant des collégiens

Concours du jeune reporter

Opération 1 entreprise/1 collège

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA 

MEDEF ALSACE

MEDEF AQUITAINE 

MEDEF AUVERGNE

MEDEF BASSE‐NORMANDIE

MEDEF BOURGOGNE

MEDEF BRETAGNE

MEDEF CENTRE

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MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

SEE : Ateliers robotique (pour les élèves de 8 à 14 ans) : découverte du robot Lego Mindstorms, de l'interface graphique de programmation et conception d'une séquence de programmation par les élèves. Déploiement de Campus Lab à Bastia, Ajaccio et en Plaine orientale.SEE : Débat au Lycée professionnel Fred Scamaroni à Bastia‐ réunissant entrepreneurs et enseignants, conseillers d'orientation et CPE : "le numérique dans l'entreprise : évolution ou révolution (des pratiques, des compétences )?" SEE : Quiz de découverte de l'entreprise à l'attention de collégiens DP3 heures : L'action est ouverte à l'ensemble des collèges disposant d'une option DP3h en Champagne‐Ardenne, chaque Quiz pouvant accueillir un maximum de 200 jeunes. 7 Quiz de découverte de l'entreprise seront organisés dans les 4 départements suivis d'une finale régionale réunissant les équipes gagnantes de chacun des Quiz. Ces sessions de Quiz seront couplées, dans la mesure du possible, à des visites d’entreprise sur la même journée.

SEE : Immersion en entreprise pour COP et professeurs principaux : 1 demi‐journée à une journée en entreprise pour une cible prioritaire de conseillers d'orientation psychologues et de professeurs principaux de 3ème, 1ère et terminale. L'objectif régional est qu'une centaine d'entreprises ouvrent leurs portes pour accueillir 500 COP et professeurs principaux.

SEE : journées thématiques pour COP et professeurs principaux : secteurs fonderie, médical, hôtellerie‐restauration. Présentation des filières de formation le matin et visites d'entreprises l'après‐midi. Les établissements accueillent les boss : Acceuil de dirigeants d'entreprise en établissement scolaire afin de leur faire découvrir les enjeux du « management éducatif ». L'objectif régional est de 30 à 40 rencontres.Championnat régional des mini‐entreprises : Championnat régional rassemblant près de 60 mini‐entreprises créées en Champagne‐Ardenne sur l'année scolaire, soit plus de 500 collégiens et lycéens de la région.SEE : Atelier créativité dans le cadre de la Semaine de l'Entrepreneuriat Etudiant de Reims : 150 étudiants, partenariat avec le PETITE Champagne‐Ardenne 

SEE : visites en entreprise, activités de découverte professionnelle

SEE: "la cérémonie d'ouverture": un temps fort  le 17 novembre qui réunit  une centaine de lycéens avec la présence du Recteur, de la Présidente de region et de la presse. Un moment de convivialité qui permettra de découvrir quelques métiers du numérique au travers des témoignages de ceux qui ont contribué à développer le jeu "Imagana" , le premier « serious game » dédié à la lutte contre l’illettrisme. Il s’agit d’un jeu virtuel qui combine un but pédagogique sérieux avec un ressort ludique.  

Tout au long de l'année, présentation du MEDEF  au sein de différents établissements scolaires, universitaires. ( Une entreprise, comment ça marche? le medef c'est quoi?le paritarisme c'est quoi?etc.) Invitation  aux  étudiants à participer  à l'AG du MEDEF et aux rencontres mensuelles des chefs d'entreprises  ( 1 à 3 fois /an, selon le thème de la rencontre)

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA (à ce jour 33 mini‐entreprises engagées )

MEDEF CORSE

MEDEF CHAMPAGNE‐ARDENNE

MEDEF FRANCHE‐COMTE

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MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

Medef 95 : 20 novembre : stage des enseignants en entreprise : RELLUMIX, BROTHER, BERNARD CONTROLS INTERNATIONAL, CEFIVAL, SITOUR, CEDRE, CREDIT AGRICOLE, SEETE (groupe BARRIERE), BNP, LE JOINT FRANÇAIS/HUTCHINSON, 3M, ATOS, GIVAUDAN.                                                                                                                                                                               Vendredi 21  novembre ‐ Lycée Professionnel des Métiers de l’automobile et des transports – Château d’Epluches – 95310 St Ouen L’Aumône : 2 tables rondes sur le thème : "Innovation, numérique, ouverture internationale : quelle entreprise en 2020 ?"Medef 75 :  18 novembre  : Conférence « innovation et ouverture internationale, l’exemple d’Hermès » le 20 novembre organisé par le Comité Colbert ‐ Découverte des métiers de l’hôtellerie et de la restauration pour les jeunes handicapés Medef 77 : 38 mini entreprises et 14 parrains en seine et marne. Participation de 10 chefs d'entreprises aux soutenances des rapports de stage lycée benjamin francklin ‐ La Rochette en avril, château de Vaux le vicomte. 25 novembre : matinée rencontre chefs de travaux, enseignant, lycéen et chef d'entreprises, lycée Jacques Prévert de Combs‐la‐Ville. Opération Synergie : 5 entreprises de secteur différents sur coulommiers ont assuré la promotion de leurs métiers dans 5 lycée professionnel du territoire.

Medef 94 : Le Bourget ‐ le 26 novembre ‐ 4 classes de première et terminale de 4 lycées visiteront 4 entreprises liées au domaine de l'aéronautique. 4 intervenants leur présenteront les métiers du secteur.Ouverture SEE: les métiers qui recrutent ‐ lacampagne et le site beau travail du MEDEF ‐ Métiers techniques ‐NTIC et carrières féminines avec CISCO à l'UIMM à Montpellier

Manifestation "Professeurs et entrepreneurs: la rencontre": les métiers en 2020 au Lycée Jules Guesdes à  Montpellier

Les métiers du numérique avec un focus sur les femmes chefs d'entreprise dans les NTIC ‐Perpignan ‐ Lycée Pablo Picasso ‐20 novembre

7 ème carrefour départemental des Lycées à la Halle Saint Jean à Florac 

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA 

Rencontres universités entreprises UM1 : journée "transition vers l'emploi", conférence‐débat et simulation d'entretien prof, journée "cap vers l'emploi"

Transports d'élèves pour des visites d'entreprise, visites de chantier ("les coulisses du bâtiment")

Salon académique de la découverte professionnelle en novembre 2014

Participation aux Olympiades des métiers

MEDEF LORRAINE

Tables rondes et débats organisés par le Medef et le Rectorat le mercredi 19 novembre de 10h à 12h au Lycée Frédéric Chopin de Nancy. Thématiques : l'ouverture internationale/ l'innovation : quelle entreprise en 2020 ?

Concours "Raconte moi l'entreprise" (élèves de 3e et 2nde) : rédaction d'un article de presse suite à une visite d'entreprise ‐ en 2013, 42 articles, 39 collèges et lycées soit 600 jeunes et 20 lauréats

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA : soutien à 20 Mini dans 8 départements

Renforcement des comités locaux EE (15 dans la région)

Manifestation Aéropage avec la société aéroportuaire de Toulouse Blagnac

MEDEF LIMOUSIN

MEDEF MIDI‐PYRENEES

MEDEF ILE‐DE‐France

MEDEF LANGUEDOC‐ROUSSILLON

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 07/11/2014

MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

 Semaine de l'industrie : remise des rix du concours Défi‐vidéo  "Raconte moi l'entreprise"

Semaine école entreprise :  temps fort régional associant le Recteur d'Académie et le Pdt du Medef Régional, "Aire de recherche" avec une université

participation à la nuit de l'orientation organisée par la CCI Grd‐Lille

Euroskills 2014 : olympiades européennes des métiers à Lille.

animation des 6 clubs école / entreprise

sensibilisation des professeurs (250/an) : formation  découverte de l'entreprise et visite en groupe

Championnat régional des 120 Mini‐entreprises EPA , festival de l'initiative

Les "pépites de l'alternance" : Actions de valorisation des périodes en entreprise, l'apprentissage et les stages en valorisant les bonnes pratiques 

Bilan relations EE : Déplacement avec le Recteur dans un collège

Bilan relations EE : Déplacement avec le Recteur dans un collège

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA 

Visites d'entreprise et rencontres avec des chefs d'entreprise en pays choletais et angevin

SEE : Concours photos sur le patrimoine industriel

SEE : Rencontre étudiants 

Formation d'enseignants "rencontre avec l'entreprise"

Jumelage établissement scolaire/entreprise

Vis ma vie, chef d'E et directeurs d'établissement

SEE : classe en entreprise parmi lesquelles MARTIN BROWER : site logistique à Beauvais SAGEB Aéroport de BEAUVAIS TILLE à Beauvais NESTLE GRAND FROID : site de fabrication de glaces à Beauvais EJ PICARDIE : site de fonderie à Saint Crépin Ibouvillers FM LOGISTIQUE : site logistique à Longueuil sainte Marie CEGELEC à Amiens

SEE : Visites d'entreprise et rencontres avec des chefs d'entreprise dans la Somme et dans l'Aisne (entreprises industrielles) ‐ kit pédagogique pour préparer les visites

Championnat régional des Mini‐entreprises EPA : 60 Mini en 2013 ‐ 500 collégiens, lycéens et étudiants

Opération "partageons nos regards" : rencontres entre chefs d'entreprise et universitaires

Championnat régional des Mini‐entreprises et des Start'up EPA 

SEE : salon régional "passerelles enseignants entreprises pour la découverte des métiers" sur une demi journée, présentation des métiers par les branches professionnelles, avec une table ronde sur la restitution de l'action 24heures avec en présence du Recteur de l'académie.Visite d'entreprise pour des élèvesd'une mini‐entreprise  "collège rural" et si possible sur l'un des thèmes "innovation, numérique, ouverture internationale".

MEDEF PACA SEE : Visites d'entreprise et rencontres avec des chefs d'entreprise dans chaque département

MEDEF PAYS DE LA LOIRE

MEDEF PICARDIE

MEDEF NORD‐PAS‐DE‐CALAIS

MEDEF POITOU CHARENTES

4/6

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 07/11/2014

MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

Stages "Connaissance de l'entreprise" : immersion (2 ou 3 jours) dans l'entreprise pour un public divers (Enseignants, Conseillers d'Orientation Psychologues, Inspecteurs, personnels de structures d'insertion) ‐ en amont, un temps de préparation et en aval, un temps de restitution et d'explotation de l'immersionAction de réciprocités : Un chef d’établissement accueille des chefs d’entreprise durant une demi‐journée. Ces rencontres privilégient les échanges à la fois avec les équipes pédagogiques et avec les élèves (la plupart de ces actions de réciprocités ont lieu durant la SEE 2014)Journée thématique : une journée par académie à destination en priorité des Conseillers d'Orientation Psychologues et ouverte également aux enseignants, Documentalistes, CPE et chefs d’établissement. Sur un thème choisi, la journée s'organise en 3 temps : sur la matinée, ouverture sur un thème connexe au thème choisi, intervention des branches professionnelles sur le thème choisi, l'après‐midi, visites d'entreprises liées au thème choisi. Exemple 2014 : "Les mériers méconnus qui recrutent", thème connexe "Les métiers de demain", présentation du site "Beautravail.org" avec exemples de clips, branches professionnelles présentes : Carrières et Matériaux, Fédération Française du Bâtiment, Syntec Numérique, Fédération des Industries Mécaniques

Rencontres‐débats : organisées par le MEDEF territorial, sur une thème donné, rencontres de professionnels et de chefs d'établissement quelquefois sous forme de petits‐déjeuners

Club DP3 : Les chargés de mission MEDEF territorial, en collaboration avec des représentants de l’Education Nationale (dont le directeur de CIO), mettent en place, de manière progressive et en fonction de la demande des intéressés, des clubs DP3 sur les bassins. Chaque bassin décide de ses propres modalités d’organisation.

Cap'Métiers : Dans le cadre du Parcours de Découverte des Métiers et des Formations (PDMF) pour les élèves de 5ème,  un professionnel intervient devant une classe  pour faire découvrir son métier et l'environnement dans lequel il s'exerce. Cet échange, qui est préparé en amont par les élèves et leur professeur, se poursuit par  la réalisation collective d’une affiche représentant le métier du professionnel. Mondial des métiers : pendant 4 jours, sur un stand "Rendez‐vous dans l'entreprise", un espace jeu "ChocoFactory" avec un animateur pour faire découvrir l'entreprise au travers de 12 domaines de métiers où les élèves inscrits par leurs enseignants viennent, jouer par session de 30 minutes (près de 1000 participants en février 2014) et un espace Témoignages où des professionnels rencontrent les visiteurs pour échanger sur leur métier, leur parcours de formation et leur parcours professionnel (professionnels des métiers transversaux : Marketing, Communication, Commercial, Comptabilité‐Finance, Ressources Humaines, Qualité‐Sécurité‐Environnement, Direction d’entreprise, Recherche et Développement, Juridique) ‐ En février 2014 : 922 rencontres sur les 4 jours

Concours de l'innovation "créateurs d'idées" : élèves et étudiants de 2nde de lycée général et technologique, de 2nde de lycée professionnel et de 1ère année  de BTS / élaborer un projet de service ou de produit innovant réalisable dans les 5 ans /finale et remise des prix dans le cadre du Mondial des métiersSemaine École Entreprise :  Un évènement est organisé, dans un lycée choisi sur chaque département de la région Rhône‐Alpe, avec 1 évènement par ½ journée, la semaine se déroule avec 7 évènements phare sur l'ensemble de la région Rhône‐Alpes. Des lycées de Rhône‐Alpes participent activement à l'organisation de cette Semaine Ecole Entreprise avec des élèves BTS Communication et des élèves BTS Audiovisuel. Une cérémonie de clôture de la Semaine Ecole Entreprise 2014 en Rhône‐Alpes se déroule la semaine suivante avec les groupes de lycéens présentant l'action qui s'est déroulée dans leurs établissements suivis d'une table‐ronde avec les partenaires et deux professionnels sur le thème de l'année.

MEDEF GUADELOUPE

Focus sur Les métiers du secteur sanitaire et social : Expo sur les métiers, conférence et visite d'entreprises

Visites d'entreprises : ex : Novotel, Guyane Automobiles, Carrefour, Dog security.

Interventions de chefs d'entreprise issus de 7 secteurs d'activité.

MEDEF MARTINIQUE

SEE : 4 temps forts sur innovation et numérique :"l'Eco‐construction" (maquettes numériques en architecture du pont du Prêcheur), journée de l'innovation, la "caravane de l'innovation" (concours, visites d'entreprises innovantes dont thématiques design et robotique), journée sur l'agro industrie et l'agro transformation.  

MEDEF RHÔNE‐ALPES

MEDEF GUYANE

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 07/11/2014

MEDEF REGIONAUX ACTIONS SEE et ACTIONS EE en 2014

SEE : 30 sessions Quizz (15 collèges et 15 lycées 30 sessions « quiz », destinées aux élèves de 3ème et 2nde de 15 collèges et 15 lycées (+ de 1500 élèves). Chaque quiz sera animé par un binôme de chefs d’entreprise, en partenariat avec le professeur référent, pendant une session de 1h30.SEE :Circuit découverte de filières à La Réunion – du 17 au 21 novembre 2014 – sur toute l’île : A destination des enseignants de lycée et de BTS, des « circuits » pédagogiques d’une demi‐journée seront organisés. Ils permettront de sensibiliser les enseignants aux défis économiques de La Réunion.SEE : Conférence « La créativité au coeur des apprentissages » ‐ Mercredi 19 novembre 2014 de 9h à 12h au Cinépalmes à Sainte‐Marie : La conférence « La créativité au coeur des apprentissages », sera articulée autour du témoignage de 3 chefs d’entreprises innovantes et l’intervention d’une conférencière spécialiste del’innovation, Delphine EVESQUE. Les chefs d’entreprise partageront leurs parcours avec 650 élèves invités (Post Bac) et répondront aux questions des participants. L'objectif est de sensibiliser les jeunes à la nécessité d'être créatif dans sa vie, son parcours, sa manière d'appréhender les choses, de façon à stimuler son esprit d'entreprendre.

SEE : L’école de l’entreprise ‐ du 17 au 21 novembre 2014 – sur toute l’île : 4 binômes de chefs d’entreprise animeront un serious game, selon la méthode initiée par Paul MARTINEL, afin de sensibiliser les collégiens et lycéens, en classe de 3ème et 2nde, au fonctionnement d’une entreprise.

PREPA’EMBAUCHE (Préparation à l’entretien d’embauche) : 10 binômes, composés chacun d’un chef d’entreprise et d’un professionnel du recrutement, se déplaceront pour rencontrer des élèves de baccalauréat professionnel gestion et administration. Chaque élève présentera pendant 10 min son parcours et son projet professionnel. 

Table ronde « La recherche au coeur du développement économique» : La recherche, pour le développement économique, représente un atout pour La Réunion. Toutefois, celle‐ci n'est pas exploitée de manière optimale. Aussi, l'objectif de cette table ronde est de mettre en contact des chercheurs et des chefsd'entreprise afin d'orienter les sujets de recherches en fonction des besoins économiques. 

MEDEF REUNION

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MEDEF  Actu-­‐Eco  semaine  du  16  au  20  juin  2014 1  

                           

     

♦ Les   kits   «  Beau  Travail  !  »  :   un   levier   pédagogique  à   la  découverte  des  métiers    1. Les   clips   «   Beau   Travail  !   »   présentent   des   témoignages   de   salariés   sur   le  

métier   qu’ils   exercent.   Filmés   dans   leur   environnement   professionnel,   ils  racontent  leur  parcours,   leurs  activités  au  quotidien  et  les  satisfactions  qu’ils  en  tirent.  

 Les  115  épisodes  mettent  en  lumière  des  métiers  en  tension,  c’est-­‐à-­‐dire  des  métiers  qui  embauchent,  mais  qui  peinent  à  trouver  des  candidats.  En   une   minute,   «   Beau   Travail  !   »   permet   ainsi   de   découvrir   les   qualités  personnelles   et   professionnelles   requises   pour   exercer   un   métier   et   les  formations   pour   y   accéder.   Tous   les   métiers   présentés   sont   accessibles   via  une  formation  en  alternance.  

 2. Pour  faciliter   les  échanges  avec  les  élèves,   les  guides  «  Beau  Travail  !  »  sont  

regroupés  par  grandes  thématiques  professionnelles.      

Page 12: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

2  

Sont  d’ores  et  déjà  disponibles  :  -­‐  Les  Métiers  de  l’Industrie,  -­‐  Les  Métiers  de  la  Vente.   On  y  trouve  des  informations  clés  sur  les  secteurs  d’activités,  les  idées  reçues,  le   détail   des  métiers   présentés   et   des   tests   à   distribuer   afin   de   préparer   le  parcours   d’orientation   des   élèves.   L’ensemble   de   ces   informations   est  synthétisé   dans   les   fiches   métiers.   Pour   chacune,   une   question   clé   permet  d’approfondir  la  compréhension  de  chaque  métier.  

 L’utilisation   des   guides   est   complété   par   les   épisodes   d’une   minute  disponibles  sur  www.beautravail.org.  

 Ces   kits   ont   vocation   à   servir   de   supports   lors   des   séquences   pédagogiques  spécifiques   qui   seront   par   exemple   mises   en   place   dans   le   cadre   du   Parcours  individuel  d’information,  d’orientation  et  de  découverte  du  monde  économique  et  professionnel  (PIIODMEP)  de  la  6e  à  la  3e  (découverte  des  métiers,  préparation  des  visites   d’entreprises   et   des   stages   de   3e,   etc.),   mais   aussi   au   sein   des   dispositifs  d’accompagnement  des  décrocheurs  scolaires.      

 

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Le MEDEF et son réseau se mobilisent pour la formation et l'emploi

Page 14: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

32

Edito

Pourquoi parrainer les programmes courts de France Télévisions surles emplois non pourvus et les formations ?

Tout simplement parce que l’emploi estau cœur de l’action du MEDEF : l’ambitionque nous portons de créer « 1 milliond’emplois » en 5 ans en atteste. Or, il existeaujourd’hui dans notre pays 400 000 emploisnon pourvus : se mobiliser pour permettrede réduire ce nombre fait partie des actionsqui nous ont semblé indispensables.

Ainsi, 115 métiers en attente de recrutement seront présentés au fil desmois sur les chaînes de France Télévisions. Ce programme sera relayé parun site internet dédié permettant d’approfondir les informations, de trouverles formations possibles, de consulter des offres d’emplois pertinentes…

Cette mobilisation concrète, opérationnelle, et, nous l’espérons, efficace,est désormais la marque de fabrique du MEDEF. Au-delà des discussions quenous avons avec le gouvernement et les partenaires sociaux sur le Pacte deresponsabilité, nous agissons opérationnellement pour le développement denos entreprises, donc de l’emploi dans notre pays.

Développer l’alternance, travailler sur l’orientation, rapprocher l’écolede l’entreprise, favoriser l’entrepreneuriat, permettre le droit au rebond…Les thèmes ne manquent pas, les idées non plus. Il nous faut désormaisavancer de manière concrète.

La situation ne permet plus d’attendre.

Pierre Gattaz,Président du MEDEF

55:01:49:11SP REC

R 37:41

08:21:37:17

SPREC

R 31:05

25:16:09:43SPREC

R 12:54

41:56:09:19SPREC

R 45:21

01:36:23:00

SPREC

R 07:23

Valérie, 47 ans, Aide Compta

ble

Philippe, 35 ans, Coordinateur de production

Paolo, 30 ans, Chef de

vente

Cyril, 28 ans,

Poissonnier

Karine, 46 ans, Yield manager

« L’emploi est aucoeur de l’action

du MEDEF »

Page 15: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

L’Observatoire TEC du MEDEF rép

ond

à 2 objectifs :

• Permettre une meilleure connaissance

réciproque des besoins des entre-

prises et des attentes des jeunes, des

demandeurs d’emploi et des salariés

en mobilité.

• Fournir, au niveau régional des infor-

mations sur les secteurs qui recrutent,

les métiers d’avenir et les formations

qui y mènent.

54

Le programme « »Présenté par les chaînes du groupe France Télévisions France 2 etFrance 3, ce programme propose des témoignages de salariés, jeunes oumoins jeunes, sur le métier qu’ils exercent. Filmés dans leur environnementprofessionnel, ils racontent leurs activités au quotidien et les satisfactionsqu’ils en tirent. Leur parcours et la formation pour accéder à chaque métiersont mis en avant. Tous les métiers présentés sont accessibles via uneformation en alternance.

La réalisation de 115 programmes courts parrainés par le MEDEF aété possible grâce à l’implication des entreprises adhérentes du MEDEF.Elles ont accepté d’y consacrer du temps, de libérer leurs salariés pourqu’ils témoignent. Les fédérations professionnelles et les MEDEF territoriauxont incité les entreprises à participer à ces programmes courts et ontconfirmé les métiers actuellement les plus recherchés.

L’observatoire TEC du MEDEF a contribué à identifier pour chaque métierles recrutements en cours et le nombre d’emplois non pourvus.

Le MEDEF regroupe• 79 fédérations professionnelles• 101 MEDEF territoriaux• 22 MEDEF régionaux• 9 MEDEF d’Outre-Mer• 10 membres associés• 1 membre partenaire

Des salariésracontent leur métier

29:36:08:51

SPREC

R 54:31

32:03:58:16

SPRECR 21:56

32:12:48:05SPREC

R 06:39

10:03:56:28SPREC

R 49:09

18:09:21:54SP REC

R 39:20

Romuald, 25 ans, Monteur en charpente métallique

Florence, 48 ans, Con

seillère en vente dire

cte

Christina, 29 ans, A

gent machiniste

Charlotte, 28 ans, Dessinateur pr

ojeteur

François, 27 ans, Responsable de program

me Immobilier

Le Medef et PÔle emploi : mobilisés ensemble

pour l'emploiPour chaque métier présenté, les offres d’emploi

proposées par Pôle emploi sont disponibles

sur le site web www.beautravail.org

Page 16: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

76

Pourquoi l’alternance ?L’entreprise parie sur la jeunesse et l’expérience. Pour les jeunes en formationpar alternance, un double objectif et une double motivation : obtenir un diplômeou une qualification et exercer un métier.

Deux outils pour un dispositif gagnant-gagnant :

Le contrat d’apprentissage est un contrat de travail conclu pour une duréede 1 an à 3 ans (4 ans pour les jeunes handicapés).

Il concerne les jeunes de 15 à 25 ans et leur confère un statut de salarié, avecles droits et obligations qui s’y rapportent (salaire, couverture sociale, congés,retraite...).

Le contrat de professionnalisation permet à un salarié de suivre une formationen alternance sur mesure afin de réussir son insertion professionnelle etd’acquérir une qualification.

Il concerne les jeunes de 16 à 25 ans, les demandeurs d’emploi âgés de 26 anset plus sans qualification, ou qui doivent compléter leur formation.

Des liens sur des fiches descriptives du

métier, ses conditions d’exercice et des

informations complémentaires fournies

par les fédérations professionnelles

concernées.

La video diffusée la veille au soirdisponible chaque jour. Au total 115vidéos pour décrire des situationsprofessionnelles variées dans dessecteurs d’activité différents.

A partir des propos exprimés par lessalariés, les caractéristiquesessentielles de chaque métier.Qualités professionnelles ou person-nelles indispensables pour un beautravail.

Des parcours de formation en

alternancepour accéder à ce métier

et des liens vers les présentations des

principaux titres ou diplômes utiles.

Infos et offres d’emploi : www.beautravail.org

En partenariat avec

des liens vers des offresd'emploi correspondant àchaque métier présenté.

Page 17: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

8 55 avenue Bosquet, Paris 7ème

linkedin.com/company/medef

@BeauTravailTV

Beau Travail TV

www.beautravail.org

Page 18: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

Le MEDEF et son réseau se mobilisent pour la formation et l’emploi

Les Métiers de l’Industrie

Page 19: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

2

01:36:23:00

SP RECR 07:23

Philippe, 35 ans, Coordinateur de production

41:56:09:19SP REC

R 45:21

Romain, 25 ans, Dessinateur en mécanique

10:03:56:28SP RECR 49:09

Nathalie, 39 ans, Acheteur industriel

25:16:09:43SPREC

R 12:54

Arthur, 27 ans, Technicien d’exploitation

29:36:08:51SP REC

R 54:31

Alexandre, 39 ans, Conducteur de ligne de production

08:21:37:17

SP RECR 31:05

Thomas, 25 ans, Technicien de maintenance

2

Découvrez leurs témoignages en vidéo sur

www.beautravail.org

Page 20: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

3

Édito

Les clips « Beau travail » présentent des témoignages de salariés sur le métier qu’ils exercent. Filmés dans leur environnement professionnel, ils racontent leur parcours, leurs activités au quotidien et les satisfactions

qu’ils en tirent.

Les 115 épisodes mettent en lumière des métiers en tension, c’est-à-dire des métiers qui embauchent, mais qui peinent à trouver des candidats. En une minute, « Beau travail » permet ainsi de découvrir les qualités personnelles et professionnelles requises pour exercer un métier et les formations pour y accéder. Tous les métiers présentés sont accessibles via une formation en alternance.

Pour faciliter les échanges avec les élèves, les guides « Beau Travail » sont regroupés par grande thématique professionnelle. Vous y trouverez des informations clés sur les secteurs d’activités, les idées reçues, le détail des métiers présentés mais aussi des tests à distribuer pour préparer le parcours d’orientation des élèves. L’ensemble des informations est synthétisé dans les fiches métiers. Vous y retrouverez une question clé à poser pour approfondir la compréhension de chaque métier.

La séquence s’appuie sur la diffusion des épisodes d’une minute que vous trouverez sur www.beautravail.org.

Ainsi constitués, ces kits ont vocation à vous servir de supports lors des séquences spécifiques qui seront par exemple mises en place dans le cadre du Parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel (PIIODMEP) de la 6e à la 3e (découverte des métiers, préparation des visites d’entreprises et des stages de 3e …) mais aussi au sein des dispositifs d’accompagnement des décrocheurs scolaires.

Bien connaitre les métiers pour

bien choisir

Page 21: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

4

Connaissez-vous vraiment les métiers de l’industrie ?Quand on vous dit « industrie », vous faites la moue et pensez immédia-tement à des usines aux hautes cheminées fumantes. Mais l’industrie a bien changé ! Vérifiez ici vos connaissances et profitez-en pour tordre le cou à certaines idées reçues qui ont la dent dure…

Travailler dans l’industrie, c’est forcément travailler à l’usine

FAUX ! Les ateliers de production sont aujourd’hui de vrais bijoux de haute technologie et de précision. Si l’usine représente toujours une part importante de l’industrie, elle n’est pas la seule plateforme sur laquelle travaillent les professionnels du secteur. Par exemple, les techniciens et ingénieurs passent une bonne partie de leur temps dans des bureaux d’études et laboratoires, tandis que les commerciaux et certains professionnels aux compétences très techniques partent en déplacement notamment sur des chantiers étrangers.

Les usines ferment les unes après les autres, il n’y a plus d’emploi dans l’industrie en France

FAUX ! Loin des exemples mis en avant dans les médias, de nombreuses entreprises industrielles françaises sont en manque de personnel. Les besoins de recrutement dans le secteur sont ainsi estimés à 100 000 personnes par an sur les cinq prochaines années. Un chiffre qui s’explique par de nombreux départs à la retraite mais aussi un besoin de compétences nouvelles dues aux évolutions technologiques. Les industries sont d’ailleurs en manque de certains profils ultra spécialisés.

L’industrie est un secteur d’hommes

FAUX ! La parité n’existe pas encore dans le secteur de l’industrie, mais les femmes ne sont pas pour autant exclues. Elles représentent actuellement 28 % de l’emploi industriel, un chiffre qui croît progressivement. On les retrouve notamment dans les emplois qualifiés. Une tendance qui devrait évoluer avec la démocratisation de la gente féminine dans les écoles d’ingénieurs !

Page 22: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

5

On ne trouve que des métiers manuels dans l’industrie

NI VRAI NI FAUX ! Pour travailler dans ce secteur, il faut certes savoir retrousser ses manches mais pas seulement… Avec l’automatisation des machines et l’omniprésence de l’informatique, il faut aussi faire appel à ses cellules grises ! Les ingénieurs et techniciens passent une bonne partie de leur temps de travail devant les ordinateurs, à manager une équipe ou bien à analyser des prélèvements.

L’industrie est un secteur vieillissant

FAUX ! Au contraire, l’innovation est le moteur des entreprises du secteur qui cherchent avant tout à se différencier et à conquérir de nouveaux marchés. L’industrie française est d’ailleurs l’une des plus dynamiques au monde en matière de Recherche et Développement (R&D).

Travailler dans l’industrie impose des horaires contraignants

PAS FAUX MAIS… Certaines industries nécessitent un fonctionnement 24h/24h. Cela amène les salariés à travailler de jour comme de nuit. De même, lors de gros projets, les ingénieurs et commerciaux peuvent être en déplacement ou avoir des journées de travail plutôt longues. Néanmoins, tous obtiennent en contrepartie des jours de récupération.

Dans l’industrie, on est mal payé

FAUX ! Avec un salaire moyen de 35 250 € bruts par an, la rémunération des salariés dans l’industrie est 14 % plus élevée que la moyenne nationale. De même, les entreprises industrielles ont mis au point des dispositifs qui influent sur la motivation des employés : primes d’intéressement, participation aux résultats, etc.

L’industrie, c’est pour les mauvais élèves ou ceux ayant fait peu d’études

FAUX ! Les entreprises industrielles proposent des postes à tous les niveaux de formation et recherchent plus particulièrement du personnel qualifié. En 25 ans, le nombre d’ingénieurs et de cadres a doublé tandis que le nombre d’ouvriers non qualifiés a chuté de moitié. Du CAP au bac+5, chacun peut trouver sa place dans l’industrie d’aujourd’hui !

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6

L’industrie sur tous les frontsQuel est le point commun entre une voiture, une paire de lunettes, un skateboard et un téléphone ? Ces objets du quotidien ont tous été conçus en partie par les industries technologiques. Petit tour d’horizon sur ce secteur si vaste et pourtant peu connu.

Si la France est un pays majoritairement tertiaire, le secteur industriel n’a pas dit son dernier mot ! Avec 11 % du PIB français, les industries ont pourtant une place de choix sur le marché mondial et misent sur une innovation constante pour inventer les produits du futur.

L’industrie française : une réputation mondiale

Vêtements, cosmétique, nourriture, transport, téléphone…

L’ industrie se cache dans tous les éléments de notre quotidien sans que l’on s’en aperçoive. Il suffit pourtant d’ouvrir son frigo pour découvrir de nombreux produits issus de l’industrie. L’agroalimentaire est d’ailleurs le premier secteur industriel français. La qualité des produits agricoles et ceux des industries agroalimentaires placent ainsi la France au rang de premier exportateur de l’Union Européenne. Autre secteur

> 100 000 postes à pourvoir chaque année pendant les cinq prochaines années

> 139 nouvelles usines en 2014 contre 90 en 2013

> Le secteur industriel technologique c’est :

43 000 entreprises et 1,5 millions de salariés

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7

L’industrie, un secteur aussi vaste que notre quotidien

L’industrie, berceau de l’innovation

Face à la concurrence de plus en plus nombreuse et aux nouveaux défis de demain, l’industrie française doit savoir se différencier et conquérir de nouveaux marchés. Comment réussir à nourrir 7 milliards de personnes tout en préservant l’équilibre de la planète ? Comment toujours améliorer notre quotidien ? Outre le pilotage des lignes de production, c’est également des chercheurs et des ingénieurs qui développent de nouvelles technologies et créent de nouveaux

dans lequel l’Hexagone se distingue : l’aéronautique et spatial. Secteur de pointe de l’industrie française, il est connu notamment grâce aux géants de l’industrie (comme EADS, Airbus ou Dassault Aviation) et est classé au 1er rang européen et 2e rang mondial juste derrière les États-Unis. Dans le secteur de l’énergie, notre pays bénéficie du 1er parc nucléaire et du 2e gisement éolien d’Europe sans oublier les autres énergies renouvelables. Enfin, avec plusieurs records de vitesse mondiaux grâce au TGV, l’industrie ferroviaire française est issue d’une tradition d’excellence et est leader mondial depuis 30 ans.

Les métiers de

l’industrie

Agroalimentaire

MétallurgieÉlectrique, électronique,

numérique et informatique

Équipements énergétiques

Ferroviaire

Naval

Aéronautique et spatial

Mécanique

Automobile

Textile

Chimie, pharmacie, cosmétiques

Page 25: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

8

produits, faisant du secteur français l’un des plus dynamiques au monde en matière de Recherche et Développement (R&D). L’un des enjeux majeurs de ces chercheurs est le développement durable. L’objectif : réduire l’impact environnemental des produits à chaque étape de leur vie, que ce soit lors de la fabrication, de leur utilisation ou du recyclage. Par exemple, il est possible aujourd’hui de recycler une voiture à plus de 90 %.

L’industrie recrute à tous les niveaux de diplômes !

Ces nouveaux enjeux de l’industrie alliés à un départ massif à la retraite nécessitent le recrutement de nouveaux profils aux niveaux de qualification variés, allant du CAP au diplôme d’ingénieur bac+5.

Il y a donc du travail dans le secteur industriel français !100 000 recrutements sont ainsi prévus chaque année pendant les cinq prochaines années. L’un des moyens les plus en vogue pour intégrer une entreprise est l’alternance : près de 38 000 jeunes sont formés chaque année de cette manière dans ce secteur.

Le cycle de vie d’un produit industriel.

Explication : Avant d’arriver sur vos oreilles, le casque audio n’a pas seulement fait un tour dans une usine. La fabrication de cet appareil, comme tous les produits industriels, passe par de nombreuses autres étapes, faisant appel à différents corps de métiers.

Commercialisation8

Essais5

CYCLE DE VIE

D’UN PRODUIT INDUSTRIEL

L’étude du marché pour comprendre les besoins

des consommateurs

La proposition d’idée

Recyclage

Fabrication d’un prototype

Production en usineÉlaboration d’une

stratégie commerciale

1 2

9

4

76

Fabrication d’un

La Recherche et Développement

pour savoir s’il faut créer un nouveau produit

ou améliorer un déjà existant

3

Page 26: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

9

Êtes-vous fait pour les métiers de l’industrie ?C’est le moment de vérifier si votre personnalité est compatible avec l’exercice d’une profession dans l’industrie !

Attention, le résultat dépend de l’honnêteté de vos réponses. Répondez le plus sincèrement possible, en choisissant ce qui vous ressemble le plus, en général.

Travailler à l’international, pour vous :

1. C’est mon premier critère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. C’est un plus ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Ce n’est pas ça qui me motive dans la vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Participer à des projets ambitieux, pour vous :

1. Cela dépend du projet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Je préfère travailler sur de petits projets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. C’est très intéressant ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Travailler avec des personnes expertes dans leur domaine, pour vous c’est :

1. Un milieu de travail propice à de grandes idées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Difficile à gérer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Sûrement intéressant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Quelle phrase vous correspond le mieux ?

1. J’aimerais améliorer les choses pour qu’elles fonctionnent de façon optimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. J’aimerais apprendre à travailler d’une façon qui a prouvé son efficacité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. J’aimerais improviser la plupart du temps et faire confiance à mon instinct . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

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Êtes-vous fait pour les métiers de l’industrie ?

Le progrès technologique, pour vous c’est :

1. Intéressant, c’est pratique d’avoir de nouvelles technologies à son service . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Quelque chose de fascinant, dont j’aimerais être acteur . . . . . . . . . . . . . . . . 2

3. Inquiétant, où est-ce que tout ce progrès va nous mener ? . . . . . . . . . . . 0

Travailler dans une équipe comprenant des personnesde nationalités et de métiers très variés, c’est :

1. Un challenge que j’aimerais relever . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Intéressant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Pas très intéressant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Appréciez-vous d’apprendre comment fonctionnent les choses ?

1. Cela me fatigue, je n’en vois pas l’intérêt. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. C’est tout de même utile de le savoir, ça permet de dépanner . . . . . . 1

3. J’adore, je cherche toujours à comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Les machines et les véhicules de grande taille, comme des avions, des trains, ou des turbines :

1. C’est très impressionnant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. J’adorerais en conduire ou en manœuvrer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

3. Cela ne me fait aucun effet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Créer des outils et des produits que tout le monde utilise, pour vous, c’est :

1. Un objectif intéressant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Cela ne me fait ni chaud ni froid . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Une façon d’être utile à la société . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

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11

Généralement, les sciences (comme la biologie, la physique, la chimie), cela :

1. Me passionne ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. M’intéresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. M’ennuie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Les sciences nouvelles (Nouvelles énergies, énergies renouvelables, nanotechnologies, biotechnologies, robotique) :

1. Je n’y connais rien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. j’aimerais en apprendre plus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Ce serait super de travailler dans ce secteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Lors d’une discussion, pour vous laisser convaincre, vous préférez :

1. Qu’on me présente les choses d’une façon personnelle . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Qu’on en appelle à mes sentiments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Qu’on me propose des arguments rationnels et raisonnés . . . . . . . . . . . . 2

La possibilité d’avoir un travail en extérieur ou physique :

1. Cela ne me dérange pas, tant que ce n’est pas tout le temps . . . . . . . . 1

2. Cela ne m’attire pas du tout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Cela m’intéresse beaucoup . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Faire en sorte que le travail soit bien fait, notamment en vérifiant qu’il est conforme à ce qui est attendu :

1. Cela m’attire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. C’est nécessaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Les normes et les règles, ce n’est pas pour moi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Êtes-vous fait pour les métiers de l’industrie ?

Page 29: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Résultats Êtes-vous prêt pour un métier de l’industrie ?

Vous avez obtenu entre 0 et 8 points : D’après vos réponses, la perspective de travailler dans l’industrie ne vous attire pas plus que cela. Pourtant savez-vous que l’industrie, c’est plus de 3,8 millions d’employés en France, de nombreuses opportunités d’emplois et des milliers de métiers différents ? Ce livret devrait vous faire découvrir des facettes de l’industrie qui vous sont sûrement inconnues…

Vous avez obtenu entre 9 et 19 points :Certains métiers dans l’industrie peuvent vous convenir, mais cela nécessiterait que vous les découvriez plus en détails. La lecture attentive de ce guide pourra peut-être vous faire découvrir des métiers que vous ne connaissiez pas, et qui sait, peut-être l’un d’entre eux sera le vôtre ?

Vous avez obtenu entre 20 et 28 points :D’après vos réponses, vous semblez avoir les qualités et la motivation nécessaires pour travailler dans l’industrie et vous y épanouir pleinement ! N’hésitez surtout pas à vous renseigner en profondeur sur la diversité des métiers et des secteurs que rassemblent les différentes industries, pour trouver lesquels vous correspondront le mieux !

Page 30: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Des métiers à découvrir de toute urgence !Le secteur de l’industrie est l’un des plus importants en France.Voici une liste des principaux métiers de ce domaine. Ils recrutent tous sans exception et permettent d’évoluer dans des secteurs variés.

Commencer en tant que technicien de maintenance sur une chaîne de production qui fabrique de la pâte à tartiner et finir sa carrière en tant que responsable de production dans une entreprise de montage de véhicules de luxe… c’est possible !

Conducteur de ligne de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 14

Électronicien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 15

Responsable d’atelier de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 16

Technicien de maintenance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 17

Technicien qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 18

Technicien d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 19

Coordinateur de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 20

Acheteur industriel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 21

Dessinateur en mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 22

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Conducteur de ligne de production◆ Ses missions principales

La fève de cacao ne se métamorphose pas toute seule en chocolat ! Avant qu’elle n’arrive dans notre bouche, la matière première a subi tout un processus de transformation. C’est ce que l’on appelle la ligne de production. Cet ensemble de machines automatisées est sous la gestion du conducteur de ligne. Ce dernier est en charge de la coordination et de la régulation de toutes les étapes de fabrication.

Il travaille avec une équipe d’opérateurs de production et de conducteurs de machine de production. Présent à chaque étape, il s’assure du bon déroulement de la fabrication en respectant certaines contraintes : le délai imparti, le coût de la production et le respect des règles de qualité, d’hygiène, de sécurité et d’environnement (QHSE). En bout de chaine, il contrôle la qualité du produit fini. Il est également en charge de l’approvisionnement en matière première et en emballage. Enfin, il assure la maintenance de premier niveau des machines.

◆ Les compétences requises

- Connaissances techniques

- Maîtrise des normes d’hygiène et de qualité

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Il est possible d’exercer ce métier avec un diplôme niveau bac comme le Bac Pro Pilote de ligne de production. Le bac+2, à l’instar du BTS Contrôle industriel et régulation automatique ou le BTSA Sciences et technologies des aliments, est très demandé surtout pour une évolution de carrière plus rapide.

Ses qualités ?Être vigilant, organisé,

réactif, rigoureux et posséder

un bon sens relationnel

Vous sentez-vous capable d’être totalement responsable de la bonne transformation d’un produit ?

Retrouvez le témoignage d’Alexandre, conducteur de ligne de production,sur www.beautravail.org

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Électronicien◆ Ses missions principales

Téléphone, automobile, alarme, four à micro-ondes… L’électronique est partout et le technicien électronicien aussi ! Sa principale tâche consiste à réparer et assurer la maintenance des appareils comprenant des composants électroniques.

À l’aide d’un ordinateur, il repère le dysfonctionnement puis procède si nécessaire au remplacement de la pièce et à la remise en service de l’appareil.

Il peut même assurer une assistance téléphonique. Son travail ne s’arrête pas là. En collaboration avec un ingénieur, l’électronicien peut participer à des activités d’études et, par exemple, concevoir une carte électronique sur commande. Il réalise alors le schéma de la carte, effectue les tests de conformité et rédige les documents de fabrication. Touche finale, il participe à la production de l’appareil en implantant les cartes électroniques et en assure leur raccordement.

◆ Les compétences requises

- Maîtrise des outils de diagnostic et de la programmation informatique

- Polyvalence

- Maîtrise de l’anglais technique

- Aptitudes rédactionnelles pour l’écriture de rapports et notices techniques

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Pour exercer ce métier, il est nécessaire d’être titulaire d’un diplôme niveau bac+2/+3 comme le BTS, le DUT ou la licence professionnelle. Citons comme exemple le BTS Systèmes numériques, le DUT Génie électrique et informatique industrielle et la licence professionnelle Métiers de l’électronique.

Ses qualités ?Bon sens de la déduction, créativité et dynamisme,

aptitude à travailler en équipe.

Votre sens de déduction vous permettrait-il de diagnostiquer une panne ?

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Responsable d’atelier de production◆ Ses missions principales

Le responsable d’atelier supervise et anime une unité de production. Il organise et planifie toutes les activités afin d’atteindre les objectifs en termes de délai, de coûts, de quantité et aussi de qualité tout en respectant les normes de sécurité, d’hygiène et d’environnement. Pour cela, il évolue sur plusieurs tableaux. Il gère les commandes en vérifiant les stocks des matières premières et des produits finis. Il contrôle le fonctionnement des équipements et apporte un appui technique à l’équipe de production. Ses fonctions comportent également un aspect humain important. Le responsable d’atelier de production est avant tout à la tête d’une équipe qu’il gère, coordonne et anime. Il planifie chacune des activités à réaliser. À la fois médiateur et bon manager, en bref, il est responsable de la bonne cohésion de l’équipe, essentielle à la productivité de l’atelier.

◆ Les compétences requises

- Connaissances techniques

- Maîtrise de l’outil informatique

- Pratique de l’anglais technique

- Être réactif et savoir travailler dans l’urgence

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Le responsable d’atelier de production est généralement titulaire d’un diplôme niveau bac+2, comme le BTS Contrôle industriel et régulation automatique (CIRCA) ou le DUT Gestion logistique industrielle et organisation (GLIO). Avec un diplôme de niveau bac, il est également possible d’accéder à ce métier après une expérience professionnelle dans le secteur de plusieurs années.

Ses qualités ?Très bonne organisation,

qualités managériales, esprit d’équipe,

rigueur et minutie.

Êtes-vous capable de gérer à la fois la production d’un produit et une équipe de plusieurs personnes ?

Retrouvez le témoignage de Fanny, responsable d’atelier de production chimie, sur www.beautravail.org

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Technicien de maintenance◆ Ses missions principales

Le technicien de maintenance est en quelque sorte le médecin des machines. Appliquant l’adage « mieux vaut prévenir que guérir », il réalise l’entretien, la maintenance, la mise à niveau et la rénovation mécanique des installations de production industrielle. Son objectif est d’éviter à tout prix une panne qui pourrait arrêter la production et entrainer des coûts supplémentaires.

À cet effet, il transmet son savoir aux opérateurs pour qu’ils puissent effectuer les contrôles de routine et prévenir de grosses pannes compliquées. En cas de problème, le technicien doit intervenir très rapidement. Grâce à l’aide informatique, il peut réaliser un diagnostic et effectuer les réparations nécessaires pour la remise en service de l’appareil. Enfin, quand il ne « soigne » pas, le technicien cherche à optimiser la production. À l’affût des évolutions technologiques, il conçoit et propose des améliorations pour plus de sécurité et de performances de la machine.

◆ Les compétences requises

- Connaissances en pneumatique, électricité, hydraulique et mécanique

- Doué en informatique

- Veille technologique

- Travail en équipe

◆ Quelle(s) formation(s) ?

La plupart des techniciens de maintenance sont titulaires d’un bac+2. Notons par exemple le BTS Mécanique et automatismes industriels, le BTS Maintenance industrielle ou encore le DUT Génie industriel et maintenance.

Ses qualités ?Accepter de transmettre son savoir, avoir un goût pour la technique, être curieux, à l’écoute, et

savoir s’adapter.

Aimez-vous résoudre des problèmes complexes et empêcher qu’ils ne reviennent ?

Retrouvez le témoignage de Thomas, technicien de maintenance, sur www.beautravail.org

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Technicien qualité◆ Ses missions principales

Comme son nom l’indique, le technicien qualité a pour objectif de garantir la qualité des produits et des services proposés par son entreprise. Son rôle est essentiel pour assurer la conformité et obtenir des certifications et des labels. Pour cela, il intervient dans toutes les étapes de la fabrication jusqu’à la commercialisation. Après avoir établi des documents de contrôles de conformité, de traçabilité et de suivi qualité, il vérifie si ces règles sont respectées.

À partir de mesures et de relevés, il analyse ensuite les données des contrôles. Lorsqu’il identifie des non-conformités ou des écarts, c’est à lui de prendre des mesures correctives ou préventives. Outre sa fonction de contrôleur, il endosse le rôle de pédagogue auprès du personnel afin de le sensibiliser aux normes de qualité, d’hygiène, d’environnement et de sécurité. Enfin, pour optimiser la qualité des produits et des services, il peut apporter des solutions techniques aux opérateurs.

◆ Les compétences requises

- Compétences techniques

- Maîtrise des outils de Conception Fabrication Assistée par Ordinateur (CFAO)

- Maîtrise de l’anglais technique

- Qualités rédactionnelles

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Ce métier est accessible après une formation à bac+2 avec un BTS ou un DUT dans les domaines mécaniques ou électroniques. Il est possible de compléter son parcours dans l’une des nombreuses licences professionnelles dont la qualité est au cœur de la formation, et qui peut concerner des secteurs différents : aéronautique, environnement, etc…

Ses qualités ?Avoir le sens de l’analyse,

être tenace, persuasif et à l’écoute.

Vous sentez-vous suffisamment pointilleux pour repérer la moindre anomalie ?

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Technicien d’exploitation◆ Ses missions principales

Le technicien d’exploitation assure un rôle de maintenance et de traitement de données d’un système ou d’un réseau. Il peut être spécialisé dans un domaine en particulier, comme un réseau de gaz ou bien en eau potable. Il assiste à la mise en place du réseau et en assure ensuite la fiabilité. Surveiller, entretenir et maintenir en état de fonctionnement sont ses maîtres-mots !

En cas d’incident, il doit se montrer le plus réactif possible afin de comprendre ce qu’il se passe. Il effectue un diagnostic et guide l’équipe de maintenance. Une fois le problème résolu, il remet l’usine en route. En surveillant général, il met un point d’honneur à la qualité et au respect des normes, par exemple aux règles d’hygiène dans le domaine de l’assainissement de l’eau ou aux règles de sécurité dans le cadre d’un réseau informatique. Il peut être amené à diriger une équipe.

◆ Les compétences requises

- Compétences techniques dans son domaine d’intervention

- Sens des responsabilités

- Esprit d’équipe et sens de la communication

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Ce métier est accessible avec un diplôme de niveau CAP ou bac dans un secteur technique (BTP, assainissement des eaux, plomberie, gaz, etc.). Pour évoluer plus rapidement vers des fonctions à responsabilités, il est possible de poursuivre ses études jusqu’au BTS/DUT.

Ses qualités ?Savoir être réactif

et garder son sang froid, avoir de la méthode

et de la minutie !

Seriez-vous suffisamment réactif pour intervenir rapidement en cas d’incident technique ?

Vous sentez-vous capable d’être responsable de tout un réseau ?

Retrouvez le témoignage d’Arthur, technicien d’exploitation, sur www.beautravail.org

Page 37: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Coordinateur de production◆ Ses missions principales

Le coordinateur de production est garant du bon fonctionnement d’un atelier. Il organise l’activité d’une ou plusieurs équipes d’opérateurs ou de lignes de transformation des matières premières en produit fini ou en production d’énergie. En fonction de la commande, il sélectionne les machines et outillages adaptés, répartit les activités entre les ateliers et affecte le personnel sur les postes de travail.

Il effectue le suivi de fabrication en respectant les règles de sécurité, d’hygiène et d’environnement ainsi que les impératifs de production tels que la quantité, les délais, la qualité, le coût, etc. Ayant une bonne connaissance des machines, il apporte un appui technique aux équipes de production. Il s’assure du bon fonctionnement des équipements, vérifie les réglages et diagnostique les dysfonctionnements.

◆ Les compétences requises

- Connaissances techniques

- Respect des objectifs

- Qualités managériales

- Maîtrise de l’anglais technique

- Compétences en informatique

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Les coordinateurs de production sont généralement titulaires d’un diplôme de niveau bac à bac+2 dans le domaine de la productique, de la mécanique, des automatismes industriels ou de la conception industrielle. L’accès à ce métier nécessite toutefois quelques années d’expérience professionnelle dans la production.

Ses qualités ?Être organisé,

très rigoureux et savoir travailler en équipe.

Vous sentez-vous capable d’être responsable, de A à Z, de la fabrication d’un produit ?

retrouvez le témoignage de Philippe, coordinateur de production plasturgie, sur www.beautravail.org

Page 38: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Acheteur industriel◆ Ses missions principales

L’acheteur industriel occupe une fonction stratégique dans toutes les entreprises et plus particulièrement dans les industries. D’ailleurs, la moitié des acheteurs travaillent dans ce secteur. Son rôle ? Acheter des produits (matières premières, équipements, énergies, etc.) avec le meilleur rapport qualité/prix. Des économies essentielles qui donnent à l’entreprise une marge de manœuvre pour se développer. Pour cela, l’acheteur industriel travaille en étroite collaboration avec le bureau d’études pour connaître les attentes de son entreprise. Ayant une très bonne connaissance des produits qu’il doit acheter, il part à la recherche des meilleurs fournisseurs puis effectue un gros travail de négociation des prix pour avoir ce qu’il y a de mieux. Le tarif n’est pas le seul critère qui intéresse l’expert, il est aussi pointilleux sur d’autres éléments comme les quantités disponibles et les délais de livraison.

◆ Les compétences requises

- Double compétence technique et commerciale

- Maîtrise de plusieurs langues étrangères

- Sens de la négociation

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Une double compétence technique et commerciale est appréciée par les recruteurs. Ces derniers recherchent des titulaires d’un bac+2 (BTS Management des unités commerciales, BTS Technico-commercial) et plus particulièrement les diplômés d’écoles d’ingénieurs ou de commerce.

Ses qualités ?Excellent sens relationnel,

esprit d’initiative, résistance au stress

Seriez-vous prêt à négocier les prix avec les fournisseurs pour obtenir les meilleurs tarifs ?

Retrouvez le témoignage de Nathalie, acheteur industriel, sur www.beautravail.org

Page 39: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Dessinateur en mécanique◆ Ses missions principales

La fabrication d’un produit ne s’effectue pas à partir de rien. Il est réalisé selon un modèle 3D créé par le dessinateur en mécanique. Les activités de ce dernier se scindent en trois parties. Dans un premier temps, il étudie le cahier des charges et les besoins de son client. Il cherche alors la solution technique la mieux adaptée en terme de coût et de fabrication : formes, matériaux, dimensions, tout y passe !

Il crée ensuite, grâce à la Conception Assistée par Ordinateur (CAO), une image en 3D de chaque pièce qui composera le produit et procède à un assemblage virtuel. Ces différentes images lui permettront d’effectuer plusieurs tests afin de vérifier la fiabilité du projet. Dernière étape, le dessinateur édite sur papier les plans détaillés. La production peut alors démarrer !

◆ Les compétences requises

- Maîtrise de la conception assistée par ordinateur

- Méthodes de calcul

- Connaissances techniques

- Sens de l’organisation

◆ Quelle(s) formation(s) ?

La plupart des dessinateurs en mécanique ont poursuivi leurs études jusqu’au niveau bac+2. Ils sont titulaires d’un BTS ou d’un DUT. Par exemple, le BTS Conception de produits industriels ou le Dut Génie mécanique et productique. Plus marginalement, il est possible d’accéder à ces fonctions avec un bac pro Étude et définition de produits industriels après plusieurs années d’expériences professionnelles.

Ses qualités ?Créativité, rigueur, sens de la communication,

ouverture d’esprit, capacité de synthèse.

Saurez-vous mettre votre créativité et talent artistique au service de la technique ?

Retrouvez le témoignage de Romain, dessinateur en mécanique, sur www.beautravail.org

Page 40: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Bien préparer son stage, c’est 2 fois plus de chances de le réussir !

Faire un stage, c’est une belle occasion de mettre un pied dans l’entreprise et avoir une idée des tâches et des missions qui pourraient vous plaire et correspondre à votre personnalité pour votre future vie active. Le stage reste l’un des meilleurs moyens de savoir ce que l’on a envie de faire ou de ne pas faire. Encore faut-il bien le préparer et se poser les bonnes questions avant, pendant et après.

1 L’entreprise, son histoire, son récit• Qui ? le(s) créateur(s) de l’entreprise (motivations du chef d’entreprise, sa stratégie), une famille,

les évolutions historiques de l’entreprise à travers ses transmissions• Quoi ? les produits, les services fabriqués, la relation avec l’environnement (opportunité

géographique, technique, accès aux matières premières…)• Quand ? date de création et grandes étapes de son évolution• Comment ? les évolutions technologiques (ex : automatisation, robotique, bureautique,

digital…) et la communication (l’évolution des logos et des moyens de communiquer)

2 L’entreprise, ses caractéristiques principales, son identité• Son activité principale et la nature de l’activité

(industrielle, commerciale, artisanale, de service…)• Sa taille (nombre de salariés, implantations…)• Les différents services et postes de l’entreprise et leurs rôles • Les principaux clients ou interlocuteurs

3 Choisir un métier dans l’entreprise et le décrire Quelles sont les tâches, les responsabilités de ce professionnel ? Qu’est-ce qui est attendu de lui ? Quelles sont les aptitudes particulières et les qualités personnelles nécessaires pour exercer cette profession ? Comment organise-t-il son travail (horaires, organisation de son emploi du temps) et les conditions d’exercice du travail (à l’extérieur, dans un bureau, assis, debout, en déplacement) ? Avec qui ce professionnel est-il amené à travailler, au sein de l’entreprise et en dehors de celle-ci ? La personne a-t-elle choisi son métier ? La personne a-t-elle des possibilités de formation continue ? Quelles sont ses évolutions professionnelles possibles ?

4 Mon expérience du stageQuel secteur d’activité de l’entreprise m’intéresse ? Si je pouvais choisir, quel poste aimerais-je occuper ? Le service dans lequel j’ai réalisé mon stage me plaisait-il ? Pourquoi ? Parmi mes missions, lesquelles ai-je préférées ? Pourquoi ? Lesquelles ai-je détestées ? Pourquoi ? Est-ce un métier intéressant ? Si oui ou si non, pourquoi ? Quelles sont mes qualités qui pourraient faire de moi un bon professionnel ? Que faudrait-il que j’améliore ?Quelle est la formation nécessaire (quelles sont les études) pour entrer dans la profession ?

Page 41: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

55 avenue Bosquet, Paris 7ème

ISBN : 978-2-86658-135-0 • Dépôt légal : novembre 2014

linkedin.com/company/medef

@BeauTravailTV

Beau Travail TV

Guide réalisé en partenariat avec

www.beautravail.org

Page 42: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

1

Les Métiers de l’Industrie

Conducteur de ligne de production

http://www.beautravail.org/detail/metier/42-conducteur-de-ligne.html

Responsable d’atelier de production

http://www.beautravail.org/detail/metier/83-responsable-datelier-de-production.html

Technicien de maintenance

http://www.beautravail.org/detail/metier/63-technicien-de-maintenance.html

Technicien d’exploitation

http://www.beautravail.org/detail/metier/62-technicien-dexploitation.html

Coordinateur de production

http://www.beautravail.org/detail/metier/25-coordinateur-de-production.html

Acheteur industriel

http://www.beautravail.org/detail/metier/93-acheteur-industriel.html

Dessinateur en mécanique

http://www.beautravail.org/detail/metier/47-dessinateur-mecanique.html

retrouvez tous ces témoignages en vidéo sur

www.beautravail.org

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Page 43: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

Le MEDEF et son réseau se mobilisent pour la formation et l’emploi

Les Métiers de la Vente

Page 44: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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55:01:49:11SP REC

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Lydia, 23 ans, Commerciale BTP

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SP RECR 07:23

Isaline, 34 ans, Vendeuse en librairie

41:56:09:19SP REC

R 45:21

Florence, 48 ans, Conseillère de vente directe

10:03:56:28SP RECR 49:09

Vincent, 34 ans, Ingénieur développement commercial

25:16:09:43SPREC

R 12:54

Paolo, 30 ans, Chef des ventes

29:36:08:51SP REC

R 54:31

KÉVIN, 34 ans, animateur de vente 08:21:37:17

SP RECR 31:05

Anthony, 22 ans, Assistant commercial

2

Découvrez leurs témoignages en vidéo sur

www.beautravail.org

Page 45: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

3

Édito

Les clips « Beau travail » présentent des témoignages de salariés sur le métier qu’ils exercent. Filmés dans leur environnement professionnel, ils racontent leur parcours, leurs activités au quotidien et les satisfactions

qu’ils en tirent.

Les 115 épisodes mettent en lumière des métiers en tension, c’est-à-dire des métiers qui embauchent, mais qui peinent à trouver des candidats. En une minute, « Beau travail » permet ainsi de découvrir les qualités personnelles et professionnelles requises pour exercer un métier et les formations pour y accéder. Tous les métiers présentés sont accessibles via une formation en alternance.

Pour faciliter les échanges avec les élèves, les guides « Beau Travail » sont regroupés par grande thématique professionnelle. Vous y trouverez des informations clés sur les secteurs d’activités, les idées reçues, le détail des métiers présentés mais aussi des tests à distribuer pour préparer le parcours d’orientation des élèves. L’ensemble des informations est synthétisé dans les fiches métiers. Vous y retrouverez une question clé à poser pour approfondir la compréhension de chaque métier.

La séquence s’appuie sur la diffusion des épisodes d’une minute que vous trouverez sur www.beautravail.org.

Ainsi constitués, ces kits ont vocation à vous servir de supports lors des séquences spécifiques qui seront par exemple mises en place dans le cadre du Parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel (PIIODMEP) de la 6e à la 3e (découverte des métiers, préparation des visites d’entreprises et des stages de 3e …) mais aussi au sein des dispositifs d’accompagnement des décrocheurs scolaires.

Bien connaitre les métiers pour

bien choisir

Page 46: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Connaissez-vous vraiment les métiers de la vente ?Le secteur de la vente est l’un des secteurs sur lesquels les pires idées reçues circulent. Voici de quoi leur tordre le cou et regarder d’un autre œil ce domaine porteur.

Pour être commercial, il faut être un vrai « requin » prêt à vendre n’importe quoi à n’importe qui !

FAUX ! La vente à tout prix, c’est fini ! Désormais le commercial ne vend pas pour vendre mais cherche à répondre aux besoins de ses clients. Pas question de proposer une imprimante à quelqu’un qui souhaite éclairer une allée ! Le professionnel de la vente perdrait ainsi toute crédibilité… Son travail réside non seulement dans la négociation mais aussi dans la recherche de produits susceptibles d’intéresser ses contacts. Un bon commercial doit d’ailleurs savoir refuser de vendre un produit s’il ne pro-pose pas de solution à ses clients. En cas de démarchage, il cible au préalable ses interlocuteurs en fonction de leur profil.

Le commercial n’est qu’un baratineur…

FAUX ! À l’heure où les clients sont de plus en plus informés et exigeants, difficile de les embobiner ! Le bagout n’est pas suffisant. Il va falloir sortir la grande artillerie ! Le commercial doit s’armer d’arguments et appuyer ses propos par des démonstrations pour tenter de convaincre. Autant dire qu’il doit connaître ses produits sur le bout des doigts et être bien renseigné sur les tendances du marché.

Dans les métiers de la vente, on est trop sous pression…

PAS FAUX mais… Les yeux rivés sur les objectifs de vente, les professionnels du secteur ont tous des challenges à relever : faire progresser ou maintenir les ventes. Les pics de pression sont cependant ponctuels et peuvent avoir des bons côtés : bien dosé, le stress joue le rôle de stimulant et aide à remporter des victoires d’équipe !

Page 47: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Les métiers de la vente sont mal payés…

FAUX ! Il est vrai que le vendeur débutant perçoit pour commencer un salaire proche du SMIC. Mais c’est sans compter sur les nombreuses primes qu’il peut espérer toucher grâce à la réalisation d’objectifs. De plus, dans le secteur du commerce, les évolutions de carrière sont possibles et permettent de gagner rapidement plus d’argent.

Le commercial passe son temps à faire du porte-à-porte

FAUX ! Ce type de démarchage commercial ne concerne que les VRP (Voyageurs Représentants et Placiers). Si le commercial passe une partie de son temps à démarcher de nouveaux acheteurs, une fois son portefeuille de clients constitué, il occupe davantage des fonctions de suivi et de fidélisation de la clientèle acquise. De plus, les commerciaux spécialisés dans le B to B (Business to business) ne travaillent qu’avec les autres entreprises. Rien à voir donc avec le porte-à-porte !

Être vendeur, ce n’est pas un métier stratégique, on n’est qu’un subalterne…

FAUX ! En contact direct avec la clientèle, le vendeur occupe au contraire un poste primordial. Il est en effet le premier interlocuteur du client et se doit de représenter le mieux possible son entreprise. La première impression étant toujours déterminante. C’est la qualité de son accueil et de ses conseils qui feront la différence avec les autres entreprises. Un client satisfait est un client qui revient !

Page 48: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Le secteur de la vente : une palette de couleursDe la tablette de chocolat à la tondeuse à gazon, en passant par le tensiomètre du médecin, le secteur de la vente touche tous les domaines. Son mot d’ordre ? Vendre tout ce qui est commercialisable. Zoom sur cet univers aux multiples facettes.

Trois millions. C’est le nombre d’employés dans le secteur de la vente en France, soit 19 % des salariés du pays. Autant dire que le commerce est un secteur porteur. Si l’objectif de tous ces spécialistes du commerce est de vendre au mieux leurs produits aux consommateurs, ils n’ont cependant pas les mêmes fonctions et ne travaillent pas forcément dans le même univers. Automobile, habillement, assurance, art, sport, cosmétique… Il y en a pour tous les goûts et tous les profils !

> 112 000 entreprises commerciales créées en 2013 en France.

> 104 000 postes de commerciaux par an, tous secteurs confondus.

> 3 millions d’employés en France dans la vente.

De la grande distribution à l’épicerie du coin

Lorsque l’on parle vente, on pense plus particulièrement à la grande distribution. Cette dernière comprend en effet une grande partie des employés du secteur (635 800 personnes en France sur 11 250 magasins). Mais la vente ne se résume pas qu’à cet univers.

Page 49: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Il ne faut pas oublier les commerces de proximité qui en représentent une petite moitié ainsi que le B to B (business to business), c’est-à-dire les entreprises qui vendent des produits ou services à d’autres entreprises, ou encore les artisans, les sociétés de vente à distance et la vente directe.

Une grande diversité de métiers

À l’intérieur de ces différentes structures, le secteur regorge d’une multitude de fonctions dont le point commun est le contact avec le client. Tandis que le commercial démarche de nouveaux acheteurs, le vendeur en magasin accueille les clients et les conseille sur les produits qui leur correspondent le mieux et l’animateur de vente va mettre en avant un produit au cours d’une opération promotionnelle. Il y a aussi les métiers moins visibles tournés vers des fonctions d’encadrement, de gestion de budgets ou de création de concepts.

Grâce à cette grande diversité, les évolutions de carrière sont nom-breuses. Avec une grande motivation, il est possible de progresser rapidement vers des postes à responsabilités.

Les métiers de

la vente

Commerce de détail

Sociétés de vente

à distance

Artisan

Business to Business

(B to B)

Grande distribution

Vente directe

Page 50: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Les nouveaux enjeux des métiers de la vente

Avec l’explosion du e-commerce et la mondialisation, de nouveaux modes de consommation apparaissent. La clientèle est plus informée et plus exigeante ! Elle n’hésite pas à changer d’enseigne comme bon lui semble ! Face à cette concurrence, les vendeurs doivent redoubler d’efforts pour se démarquer, trouver de nouveaux clients, les fidéliser. C’est pourquoi les métiers se tournent davantage vers des fonctions de conseils et exigent des connaissances et compétences plus techniques.

E-commerce et vente directe en plein boom

Faire ses courses devant son ordinateur est une tendance qui s’est démocratisée au cours de ses dernières années au point que 6 Français sur 10 ont déjà acheté en ligne. Un pari qui fonctionne donc et qui crée de nombreux emplois : 12 000 en 2013.

Quant à la vente directe qui consiste à démarcher les clients à domicile, elle a le vent en poupe. D’après la Fédération de la vente directe, elle crée environ chaque année en France 30 000 emplois. Ce qui fait de l’Hexagone le premier marché européen dans le domaine, avec près de 25 millions d’actes d’achat par an.

8

Page 51: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Êtes-vous fait pour les métiers de la vente ?C’est le moment de vérifier si votre personnalité est compatible avec l’exercice d’une profession dans le domaine de la vente !

Attention, le résultat dépend de l’honnêteté de vos réponses et de votre état d’esprit au moment du test. Répondez le plus sincèrement possible, en choisissant ce qui vous ressemble le plus, en général.

Bien gagner sa vie dans son job, pour vous :

1. C’est mon premier critère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. C’est un plus ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Ce n’est pas ça qui me motive dans la vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

En situation de stress :

1. Je m’en sors plutôt bien, cela me stimule ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Je ne suis pas d’une nature stressée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Je perds mes moyens ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Aller parler à un inconnu dans une soirée :

1. Impossible, je ne saurais pas quoi lui dire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. C’est un jeu pour moi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

3. S’il le faut vraiment, j’y vais ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Page 52: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Êtes-vous fait pour les métiers de la vente ?

Un interlocuteur s’énerve contre vous au téléphone :

1. Je réplique du « tac au tac » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. Je l’écoute consciencieusement jusqu’au bout et n’ose pas lui répondre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. J’attends qu’il se calme et après avoir compris sa demande, je tente de trouver un terrain d’entente . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Prendre la parole en public, c’est pour vous

1. J’adore. Même pas mal ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Une torture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Pas si simple que cela . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Être « sous les feux de la rampe » ?

1. Non merci. Je préfère rester dans l’ombre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. Cela me fait rêver . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

3. Cela me gêne un peu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Être très souvent hors de chez vous…

1. C’est exaltant, cela me donne la pêche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Cela m’épuise, ce n’est pas pour moi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Je préfère rester le plus souvent à la maison ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

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Quand vous jouez, c’est pour

1. Me faire plaisir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

2. Partager avec autrui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Gagner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

L’expression « On ne lâche rien ! » :

1. C’est tout moi ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2. Si cela me demande trop d’efforts, je laisse tomber . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3. Ce n’est pas mon fort . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

Quand une personne de votre entourage a des difficultés à vous expliquer ce qu’il veut :

1. Je m’impatiente et lui dis d’un ton direct « écoutez, réfléchissez et revenez me voir quand cela sera clair ! » . . . . . . . . . . . . . 0

2. Je formule des propositions à sa place . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

3.Je lui pose des questions pour l’aider à clarifier son besoin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Quand vous êtes dans un groupe, vos amis disent de vous

1. Que je monopolise la parole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Que je suis trop discret . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Que je sais intervenir avec à propos et conviction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Que pensez-vous de quelqu’un qui veut toujours vous convaincre sur tout ?

1. Je suis un peu pareil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

2. C’est hyper pénible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0

3. Je pense qu’il gagnerait à un peu plus écouter et à se taire . . . . . . 2

Page 54: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

12

Résultats Êtes-vous prêt pour un métier de la vente ?

Vous avez obtenu entre 0 et 8 points :

D’après vos réponses et en théorie, le métier de la vente ne semble pas à première vue vous convenir au stade où vous en êtes de votre parcours. Un conseil, revoyez les questions et regardez quelles sont celles qui vous ont surpris. Est-ce un réel projet pour vous ?

Si oui, il serait intéressant que vous repassiez ce test après quelques jours ou semaines de recul. Dans tous les cas, quel que soit votre résultat, sachez que c’est vous qui déciderez !

Vous avez obtenu entre 9 et 16 points :

Tout est possible. Par certains aspects le métier de la vente peut vous convenir, sur d’autres points cela nécessite peut-être une réflexion. Et si c’était votre motivation qui faisait pencher la balance ? Êtes-vous vraiment prêt pour tenter l’aventure dans un métier de la vente ?

Vous avez obtenu entre 17 et 24 points :

D’après vos réponses, vous semblez avoir les qualités et la motivation nécessaires pour exercer un métier dans la vente. Que décidez-vous in fine de faire ? Vous y allez ?

Page 55: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

13

Des métiers à découvrir de toute urgence !Le secteur de la vente est l’un des plus dynamiques en France. Voici une liste des principaux métiers de ce domaine. Ils recrutent tous sans exception et permettent d’évoluer dans des secteurs variés.

Commencer en tant que vendeur dans un magasin de téléphonie mobile puis faire carrière comme responsable des ventes dans la grande distribution… c’est possible !

Vendeur en magasin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 14

Technico-commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 15

Animateur de vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 16

Assistant commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 17

Conseiller en vente directe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 18

Télévendeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 19

Commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 20

Ingénieur développement commercial. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 21

Chef des ventes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 22

Page 56: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

14

Vendeur en magasin◆ Ses missions principales

À l’heure où la clientèle est devenue de plus en plus exigeante et informée, le métier de vendeur en magasin tend vers des fonctions de conseils. Pas question d’entourlouper le client avec des phrases bien tournées ! Le but est plutôt de l’aider à trouver chaussure à son pied. Ayant une très bonne connaissance des produits dont il a la charge, le vendeur donne des informations pratiques et n’hésite pas à faire des démonstrations pour appuyer ses arguments.

En amont, il prépare la surface de vente en mettant notamment les produits en rayon. Son objectif est de rendre le magasin le plus accessible.

En fonction de la taille de l’entreprise dans laquelle il travaille, le vendeur effectue de nombreuses autres tâches. Il peut par exemple être amené à faire l’inventaire, passer des commandes, encaisser les règlements et comptabiliser la recette de la journée.

◆ Les compétences requises

- Connaissance des produits

- Maîtrise des outils commerciaux

- Connaissance d’une langue étrangère

- Analyser le marché et faire de la veille sur les produits qu’il vend

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Les CAP Employé de vente spécialisé et Commerce multi-spécialités permettent de trouver immédiatement un poste dans ce domaine. Pour plus de stabilité, il est cependant recommandé d’aller jusqu’au bac pro Commerce. Il est possible de poursuivre jusqu’au BTS afin d’évoluer plus rapidement vers des fonctions de management.

Ses qualités ?Une bonne mémoire

et connaissance des goûts de ses clients, savoir conseiller et avoir

le sens du service !

Retrouvez le témoignage d’Isaline, vendeuse en librairie, sur www.beautravail.org

Mettre en avant des produits pour mieux les vendre et tenir un magasin « au carré » : vous en sentez-vous capable ?

Page 57: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Technico-commercial◆ Ses missions principales

À l’instar du commercial, le technico-commercial vend des biens et des services. Il prospecte de nouveaux acheteurs, gère un portefeuille de clients et participe à leur fidélisation. Quelle différence avec le commercial généraliste ? Sa double compétence commerciale et technique. Grâce à ses connaissances pointues dans un domaine en particulier (l’agro-alimentaire par exemple), le technico-commercial est capable de faire du sur-mesure en déterminant avec exactitude les produits correspondant aux besoins de ses clients.

En plus de le promouvoir, il va pouvoir expliquer de façon approfondie les avantages techniques liés à son utilisation. Une fois la vente conclue, il assure le service après-vente. Toujours à l’affût des nouveautés pour satisfaire ses clients, il effectue une constante veille technologique et suit les tendances du marché. Il peut aussi être amené à participer à l’évolution du produit.

◆ Les compétences requises

- Rigueur

- Disponibilité et sens du service

- Maîtrise d’une langue étrangère

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Le BTS Technico-commercial propose une formation spécifique pour exercer ce métier, permettant d’acquérir à la fois des compétences commerciales et techniques. La formation est généralement accessible aux titulaires d’un bac STI2D ou STMG. Il est possible de poursuivre une licence professionnelle technico-commercial.

Ses qualités ?Savoir répondre

précisément aux besoins de ses clients, être ouvert

d’esprit, autonome et organisé !

Que dites-vous d’être un expert sur un produit particulier et de profiter de cette expertise pour le vendre au mieux ?

Page 58: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Animateur de vente◆ Ses missions principales

L’animateur de vente met en avant toutes sortes de produits lors de campagnes publicitaires. On le voit souvent en tête de gondole dans les grandes surfaces, les foires ou bien les salons. Il peut se spécialiser dans un domaine en particulier comme les vêtements, l’électroménager, les produits alimentaires, etc. Il est en charge de l’installation du stand, des présentoirs publicitaires, des produits et outils de démonstration.

Il empoigne ensuite son micro et anime son stand de manière à attirer l’attention des éventuels futurs clients. Attention, le bagout n’est pas suffisant ! Arguments, démonstration et distribution de cadeaux (bons de réduction et échantillons) seront ses meilleurs atouts pour captiver son public.

L’animateur de vente est également en contact avec différents interlocuteurs comme le directeur de l’établissement, le chef de rayon ou le représentant de la marque.

◆ Les compétences requises

- Connaissance des techniques de vente

- Polyvalence et adaptabilité

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Si le métier d’animateur de vente ne nécessite aucune formation particulière, les recruteurs apprécient les titulaires d’un diplôme niveau bac à bac+2 (type BTS) spécialisé dans un secteur spécifique.

Ses qualités ?De la disponibilité,

une grande aisance à l’oral, une bonne présentation,

une bonne condition physique et un excellent

sens relationnel.

Retrouvez le témoignage de Kevin, animateur de vente sport, sur www.beautravail.org

Page 59: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Assistant commercial◆ Ses missions principales

L’assistant commercial assure dans un premier temps les tâches administratives. C’est lui qui rédige et envoie les devis, il traite les factures et informe sur les coûts et les délais. S’il ne prospecte pas les clients, il répond à l’ensemble des demandes qui parviennent au service. Au téléphone, il doit être capable de conseiller et d’orienter les clients vers ce qui leur convient le mieux. Pour cela, une connaissance parfaite des produits et des services de l’entreprise est nécessaire.

Plus qu’un secrétaire, l’assistant commercial est un véritable bras droit pour les commerciaux et la direction commerciale.

Premier contact avec les clients, il se voit confier de plus en plus de responsabilités. En plus de la prise de rendez-vous, il participe activement à l’élaboration et la mise à jour des dossiers du manager et des chefs de ventes. Il assure le suivi des déplacements de ces derniers et est convié aux réunions qu’il prépare en collaboration avec le directeur commercial.

◆ Les compétences requises

- Aisance rédactionnelle

- Connaissance des outils informatiques

- Maîtrise d’une ou plusieurs langues étrangères

- Maîtrise de techniques commerciales

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Les recruteurs exigent généralement l’obtention d’un diplôme de niveau bac+2 en commerce (BTS MUC, NRC ou DUT Techniques de commercialisation).

Ses qualités ?Un bon sens de l’écoute,

savoir conseiller et vouloir

rendre service

Sans démarcher vous-même le client, vous sentez-vous quand même capable de le conseiller au mieux sur ses besoins ?

Retrouvez le témoignage d’Anthony, assistant commercial, sur www.beautravail.org

Page 60: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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Conseiller en vente directe◆ Ses missions principales

Organiser des ventes à domicile, tel est le rôle du conseiller en vente directe. Souvent spécialisé dans un domaine en particulier (vêtements, cosmétiques, bijoux, téléphonie, etc.), il doit être capable de cibler la clientèle adaptée à sa gamme de produits et savoir se créer un réseau. Peu de chance en effet de vendre des cravates à une jeune femme ou des produits cosmétiques à un homme à la retraite !

Tout comme le commercial, le vendeur à domicile doit se montrer convaincant mais surtout exercer une véritable activité de conseil. Un client satisfait est un client qui revient !

À la fois vendeur et organisateur d’événements, il gère les commandes et les livraisons de ses clients. De plus, le conseiller en vente directe a pour avantage d’avoir une certaine liberté. Autonome, il gère son emploi du temps comme il veut en fonction des objectifs de vente qu’il s’est fixés.

◆ Les compétences requises

- Compétences commerciales

- Aisance à l’oral

- Autonomie et organisation

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Le métier de conseiller en vente directe est accessible sans diplôme spécifique. Il peut être exercé en complément d’activité ou en fin de semaine. Il est cependant conseillé d’être titulaire d’un bac pro en vente ou bien d’un diplôme de niveau bac+2 comme le BTS Négociation et relation client (NRC).

Ses qualités ?Être organisé,

avoir un bon relationnel et savoir se créer

un réseau !

Êtes-vous assez sérieux et organisé pour pouvoir gérer votre temps vous-même, comme vous l’entendez ?

Retrouvez le témoignage de Florence, conseillère en vente directe, sur www.beautravail.org

Page 61: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

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TÉLÉVENDEUR◆ Ses missions principales

Le télévendeur utilise comme principaux outils de travail le téléphone et l’informatique. Comme le commercial, il démarche une liste de potentiels clients. À lui, bien sûr, de cibler l’offre en fonction du profil de son interlocuteur (sexe, âge, centres d’intérêt, etc.).

Il n’a cependant que sa voix pour vendre les produits.

C’est donc en quelques secondes qu’il doit attirer l’attention grâce à un argumentaire préparé et une détermination sans faille. Ce spécialiste de la vente exerce également des fonctions de suivi. Il est là pour répondre aux questions des clients et dissiper leurs inquiétudes.

Enfin, il participe à la stratégie de fidélisation de son entreprise en proposant aux clients de renouveler leur abonnement et en leur signalant la sortie de nouveaux produits.

◆ Les compétences requises

- Garder la maîtrise de soi en toutes circonstances

- Avoir une excellente élocution

- Maîtrise des outils informatiques

- Connaissance d’une langue étrangère

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Outre une bonne élocution, les recruteurs apprécient les titulaires d’un diplôme dans le domaine de la vente comme le bac pro Vente ou Commerce. Le télévendeur évoluera plus rapidement vers un poste à responsabilités en ayant un diplôme niveau bac+2 tel que le BTS Management des Unités Commerciales (MUC), BTS Négociation et Relation Client (NRC) ou bien le DUT Techniques de commercialisation.

Ses qualités ?Une grande capacité

d’écoute et une grande capacité à savoir

convaincre, de la persévérance,

de la diplomatie et le sourire dans la voix !

Vous pensez-vous assez persuasif pour conclure une vente en utilisant que votre voix ?

Page 62: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

20

COMMERCIAL◆ Ses missions principales

Véritable homme de terrain, le commercial va régulièrement à la rencontre des clients afin de les convaincre d’acheter ses produits ou services.

Son objectif : vendre toujours plus, mais pas n’importe comment !

En plus d’une bonne aisance à l’oral, il connaît sur le bout des doigts les produits qu’il propose et les tendances du marché. Outre la prospection de nouveaux acheteurs, il gère un portefeuille de clients. Il analyse leurs problèmes et besoins afin de leur proposer une solution adaptée. Il promeut l’offre de services ou de produits dont il a la charge, développe l’activité auprès de prospects et rend compte de son activité commerciale. Plus spécifiquement, il participe aux actions de mailing et au suivi des collaborateurs chez les clients. Il se rend aussi dans les salons.

Le métier de commercial est transverse et se pratique dans tous les secteurs : l’industrie pharmaceutique, le BTP, la bijouterie…

◆ Les compétences requises

- Connaissance de l’anglais

- Maîtrise et développement des techniques de vente

- Autonomie et organisation

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Le recrutement se fait au niveau bac+2 minimum. Notons par exemple le BTS Management des Unités Commerciales (MUC), le BTS Négociation et Relation Client (NRC) ou encore le DUT Techniques de commercialisation. Certains secteurs préfèrent cependant les titulaires de licences pro en commerce ou commerce et distribution ainsi que les diplômés d’écoles de commerce.

Ses qualités ?Savoir écouter,

convaincre, et être organisé !

Retrouvez les témoignages de Florian, commercial en environnement pharmaceutique, et Lydia, commerciale BTP, sur www.beautravail.org

les diplômés d’écoles de commerce.les diplômés d’écoles de commerce.

Vous voyez-vous plutôt travailler en bureau, par téléphone, ou préférez-vous être mobile et tout le temps sur le terrain ?

Page 63: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

21

Ingénieur développement commercial◆ Ses missions principales

L’ingénieur développement commercial est responsable de l’accroissement et de la gestion d’un portefeuille de clients sur un secteur géographique ou sur un marché précis. Il réalise ainsi de nombreuses activités : il prospecte les clients et identifie leurs besoins, il répond aux appels d’offres, rédige des propositions commerciales, négocie les prix et les délais et assure le suivi des produits ou prestations vendus. Spécialiste du sur-mesure, il sait adapter son offre aux besoins des clients.

L’ingénieur développement commercial se distingue par sa double casquette : un réel talent de négociateur associé à de solides compétences techniques des produits dont il a la charge.

◆ Les compétences requises

- Hautes compétences techniques et en gestion de projet

- Maîtrise des techniques commerciales

- Maîtrise d’une langue étrangère

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Un diplôme d’école d’ingénieurs complété par un bac+5 spécialisé en techniques commerciales est très apprécié par les recruteurs. Il est également possible de décrocher un poste d’ingénieur développement commercial avec un diplôme d’école de commerce. Dans ce cas, il faudra se former techniquement sur le terrain.

Ses qualités ?Savoir être autonome

et ne pas avoir peur d’être souvent sur le terrain,

un bon sens relationnel, un esprit de synthèse

et une force de conviction !

Créer des produits sur-mesure pour des clients, cela vous motiverait ?

retrouvez le témoignage de Vincent, ingénieur développement commercial, sur www.beautravail.org

Page 64: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

2222

CHEF DES VENTES◆ Ses missions principales

Le chef des ventes dirige une équipe d’attachés commerciaux et de vendeurs. Il est en charge d’un secteur géographique ou d’un type de produits (par exemple l’électroménager). Les objectifs de vente fixés par la direction commerciale en tête, il exerce un rôle de coach sportif auprès de son équipe.

Son but : la pousser à se surpasser et faire progresser le chiffre d’affaires de l’entreprise. Autant dire qu’il aime les challenges et sait motiver les troupes !

Il est là pour encadrer, manager et conseiller ses collaborateurs. C’est d’ailleurs lui qui les recrute et s’occupe de leur formation. Il s’informe régulièrement des ventes réalisées par chaque commercial et s’assure que tous les produits ont été présentés aux clients. Plus qu’un manager, le chef de vente se doit de montrer l’exemple sur le terrain en endossant lui-même le rôle de vendeur.

◆ Les compétences requises

- Capacité de management et de gestion

- Sens de la négociation

- Dynamisme et rigueur

- Maîtrise de l’anglais

◆ Quelle(s) formation(s) ?

Le métier de chef des ventes nécessite au moins une formation à bac+2 (BTS Négociation et Relation Client, BTS Management des Unités Commerciales ou DUT Techniques de commercialisation) ou bien un diplôme d’école de commerce. Il n’est cependant accessible qu’après quelques années d’expérience dans le domaine de la vente.

Ses qualités ?Avoir un excellent sens relationnel,

savoir écouter, fédérer et motiver son équipe !

Parvenez-vous à envisager votre travail comme un challenge sportif ? Etes-vous un compétiteur dans l’âme ?

Retrouvez le témoignage de Paolo, chef des ventes, sur www.beautravail.org

Page 65: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

23

Bien préparer son stage, c’est 2 fois plus de chances de le réussir !

Faire un stage, c’est une belle occasion de mettre un pied dans l’entreprise et avoir une idée des tâches et des missions qui pourraient vous plaire et correspondre à votre personnalité pour votre future vie active. Le stage reste l’un des meilleurs moyens de savoir ce que l’on a envie de faire ou de ne pas faire. Encore faut-il bien le préparer et se poser les bonnes questions avant, pendant et après.

1 L’entreprise, son histoire, son récit• Qui ? le(s) créateur(s) de l’entreprise (motivations du chef d’entreprise, sa stratégie), une famille,

les évolutions historiques de l’entreprise à travers ses transmissions• Quoi ? les produits, les services fabriqués, la relation avec l’environnement (opportunité

géographique, technique, accès aux matières premières…)• Quand ? date de création et grandes étapes de son évolution• Comment ? les évolutions technologiques (ex : automatisation, robotique, bureautique,

digital…) et la communication (l’évolution des logos et des moyens de communiquer)

2 L’entreprise, ses caractéristiques principales, son identité• Son activité principale et la nature de l’activité

(industrielle, commerciale, artisanale, de service…)• Sa taille (nombre de salariés, implantations…)• Les différents services et postes de l’entreprise et leurs rôles • Les principaux clients ou interlocuteurs

3 Choisir un métier dans l’entreprise et le décrire Quelles sont les tâches, les responsabilités de ce professionnel ? Qu’est-ce qui est attendu de lui ? Quelles sont les aptitudes particulières et les qualités personnelles nécessaires pour exercer cette profession ? Comment organise-t-il son travail (horaires, organisation de son emploi du temps) et les conditions d’exercice du travail (à l’extérieur, dans un bureau, assis, debout, en déplacement) ? Avec qui ce professionnel est-il amené à travailler, au sein de l’entreprise et en dehors de celle-ci ? La personne a-t-elle choisi son métier ? La personne a-t-elle des possibilités de formation continue ? Quelles sont ses évolutions professionnelles possibles ?

4 Mon expérience du stageQuel secteur d’activité de l’entreprise m’intéresse ? Si je pouvais choisir, quel poste aimerais-je occuper ? Le service dans lequel j’ai réalisé mon stage me plaisait-il ? Pourquoi ? Parmi mes missions, lesquelles ai-je préférées ? Pourquoi ? Lesquelles ai-je détestées ? Pourquoi ? Est-ce un métier intéressant ? Si oui ou si non, pourquoi ? Quelles sont mes qualités qui pourraient faire de moi un bon professionnel ? Que faudrait-il que j’améliore ?Quelle est la formation nécessaire (quelles sont les études) pour entrer dans la profession ?

Page 66: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

55 avenue Bosquet, Paris 7ème

ISBN : 978-2-86658-135-0 • Dépôt légal : novembre 2014

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Guide réalisé en partenariat avec

www.beautravail.org

Page 67: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

1

Les Métiers de la vente

Vendeur en magasin

http://www.beautravail.org/detail/metier/72-vendeuse-en-librairie.html

Animateur de vente

http://www.beautravail.org/detail/metier/97-animateur-de-vente-sport.html

Assistant commercial

http://www.beautravail.org/detail/metier/22-assistant-commercial.html

Conseiller en vente directe

http://www.beautravail.org/detail/metier/27-conseillere-en-vente-directe.html

Commercial en BTP

http://www.beautravail.org/detail/metier/43-commerciale-en-btp.html

Commercial en environnement pharmaceutique

http://www.beautravail.org/detail/metier/48-commercial-en-environnement-pharmaceutique.html

Ingénieur développement commercial

http://www.beautravail.org/detail/metier/91-ingenieur-developpement-commercial.html

Chef des ventes

http://www.beautravail.org/detail/metier/30-chef-des-ventes.html

retrouvez tous ces témoignages en vidéo sur

www.beautravail.org

55:01:49:11SP REC

R 37:41

01:36:23:00SP REC

R 07:23

01:36:23:00SP REC

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R 12:54

29:36:08:51SP REC

R 54:31

08:21:37:17SP REC

R 31:05

Page 68: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

C’est quoi C’est quoi une

entreprise

?

Page 69: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

2 3

sommairesommaire

Bienvenue dans l’entreprise 3

Qu’est-ce qu’une entreprise ? 4

Entreprises selon le nombre de salariés 6

Une entreprise, des métiers 8

Comment fonctionne une entreprise ? 12

Témoignages 19

Un projet, des engagements 22

L’entreprise : un acteur responsable de notre société 24

Page 70: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

2 3

Bienvenue dans l’entreprise

Tu entends souvent parler d’entreprises à la radio, à la télévision ou bien sur le web. mais ça ne te dit pas ce qu’on y fait tous les jours, comment ça marche. Voici quelques repères pour mieux comprendre l’entreprise, te donner, à toi aussi, l’envie d’y aller ou d’y préparer ton contrat en alternance… et pourquoi pas de devenir un jour entrepreneur.

martin, co-fondateur de l’entreprise marTiN PLasTiC

Page 71: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

4 5

Qu’est-ce qu’une entreprise ?L’entreprise rassemble l’ensemble des activités d’une personne ou d’un groupe de personnes qui travaillent pour fournir des biens ou des services à des clients.

La naissance d’une entreprise résulte de la combinaison de plusieurs facteurs : une bonne idée, associée à un apport en argent, en moyens humains ou matériels, et aussi à une bonne dose d’enthousiasme.

L’entreprise peut exister sous plusieurs formes. on peut la constituer seul, ce qui n’exclut pas la possibilité d’avoir des salariés. Dans ce cas, le créateur

Plus de 3 millions

d’entrePrises en France

emPloient 13 millions

de salariés

Page 72: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

4 5

« Être entrepreneur, c’est avoir la liberté de décider et d’agir »

est l’unique propriétaire de l’entreprise. elle peut aussi se constituer à plusieurs. Chacun est alors propriétaire de l’entreprise proportionnellement à son apport. L’actionnaire ou l’associé peut être une personne physique, une autre entreprise ou même l’État. L’entreprise est alors une entreprise publique. Toutes les autres sont des entreprises privées.

L’objectif de l’entreprise est de satisfaire ses clients pour gagner de l’argent. Cela permet de créer des emplois et de verser des salaires. Par le paiement d’impôts et de taxes, l’entreprise participe aussi à la vie collective.

Martin co-fondateur de MARTIN PLASTIC

Julie, co-fondatrice et associée de martin

Page 73: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

6 7

Micro-entreprises (TPE)Petites et moyennes

entreprises (PME)

95,44 %

des salariés

des entreprises

des entreprises

des salariés

19 %

27 %

4,4 %

9Nombre de salariés 10 249

2 950 000 entreprises

soit 136 000 entreprises

Entreprises selon le nombre de salariés

Page 74: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

6 7

Entreprises de taille intermédiaire (ETI) Grandes entreprises (GE)

des entreprises des entreprises

des salariés

des salariés

22 %

31 %

0,15 % 0,01 %

250 4999 5000

soit 4 600 entreprises

soit 230 entreprises

source : insee 2010

Entreprises selon le nombre de salariés

Page 75: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

8 9

Une entreprise, des métiers...

Décider des orientations de l’entreprise, des objectifs à atteindre et de la manière d’y parvenir. elle joue en quelque sorte un rôle de chef d’orchestre.

Définir le produit ou le service à vendre, son prix, les moyens de le distribuer et de le faire connaître.

DireCTioNDireCTioN

markeTiNg eT CommuNiCaTioNmarkeTiNg eT CommuNiCaTioN

« Le chef d’entreprise est un véritable chef d’orchestre »

Page 76: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

8 9

Une entreprise, des métiers...

« Une entreprise, c’est une somme de compétences mais surtout c’est une somme de comportements, de savoir-être »

Étudier, tester et essayer de nouvelles idées, de nouveaux matériaux, de nouvelles formes de production.

Fabriquer un produit : par exemple une voiture, une tablette de chocolat ou du papier. réaliser un service : coiffure, banques, transports en commun.

Michel développeur de sites webreCherChe eT DéveloppemeNTreCherChe eT DÉVeLoPPemeNT

proDuCTioNProDuCTioN

Élise, du service recherche et Développement

Page 77: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

10 11

Vendre les produits ou services de l’entreprise, trouver les clients et les fidéliser, enregistrer les commandes, argumenter sur la qualité des produits ou services.

organiser et gérer les compétences des hommes et des femmes qui com-posent l’entreprise, assurer la gestion des contrats de travail, fixer les heures de travail, les congés, prendre en charge le recrutement des salariés, former le personnel, gérer l’évolution des carrières.

assurer la logistique, acheter les fournitures, garantir la sécurité, effectuer la maintenance des installations, mettre en place et gérer le parc informatique.

serviCes géNérauxserViCes gÉNÉraux

CommerCialCommerCiaL ressourCes humaiNesressourCes humaiNes

Page 78: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

10 11

gérer les factures à payer et à encaisser, effectuer le paiement des charges, des salaires, assurer les relations avec les banques et l’administration.

rédiger l’ensemble des contrats de l’entreprise, s’assurer de la confor-mité aux lois et règlements, contrôler le respect des règles commerciales.

fiNaNCes eT CompTabiliTéFiNaNCes eT ComPTabiLiTÉ

serviCe juriDiqueserViCe JuriDique

Dans les petites entreprises, une même personne remplit souvent plusieurs fonctions, par exemple : marketing et commercial.

Mais il est possible d’externa-liser des fonctions, c’est-à-dire de les faire réaliser par une autre entreprise.

Page 79: Dossier de presse "Semaine Ecole Entreprise 2014"

12 13

Comment fonctionne une entreprise ?l’entreprise est une mécanique composée d’une multitude d’engrenages interdépendants

uN exempleuN exemPLe

La société marTiN PLasTiC fabrique des articles en plastique et plus par-ticulièrement des boitiers électriques. Julie, co-fondatrice de l’entreprise vient de rencontrer Patrick, de la société smarTuP, un fabricant de smartphones qui ne trouve pas de fournisseurs compétitifs pour lui fabriquer des nouvelles coques résis-tantes aux rayures. Julie estime alors que cette information peut constituer une opportunité pour son entreprise. marTiN PLasTiC peut-elle répondre à ce marché potentiel ?

service marketing

réalisation d’une étude de marché. quels sont les concurrents, les clients potentiels, les prix pratiqués, et comment pourra-t-on distribuer les coques, quel nom donner à ce nouveau produit, comment faire connaître cette marque ?

1 ÉTUDE DU PROJET

Le service marketing recherche un nom pour un nouveau produit

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Comment fonctionne une entreprise ?l’entreprise est une mécanique composée d’une multitude d’engrenages interdépendants

service production

quelles sont les capacités actuelles de production ? De quelles machines aurions-nous besoin ?

service ressources humaines

a-t-on les compétences nécessaires ? quelle formation doit-on mettre en place ? Doit-on recruter ?

service financier

Combien coûte la mise en place de ce projet ? L’entreprise dispose-t-elle de l’argent nécessaire ? si ce n’est pas le cas, comment trouver cet argent ?

direction

en fonction des différentes études menées, la direction décide d’investir. elle prend le risque de développer son activité sur ce nouveau secteur.

2 DÉFINITION DU PROJET

martin décide de lancer le projet

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service recherche & developpement

il réalise une série d’études et de tests pour déterminer quelle sera la solution la plus compétitive en termes de prix, de matériau, de forme, de couleur. il fait fabriquer un prototype de coque.

direction des systemes d’information

elle assure le développement des moyens informatiques, réseaux, télé-communications, système d’informa-tion et de veille à la disponibilité des ressources matérielles et logicielles nécessaires à la conception, la fabri-cation et la distribution de la coque.

service juridique

grâce aux découvertes du service recherche et développement, il dépose un brevet pour le nouveau plastique entrant dans la fabrication des coques. il dépose également la marque PLasToo, nom donné à la gamme de produits qui regroupe des coques de différentes tailles et de différentes couleurs.

service achat

il commande les machines et les matières premières nécessaires à la fabrication des coques PLasToo.

service ressources humaines

De nouveaux postes doivent être créés. Le service des ressources humaines identifie les besoins en compétences, propose les postes en interne, met en place les formations nécessaires et lance un recrutement.

3 MISE EN PLACE DU PROJET

martin constitue une équipe pour le nouveau projet PLasToo

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service production

il réalise les premières pièces et en contrôle la qualité. Les tests sont concluants.

« L’entreprise, c’est une somme d’intelligence et d’expertise »

Mylène responsable commerciale

4 PRODUCTION ET LANCEMENT

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service logistique

Les premières pièces sont stockées dans le magasin de l’usine.

service marketing et communication

Deux actions sont lancées pour faire connaître la marque et les produits PLasToo :- Vers les possesseurs de smartphones

- Vers les fabricants de smartphones

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service commercial

il prend les premiers rendez-vous avec les clients potentiels et présente les nouveaux produits PLasToo à des distributeurs d’articles de téléphonie et à des fabricants de smartphones. La société smarTuP, fabricant de smartphones et les magasins de distribution olympe seront les premiers clients de marTiN PLasTiC. Le service commercial tra-vaille avec la direction des systèmes d’information pour concevoir une plateforme de e-commerce.

service logistique

il prépare le transport des articles commandés et les achemine chez le client. Des camions sont prévus pour livrer les coques directement dans plusieurs usines de la société smarTuP. D’autres iront en ville pour approvisionner des magasins olympe.

service financier

il établit les premières factures.

5 vENTE ET DÉvELOPPEMENT

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TémoignagesComment voient-ils l’entreprise ?

« L’entreprise est un lieu où tout le monde échange des compétences, des expériences. Elles permettent à l’entreprise de progresser et aux salariés de s’affirmer, d’évoluer. Je travaille avec d’autres cher-cheurs avec qui j’aime échanger des idées, des observations. Nous passons une grande partie de notre vie à chercher, sans forcément trouver. Souvent nos recherches aboutissent à l’amélio-ration des conditions de vie dans de multiples secteurs d’activité. Sans l’entreprise, les moyens de recherche seraient limités. Comment pourrais-je faire pour développer les applications de mes recherches ? »

Laurent chercheur dans un centre d’études sur les nouvelles énergies

« L’entreprise est un espace social, où nous apprenons à connaître les autres et soi-même en tant qu’adulte. Et c’est le plus important pour moi, l’entreprise est un endroit où nous pouvons nous épanouir, évoluer, rencontrer et découvrir… Nous y passons quand même une grande partie de notre vie ! »

Ahmedcomptable dans une société de transport

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Séverineassistante de direction dans une société de production d’eau potable

« L’entreprise est le lieu où je mets en application ce que je suis, où j’agis dans le sens que je pense le meilleur. Bien sûr j’ai des obligations et des contraintes professionnelles, mais j’ai aussi une liberté d’action et de pensée. J’ai un attachement affectif pour mon entreprise : j’y ai aujourd’hui de solides amitiés ».

« Le savoir-être est quelque chose de très important dans l’entreprise. On ne travaille jamais tout seul. On fait partie d’une équipe. L’écoute et le respect sont primordiaux. Il faut aussi savoir défendre ses idées, argumenter ».

Myriamchef de projet dans l’industrie

Romaingérant d’une société de développement de sites web

« Le but de l’entreprise n’est pas seulement de gagner de l’argent. Personne ne peut être motivé uniquement par l’argent. L’entreprise est un groupe de gens qui travaillent ensemble pour une mission commune : satisfaire un client ».

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« Pour moi, l’entreprise est une aventure. Une aventure pour celui qui l’a créée, bien sûr, mais aussi pour ceux qui y travaillent. Dans une entreprise nous cherchons tous à aller dans la même direction, nous avons un but commun ».

Ouriaprésidente directrice générale (PDG) d’une entreprise de services à la personne

« L’entreprise est pour moi la suite logique de mes études. Nous accumulons des connaissances, nous apprenons un métier qui trouve enfin son application concrète. L’entreprise, c’est l’entrée dans la vie active, la fin de l’école et la découverte d’un nouveau monde».

Aline community manager dans une banque

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Un projet, des engagements

uNe eNTreprise réuNiT salariés eT DirigeaNTs auTour D’uN projeTuNe eNTrePrise rÉuNiT saLariÉs eT DirigeaNTs auTour D’uN ProJeT

Dans cette organisation, chacun a un rôle à jouer et une part de responsabilité qui y est associée. si l’un ou l’autre ne respecte pas ses engagements, l’ensemble de la chaîne s’enraye. La performance et la survie d’une entreprise sont liées au respect des droits et devoirs de chacun. Le cadre des relations entre l’entreprise et les salariés est défini, d’une manière générale, par le code du travail, les conventions collectives et le règlement intérieur. Le contrat de travail décrira les missions, la rémunération, le lieu et la durée du travail…

pour l’entreprise, il s’agira de :

Verser le salaire correspondant au travail effectué s’assurer de la sécurité des salariés respecter le code du travail et le contrat passé avec le salarié

pour le salarié, il s’agira de :

effectuer le travail demandé en respectant les instructions de l’employeur respecter les clauses du contrat de travail et du règlement intérieur

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juridiques

une entreprise doit choisir un cadre légal pour exercer son activité. elle doit se déclarer auprès de l’etat et des organismes chargés de percevoir les cotisations sociales, les impôts et les taxes et respecter la législation du pays. Comme tout citoyen, une entreprise doit respecter la loi.

sociales

une entreprise paie des cotisations pour la protection des salariés, pour leur retraite, leur sécurité sociale et pour leur donner une assurance en cas de chômage.

fiscales

une entreprise paie des impôts et des taxes à l’etat, à la région, au départe-ment et à la ville où elle est installée. Ces charges servent à financer des hôpitaux, des écoles ou encore des réseaux de transports en commun.

les auTres obligaTioNs De l’eNTrepriseLes auTres obLigaTioNs De L’eNTrePrise

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L’entreprise : un acteur responsable de notre société

la soCiéTé évolue les eNTreprises aussiLa soCiÉTÉ ÉVoLue, Les eNTrePrises aussi

en créant des emplois, en participant à la formation des salariés, en innovant, les entreprises participent directement à l’évolution de la société.Le développement durable, c’est-à-dire un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement responsable, est au cœur même du métier d’entrepreneur.

Faire du développement durable pour une entreprise, c’est concilier trois objectifs : produire des biens et des services, créer des emplois pour que chacun puisse profiter des fruits de la croissance et protéger l’environnement par solidarité avec les générations futures.

L’entreprise doit prioritairement se concentrer sur son résultat écono-mique car une entreprise qui n’est pas rentable disparaît. Cependant, si la raison d’être d’une entreprise n’est pas de sauver la planète, elle ne saurait se désintéresser de son avenir. il lui serait en effet de plus en plus difficile de créer durablement de la valeur sur une planète qui serait dégradée par les conséquences négatives du changement climatique, la disparition des espèces et la raré-faction des ressources.

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TémoigNageTÉmoigNage

Margotresponsable développement durable dans une entreprise du bâtiment

« L’engagement d’une entreprise dans une démarche de développement durable est quelque chose qu’on peut expliquer très concrètement. Par exemple, je suis un manager, je suis un collaborateur. Au moment où j’élabore mon projet, où j’effectue une action, un geste dans mon travail, j’in-tègre dans le même temps l’éventuel impact, qu’il soit positif ou négatif, de mon projet, de mon action ou de mon geste sur chacun des trois sujets qui composent le développement durable : l’environnement, l’économique et le social-sociétal. Si nécessaire, je modifie mon projet, mon action ou mon geste, je les améliore de façon à profiter encore mieux de son impact positif ou, le cas échéant, pour réduire son aspect négatif ».

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Pour en savoir plus

www.medef.frC

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MEDEF Actu‐Eco semaine du 16 au 20 juin 2014 1

       

Bilan des actions  Education Entreprise en 2013 

                       

     

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Bilan relations école entreprise 2013 

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1.  Synthèse  globale  des  actions  menées en 2013 

 

En  2013,  de  très  nombreuses  actions  ont  été  à  nouveau  programmées  dans l’ensemble des régions et confirment  la volonté mutuelle de  la part de  l’Ecole et de l’Entreprise de coopérer encore d’avantage pour l’avenir des jeunes.  La  14e  édition  de  la  Semaine  Ecole‐Entreprise  (SEE)  en  2013  a  confirmé  une  fois encore une avancée significative des rapprochements et des coopérations entre  le monde économique et celui de l’éducation.  La Semaine Ecole‐Entreprise est un élément de forte visibilité dans  le calendrier de déploiement  des  actions  que mènent  ces  acteurs, même  si  l’on  constate  que  les occasions de rencontres vont bien au‐delà de la seule « 3e semaine de novembre » notamment grâce à  la mise en place dans  les collèges de  l’option DP3 (découverte professionnelle  3  heures)  et  du  Parcours  de  découverte  des  métiers  et  des formations de la classe de 5e jusqu’en terminale.  La SEE est devenue le point de départ d’une longue série d’opérations d’information et de découverte qui jalonnent les trimestres suivants. Elle est ce moment privilégié de  rencontres  entre  les  élèves,  les  équipes  pédagogiques  et  de  direction  des établissements  d’enseignement  avec  le  monde  de  l’entreprise,  qui  fait  que désormais l’Education et l’Entreprise travaillent ensemble sur des projets communs dans l’intérêt des jeunes générations.  En  2013,  19  500  enseignants,  5 680  établissements  d’enseignement, 190 000 élèves  et  11 200  entreprises  ont  participé  à  la  SEE,  dans  le  cadre d’opérations très variées : - développement de l’esprit d’entreprendre - forums et salons - visites d’entreprises - interventions dans les classes - rencontres « les boss invitent les profs » - mini‐entreprises - productions audio‐visuelles et écrites - concours et jeux - sites internet et nouvelles technologies.  

 

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Bilan relations école entreprise 2013

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2. Principales actions menées en 2013  

♦ L’innovation et l’esprit d’entreprendre Axe  fort  de  la  circulaire  adressée  par  le Ministre  aux  Recteurs  le  22  juillet  2013, l’innovation  et  l’esprit  d’entreprendre  sont  des  thématiques  structurantes  des actions et des rencontres recensées en 2013 (Classes en entreprise, conférences et visites  thématiques, concours …) entre  les acteurs de  l’entreprise,  les élèves,  leurs enseignants  et  tous  les  autres  acteurs  de  l’Education.  Le  déploiement  des mini‐entreprises trouve dans cette thématique une  légitimité toute naturelle,  le MEDEF souhaitant qu’à  terme  chaque  collégien puisse participer à une mini‐entreprise et chaque enseignant ait pu au moins une fois dans sa carrière accompagner un projet de mini‐entreprise.  

 

Des  actions  ont  été  proposées  pour  développer  la  culture  numérique  auprès  des jeunes et des enseignants : diffusion d’un kit pédagogique numérique destiné aux collégiens, présentant l’entreprise et le tissu économique en Pays de Loire, création d’une  mallette  pédagogique  et  de  modules  de  formation  « Fab  Lab »  et expérimentations  auprès  de  collégiens  en  région  Corse,  lancement  de  l’outil numérique  interprofessionnel  « A  la  découverte  de  l’entreprise »  en  Auvergne, élaboration d’un guide des métiers qui recrutent, diffusé en version numérique, via un  PDF  interactif  et  une  application  Smartphone  en  Champagne‐Ardenne,  visites d’entreprises principalement sur  le thème des nouveaux métiers  liés au numérique en Languedoc‐Roussillon et en Limousin, conférence sur  l’utilisation et  la place du numérique  dans  les  métiers  de  l’entreprise  pour  les  équipes  enseignantes d’économie‐gestion en lycée professionnel à Toulouse… 

 

Des actions sur  le thème de  l’innovation ont été également proposées comme par exemple la rencontre « Partageons nos regards », organisée par le MEDEF Picardie : 5  chefs  d’entreprise  de  différents  secteurs  d’activités  rencontrent  5 enseignants‐chercheurs  de  l’Université  Picardie  Jules  Verne,  afin  de  faire  naître  des  idées d’échanges et/ou de collaboration. 

   

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Bilan relations école entreprise 2013 

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♦ Les forums et les salons A l’occasion de la SEE, les établissements scolaires ont été nombreux à organiser des forums de découverte des métiers destinés aux  collégiens et aux  lycéens afin de mieux les éclairer sur leurs perspectives professionnelles ou sur leur choix de filières de formation (scolaires ou de l’enseignement supérieur).  En 2013, de nombreux  forums ont été à nouveau organisés,  certains ayant  choisi d’avoir comme cibles spécifiques, non seulement  les élèves mais surtout  les  relais d’information  privilégiés  en  matière  d’orientation :  les  conseillers  d’orientation psychologues et les professeurs principaux.  Ainsi, en octobre 2013, le MEDEF Auvergne a organisé avec le rectorat en lien avec le  centre  régional  de  documentation  pédagogique,  l’ONISEP  et  EPA  Auvergne,  le 1er salon  de  la  découverte  des  métiers  et  des  professions  à  destination  des enseignants de lycées généraux et technologiques. Près de 200 enseignants étaient présents. Sept branches professionnelles ont été mobilisées ainsi que deux secteurs d’activités, la CGPME, l’UPA et la chambre de commerce et d’industrie régionale.  En Basse‐Normandie,  le CLEE du Grand Caen a proposé  le  salon virtuel des outils pédagogiques  à  destination  des  professionnels  du  monde  éducatif  pour  faire connaître et  s’approprier des  supports pédagogiques développés par  les branches professionnelles.  Il  est  destiné  aux  enseignants  qui  souhaitent  accompagner  la réflexion de leurs élèves.  En  Martinique,  une  deuxième  édition  du  forum  des  métiers  s’est  déroulée en février 2013 au  lycée Acajou 2, avec  la participation d’Air France, en partenariat avec  le  MEDEF  Martinique.  Le  thème  retenu  était  « Lycéen  d’aujourd’hui, Entrepreneur de demain ! ». Un concours des mini‐entreprises a clôturé ce forum.  En  Languedoc‐Roussillon,  « le  carrefour  de  l’orientation »  a  accueilli  en  Lozère 1430 jeunes, 40 professionnels et les professeurs accompagnateurs.  

♦ Les visites d’entreprises L’organisation  de  visites  d’entreprise  reste  de  loin  la  première  des  animations proposées, même  si  ces visites  se poursuivent  tout au  long de  l’année,  favorisées notamment par  la mise en place dans des établissements  toujours plus nombreux de  l’option DP3  et plus  largement du parcours de découverte des métiers  et des formations.  

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Bilan relations école entreprise 2013

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Sur  le  plan  qualitatif,  les  visites  d’entreprise  permettent  des  rencontres  très concrètes entre les élèves, les équipes pédagogiques et les chefs d’entreprise qui les accueillent.  C’est  aussi  pour  les  jeunes  élèves  un  premier  contact  avec  la micro‐économie et les notions de gestion et de production. Ces moments sont importants : ils peuvent être, si ce n’est décisifs, tout au moins les premiers éléments d’un projet professionnel en construction. En 2013, ce type de rencontres a concerné plusieurs milliers d’élèves.   Les  MEDEF  du  Limousin  ont  fait,  depuis  de  nombreuses  années,  des  visites d’entreprise,  le  meilleur  moyen  pour  rapprocher  le  monde  économique  des établissements  implantés  en  zones  rurales.  Des  visites  sont  programmées  qui permettront  aux  acteurs  de mieux  se  connaître  et  aux  élèves,  de  découvrir    une activité  économique.  Il  en  est  de même  en  Haute‐Normandie,  Picardie,  Poitou‐Charentes,  Franche‐Comté,  Ile‐de‐France,  Martinique,  Languedoc‐Roussillon, Centre, Provence‐Alpes‐Côte d’Azur, où depuis de nombreuses  années  les  visites d’entreprise  sont  les  opérations  phares  de  la  Semaine  Ecole‐Entreprise  et parviennent  à  mobiliser  chaque  année  des  centaines  de  jeunes  accompagnés d’équipes pédagogiques pluridisciplinaires.  A noter que pour  la 2ème année,  la SNCF a permis de faire découvrir à des  jeunes filles de 3ème et de 2nde de l’académie de Caen, les différents métiers exercés dans l’entreprise. Cette opération est également menée à Lille et à Toulouse.  En  2013,  des  centaines  de  visites  ont  été  programmées. Des  déclinaisons  de  ces visites  permettent  d’ouvrir  les  entreprises  à  des  publics  appartenant  plus globalement  à  la  communauté  éducative  (enseignants,  chefs  d’établissement, conseillers d’orientation).  En Pays de  la Loire 60 professeurs principaux, responsables de DP3 ou personnels d’encadrement  ont  suivi  2  jours  de  formation  sur  l’entreprise  et  connu  une immersion d’une  semaine en entreprise en  lien avec  le  rectorat dans  le  cadre du plan académique des formations.   A  la  Réunion,  le MEDEF  et  le  rectorat  ont  organisé  une  session  d’immersion  de 10 jours en entreprise pour 7 chefs d’établissements stagiaires.  En  Rhône‐Alpes,  2  journées  thématiques  ont  réuni  près  de  130  conseillers d’orientation,  psychologues,  directeurs  de  CIO  et  enseignants  sur  le  thème  du « développement durable et de l’éco‐conception ».  

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Bilan relations école entreprise 2013 

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En  Champagne‐Ardenne,  près  de  70  entreprises  ont  accueilli  250  enseignants  et conseillers  d’orientation  dans  le  cadre  de  stages  de  découverte  du  monde économique.  En Nord‐Pas  de  Calais,  plus  de  250  enseignants  ont  pu  bénéficier  d’un  stage  en entreprise pendant l’année scolaire.   En Aquitaine, des stages d’immersion en entreprise de 3 à 5 jours, ont été organisés pour  des  professeurs  de  collèges  ou  de  lycées  et  des  conseillers  d’orientation psychologues.  

♦ Les interventions dans les classes ou les établissements Autre variante des visites d’entreprise,  les  interventions de professionnels dans  les établissements scolaires ont connu un grand succès. Elles ont été l’occasion pour les élèves et  les étudiants de mieux appréhender  les mutations à venir du marché du travail.  Les  branches  professionnelles  sont  par  ailleurs  très  complémentaires  des  chefs d’entreprise  dans  cet  exercice  et  proposent  de  vastes  palettes  d’outils  (vidéos, supports  de  présentation,  concours…),  dont  les  entreprises  du  secteur  d’activité peuvent se servir afin d’étayer leurs interventions.  En  région, par exemple,  la Fédération des Travaux publics  réalise de nombreuses actions auprès des collèges : - réunions d’information sur les métiers des travaux publics dans les collèges par 

des représentants d’entreprises ou de la FRTP  - visites de chantiers  - rencontres avec des professeurs et des conseillers d’orientation  - journées  dédiées  aux  travaux  publics  durant  lesquelles  les  élèves  et  leurs 

professeurs  rencontrent  des  entreprises,  des  établissements  de  formation, visitent des chantiers, …  

- publication  de  plaquettes  de  présentation  des  établissements  de  formation préparant aux métiers des Travaux Publics. 

 La Fédération Française du Bâtiment a organisé la 11ème édition des «Coulisses du Bâtiment» suscitant  la participation chaque année plus conséquente de milliers de collégiens  et  lycéens  ;  cette  opération  consiste  principalement  à  organiser  des visites de  chantiers et d’ateliers. Cette opération est également ouverte au grand public dont  les parents. Chaque année, ce  sont près de 100 000 visiteurs qui  sont 

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accueillis par des professionnels du secteur. Depuis 2003, plus d’un million d’entre eux ont découvert près de 3150 chantiers et ateliers.  Par  ailleurs,  cette  fédération  relance  l’organisation  du  concours  Batissiel  dont l’objectif  est  la  découverte  des métiers  du  bâtiment  à  travers  la  réalisation  par équipe  d'un  projet  concret.  En  2013,  233  classes  se  sont  inscrites  représentant 6000 élèves de 29 académies. 2013 a été une fois encore l’occasion pour de nombreux chefs d’entreprise (près de 300 en Rhône‐Alpes par exemple) de rencontrer les jeunes et leurs enseignants lors d’interventions dans  les classes organisées en collaboration avec  les enseignants et les chefs d’établissement.    En Guadeloupe,  les  jeunes  lycéens ont  pu  bénéficier d’interventions  thématiques sur les métiers du bâtiment.  En  Martinique,  le  MEDEF  en  lien  avec  le  Rectorat,  a  organisé  un  séminaire d’échanges sur le thème « La mobilité à l’international, c’est possible ! ».  Le MEDEF Réunion a organisé une conférence sur  l’esprit d’entreprendre  intitulée « L’entreprise de demain, c’est vous…Osez ! »  réunissant des chefs d’entreprise et les élèves de terminales, des étudiants et des professeurs au Cinépalmes de Sainte‐Marie. L’Union des Industries Chimiques a  lancé  la 3ème édition du Chemical World Tour pour faire découvrir la chimie et l’industrie chimique à des étudiants en chimie et en journalisme. Cette année,  le thème choisi est « Chimie et nouvelles technologies ». Cinq  binômes  vont  aller  découvrir  ce  qui  se  prépare  dans  les  laboratoires  de recherche des entreprises du secteur et de leurs clients.  

♦ Les  mini‐entreprises  et  l’ouverture  à  l’esprit d’entreprendre 

Le développement des mini‐entreprises a été placé en 2013 au centre des actions.  L’objectif  est  de  promouvoir  et  de  développer  l’esprit  d’entreprendre  auprès  des publics  scolaires.  Implantées  initialement dans  les collèges,  les mini‐entreprises  se développent  de  plus  en  plus  au  cœur  des  lycées  d’enseignement  général  et technologique.  Les mini‐entreprises se sont démultipliées dans les établissements et deviennent de vrais  outils  pédagogiques  innovants  pour  les  enseignants  qui  veulent  faire appréhender de manière ludique et pratique le monde de l’entreprise à leurs élèves. 

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 Près de 1 036 mini‐entreprises concernant plus de 20 142 jeunes ont été actives en 2013.  Le  plus  grand  nombre  de  mini‐entreprises  se  situent  en  Picardie,  Ile‐de‐France, Nord‐Pas  de  Calais,  Champagne‐Ardenne,  Rhône‐Alpes,  Lorraine,  Basse‐Normandie et Franche‐Comté. A noter d’ailleurs, que le MEDEF Lorraine présente la particularité d’avoir déployé cette opération avec des partenaires  transfrontaliers, en  Allemagne,  au  Luxembourg  et  en  Belgique.  Les  MEDEF  des  régions  Alsace, Auvergne, Poitou‐Charentes, Aquitaine, Centre  se mobilisent pour  leur part pour que le concept des mini‐entreprises soit proposé plus largement aux établissements scolaires.  A  noter  qu’à  la  rentrée  scolaire  2013‐2014,  3  collèges  et  2  lycées professionnels ont porté  les couleurs de  l’entrepreneuriat à travers  le déploiement de 5 mini‐entreprises en région Corse.  En Champagne‐Ardenne une journée entrepreneuriat étudiant a été organisée dans le  cadre  du  Salon  « Entreprendre »  à  Reims.  Etudiants  et  jeunes  diplômés  seront invités  à  s’initier  à  la  création  d’entreprise  et  à  l’entrepreneuriat,  en  échangeant avec des conseillers et experts de la création d’entreprise.  En Aquitaine   des  rencontres ont été proposées, mobilisant  les enseignants et  les élèves  de  collèges  et  lycées  autour  de  chefs  d’entreprise  venus  parler  de  l’esprit d’entreprendre et de la création d’entreprises.  En  Rhône‐Alpes  une  table  ronde  interactive  a  été  organisée  sur  le  thème : « Innovation et Esprit d’entreprendre », au lycée La Martinière Duchère à Lyon.  Un concours sur  l’esprit d’entreprendre a été  lancé dans  le bassin du Grand Caen sur  le  thème  «Créer  des métiers  pour  demain  avec  les  énergies  renouvelables » (35 collèges et 21 lycées sont mobilisés).  Un  film  interactif  a  été  créé  sur  le  thème  « Libérons  la  création  sur  l’esprit d’entreprendre »  auprès  d’établissements  scolaires  et  universitaires  en  Midi‐Pyrénées.   En Languedoc‐Roussillon un concours  intitulé « Demain‐Entrepreneur » a été  lancé auprès  des  collégiens  et  lycéens    sur  le  thème  de  l’esprit  d’entreprendre  et  de l’innovation dont  l’objet est, pour  les équipes en  lice, de réaliser des  interviews de créateurs. Cette opération a notamment pour but de  faire  travailler  les  jeunes en mode projet sous la tutelle d’équipes pédagogiques pluridisplinaires.   

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♦ Les rencontres « Boss‐Profs » Initiées par le MEDEF Alsace a entamé en 2006, ces rencontres se sont étendues en 2008 à tout  le territoire. “Favoriser  le dialogue entre chefs d’entreprise et équipes pédagogiques“,  “aider  à mieux  faire  comprendre  les  enjeux  économiques“  “faire découvrir  les différents secteurs d’activité et métiers“ et “valoriser  les partenariats existants entre  le monde de  l’éducation et  l’entreprise“  :  tels sont  les objectifs de l’opération “les boss  invitent  les profs  [à déjeuner]". La coordination de ce projet, est  désormais  organisée  par  le  biais  d’un  site  internet  d’inscriptions (http://www.lesbossinvitentlesprofs.com)  afin  de  faire  face  à  la  plus  grande volumétrie  du  déploiement  national :  1 552  rencontres  entre  entrepreneurs  et professeurs ont été recensées en 2008, près de 2 100 en 2012 et en 2013.   En 2011, 2012   et 2013 de nouvelles  régions  se  sont emparées du dispositif pour consolider ou développer  les  relations nouées avec  le monde éducatif,  les  régions Aquitaine,  Centre,  Nord‐Pas  de  Calais,  Pays  de  la  Loire,  Bretagne,  Corse, Bourgogne,  Limousin,  Champagne Ardenne,  Lorraine  ou  encore  Provence‐Alpes‐Côte d’Azur ont  renouvelé  l’opération qui devient maintenant une  tradition de  la SEE dans ces régions.  Le MEDEF Alsace a entamé quant à lui la 8e  édition de cette opération. Il a organisé près  de  300 déjeuners  permettant  à  300  chefs  d’entreprises  de  rencontrer 600 enseignants.  

♦ Les productions écrites et audio‐visuelles Certaines académies, en  lien avec  les MEDEF  territoriaux, ont  réalisé des outils de communication à  l’attention des jeunes publics scolarisés afin de  leur présenter  les différentes facettes de l’entreprise et des métiers que l’on y exerce.   Ainsi, par exemple, en Corse,  le MEDEF et  le  rectorat ont  réalisé une application Iphone  « 30 métiers  en  Corse »  à  destination  des  lycéens  et  étudiants  qui  leur permet  un  accès  facilité  aux  fiches métiers  et  leur  fait  découvrir  les  différentes facettes de  l’entrepreneuriat.  Le MEDEF Centre a édité une plaquette qui  sert de guide méthodologique aux jeunes impliqués dans le concours du « jeune reporter en entreprise ».  En Champagne‐Ardenne, un guide des métiers qui recrutent a été créé. Il favorise l’orientation des jeunes vers les métiers d’avenir. Exclusivement diffusé en version numérique, il s’adresse aux élèves, à leurs parents, ainsi qu’aux acteurs en charge de l’orientation et de la formation. 

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En Bretagne, en Ile de France, en Languedoc‐Roussillon, la préférence a été donnée depuis  5  ans  à  des  supports  audio‐visuels  qui  permettent  la  découverte  de l’entreprise  sous  l’angle  du  management,  de  ses  fonctions  ou  encore  de  son environnement et de ses partenaires. Ces films présentés aux élèves sont l’occasion de mieux  appréhender  le  fonctionnement  de  l’entreprise  à  partir  d’observations quotidiennes.  La Bretagne,  pour l’année 2013, a poursuivi la coproduction de films dans le cadre d’une collection  intitulée « Vivre  l’entreprise » en partenariat avec  le CRDP  (Centre régional de documentation pédagogique) Bretagne et le Rectorat. Sont abordés 6 thèmes transversaux à toutes les entreprises tels que, par exemple, l’environnement et développement durable,  la qualité et sécurité  (QSE),  la gestion des ressources humaines ou encore l’innovation et la  recherche‐développement.  Les Pays de la Loire ont opté pour la réalisation d’un kit pédagogique à destination des  collégiens  afin  de  les  aider  à  appréhender  leur milieu  économique    avec  les activités  et  les métiers qui  le  composent. Ce  kit,  sous  forme de  site  internet,  est accessible à l’ensemble des établissements de Loire‐Atlantique.  

♦ Les concours En  2008,  le  MEDEF  Midi‐Pyrénées  et  l’Académie  de  Toulouse,  lançaient  en partenariat  avec  la  presse  quotidienne  régionale  le  concours  «  Raconte  moi l’entreprise » à l’occasion du lancement de la SEE. Ce concours a mobilisé en 2013, les élèves de DP3 de l’académie qui se sont transformés pour l’occasion en reporters en herbe. Ce  sont plus de 800  jeunes et 50 entreprises qui ont participé, avec  les enseignants à la rédaction d’une soixantaine d’articles.  L’émulation  et  l’envie  de  se  surpasser  sont  des  facteurs  très motivants  pour  les élèves  et  les  incitent  à  développer  leur  curiosité  vers  des  thèmes  nouveaux, rarement abordés par  les enseignements «traditionnels ».  Ils  sont de plus de  très bons vecteurs de sociabilité et de travail en équipe.  La SEE 2013 a été l’occasion pour cinq autres académies de proposer ce concours à leurs  élèves  en  lien  avec  les MEDEF  régionaux  (Bourgogne,  Centre,  Nord‐Pas  de Calais, Provence‐Alpes‐Côtes‐d’Azur, Réunion).   En Rhône‐Alpes s’est déroulée la 4e édition du concours « Créateurs d’idées » dans les établissements  scolaires, afin d’encourager  l’innovation,  la  créativité et  l’esprit d’entreprendre  chez  les  jeunes.  C’est  une  opération  qui  a  recueilli  dès  son 

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lancement  en  2010,  un  grand  succès  et  a  réuni  quelque  3  000  jeunes  de 38 établissements   Les Pays de  la  Loire ont mis en place un  concours photos d’entreprise auprès de lycéens. Les prix ont été remis en juin 2013.  

♦ Les jeux et quizz d’animation Le MEDEF Réunion a organisé pendant  la Semaine Ecole‐Entreprise un Quizz sur  le thème  « A  la  découverte  de  l’entreprise,  de  ses  métiers  et  de  l’environnement local », destiné à des élèves de 30 collèges en classe de 3ème. 60 chefs d’entreprise sont mobilisés.  Les MEDEF territoriaux de Champagne‐Ardenne ont organisé des « Quizz DP3 » sur l’économie de leur territoire, les métiers, les secteurs d’activité et les grandes règles de fonctionnement de l’entreprise, pour les collégiens champardennais.    Le MEDEF Franche‐Comté a mis en place un quizz numérique sur  le thème « Etes‐vous  des  créatifs ? »  dans  le  cadre  d’une  conférence  intitulée  « Génération Création » avec les 26 mini‐entreprises de la région et les partenaires de la relation Ecole‐Entreprise.  

♦ Les stages et l’accueil de jeunes dans l’entreprise Le  MEDEF  Haute‐Normandie,  le  MEDEF  Région  Havraise,  la  CCI  du  Havre  et l’Association des Industries du Havre ont organisé en décembre 2013, la 6e « Bourse aux  stages »  au  Havre.  L’objectif  est  de  faire  se  rencontrer  des  entreprises  (une centaine de tous les secteurs d’activités) et des jeunes (niveau CAP à Bac +5) autour d’une offre de stages, de proposer des ateliers pour élaborer leur CV et d’effectuer des simulations d’entretien de recrutement.  

♦ Le forums Education‐Entreprise Le  6e  forum  Education‐Entreprise  a  réuni  à  Paris,  durant  une  journée  500 représentants de l’Education nationale (ministère, rectorats et établissements), des universités  et  du  monde  économique  (fédérations  professionnelles,  MEDEF régionaux et territoriaux, chambres consulaires, entreprises).  La  thématique choisie en 2013 était : « Le numérique change nos vies :  travailler, former, recruter autrement »  

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♦ Les Lettres du Challenge Education‐Entreprise Enfin,  le MEDEF  a  publié  2  lettres  du  Challenge  Education‐Entreprise  en mars  et novembre 2013 qui ont été diffusées à plusieurs milliers d’exemplaires. Ces  lettres mentionnent  plus  d’une  centaine  d’exemples  de  bonnes  pratiques,  initiées  et portées  par  les  MEDEF  régionaux  et  territoriaux,  ainsi  que  par  les  fédérations professionnelles, en lien avec les acteurs de l’éducation.  

 

3.  Constats  et  évolutions  des  relations Education‐Entreprise  

♦ Une grande variété d’actions En moyenne, chaque région, sous  le pilotage des MEDEF régionaux, est en mesure de proposer  au moins  6  types d’opération différents  à un panel de plus  en plus large  de  jeunes,  allant  de  la  classe  de  5e  aux  étudiants.  Les  innovations pédagogiques  sont,  dans  ce  domaine,  florissantes  et  permettent  d’aborder  ces sujets  par  des  angles  très  concrets  faisant  notamment  appel  au  sens  de l’observation, à l’esprit critique et à la curiosité des élèves.  Ces  évènements  répondent  ainsi  aux  attentes  des  enseignants  de  disposer d’informations  concrètes  contribuant  à  la  réalisation  de  la mission  d’orientation réaffirmée notamment par  les  réformes  successives de  l’enseignement  secondaire et supérieur.  

♦ 4  éléments  fédérateurs  catalysent  les  volontés d’aller plus loin 

• La  création  de  la  SEE,  il  y  a  maintenant  14  ans,  puis  la  mise  en  place  du Challenge Education‐Entreprise par le MEDEF et tout particulièrement suite à la convention  signée  le 22 septembre 2007  sur  la découverte des métiers et des professions  (DP3),  initiée par  le MEDEF et  le ministère de  l’Education nationale avec  40  autres  partenaires  (fédérations  professionnelles,  organisations économiques, associations de parents d’élèves, ONISEP …), ont été les ferments de l’intensification des relations avec le monde de l’éducation. 

 

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• En juin 2010, un accord‐cadre signé entre le Ministère de l’Education nationale, le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et le MEDEF ancrait plus largement ces coopérations, au bénéfice  de cibles plus étendues (étudiants notamment)  et  tout  au  long  de  l’année.  Trois  référentiels  de  compétences (« intelligence  économique  et  nouveaux  risques  du  XXIème  siècle », entrepreneuriat et esprit d’entreprendre », « connaissance de l’entreprise ») ont été élaborés et diffusés auprès des établissements d’enseignement supérieur. Ils sont  des  guides  pour  la  mise  en  œuvre  d’actions  de  sensibilisation  et  de formation à destination de tous les étudiants. 

 • La généralisation à  la rentrée 2009 par  le ministère de  l’Education nationale du 

« parcours  de  découverte  des  métiers  et  des  formations »,  de  la  5e  à  la terminale, laisse à penser que dans les années qui viennent, la SEE et sa grande visibilité médiatique confirmera son  rôle de point de départ des actions Ecole‐Entreprise qui mobilisent maintenant  les jeunes,  les enseignants,  les personnels de l’orientation et les entreprises à toutes les périodes de l’année scolaire et non plus seulement pendant la seule semaine de novembre. 

 • La  volonté  de  généraliser  l’esprit  d’entreprendre  et  la  création  d’entreprise 

notamment via les mini‐entreprises, avec l’objectif qu’à terme chaque collégien puisse participer à une mini‐entreprise et chaque enseignant ait pu au moins une fois dans sa carrière accompagner un projet de mini‐entreprise.